Bonne nouvelle — victoire écrasante d'un premier ministre pro-vie
Viktor orbán, premier ministre de Hongrie.
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Une bonne nouvelle pour vous en ce début de semaine : le parti de Viktor Orbàn, premier ministre de la Hongrie, que les lecteurs de nos pages connaissent très bien, a obtenu en fin de semaine une victoire écrasante lors de l’élection générale dans ce pays. Ce parti pro-Dieu, pro-famille et pro-vie obtient un 4e mandat avec une majorité des deux tiers des sièges. Qui plus est, un autre parti pro-famille et anti-propagande LGBT a réussi à faire élire 7 députés. La Hongrie est donc en de très bonnes mains. Voici ci-dessous un extrait d’article que j’ai écrit sur la résurrection de cette nation de près de 10 millions d’âmes :
Viktor Orban et la « démocratie chrétienne »
Tournons-nous vers un autre peuple jadis opprimé, le peuple hongrois, qui a su, avec la grâce de Dieu, se libérer de son état d’esclavage mental et spirituel pour devenir un modèle pour l’Europe et pour le monde.
Les Hongrois, aujourd’hui un peuple fier de 10 millions d’âmes, gémissaient sous la botte du communisme dès la fin de la 2e guerre mondiale. Ils avaient plus que les médias de masse tordus qui pesaient sur eux : ils souffraient du joug du tyran Stalin et de ses successeurs. En bref, la Hongrie était victime de l’athéisme total, imposé à tous les niveaux, spécialement en politique.
En 1989, l’URSS s’effondra et la Hongrie se trouva libre. Par contre, ce pays risquait de tomber dans un mal plus grand, celui de se vouer à l’argent et au confort, comme le font tant de pays occidentaux.
C’est pourquoi en 2010 le peuple hongrois s’est doté d’un chef, Viktor Orban, et d’une Loi fondamentale (une constitution), pour le protéger des dérives. Les Hongrois ne voulaient être ni communistes, ni libéraux (c’est à dire indifférents au bien et à Dieu), mais chrétiens !
Lisons une petite partie de cette « Loi fondamentale », et voyons si nous, Québécois et Canadiens, pouvons en tirer quelque chose.
Loi fondamentale de la Hongrie le 25 avril 2011 :
Bénis les Hongrois, ô Seigneur!
PROFESSION DE FOI NATIONALE
NOUS, MEMBRES DE LA NATION HONGROISE, à l’aube de ce nouveau millénaire, déclarons avec responsabilité pour tous les Hongrois ce qui suit : nous sommes fiers que notre roi Saint Étienne ait placé l’État hongrois sur des fondations solides en faisant entrer notre patrie dans l’Europe chrétienne. Nous sommes fiers de nos ancêtres qui se sont battus pour la survie, la liberté et la souveraineté de notre nation. Nous sommes fiers des remarquables créations intellectuelles des Hongrois. Nous sommes fiers que notre peuple se soit battu pendant des siècles pour défendre l’Europe, contribuant aux valeurs communes de celle-ci par son talent et son assiduité. Nous reconnaissons la vertu unificatrice de la chrétienté pour notre nation. (…)
La dignité humaine est inviolable. Toute personne a droit à la vie et à la dignité humaine ; la vie du fœtus doit être protégée dès sa conception.
Voilà une Constitution digne de ce nom; voilà un peuple engagé sur la bonne voie !
Depuis 2010, fidèle à sa Loi fondamentale, la Hongrie a valorisé son patrimoine chrétien, implanté des politiques familiales et a fermé ses frontières à des migrations abusives, et voilà le résultat :
La quantité d’avortements a diminué de plus d’un tiers de ce qu’ils étaient en 2010 (40 449 à 28 500).
Le nombre de divorces est nettement réduit (23 873 en 2010 à 18 600 en 2017) et…
Le nombre de mariages a augmenté (35 520 en 2010 et 50 600 en 2017).
Encore une fois, nous voyons là un pays engagé sur la bonne voie !
Le Québec profiterait de s’inspirer de l’exemple de la Hongrie des derniers temps et de son formidable chef, Viktor Orbàn !
Nous sommes à la fin de notre campagne de financement pour le Carême 2022 ; nous sommes à 93 % de notre objectif. Merci, du fond du cœur, à tous ceux et celles qui ont contribué. Il nous reste cependant 698 $ à recueillir. C’est maintenant le temps de donner si vous n’avez pas encore eu la chance de contribuer.
Pour la Vie,
Georges Buscemi, président
La Hongrie et la Pologne bloquent l’UE et son programme Lgbt
Par Francesca de Villasmundo (Médias Presse Info)
À Bruxelles, tout était prêt pour le vote final sur le budget de l’Union européenne pour la période 2021-2027, mais entre le bloc d’Europe occidentale dirigé par l’Allemagne et le bloc d’Europe de l’Est dirigé par Visegrád [groupe de quatre pays de l'Est], de profondes divergences sont apparues sur un point clé du plan : lier l’accès aux fonds européens « au respect » de l’État de droit dans les pays membres. En clair, tous les Etats membres doivent se soumettre aux injonctions idéologiques de l’union Européenne, c’est-à-dire à l’agenda Lgbtqi.
L’un des points centraux de l’accord budgétaire prévoit en effet l’introduction d’une clause de conditionnalité qui lierait indissolublement l’accès aux fonds européens à ce « respect » de l’État de droit dans le pays demandeur. L’une des étapes les plus controversées de cette initiative concerne la possibilité d’approuver la privation et/ou la suspension de fonds même dans les cas où les violations n’ont pas été constatées, mais où, cependant, « il existe un risque » qu’elles soient commises.
Le respect de l’État de droit ne signifie pas seulement l’indépendance et l’intégrité des trois pouvoirs, en particulier le pouvoir judiciaire, mais aussi l’état d’avancement des droits civils et de l’homme et la volonté de se conformer aux diktats européens concernant des questions telles que la culture et l’immigration. Ce n’est que sur la base de cette prémisse que l’on peut comprendre et encadrer encore un autre bras de fer entre les partisans du mécanisme de conditionnalité, qui sont essentiellement à l’Ouest, et ses détracteurs, qui viennent de l’Est et sont représentés par l’alliance de Visegrád.
Le gouvernement hongrois est déterminé à diriger le mouvement d’opposition contre cette clause, qui priverait tous les États membres qui ne respectent pas les critères de l’état de droit établis par Bruxelles d’importantes ressources pour le développement. Le Premier ministre polonais Mateusz Morawiecki a soutenu l’initiative du Fidesz et a écrit jeudi dernier à Charles Michel, président du Conseil de l’UE, pour exprimer sa déception et ses perplexités face à la loi en question.
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