La pilule abortive tue une Canadienne de 19 ans
Par Pete Baklinski — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Impact Photography/Adobe Stock
31 janvier 2023 (Campaign Life Coalition) — Une jeune Canadienne de 19 ans est morte après avoir pris la pilule abortive.
Le système en ligne du gouvernement canadien qui suit les effets indésirables des médicaments pharmaceutiques révèle qu’un hôpital a signalé le 4 juillet 2022 le décès d’une jeune femme de 19 ans qui avait utilisé la pilule abortive Mifegymiso pour tuer son enfant à naître (lire le rapport complet des effets indésirables ici). Cette information a été remarquée pour la première fois par Patricia Maloney, chercheuse pro-vie, qui l’a publiée sur son blogue Run With Life.
Tragiquement, l’adolescente est morte d’un « choc septique », un risque connu de la pilule chimique abortive.
La documentation sur le produit d’avortement chimique (également appelé RU-486) figurant sur le site internet de Santé Canada indique qu’il existe un risque de préjudice grave et même de décès pour les femmes qui l’utilisent.
La monographie du produit Mifegymiso indique qu’il existe un « risque d’infection et de septicémie » pour les utilisatrices. « Des cas d’infection bactérienne grave, y compris de très rares cas de choc septique mortel, ont été signalés après l’utilisation de Mifegymiso ».
« Une infection à Clostridium sordellii a été observée chez certaines femmes sans douleur abdominale ni fièvre, qui a rapidement évolué vers une défaillance multiorganique et la mort », indique la monographie du produit.
La pilule abortive a été approuvée par Santé Canada le 29 juillet 2015 pour sa « sécurité, son efficacité et sa qualité », même si Santé Canada connaissait son risque de provoquer la mort par choc septique, exactement ce qui est arrivé à cette jeune fille de 19 ans. Le médicament est devenu disponible en 2017. Des groupes de défense des droits ont récemment soulevé de sérieuses inquiétudes quant à sa sécurité.
Lire la suiteUne enquête est ouverte sur un avorteur tardif au Nebraska après qu'une femme ait frôlé la mort
LeRoy Carhart.
Par Cherryl Sullenger (LifeSiteNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Operation Rescue
24 août 2022, Bellevue, Nebraska (Operation Rescue) — LeRoy Carhart, avorteur tardif de renommée nationale, fait l’objet d’une enquête du Département de la Santé et des Services sociaux du Nebraska, selon une lettre de confirmation reçue lundi par un militant pro-vie local.
La plainte a été déposée contre Carhart et son centre d’avortement C.A.R.E. à Bellevue au Nebraska, après qu’une femme de 35 ans ait subi des blessures importantes liées à l’avortement le 25 février 2022. Operation Rescue a obtenu les enregistrements du 911 de l’incident qui ont révélé que la femme souffrait de symptômes correspondant à ceux d’une hémorragie interne. Un témoin, qui s’est présenté plus tard, a déclaré que la femme blessée avait fait un arrêt cardiaque à l’hôpital, où des chirurgiens ont travaillé pendant plusieurs heures pour lui sauver la vie.
La plaignante pro-vie, dont l’identité n’a pas été révélée à sa demande, a demandé une enquête pour violations des soins aux patients. La plainte comprend des documents d’Operation Rescue faisant état de 27 urgences médicales mettant en danger la vie de patientes ayant subi un avortement opéré par Carhart au Nebraska et dans le Maryland, entre mars 2012 et février 2022.
Ces affaires sont Haimamot Aragaw v. Carhart, Do, et al, numéro de cas de cour fédérale 8:21-CV-01739-TDC, and Ashley P. Norris v. Carhart, Swallow, et al, numéro de cas de cour du district du Maryland C-15-CV-21-000205.
La plainte fait également référence à deux procès en cours pour faute médicale professionnelle concernant des femmes qui ont reçu des blessures si horribles dans l’établissement de Carhart, dans le Maryland en 2020, que le personnel de l’hôpital qui les a traitées s’est vu offrir un service de conseils en traumatologie, selon un informateur familiarisé aux accidents.
