Le taux de visites aux urgences suite à un avortement médicamenteux a augmenté de 500 % entre 2002 et 2015
Par Geneviève De Vriendt (Campagne Québec-Vie) — Photo : Rawpixel.com/Adobe Stock
Pourquoi l’avortement ?
On dit que l’avortement est sécuritaire, que l’avortement sauve les femmes ; et pourtant, la réalité prouve le contraire.
Selon une « nouvelle étude d’envergure », menée par l’Institut Charlotte Lozier (CLI) dans 17 Etats des Etats-Unis d’après les dossiers Medicaid de 1999 à 2015, « les taux de visites aux urgences suite à un avortement médicamenteux ont augmenté de 507 % entre 2002 et 2015, passant de 8,5 pour 1000 à 51,7 pour 1000. La hausse est de 315 % après un avortement chirurgical », rapporte Gènéthique.
Quant aux dangers de l’avortement à domicile, « de nombreuses études montrent qu’en moyenne 5 à 8 % des femmes doivent se rendre aux urgences pour des complications, et cela n’inclut même pas le nombre d’interventions chirurgicales effectuées dans les cliniques d’avortement », rapporte le Dr Christina Francis, membre de l’AAPLOG.
On dit que l’avortement est sécuritaire ; et pourtant, il s’ensuit toujours la mort d’un être humain, et parfois, comme nous montre cette étude, un grave danger pour un deuxième être humain.
Comment peut-on dire que l’avortement est un choix ?
Cela ne vaut jamais la peine de préférer notre vie à la mort d’un autre parce qu’en plus de garantir une mort, ce « choix » garantit souvent des risques graves pour celle qui avorte.
Oui à la vie, non à la mort !
Des études montrent que les complications liées à l’avortement sont fréquentes
Par Sarah Terzo (LiveActionNews) Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : motortion/Adobe Stock
Dans ses mémoires, l’ancienne avorteuse Dr Patti Giebink, parle des complications de l’avortement. Elle décrit les répercussions de l’avortement sur les organes reproducteurs de la femme, ce qui révèle à quel point il est vraiment facile de blesser une femme :
Le premier passage avec la canule d’aspiration permet idéalement de recueillir tous les tissus ─ la plupart, sinon tous. Une curette (un instrument en forme de cuillère [dont les bords sont tranchants]) est utilisée après l’aspiration... Un grattage trop fort laisse des cicatrices. Si l’on gratte trop doucement, les tissus laissés derrière peuvent provoquer une infection et des saignements...
Une fois que la cavité utérine est propre et que tous les instruments chirurgicaux ont été retirés de la patiente, l’utérus devrait visiblement se contracter pour retrouver sa taille normale. Si ce n’est pas le cas, il y aura des saignements, ce qui signifie que des tissus sont restés en place ou, pire, que l’utérus pourrait être perforé. [1]
Tissus retenus, infection et hémorragie
Dans son rapport de 2018 sur la sécurité de l’avortement, l’Académie nationale des sciences, de l’ingénierie et de la médecine a déclaré que 8 % des avortements par aspiration laissent des tissus derrière eux. Selon elle, ce chiffre est « lié à la gestation, à l’expérience du médecin et à l’utilisation ─ ou non ─ d’un guidage par ultrasons ». [2]
Les tissus retenus peuvent provoquer une infection. L’étude intitulée « Prevention of infection after induced abortion » (Prévention de l’infection après un avortement provoqué), publiée dans la revue « Contraception », indique que 30 % des décès liés à un avortement sont dus à des infections. Une étude a révélé que le taux d’infection après un avortement était de 5,8 % si la femme recevait des antibiotiques et de 9,4 % si elle n’en recevait pas. [3] Une étude britannique intitulée « A randomised comparison of strategies for reducing infective complications of induced abortion » [Comparaison randomisée de stratégies visant à réduire les complications infectieuses de l’avortement induit] a révélé un taux d’infection de 5-10 %.
