Une autre femme transportée d’urgence à l’hôpital pour « saignement excessif » après un avortement dans un avortoir de Planned Parenthood
Par Ricardo Pinedo (LifeSiteNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : rawpixel.com/Adobe Stock
10 octobre 2024, Flossmoor, Illinois (Operation Rescue) — Une fois de plus, le mythe de « l’avortement sans risque » s’est avéré n’être qu’un mythe. Le 20 août, une autre femme a été transportée aux urgences après une procédure d’avortement — un événement qui n’est pas surprenant dans l’Illinois, un État qui est devenu une destination pour l’avortement. La mère a subi un avortement au Planned Parenthood de Flossmoor et a malheureusement rejoint la liste des nombreuses femmes victimes de la cupidité du cartel de l’avortement.
Un employé de Planned Parenthood a appelé le 911 pour demander le « transfert » d’une patiente qui présentait des saignements excessifs. L’hémorragie est l’une des complications les plus courantes dont souffrent les femmes pendant et après un avortement chirurgical. Elle est souvent causée par une perforation utérine extrêmement dangereuse, due au fait que les instruments d’avortement ont perforé la paroi de l’utérus.
Elle est parfois causée par des lacérations du col de l’utérus, et parfois par d’autres causes. Bien que nous sachions que cette femme a été transportée aux urgences en raison de saignements excessifs, nous n’en connaissons pas la cause exacte et nous ne savons pas si elle a survécu. Même si elle survit, ce type de blessure peut entraîner une incapacité permanente à porter un enfant, une cicatrice au niveau du col de l’utérus, des abcès pelviens ou d’autres affections qui dureront toute la vie.
Lire la suitePlus de 100 canadiennes ont été sérieusement lésées par la pilule abortive — l’une d’entre elles en est morte
Par Pete Baklinski (Coalition nationale pour la vie) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Freepik
Les militants canadiens de l’avortement ont salué la pilule abortive comme la méthode de référence pour mettre fin à la vie d’un enfant à naître, en soulignant son prétendu « bilan de sécurité exceptionnel ». Mais, selon le site internet du gouvernement canadien qui suit les effets indésirables des médicaments, plus de 100 femmes canadiennes ont été gravement blessées par le protocole de la pilule abortive depuis qu’elle est devenue disponible au Canada en 2017.
Une jeune femme de 19 ans, ainsi que son bébé, est morte tragiquement après avoir utilisé les pilules mortelles, selon la base de données en ligne des effets indésirables [des médicaments] au Canada.
Le « Programme Canada Vigilance » est utilisé par le ministère de la Santé du gouvernement pour suivre les réactions indésirables, ou effets secondaires, aux médicaments et autres produits de santé utilisés par les Canadiens. Les professionnels de la santé, tels que les médecins, soumettent volontairement des rapports s’ils soupçonnent qu’un médicament a nui gravement à leurs patients.
Les programmes de ce type agissent comme un système d’alerte précoce, permettant au gouvernement de retirer un médicament du marché avant qu’il ne nuise à d’autres personnes. L’un des rappels les plus connus concerne la thalidomide, un médicament de fabrication allemande largement utilisé dans les années 1950-60 pour traiter les nausées chez les femmes enceintes. Ce médicament, commercialisé au Canada sous le nom de « Kevadon », avait pour effet secondaire dévastateur de provoquer de graves malformations congénitales chez les enfants in utero. Le gouvernement canadien a rappelé le médicament en 1962, mais pas avant qu’il ait déjà causé des malformations chez une centaine de bébés.