Carhart a également été impliqué dans la mort de deux femmes liée à l’avortement. Christin Gilbert, atteinte du syndrome de Down, n’avait que 19 ans lorsqu’elle est décédée des complications d’un avortement à 29 semaines en 2005 dans un centre d’avortement aujourd’hui disparu de Wichita, au Kansas. Jennifer Morbelli est décédée des complications d’un avortement à 33 semaines qu’elle a subi dans un établissement où travaillait Carhart à Germantown, dans le Maryland, en 2013.
Lire la suiteUn rapport montre que le régime de pilules abortives dit « de référence » entraîne des effets secondaires graves
Par Emily Mangiaracina — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : JackF/Adobe Stock
18 février 2022 (LifeSiteNews) — Un groupe de surveillance a résumé les effets indésirables signalés spontanément au sujet de la pilule abortive dite « de référence » et fait état de nombreux rapports d’événements graves entraînant une hospitalisation.
Quatre déclarations de septicémie potentiellement mortelle, de nombreuses hémorragies et de nombreux avortements ratés figurent parmi les constatations d’un rapport sur le régime de pilules abortives Mifegymiso, publié en janvier par le Programme Canada Vigilance, « un système de déclaration spontanée » conçu pour détecter « les problèmes potentiels de sécurité des produits de santé ».
Le résumé fait état de 43 rapports d’« effets indésirables » de Mifegymiso, nom donné au Canada à l’utilisation combinée de la mifépristone et du misoprostol. Ce régime figure sur la liste des médicaments essentiels de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) et est considéré comme la « norme d’excellence » pour l’avortement médical précoce, selon l’OMS.
Un avertissement sur la première page du rapport souligne le fait que ces effets indésirables ont été signalés sur une base volontaire et qu’ils ne peuvent pas être utilisés pour déterminer l’incidence d’une réaction particulière ou pour estimer le risque d’un produit, puisque le nombre total de réactions et le nombre d’utilisatrices du régime de pilules abortives sont inconnus.
En outre, il est précisé que « la sous-notification des effets indésirables est observée dans les systèmes de surveillance spontanée, tant volontaires qu’obligatoires ».
De nombreuses femmes ont été hospitalisées et certaines d’entre elles ont souffert de ce que le guide du médicament Mifegymiso qualifie d’« effets secondaires très courants » (ressentis par plus de 10 % des utilisatrices) : nausées, vomissements, diarrhée et frissons ou fièvre.
Conformément aux résultats du rapport, le guide considère l’« hémorragie grave » comme un effet secondaire « courant » (ressenti par 1 % à 10 % des utilisateurs), tout comme l’évanouissement.
Le guide du médicament indique également que « les patientes doivent avoir accès à des soins médicaux urgents pendant les 7 à 14 jours suivant l’avortement médicamenteux ».
Lire la suiteUn prêtre : « Les cauchemars d’une femme ont pris fin lorsque je lui ai dit la dure vérité sur l’avortement »
Par Pete Baklinski — Traduit par Campagne Québec-Vie
Rome, 9 juin 2016 (LifeSiteNews) — Le véritable sens de la miséricorde est révélé dans l’histoire émouvante d’une jeune femme qui a été tourmentée pendant des années par des cauchemars après avoir subi un avortement. Ce n’est qu’après avoir rencontré un prêtre disant la vérité qu’elle a appris l’origine de ses rêves troublants.
Peu de temps après son ordination, il y a de nombreuses années, le père Elias Leyds, de la congrégation de Saint-Jean aux Pays-Bas, a été approché par une femme vive et belle d’une vingtaine d’années qui souhaitait en savoir plus sur la foi catholique. Il lui a donné un catéchisme et lui a dit de le lire et de revenir dans trois semaines pour une discussion.
Lorsque la jeune femme est revenue au moment prévu, elle a immédiatement ouvert le catéchisme, a mis son doigt sous un mot et, sans se risquer à le prononcer, a demandé au prêtre : « Dites-moi ce que cela signifie ».
Le mot était « avortement ».
Le père Elias a répondu : « Oh, ce mot. Eh bien, c’est une sorte de meurtre ».
Il a remarqué que le visage de la jeune fille rougissait et a compris qu’elle ressentait quelque chose de profondément douloureux.