Lire la suite« On m’a forcée à avorter ; on ne me forcera pas à prendre le vaccin covid »
Par Theresa Bonopartis — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Siam/AdobeStock
New York, NY, 21 septembre 2021 (LifeSiteNews) — Le jeudi 9 septembre, j’ai écouté le président Biden parler à la nation de ses nouveaux décrets. D’un ton intimidant et condamnatoire, il nous informait que sa patience était « à bout » et qu’il rejetait la responsabilité de la présence du virus dans ceux qui ne sont pas vaccinés contre le COVID-19.
Adoptant une approche totalement différente, le maire de New York, De Blasio, tente d’inciter les personnes non vaccinées à se faire vacciner en offrant des cadeaux, notamment 100 dollars à toute personne qui se fera vacciner dans un site géré par la ville.
Il ne fait aucun doute que le vaccin COVID fait l’objet d’une forte coercition. Bien qu’ils essaient de dire qu’il s’agit d’un « choix », les menaces de perte d’emploi, les limites quant aux endroits où vous pouvez aller et la suppression de choses qui vous sont chères ou dont vous avez besoin pour survivre en font tout sauf un « choix ».
En raison des liens du vaccin avec des cellules de fœtus avortés, beaucoup de personnes ont pris la décision de ne pas se faire vacciner. Je suis l’une d’entre elles. Peu importe que les cellules aient été obtenues il y a longtemps ou que le lien soit éloigné, je ne peux en toute conscience recevoir le vaccin.
Ayant passé des décennies de ma vie à souffrir d’un avortement salin qui m’a été imposé pendant mon adolescence et au cours duquel j’ai vu mon fils avorté, il est impensable pour moi de recevoir l’un des vaccins actuellement disponibles. Aucune coercition, que ce soit sous forme de récompense ou d’intimidation, ne me fera changer d’avis. Je ne juge personne pour sa décision personnelle ; tout ce que je sais, c’est que je ne pourrais jamais vivre avec moi-même si j’acceptais l’un des vaccins actuellement disponibles.
Au fil des décrets, j’ai été frappée par les similitudes entre la coercition que j’ai subie avant de me faire avorter contre mon gré et celle que je subis maintenant pour me faire vacciner. Adolescente, j’ai été chassée de la maison par mon père, sans argent, sans travail et sans endroit où vivre. Coupée de tout ce que je connaissais et aimais, j’ai cédé à d’énormes pressions pour mettre fin à la vie de mon fils à naître, et ce, à l’encontre de toutes mes convictions et de tous mes principes. J’étais isolée, rejetée, j’avais peur et je ne voyais pas d’issue à cette situation. Ensuite, la société a appelé cela mon « libre choix », mais il n’en était rien.
Lire la suiteUne femme raconte avoir vu le corps de son bébé après son 4e avortement: «J’ai crié... j’avais tué mes quatre bébés!»
Par Sarah Terzo (LiveActionNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : AdobeStock
CG Richardson a subi quatre avortements. À chaque fois, elle a cru ce que les centres d’avortement lui disaient ─ qu’un bébé à naître n’était qu’un peu de chair, pas un être humain. Mais après son quatrième avortement, elle s’est retrouvée face à face avec son enfant avorté, et elle a partagé cette expérience dans son livre, « No One to Hear Their Cries ».
Après l’avortement, Richardson a saigné abondamment pendant plusieurs jours et a souffert de crampes intenses. C’était différent de ce qu’elle avait connu lors de ses précédents avortements. Une semaine plus tard, alors qu’elle était assise sur la toilette, elle a expulsé le corps intact de son enfant avorté.
Elle décrit avoir été dévastée : « “Comment est-ce possible ? ” J’ai crié... Hésitante, j’ai regardé attentivement, examinant chaque centimètre et on ne pouvait pas le nier : C’était un bébé ! »
Elle pouvait voir tous les traits de l’enfant :
Je pouvais voir clairement les petits yeux, le nez, la bouche, les toutes petites mains et les pieds qui étaient déjà formés ! J’ai également vu les vaisseaux sanguins et la colonne vertébrale, car la peau était très transparente ! Ce qui m’a fait tomber à genoux, c’est de voir ce que je crois être le cœur de mon bébé. Ce petit cœur battait jusqu’à ce que je donne l’ordre de l’arrêter !