Lire la suiteEntre 1,52 et 4,06/1000 avortements sont suivis de complications selon une étude britannique
Par réinformation.tv — Photo : katemangostar/Freepik
C’est la fourchette des « complications » après un avortement relevées par l’étude que vient de publier le gouvernement britannique, selon que l’on se fonde sur les données ANS (c’est-à-dire selon les notifications des praticiens) ou les relevés HES (les passages à l’hôpital) fournis par le système de santé national du Royaume-Uni. Selon les données HES, en cas d’avortements « incomplets » (une partie des tissus de la grossesse restant dans l’utérus), le taux de complication monte à 18,6. Et surtout, même pour des avortements qui « se passent bien », ceux qui sont pratiqués après la vingtième semaine ont un taux de complications de 2,4 %, ce qui rend très inquiétantes les tentatives récurrentes d’autoriser des avortements de plus en plus tardifs. En outre, l’étude du gouvernement britannique juge peu fiables et sous-estimées les données des avortements pratiqués à domicile par médicaments, car il est « peu probable que la personne qui remplit le formulaire sache si la femme a connu une complication ». C’est d’autant plus grave que l’immense majorité des avortements est pratiquée par médicaments à domicile (en France : 78 %). En somme, sur un sujet aussi important pour les femmes et la santé publique que l’avortement, on demeure, malgré les lois successives, dans le flou statistique.
Pas de normes plus élevées pour les avortoirs
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : olinchuk/Adobe Stock
Le ministre de la Santé du Québec, Christian Dubé, a modifié un article du projet de loi 15 sur la réforme de la Loi sur les services de santé et les services sociaux. L’article en question aurait obligé les cliniques offrant l’avortement à suivre un processus d’agrément afin de devenir des centres médicaux spécialisés, ce qui aurait signifié adopter des normes beaucoup plus élevées que celles qui ont cours dans les avortoirs, et des coûts tout aussi élevés.
L’article en question, incriminé par les avorteurs, est déjà dans la loi actuelle sur la santé et porte sur les centres de santé des femmes, mais n’est pas appliqué aux avortoirs en vertu d’une « entente tacite » entre le gouvernement québécois et ces derniers. Apparemment, renouveler la loi avec la présence de l’article 1166 eût nécessité de nouvelles démarches. C’est pourquoi Christian Dubé, qui n’a jamais eu l’intention de restreindre l’accès à l’avortement, s’est empressé de supprimer l’article à la suggestion des plaignants.
Jusqu’à maintenant il y avait un règlement demandant que les avortoirs aient des normes plus élevées, mais non appliqué, bientôt il n’y aura aucune exigence de la sorte dans la loi.
Le Dr Marc-André Amyot, président de la Fédération des médecins omnipraticiens du Québec, a milité auprès du ministère de la Santé pour que les avortoirs ne soient pas obligés d’adopter des normes plus élevées. Selon ce dernier, il n’y aurait aucune raison de forcer ces établissements à suivre un tel processus. Selon un article du journal Le Devoir du 30 octobre :
Dans sa lettre, le Dr Amyot souligne que « les IVG pratiquées en milieu extra-hospitalier sont réalisées selon une pratique non médicalisée qui ne requiert pas d’être faite en bloc opératoire avec les normes qui s’y rattachent ». Il précise que, « depuis des décennies, le réseau n’a jamais noté une problématique de plaintes, d’infections ou de complications à l’égard de ces centres [de santé des femmes] ».
Absolument aucune infection ou complication ? Cela m’étonnerait. Ce serait un point à vérifier.
Lire la suiteUne femme affirme que l’avortoir niait que son « fœtus » était un bébé, ne lui a pas montré l’échographie et l’a maintenue de force durant l’avortement
Nichole Bryson.
Par Lisa Bast (LiveActionNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie
Nichole Bryson n’avait que 16 ans lorsqu’elle est tombée amoureuse d’un garçon qui ne l’aimait pas en retour. Pourtant, bien qu’il ne l’ait jamais poussée à le faire, elle est devenue intime avec lui. Bryson a déclaré à Live Action News : « J’avais vécu une vie protégée et j’étais innocente et naïve. Il était mon premier amour et je voulais garder son intérêt. Mais ensuite, je suis devenue enceinte et tout a changé ».
Lorsqu’un test effectué dans un centre local d’aide aux femmes enceintes a confirmé sa grossesse, elle a appelé son petit ami pour le lui annoncer.