Mais il a continué, sachant que seule la vérité a le pouvoir de libérer : « Il est parfois très compliqué de voir qui est réellement coupable et responsable. Mais l’acte lui-même est un meurtre. C’est tuer quelqu’un », a-t-il dit.
Le prêtre s’est rendu compte que le visage de la jeune fille devenait encore plus rouge.
Il a continué : « Bien sûr, il y a des parents qui pourraient pousser leur enfant à avorter, il y a des politiciens qui ont voté pour la légalisation, et pour la femme elle-même, le péché pourrait même ne pas être [un meurtre] si elle y a été forcée. »
Remarquant que la jeune fille luttait visiblement pour contrôler ses émotions, le prêtre voulut faire en sorte que ce soit plus facile pour elle de gérer ce qu’elle vivait.
Lire la suitePlus de 10 000 femmes britanniques ayant pris la pilule abortive à domicile en 2020 ont été hospitalisées, selon une nouvelle étude
Par LifeSiteNews — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : yanalya/Freepik
30 novembre 2021 (Society for the Protection of Unborn Children) — La vérité « dévastatrice » sur l’auto-avortement à domicile par pilule abortive a été révélée après que des demandes d’accès à l’information aient dévoilé que plus de 10 000 femmes ont dû être hospitalisées en Angleterre en 2020 après avoir souffert de complications graves.
Une enquête, qui comprenait 85 demandes soumises au National Health Service (NHS), a montré qu’une femme sur 17 ayant utilisé des services d’avortement par pilules-reçues-par-la-poste en 2020 a souffert d’effets secondaires si graves qu’elle a dû être hospitalisée.
L’enquête a révélé que 5,9 % des femmes ont dû être traitées en raison d’avortements incomplets, ces femmes conservant [en elles] des parties de leur bébé avorté.
- 3 % des femmes ont dû subir une évacuation chirurgicale des restes de leur enfant à naître après l’échec de la pilule abortive.
- 2,3 % des femmes ont été traitées pour des hémorragies.
Le taux de complication reflète des études et des rapports similaires, l’enquête concluant que : « Nous pouvons dire que les complications, résultant de l’échec du procédé d’avortement par pilules, sont fréquentes et doivent être prévues. »
Vous pouvez accéder à l’intégralité de l’étude et des conclusions ici.
Les complications sont « courantes », mais ne sont toujours pas signalées
L’enquête, menée par Percuity LTD et dirigée par le consultant Kevin Duffy, a également révélé que les prestataires de services d’avortement et le Department for Health and Social Care (DHSC) ne signalaient pas l’échec de la pilule abortive comme une complication, bien que de tels échecs entraînent un traitement hospitalier ─ ce qui signifie que moins d’une complication sur cinq était signalée.
Lire la suiteLe taux de visites aux urgences suite à un avortement médicamenteux a augmenté de 500 % entre 2002 et 2015
Par Geneviève De Vriendt (Campagne Québec-Vie) — Photo : Rawpixel.com/Adobe Stock
Pourquoi l’avortement ?
On dit que l’avortement est sécuritaire, que l’avortement sauve les femmes ; et pourtant, la réalité prouve le contraire.
Selon une « nouvelle étude d’envergure », menée par l’Institut Charlotte Lozier (CLI) dans 17 Etats des Etats-Unis d’après les dossiers Medicaid de 1999 à 2015, « les taux de visites aux urgences suite à un avortement médicamenteux ont augmenté de 507 % entre 2002 et 2015, passant de 8,5 pour 1000 à 51,7 pour 1000. La hausse est de 315 % après un avortement chirurgical », rapporte Gènéthique.
Quant aux dangers de l’avortement à domicile, « de nombreuses études montrent qu’en moyenne 5 à 8 % des femmes doivent se rendre aux urgences pour des complications, et cela n’inclut même pas le nombre d’interventions chirurgicales effectuées dans les cliniques d’avortement », rapporte le Dr Christina Francis, membre de l’AAPLOG.
On dit que l’avortement est sécuritaire ; et pourtant, il s’ensuit toujours la mort d’un être humain, et parfois, comme nous montre cette étude, un grave danger pour un deuxième être humain.
Comment peut-on dire que l’avortement est un choix ?
Cela ne vaut jamais la peine de préférer notre vie à la mort d’un autre parce qu’en plus de garantir une mort, ce « choix » garantit souvent des risques graves pour celle qui avorte.