À ce moment-là, elle a réalisé : « j’avais tué mes quatre bébés ! »
Richardson est devenue hystérique, berçant le corps du bébé, chantant des berceuses et criant. Finalement, elle a enveloppé l’enfant et mis les restes du bébé dans une boîte.
Lire la suiteSelon une étude, l’avortement augmente de 50 % le risque de décès prématuré chez la femme
Amy Sobie (LifeNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Ruben/AdobeStock
L’avortement légal contribue à une augmentation de cinquante pour cent du risque de décès prématuré chez les femmes, selon une nouvelle revue systématique de 989 études sur les décès associés aux dénouements de grossesse.
Comme l’indique la Figure 1, les taux de décès plus élevés que l’on observe après un avortement, commencent dans les 180 premiers jours qui suivent et se poursuivent pendant au moins dix ans.
Au cours des 180 premiers jours, le risque de décès, toutes causes confondues, est plus de deux fois plus élevé après un avortement qu’après un accouchement. Le risque de décès précoce reste élevé pendant au moins dix ans (figure 1).
Figure 1 : Taux de mortalité après un accouchement ou un avortement pendant les 180 premiers jours et chacune des années suivantes
L’avortement et la fausse-couche sont tous deux liés à des taux de mortalité élevés, mais l’effet est plus fortement associé aux avortements provoqués.
La plus grande partie des décès prématurés consécutifs à une interruption de grossesse sont dus à des suicides, des accidents, des homicides et certaines causes naturelles, comme les maladies circulatoires, dont on sait qu’elles sont associées au stress.
Les chercheurs ont conclu que ces résultats s’expliquent le mieux par les effets psychologiques de la perte de grossesse, qui contribuent à des niveaux élevés de stress, d’abus de substances, de prise de risques et de comportements autodestructeurs.
Lire la suiteUne jeune figure du mouvement pro-avortement en Argentine meurt après un avortement légal
Maria del Valle Gonzalez Lopez.
Par Jeanne Smits ― Traduit par Campagne Québec-Vie ― Photo : Juventud Radical La Paz/Twitter
La Paz, Argentine, 16 avril 2021 (LifeSiteNews) — Une jeune femme de 23 ans est décédée dans un hôpital de San Martin dans la province argentine de Mendoza dimanche dernier, quatre jours après avoir subi un avortement légal dans la ville voisine de La Paz. Le décès de Maria del Valle Gonzalez Lopez a été attribué à une hémorragie et à une septicémie générale, selon ce que l’on sait du rapport d’autopsie. Une enquête judiciaire est en cours pour déterminer si sa mort est liée à l’avortement et si elle a été victime d’une négligence médicale. Ce que l’on sait, c’est qu’elle était une figure montante de l’« Union Civica Radical », un parti historique de la gauche argentine affilié à l’Internationale socialiste, favorable à l’avortement, et qu’elle avait été élue l’an dernier présidente de la section jeunesse des radicaux à La Paz.
Del Valle est la première mère que l’on sait être décédée depuis que l’avortement sur demande a été légalisé en Argentine au début de cette année. Elle étudiait le domaine des services sociaux à l’université et avait un petit ami. Son parti a fait campagne pour la légalisation de l’avortement et, bien qu’il ne soit pas certain qu’elle se soit personnellement jointe aux rassemblements « foulard vert » pro-avortement, son parti lui avait toujours affirmé que l’avortement légal était « sécuritaire » et une question de choix personnel.
Les organisations féministes d’Argentine n’ont pas commenté la nouvelle et n’ont pas non plus averti [l’opinion publique], à la suite de la tragédie, que l’avortement légal tue les femmes.