« Il a insisté pour que je me fasse avorter », raconte Bryson. « J’étais tellement bouleversée que j’ai refusé et je lui ai raccroché au nez ».
Pourtant, Bryson s’inquiétait de ce que penserait son entourage lorsque sa grossesse deviendrait visible.
« Il deviendrait évident que j’avais eu des relations sexuelles sans être mariée. J’aurais été gênée et inquiète de décevoir ma famille. J’étais tentée d’avorter, mais je ne voulais pas le faire. La lutte intérieure qui se jouait dans ma tête était épuisante et déroutante. »
Elle a finalement décidé d’annoncer la nouvelle à ses proches et beaucoup lui ont offert leur aide et leur soutien.
« Mon père vivait au Texas à l’époque et il m’a dit que je pouvais venir vivre avec lui », raconte Bryson. « Je me suis donc retirée de l’école et j’ai dit au revoir à mes amis ».
Lire la suiteLa pilule abortive tue une Canadienne de 19 ans
Par Pete Baklinski — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Impact Photography/Adobe Stock
31 janvier 2023 (Campaign Life Coalition) — Une jeune Canadienne de 19 ans est morte après avoir pris la pilule abortive.
Le système en ligne du gouvernement canadien qui suit les effets indésirables des médicaments pharmaceutiques révèle qu’un hôpital a signalé le 4 juillet 2022 le décès d’une jeune femme de 19 ans qui avait utilisé la pilule abortive Mifegymiso pour tuer son enfant à naître (lire le rapport complet des effets indésirables ici). Cette information a été remarquée pour la première fois par Patricia Maloney, chercheuse pro-vie, qui l’a publiée sur son blogue Run With Life.
Tragiquement, l’adolescente est morte d’un « choc septique », un risque connu de la pilule chimique abortive.
La documentation sur le produit d’avortement chimique (également appelé RU-486) figurant sur le site internet de Santé Canada indique qu’il existe un risque de préjudice grave et même de décès pour les femmes qui l’utilisent.
La monographie du produit Mifegymiso indique qu’il existe un « risque d’infection et de septicémie » pour les utilisatrices. « Des cas d’infection bactérienne grave, y compris de très rares cas de choc septique mortel, ont été signalés après l’utilisation de Mifegymiso ».
« Une infection à Clostridium sordellii a été observée chez certaines femmes sans douleur abdominale ni fièvre, qui a rapidement évolué vers une défaillance multiorganique et la mort », indique la monographie du produit.
La pilule abortive a été approuvée par Santé Canada le 29 juillet 2015 pour sa « sécurité, son efficacité et sa qualité », même si Santé Canada connaissait son risque de provoquer la mort par choc septique, exactement ce qui est arrivé à cette jeune fille de 19 ans. Le médicament est devenu disponible en 2017. Des groupes de défense des droits ont récemment soulevé de sérieuses inquiétudes quant à sa sécurité.
Lire la suiteUne enquête est ouverte sur un avorteur tardif au Nebraska après qu'une femme ait frôlé la mort
LeRoy Carhart.
Par Cherryl Sullenger (LifeSiteNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Operation Rescue
24 août 2022, Bellevue, Nebraska (Operation Rescue) — LeRoy Carhart, avorteur tardif de renommée nationale, fait l’objet d’une enquête du Département de la Santé et des Services sociaux du Nebraska, selon une lettre de confirmation reçue lundi par un militant pro-vie local.
La plainte a été déposée contre Carhart et son centre d’avortement C.A.R.E. à Bellevue au Nebraska, après qu’une femme de 35 ans ait subi des blessures importantes liées à l’avortement le 25 février 2022. Operation Rescue a obtenu les enregistrements du 911 de l’incident qui ont révélé que la femme souffrait de symptômes correspondant à ceux d’une hémorragie interne. Un témoin, qui s’est présenté plus tard, a déclaré que la femme blessée avait fait un arrêt cardiaque à l’hôpital, où des chirurgiens ont travaillé pendant plusieurs heures pour lui sauver la vie.