Oui à la vie, non à la mort !
Des études montrent que les complications liées à l’avortement sont fréquentes
Par Sarah Terzo (LiveActionNews) Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : motortion/Adobe Stock
Dans ses mémoires, l’ancienne avorteuse Dr Patti Giebink, parle des complications de l’avortement. Elle décrit les répercussions de l’avortement sur les organes reproducteurs de la femme, ce qui révèle à quel point il est vraiment facile de blesser une femme :
Le premier passage avec la canule d’aspiration permet idéalement de recueillir tous les tissus ─ la plupart, sinon tous. Une curette (un instrument en forme de cuillère [dont les bords sont tranchants]) est utilisée après l’aspiration... Un grattage trop fort laisse des cicatrices. Si l’on gratte trop doucement, les tissus laissés derrière peuvent provoquer une infection et des saignements...
Une fois que la cavité utérine est propre et que tous les instruments chirurgicaux ont été retirés de la patiente, l’utérus devrait visiblement se contracter pour retrouver sa taille normale. Si ce n’est pas le cas, il y aura des saignements, ce qui signifie que des tissus sont restés en place ou, pire, que l’utérus pourrait être perforé. [1]
Tissus retenus, infection et hémorragie
Dans son rapport de 2018 sur la sécurité de l’avortement, l’Académie nationale des sciences, de l’ingénierie et de la médecine a déclaré que 8 % des avortements par aspiration laissent des tissus derrière eux. Selon elle, ce chiffre est « lié à la gestation, à l’expérience du médecin et à l’utilisation ─ ou non ─ d’un guidage par ultrasons ». [2]
Les tissus retenus peuvent provoquer une infection. L’étude intitulée « Prevention of infection after induced abortion » (Prévention de l’infection après un avortement provoqué), publiée dans la revue « Contraception », indique que 30 % des décès liés à un avortement sont dus à des infections. Une étude a révélé que le taux d’infection après un avortement était de 5,8 % si la femme recevait des antibiotiques et de 9,4 % si elle n’en recevait pas. [3] Une étude britannique intitulée « A randomised comparison of strategies for reducing infective complications of induced abortion » [Comparaison randomisée de stratégies visant à réduire les complications infectieuses de l’avortement induit] a révélé un taux d’infection de 5-10 %.
Lire la suite« On m’a forcée à avorter ; on ne me forcera pas à prendre le vaccin covid »
Par Theresa Bonopartis — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Siam/AdobeStock
New York, NY, 21 septembre 2021 (LifeSiteNews) — Le jeudi 9 septembre, j’ai écouté le président Biden parler à la nation de ses nouveaux décrets. D’un ton intimidant et condamnatoire, il nous informait que sa patience était « à bout » et qu’il rejetait la responsabilité de la présence du virus dans ceux qui ne sont pas vaccinés contre le COVID-19.
Adoptant une approche totalement différente, le maire de New York, De Blasio, tente d’inciter les personnes non vaccinées à se faire vacciner en offrant des cadeaux, notamment 100 dollars à toute personne qui se fera vacciner dans un site géré par la ville.
Il ne fait aucun doute que le vaccin COVID fait l’objet d’une forte coercition. Bien qu’ils essaient de dire qu’il s’agit d’un « choix », les menaces de perte d’emploi, les limites quant aux endroits où vous pouvez aller et la suppression de choses qui vous sont chères ou dont vous avez besoin pour survivre en font tout sauf un « choix ».
En raison des liens du vaccin avec des cellules de fœtus avortés, beaucoup de personnes ont pris la décision de ne pas se faire vacciner. Je suis l’une d’entre elles. Peu importe que les cellules aient été obtenues il y a longtemps ou que le lien soit éloigné, je ne peux en toute conscience recevoir le vaccin.
Ayant passé des décennies de ma vie à souffrir d’un avortement salin qui m’a été imposé pendant mon adolescence et au cours duquel j’ai vu mon fils avorté, il est impensable pour moi de recevoir l’un des vaccins actuellement disponibles. Aucune coercition, que ce soit sous forme de récompense ou d’intimidation, ne me fera changer d’avis. Je ne juge personne pour sa décision personnelle ; tout ce que je sais, c’est que je ne pourrais jamais vivre avec moi-même si j’acceptais l’un des vaccins actuellement disponibles.
