Selon Dr McCullough, l’altération de l’ADN par les vaccins covid pourrait s’étendre aux cellules reproductrices et affecter les bébés
Par Emily Mangiaracina (Campagne Québec-Vie) — Photo : unai/Adobe Stock
26 juillet 2022 (LifeSiteNews) — L’un des médecins les plus accomplis et les plus renommés des États-Unis prévient que l’altération de l’ADN humain par le vaccin COVID, démontrée par une récente étude suédoise, pourrait affecter les cellules reproductrices et ainsi modifier génétiquement les enfants.
Le Dr Peter McCullough, interniste, cardiologue et principal médecin américain du COVID, a discuté de la découverte, partagée plus tôt cette année, selon laquelle « le vaccin Pfizer, en fait, [peut être] rétrotranscrit et installer de l’ADN dans le génome humain », selon les mots de McCullough, lors d’un débat télévisé animé par la présentatrice chrétienne Joni Lamb.
Le responsable de l’étude suédoise, Markus Aldén, de l’université de Lund, a observé qu’un fragment de l’ARN messager du vaccin Pfizer entraînait des « changements » dans l’expression du [rétrotransposon] LINE-1, qui fait partie du génome. Le LINE-1 est lui-même rétrotranscrit, ce qui produit des copies d’ADN qui peuvent être insérées dans le génome à différents endroits.
Les conclusions de l’étude contredisent les affirmations des Centers for Diseases Control selon lesquelles « les vaccins COVID-19 ne modifient pas votre ADN et n’interagissent avec lui en aucune façon ».
À la question de savoir si le vaccin COVID peut « affecter votre bébé », Dr McCullough a répondu : « Oui, c’est la conclusion alarmante. »
Dr McCullough ne s’est pas prononcé définitivement sur la question de savoir si le vaccin affecterait effectivement les bébés sur le plan génétique, mais il estime que c’est une possibilité. Il a appelé à d’autres études pour confirmer que « l’ensemble du code est installé, et ensuite pour confirmer réellement que... la protéine de spicule (spike) est maintenant continuellement exprimée par les cellules humaines parce que les nanoparticules lipidiques sont absorbées partout ».
« Cela signifie », poursuit McCullough, que « les cellules somatiques de vos organes », mais aussi les cellules gamètes, « les cellules qui sont en fait le sperme et l’ovule, si elles portent le code, cela signifie en effet qu’il pourrait être transmis aux cellules filles… [l’embryon] ».
Lire la suiteAprès avoir vu les vidéos de Planned Parenthood, l’offre d’un couple d’adopter fait le tour de la Toile
Par Murray Vasser de LiveActionNews - traduit par Campagne Québec-Vie
10 novembre 2015 - La quatrième d’une série de vidéos d’enquête filmées en caméra cachée montrait une employée de Planned Parenthood trier négligemment les restes en morceaux d’un fœtus avorté, à la recherche de pièces à vendre. « C’est un bébé, un autre petit garçon », s’amuse-t-elle en saisissant une jambe déchiquetée.
Après avoir vu cette vidéo, Kevin Cook, étudiant d’Asbury Theological Seminary, dans le Kentucky, a posté la réponse suivante :
Lire la suiteL'obésité pourrait entraîner l'infertilité
Sur le site de genethique.org du 26 juin 2012:
En s’interrogeant sur "les liens possibles entre obésité et infertilité masculine", diverses études menées par le Pr Rachel Levy (Service d’histologie, embryologie, cytogénétique et biologie de la reproduction - hôpital Jean Verdier de Bondy) ont montré que "l’hypercholestérolémie chez le lapin, l’obésité paternelle induite par l’alimentation chez la souris et l’obésité chez l’homme altéraient le pouvoir fécondant du sperme". De même, "le développement embryonnaire [fait l’objet d’une détérioration] par le surpoids et l’obésité, chez la souris comme chez l’homme". Afin d’évaluer cette détérioration de l’embryon, un programme hospitalier de recherche clinique va être réalisé dans des centres d’AMP. Plus particulièrement, "l’obésité est considéré comme un facteur de risque de dysfonction érectile, d’apnée du sommeil (qui interrompt l’élévation nocturne en testotérone) et d’augmentation de température du scrotum". (...)
La fertilité décroît avec l'âge
Sylvia Galipeau du journal La Presse lance ce débat sur le site du journal La Presse du 18 novembre. Bien qu'il soit toujours possible pour une femme dans la quarantaine de donner naissance à un enfant, plusieurs doivent utiliser des techniques déraisonnables comme la fécondation in vitro.
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