La plaignante pro-vie, dont l’identité n’a pas été révélée à sa demande, a demandé une enquête pour violations des soins aux patients. La plainte comprend des documents d’Operation Rescue faisant état de 27 urgences médicales mettant en danger la vie de patientes ayant subi un avortement opéré par Carhart au Nebraska et dans le Maryland, entre mars 2012 et février 2022.
Ces affaires sont Haimamot Aragaw v. Carhart, Do, et al, numéro de cas de cour fédérale 8:21-CV-01739-TDC, and Ashley P. Norris v. Carhart, Swallow, et al, numéro de cas de cour du district du Maryland C-15-CV-21-000205.
La plainte fait également référence à deux procès en cours pour faute médicale professionnelle concernant des femmes qui ont reçu des blessures si horribles dans l’établissement de Carhart, dans le Maryland en 2020, que le personnel de l’hôpital qui les a traitées s’est vu offrir un service de conseils en traumatologie, selon un informateur familiarisé aux accidents.
Carhart a également été impliqué dans la mort de deux femmes liée à l’avortement. Christin Gilbert, atteinte du syndrome de Down, n’avait que 19 ans lorsqu’elle est décédée des complications d’un avortement à 29 semaines en 2005 dans un centre d’avortement aujourd’hui disparu de Wichita, au Kansas. Jennifer Morbelli est décédée des complications d’un avortement à 33 semaines qu’elle a subi dans un établissement où travaillait Carhart à Germantown, dans le Maryland, en 2013.
Lire la suiteUn rapport montre que le régime de pilules abortives dit « de référence » entraîne des effets secondaires graves
Par Emily Mangiaracina — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : JackF/Adobe Stock
18 février 2022 (LifeSiteNews) — Un groupe de surveillance a résumé les effets indésirables signalés spontanément au sujet de la pilule abortive dite « de référence » et fait état de nombreux rapports d’événements graves entraînant une hospitalisation.
Quatre déclarations de septicémie potentiellement mortelle, de nombreuses hémorragies et de nombreux avortements ratés figurent parmi les constatations d’un rapport sur le régime de pilules abortives Mifegymiso, publié en janvier par le Programme Canada Vigilance, « un système de déclaration spontanée » conçu pour détecter « les problèmes potentiels de sécurité des produits de santé ».
Le résumé fait état de 43 rapports d’« effets indésirables » de Mifegymiso, nom donné au Canada à l’utilisation combinée de la mifépristone et du misoprostol. Ce régime figure sur la liste des médicaments essentiels de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) et est considéré comme la « norme d’excellence » pour l’avortement médical précoce, selon l’OMS.
Un avertissement sur la première page du rapport souligne le fait que ces effets indésirables ont été signalés sur une base volontaire et qu’ils ne peuvent pas être utilisés pour déterminer l’incidence d’une réaction particulière ou pour estimer le risque d’un produit, puisque le nombre total de réactions et le nombre d’utilisatrices du régime de pilules abortives sont inconnus.
En outre, il est précisé que « la sous-notification des effets indésirables est observée dans les systèmes de surveillance spontanée, tant volontaires qu’obligatoires ».
De nombreuses femmes ont été hospitalisées et certaines d’entre elles ont souffert de ce que le guide du médicament Mifegymiso qualifie d’« effets secondaires très courants » (ressentis par plus de 10 % des utilisatrices) : nausées, vomissements, diarrhée et frissons ou fièvre.
Conformément aux résultats du rapport, le guide considère l’« hémorragie grave » comme un effet secondaire « courant » (ressenti par 1 % à 10 % des utilisateurs), tout comme l’évanouissement.
Le guide du médicament indique également que « les patientes doivent avoir accès à des soins médicaux urgents pendant les 7 à 14 jours suivant l’avortement médicamenteux ».