Au fil des décrets, j’ai été frappée par les similitudes entre la coercition que j’ai subie avant de me faire avorter contre mon gré et celle que je subis maintenant pour me faire vacciner. Adolescente, j’ai été chassée de la maison par mon père, sans argent, sans travail et sans endroit où vivre. Coupée de tout ce que je connaissais et aimais, j’ai cédé à d’énormes pressions pour mettre fin à la vie de mon fils à naître, et ce, à l’encontre de toutes mes convictions et de tous mes principes. J’étais isolée, rejetée, j’avais peur et je ne voyais pas d’issue à cette situation. Ensuite, la société a appelé cela mon « libre choix », mais il n’en était rien.
Lire la suiteUne femme raconte avoir vu le corps de son bébé après son 4e avortement: «J’ai crié... j’avais tué mes quatre bébés!»
Par Sarah Terzo (LiveActionNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : AdobeStock
CG Richardson a subi quatre avortements. À chaque fois, elle a cru ce que les centres d’avortement lui disaient ─ qu’un bébé à naître n’était qu’un peu de chair, pas un être humain. Mais après son quatrième avortement, elle s’est retrouvée face à face avec son enfant avorté, et elle a partagé cette expérience dans son livre, « No One to Hear Their Cries ».
Après l’avortement, Richardson a saigné abondamment pendant plusieurs jours et a souffert de crampes intenses. C’était différent de ce qu’elle avait connu lors de ses précédents avortements. Une semaine plus tard, alors qu’elle était assise sur la toilette, elle a expulsé le corps intact de son enfant avorté.
Elle décrit avoir été dévastée : « “Comment est-ce possible ? ” J’ai crié... Hésitante, j’ai regardé attentivement, examinant chaque centimètre et on ne pouvait pas le nier : C’était un bébé ! »
Elle pouvait voir tous les traits de l’enfant :
Je pouvais voir clairement les petits yeux, le nez, la bouche, les toutes petites mains et les pieds qui étaient déjà formés ! J’ai également vu les vaisseaux sanguins et la colonne vertébrale, car la peau était très transparente ! Ce qui m’a fait tomber à genoux, c’est de voir ce que je crois être le cœur de mon bébé. Ce petit cœur battait jusqu’à ce que je donne l’ordre de l’arrêter !
À ce moment-là, elle a réalisé : « j’avais tué mes quatre bébés ! »
Richardson est devenue hystérique, berçant le corps du bébé, chantant des berceuses et criant. Finalement, elle a enveloppé l’enfant et mis les restes du bébé dans une boîte.
Lire la suiteSelon une étude, l’avortement augmente de 50 % le risque de décès prématuré chez la femme
Amy Sobie (LifeNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Ruben/AdobeStock
L’avortement légal contribue à une augmentation de cinquante pour cent du risque de décès prématuré chez les femmes, selon une nouvelle revue systématique de 989 études sur les décès associés aux dénouements de grossesse.
Comme l’indique la Figure 1, les taux de décès plus élevés que l’on observe après un avortement, commencent dans les 180 premiers jours qui suivent et se poursuivent pendant au moins dix ans.
Au cours des 180 premiers jours, le risque de décès, toutes causes confondues, est plus de deux fois plus élevé après un avortement qu’après un accouchement. Le risque de décès précoce reste élevé pendant au moins dix ans (figure 1).
Figure 1 : Taux de mortalité après un accouchement ou un avortement pendant les 180 premiers jours et chacune des années suivantes
L’avortement et la fausse-couche sont tous deux liés à des taux de mortalité élevés, mais l’effet est plus fortement associé aux avortements provoqués.
La plus grande partie des décès prématurés consécutifs à une interruption de grossesse sont dus à des suicides, des accidents, des homicides et certaines causes naturelles, comme les maladies circulatoires, dont on sait qu’elles sont associées au stress.
Les chercheurs ont conclu que ces résultats s’expliquent le mieux par les effets psychologiques de la perte de grossesse, qui contribuent à des niveaux élevés de stress, d’abus de substances, de prise de risques et de comportements autodestructeurs.
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