En août 2018, les sections jeunesse de l’UCR ont tenu une conférence de presse indiquant qu’elles avaient « exigé » que les sénateurs argentins votent pour la loi sur l’avortement légal ou « interruption volontaire de grossesse » qui était alors en discussion au Parlement. Luciana Rached, chef national de la Jeunesse radicale, a proclamé : « Les avortements illégaux ont toujours existé et existent encore. Les femmes ont toujours eu recours à l’avortement. L’approbation ou le rejet de cette loi aura un impact sur la vie de dizaines de milliers de femmes qui, chaque année, souffrent des conséquences de l’avortement illégal : infections et décès. »
Lire la suiteL’Ohio interdit la prescription des pilules abortives à distance
Par LifeSiteNews ― Traduit par Campagne Québec-Vie ― Photo : prostooleh/Freepik
Le samedi 9 janvier, le gouverneur d’Ohio, Mike DeWine, a signé le projet de loi 260 du Sénat qui interdit aux médecins d’Ohio de prescrire par le biais de la télémédecine des produits induisant l’avortement.
« Les produits induisant l’avortement tuent des êtres humains innocents et à naître, et sont très dangereux pour les mères », déclarait Mark Harrington, président du groupe pro-vie Created Equal en Ohio. « Ces produits ont entraîné la mort de centaines de milliers d’êtres humains, dont deux douzaines de mères. Permettre aux avorteurs de prescrire ces produits mortels par le biais de la télécommunication, au lieu de voir les patientes en personne, ne fera qu’augmenter les complications »*.
Selon la FDA, les 22 femmes sont mortes de toute une série de complications induites par les produits abortifs pour un total de 2 740 cas de complications signalées, associées aux produits abortifs. L’utilisation de la télémédecine va probablement favoriser la vente non supervisée et dangereuse de produits abortifs. Les partisans de l’avortement font volontiers la promotion de pharmacies en ligne non réglementées qui vendent et expédient des produits abortifs dangereux à des femmes du monde entier, même dans des pays où l’avortement est illégal. La majorité de ces sites internet ne sont pas supervisés par des médecins. Le seul site internet géré par des médecins dont le groupe pro-avortement « Plan C » fait la promotion est en violation directe de l’autorité de la FDA.
Les dangers de commander un avortement en ligne ont déjà conduit à des cas choquants dans l’Ohio. Kalina Gillum, 21 ans, et Braden Mull, 25 ans, ont comparu devant le tribunal du comté de Licking, accusés d’avoir commandé en ligne des médicaments pour que Kalina se fît avorter de leur bébé de 28 semaines, laissé dans un sac poubelle.
*Remarquez bien que ce qui est le plus immoral dans l’avortement n’est pas qu’il soit dangereux, mais qu’il tue un innocent. ― A. H.
La souffrance de l’avortement peut-elle être guérie ?
Par François Gilles (Campagne Québec-Vie) — Photo : Depositphotos
Deux souffrances dont je voudrais parler ici. La souffrance du déni et celle de l’acceptation. Deux terribles souffrances qui affligent les parents d’un enfant avorté.
Il y a la réalité. On a demandé que son enfant soit tué.
Et il y a le déni. Ce n’était pas un enfant. Il n’a pas souffert. Cela valait mieux pour lui parce qu’il aurait souffert plus tard. On n’avait pas le choix.
Quand on est rendu là dans le degré de mensonge à soi-même, il devient impossible d’avoir un cœur qui ressente quelque chose. Un cœur est un. Si on le ferme à une réalité bouleversante. Il demeure fermé pour se protéger de cette réalité. Il se durcit dans cet enfermement et toute sa volonté vise à le protéger. Après se mentir à soi-même, mentir aux autres et attaquer férocement ceux qui voudraient faire la vérité et nous obliger à nous ouvrir le cœur pour qu’il saigne toute la douleur de cela… notre enfant est mort parce que NOUS, MOI, l’ai fait tué…
Ici, nous ne sommes plus dans les limites du compréhensible. Quand les parents acceptent la réalité, il y a un effondrement, le mot est très faible pour décrire l’état de dissolution de tout l’être dans la douleur.