Lire la suiteUn prêtre : « Les cauchemars d’une femme ont pris fin lorsque je lui ai dit la dure vérité sur l’avortement »
Par Pete Baklinski — Traduit par Campagne Québec-Vie
Rome, 9 juin 2016 (LifeSiteNews) — Le véritable sens de la miséricorde est révélé dans l’histoire émouvante d’une jeune femme qui a été tourmentée pendant des années par des cauchemars après avoir subi un avortement. Ce n’est qu’après avoir rencontré un prêtre disant la vérité qu’elle a appris l’origine de ses rêves troublants.
Peu de temps après son ordination, il y a de nombreuses années, le père Elias Leyds, de la congrégation de Saint-Jean aux Pays-Bas, a été approché par une femme vive et belle d’une vingtaine d’années qui souhaitait en savoir plus sur la foi catholique. Il lui a donné un catéchisme et lui a dit de le lire et de revenir dans trois semaines pour une discussion.
Lorsque la jeune femme est revenue au moment prévu, elle a immédiatement ouvert le catéchisme, a mis son doigt sous un mot et, sans se risquer à le prononcer, a demandé au prêtre : « Dites-moi ce que cela signifie ».
Le mot était « avortement ».
Le père Elias a répondu : « Oh, ce mot. Eh bien, c’est une sorte de meurtre ».
Il a remarqué que le visage de la jeune fille rougissait et a compris qu’elle ressentait quelque chose de profondément douloureux.
Mais il a continué, sachant que seule la vérité a le pouvoir de libérer : « Il est parfois très compliqué de voir qui est réellement coupable et responsable. Mais l’acte lui-même est un meurtre. C’est tuer quelqu’un », a-t-il dit.
Le prêtre s’est rendu compte que le visage de la jeune fille devenait encore plus rouge.
Il a continué : « Bien sûr, il y a des parents qui pourraient pousser leur enfant à avorter, il y a des politiciens qui ont voté pour la légalisation, et pour la femme elle-même, le péché pourrait même ne pas être [un meurtre] si elle y a été forcée. »
Remarquant que la jeune fille luttait visiblement pour contrôler ses émotions, le prêtre voulut faire en sorte que ce soit plus facile pour elle de gérer ce qu’elle vivait.
Lire la suitePlus de 10 000 femmes britanniques ayant pris la pilule abortive à domicile en 2020 ont été hospitalisées, selon une nouvelle étude
Par LifeSiteNews — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : yanalya/Freepik
30 novembre 2021 (Society for the Protection of Unborn Children) — La vérité « dévastatrice » sur l’auto-avortement à domicile par pilule abortive a été révélée après que des demandes d’accès à l’information aient dévoilé que plus de 10 000 femmes ont dû être hospitalisées en Angleterre en 2020 après avoir souffert de complications graves.
Une enquête, qui comprenait 85 demandes soumises au National Health Service (NHS), a montré qu’une femme sur 17 ayant utilisé des services d’avortement par pilules-reçues-par-la-poste en 2020 a souffert d’effets secondaires si graves qu’elle a dû être hospitalisée.
L’enquête a révélé que 5,9 % des femmes ont dû être traitées en raison d’avortements incomplets, ces femmes conservant [en elles] des parties de leur bébé avorté.
- 3 % des femmes ont dû subir une évacuation chirurgicale des restes de leur enfant à naître après l’échec de la pilule abortive.
- 2,3 % des femmes ont été traitées pour des hémorragies.
Le taux de complication reflète des études et des rapports similaires, l’enquête concluant que : « Nous pouvons dire que les complications, résultant de l’échec du procédé d’avortement par pilules, sont fréquentes et doivent être prévues. »
Vous pouvez accéder à l’intégralité de l’étude et des conclusions ici.
Les complications sont « courantes », mais ne sont toujours pas signalées
L’enquête, menée par Percuity LTD et dirigée par le consultant Kevin Duffy, a également révélé que les prestataires de services d’avortement et le Department for Health and Social Care (DHSC) ne signalaient pas l’échec de la pilule abortive comme une complication, bien que de tels échecs entraînent un traitement hospitalier ─ ce qui signifie que moins d’une complication sur cinq était signalée.
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