La FDA obligée de rétablir les mesures de sécurité sur les pilules abortives, en attendant l’examen de la Cour suprême
Par Carole Novielli (LiveActionNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Freepik
La Cour d’appel des États-Unis pour le cinquième circuit a décidé mercredi de permettre à la pilule abortive mifépristone de rester « disponible au public dans les conditions d’utilisation qui existaient en 2016 » tout en annulant les extensions plus récentes de l’utilisation approuvée du médicament en vertu des exigences de sécurité (REMS) de la Food and Drug Administration (FDA). Ces extensions ont supprimé la distribution en personne de la pilule abortive et ont permis au médicament d’être expédié par la poste — et ont également étendu l’utilisation de la pilule de sept (7) semaines à 10 semaines.
En outre, l’arrêt de la Cour sur la pilule abortive permettra à la « version générique de la mifépristone », qui a été approuvée en 2019, d’être « disponible dans les mêmes conditions que le Mifeprex ».
Cependant, comme l’indique Bloomberg, « la décision [...] n’aura pas d’impact immédiat sur l’accès au médicament, la mifépristone. La pilule reste disponible en vertu d’une ordonnance rendue en avril par la Cour suprême des États-Unis, qui restera en vigueur jusqu’à ce que la haute cour se prononce à nouveau sur la question ou refuse d’entendre l’affaire en appel ».
Qualifiant la décision de « victoire pour la santé des femmes », Alliance Defending Freedom (ADF), qui représente les plaignants dans cette affaire, a déclaré dans un communiqué de presse que la décision du cinquième circuit dans l’affaire Alliance for Hippocratic Medicine v. U.S. Food and Drug Administration avait conclu que la FDA devait rétablir des garanties essentielles pour les produits abortifs chimiques.
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Par Calvin Freiburger — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo :
Par Calvin Freiburger — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Andrey Popov/Adobe Stock
13 juillet 2023 (LifeSiteNews) — La Food & Drug Administration (FDA) des États-Unis a annoncé jeudi qu’elle avait approuvé la première pilule contraceptive en vente libre, qui sera disponible sans limite d’âge à partir de l’année prochaine.
L’Associated Press rapporte que la FDA a approuvé la vente sans ordonnance de la pilule Opill, fabriquée par la société irlandaise Perrigo. La pilule, qui doit être prise tous les jours à la même heure, utilise un progestatif pour empêcher les spermatozoïdes d’atteindre le col de l’utérus, selon le fabricant. Cette décision fait suite à un vote unanime, en mai, d’un groupe de conseillers extérieurs à l’agence.
« Il s’agit d’une véritable transformation de l’accès aux soins contraceptifs [sic] », a déclaré Kelly Blanchard, présidente d’Ibis Reproductive Health. « J’espère que cela aidera les gens à surmonter les obstacles qui existent actuellement ».
« Les effets secondaires courants de la pilule comprennent des saignements, des maux de tête, des vertiges, des nausées et des crampes, selon la FDA », rapporte l’AP. « L’étiquette avertit également que certains médicaments peuvent interférer avec l’efficacité d’Opill, notamment les médicaments contre les crises d’épilepsie, le VIH et l’hypertension ». L’article ajoute que la pilule pourrait favoriser la croissance de tumeurs chez les femmes ayant des antécédents de cancer du sein.
Avant le vote de mai, la FDA s’était inquiétée du fait que les instructions de l’entreprise n’étaient pas suffisamment claires pour les femmes souffrant de complications médicales et que, dans l’une des études de Perrigo, 30 % des femmes avaient déclaré avoir pris plus de pilules que ce qui avait été distribué pour l’étude, ce qui avait faussé les données de l’entreprise concernant les résultats.
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Par Calvin Freiburger — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : dragonstock/Adobe Stock
3 janvier 2023, Washington, D.C. (LifeSiteNews) — La Food & Drug Administration (FDA) des États-Unis a annoncé qu’elle allait modifier l’étiquetage de la pilule contraceptive d’urgence Plan B afin de « clarifier » qu’il ne s’agit pas d’un abortif, malgré les preuves que ce produit peut fonctionner de façon à tuer des embryons déjà conçus.
Dans une annonce faite le 23 décembre, la FDA a déclaré que Plan B « ne fonctionnera pas si une personne est déjà enceinte, ce qui signifie qu’il n’affectera pas une grossesse existante. Plan B One-Step prévient la grossesse en agissant sur l’ovulation, qui se produit bien avant la nidation. Les preuves ne permettent pas d’affirmer que le médicament affecte l’implantation ou le maintien d’une grossesse après l’implantation, il n’interrompt donc pas une grossesse. »
La FDA a affirmé qu’elle supprimait le langage reconnaissant la possibilité d’empêcher l’implantation parce qu’un examen de « la science actuelle permet de conclure que Plan B One-Step agit en inhibant ou en retardant l’ovulation et les changements hormonaux de milieu de cycle » et qu’« il n’y a pas d’effet direct sur les processus postovulatoires, tels que la fécondation ou l’implantation ».
En fait, cependant, Plan B a une capacité abortive, et le fait qu’il empêche la fécondation ou l’implantation dépend du moment où il est pris par rapport au cycle de la femme. Les pro-vie accusent depuis longtemps les militants de l’avortement de nier ce fait, non pas scientifiquement, mais en usant d’expédients.
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Par Guy Boulianne
Une vidéo choquante — publiée un jour avant une audience législative par le Pa House Health Committee sur l’expérimentation fœtale — a révélé les détails troublants de la recherche sur les bébés avortés qui se déroule à l’Université de Pittsburgh en Pennsylvanie et qui est financée par l’argent des contribuables. La vidéo, publiée par le Center for Medical Progress et disponible sur PittExposed.com, met en évidence « seulement trois des exemples horribles les plus récents d’expérimentation fœtale parrainée par le gouvernement à Pitt ». Après avoir appris que la Food and Drug Administration a acheté des parties du corps de bébés avortés et les a demandé « frais et jamais congelés », vient une autre histoire qui ressemble à celle d’un film d’horreur ou de l’un des chapitres les plus sombres de l’histoire humaine.
En effet, nous apprenons que l’année dernière, des étudiants-chercheurs de Pitt ont publié des détails sur des expériences où des cuirs chevelus et « de la peau humaine sur toute l’épaisseur » de bébés avortés (de 18 à 20 semaines de gestation) ont été greffés sur des rats de laboratoire. Les images montrent des cheveux humains – de ces bébés avortés – cultivés sur le dos de ces rongeurs. De plus, le tissu lymphoïde, le foie et la rate des mêmes bébés avortés ont été co-greffés dans les mêmes modèles de rongeurs. Cette recherche inhumaine à Pitt n’est pas un incident isolé. Les scientifiques de Pitt ont également récolté des foies de fœtus livrés entiers par induction du travail. Pitt a également été impliqué dans le commerce et la distribution de centaines de reins fœtaux et d’autres organes provenant de bébés avortés. Ces deux pratiques sont mises en évidence dans la nouvelle vidéo.
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