Comment fait-on pour regarder son enfant, qui nous aimait, qui attendait notre amour, que nous avons rejeté, que nous avons refusé de regarder, que nous avons dit qu’il n’existait pas, que nous avons demandé qu’il soit démembré, brûlé, jeté à la poubelle ?
Humainement, c’est impossible. Il y a des douleurs qui nous brûlent comme si on nous faisait avaler de la lave, nous détruisant de l’intérieur.
Humainement, pourrait-on dire, quand la couverture qui refermait notre cœur est enlevée, c’est le moment où nous cessons de vivre, même si le type de vie vécu dans le déni n’en était pas vraiment une. Il n’y a plus rien.
Lire la suite92% des Français estiment que l’«avortement laisse des traces psychologiques difficiles à vivre pour les femmes»
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : Unsplash
Le 8 octobre l’Assemblée nationale française débattra sur un projet de loi visant à étirer le délai d’avortement de 12 à 14 semaines de grossesse. C’est dans ce contexte que l’agence IFOP publie un sondage commandé par Alliance Vita sur l’avortement, selon Le Figaro :
À la veille du débat parlementaire prévu jeudi 8 octobre, sur une proposition de loi de deux députées écologiste et ex-LREM, visant à allonger le délai légal d’accès à l’IVG de 12 à 14 semaines de grossesse, l’IFOP publie un sondage sur « les Français et l’IVG », commandé par l’association pro-vie — c’est-à-dire, opposée à l’avortement — Alliance Vita, et réalisé du 30 septembre au 1er octobre 2020.
Ce sondage, réalisé auprès de 1039 personnes, montre entre autres que 92 % des Français considèrent que l’avortement laisse de douloureuses traces psychologiques aux femmes, d’après Le Figaro :
Ainsi, 92 % des personnes interrogées considèrent qu’« un avortement laisse des traces psychologiques difficiles à vivre pour les femmes ». Ils étaient 89 % en 2016.
C’est donc un fait qui va à l’encontre du récit gouvernemental (et des organismes spécialisés en avortement) sur l’avortement, qui, selon ce dernier, n’aurait pas d’effet sur la santé psychologique des femmes, rapporte Le Figaro :
« Au fur et à mesure des années, cela confirme que le ressenti des Français est bien que l’avortement laisse des traces psychologiques, ce qui contredit ce que le gouvernement affirme sur son site officiel d’information sur l’IVG », commente Caroline Roux, déléguée générale adjointe d’Alliance Vita, interrogée par Le Figaro. Le gynécologue Philippe Faucher, cité sur le site ivg.gouv.fr, affirme en effet qu’il « n’y a pas de séquelle à long terme psychologique de l’avortement »... tout en ajoutant que certaines femmes « sont tristes » ou « pleurent » et qu’il ne faut pas hésiter alors à consulter un psychologue.
4 vidéos sur le développement de l’enfant à naître et la souffrance de l’avortement — en français !
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie)
Voici quatre vidéos pro-vie en français, ou traduites ou sous-titrées dans la langue de Molière mettant en valeur le développement de l’enfant à naître ou soulignant la souffrance des femmes qui avortent, qui ont avorté, et même celle des gens qui travaillent dans les avortoirs.
Peut-être aurez-vous déjà vu certaines de ces vidéos, je vous les présente néanmoins, car elles incarnent (façon de parler puisqu’une vidéo est virtuelle) ce que nous répétons depuis des années, des faits réels, l’avortement tue un être humain vivant qui est bien autre chose qu’un « amas de cellules », il blesse une femme dont la nature maternelle est déchirée par cet acte barbare — pour les pro-avortement cette nature n’existe peut-être pas, ou n’est-ce qu’un résidu de l’évolution, plus ou moins présent chez les femmes, qui doit disparaître — et un homme (n’oublions pas le père), il atteint également ceux qui y participent de proche ou de loin.
Première vidéo — un extrait du film Unplanned montrant une scène forte basée sur la biographie d’Abby Johnson l’ex-directrice d’un avortoir, où on la voit bouleversée par l’avortement auquel elle assiste :
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