Un nouveau sondage montre que la majorité des Canadiens pensent que les journalistes « essaient délibérément d’induire les gens en erreur »
Par Clare Marie Merkowsky — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : pressmaster/Adobe Stock
7 juin 2022 (LifeSiteNews) — Un nouveau sondage montre que la plupart des Canadiens sont de plus en plus préoccupés par le fait que les dirigeants politiques et les médias « essaient délibérément d’induire les gens en erreur ».
Récemment, la société de communication mondiale Edelman a publié son Baromètre de confiance 2022 d’après les réponses du public aux questions institutionnelles et sociétales, et ce rapport montre que la plupart des Canadiens se méfient des médias grand public.
Une majorité de Canadiens pensent que les «meneurs sociétaux » les induisent en erreur, et 71 % se disent préoccupés par le fait que de « fausses informations sont utilisées comme une arme ».
En ce qui concerne les nouvelles et l’information, plus de la moitié des Canadiens se méfient des médias traditionnels, tandis que de quarante-neuf à vingt et un pour cent respectivement se méfient des moteurs de recherche, des médias d’entreprises et des médias sociaux.
Le rapport demande également aux Canadiens s’ils croient que certains groupes « essaient délibérément d’induire les gens en erreur en disant des choses qu’ils savent être fausses ou des exagérations grossières ».
Soixante et un pour cent des Canadiens sont d’accord avec cette affirmation concernant les journalistes, soit un bond de douze pour cent par rapport à 2021. De même, les dirigeants d’entreprises et de gouvernements suscitent la méfiance de soixante et cinquante-huit pour cent des Canadiens respectivement.
Lire la suiteMgr Viganò : l’imposture de l’élection de Biden, marionnette du Nouvel ordre mondial
Mgr Carlo Maria Viganò (au centre), évêque américain (au fond), Joe Biden (à gauche, bien sûr) et le président des États-Unis Donal Trump (à droite).
Par Michelle Marie (Médias Presse Info)
Ce message [ci-dessous de Mgr Carlo Maria Viganò] a été publié dans la nuit en anglais sur le site américain The Remnant. En voici une traduction :
Le monde dans lequel nous vivons est, pour reprendre une expression de l’Évangile, « in se divisum » (Mt 12, 25). Cette division consiste, me semble-t-il, en un divorce entre réalité et fiction : réalité objective d’un côté, et fiction médiatique de l’autre. Cela vaut certainement pour la pandémie, utilisée comme outil d’ingénierie sociale en vue de la Grande réinitialisation, mais encore plus pour le surréalisme de la scène politique américaine, où les preuves d’une fraude électorale colossale sont censurées par les médias, qui proclament à présent la victoire de Joe Biden comme étant un fait accompli.
La réalité du Covid est en dissonance manifeste avec ce que les grands médias veulent nous faire avaler, mais pas assez pourtant pour démanteler le grotesque échafaudage de mensonges auquel le plus grand nombre s’est résigné.
De même, le spectacle offert par les fraudes électorales, la violation flagrante des règles du vote et la falsification systématique des résultats contraste avec le discours des géants de l’information, pour lesquels Joe Biden est incontestablement le nouveau président des États-Unis. Discours univoque et ne souffrant pas la contradiction, sur la supposée fureur ravageuse d’une grippe saisonnière responsable du même nombre de décès que l’année dernière, ou sur l’inévitable élection d’un candidat corrompu et inféodé à l’État profond. Et, de fait, Biden a déjà promis de rétablir le confinement.
La réalité n’a plus aucune espèce d’importance lorsqu’elle est un obstacle à la réalisation du plan ourdi. Le Covid et Biden sont deux hologrammes, deux créations artificielles, prêtes à être adaptées encore et encore aux besoins du moment ou remplacées le moment venu par le Covid-21 et Kamala Harris. Les accusations d’irresponsabilité lancées aux partisans de Trump pour avoir organisé leurs rassemblements s’évanouissent dès que ce sont les supporters de Biden qui descendent dans la rue, comme durant les manifestations du BLM. Ce qui est criminel pour les uns est licite pour les autres. Sans explication, sans logique, sans raison. Le simple fait d’être de gauche, de voter Biden, de mettre le masque est un laissez-passer pour se permettre n’importe quoi. Alors qu’être de droite ou sceptique sur l’efficacité des masques est une condamnation d’office pour les électeurs de Trump. Sans autre forme de procès, les étiquettes de fascistes, souverainistes, populistes, négationnistes leur sont collées et ceux qui sont ainsi stigmatisés doivent battre en retraite sans piper mot.
Lire la suitePic de mortinaissance à travers le monde causé par le confinement
Par Calvin Freiburger — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Devostock
21 septembre 2020 (LifeSiteNews) — La suspension et le retard des soins médicaux non liés au coronavirus ont provoqué une hausse des mortinaissances dans plusieurs pays, selon plusieurs études, dont une publiée récemment dans The Lancet.
L’étude du Lancet a révélé que les mortinaissances au Népal sont passées de 14 pour 1 000 naissances avant le confinement à 21 pour 1 000 naissances en l’espace de deux mois, rapporte Nature. Les auteurs de l’étude ont en outre noté que l’ampleur de ce phénomène reste inconnue, car le confinement a également brusquement conduit plus de femmes enceintes à choisir d’accoucher en dehors des hôpitaux.
« Le Népal a fait des progrès significatifs au cours des 20 dernières années en matière de santé pour les femmes et leurs bébés, mais les derniers mois ont ralenti ces progrès », déclarait le responsable de l’étude, Ashish K.C., de l'Université d’Uppsala en Suède. Elle a spécifiquement attribué ce problème à l’annulation de rendez-vous de routine qui auraient permis d’identifier les problèmes de santé suffisamment tôt pour les traiter.
Des pics de mortinatalité ont également été signalés par des hôpitaux en Inde et à Londres, ajoute Nature. Les médecins du St George’s University of London signalent que les mortinaissances à l’hôpital ont presque quadruplé par rapport à l’année dernière.
« Ce que nous avons fait, c’est provoquer un pic de mortinatalité involontaire en essayant de protéger les femmes enceintes contre le COVID-19 », déclarait la spécialiste en obstétrique Jane Warland, de l’University of South Australia à Adélaïde, à Nature. Par exemple, « les femmes souffrant d’hypertension ne sont pas prises en charge comme elles le seraient normalement, et l’hypertension non détectée est un facteur de risque de mortinatalité ».
Ce ne sont là que les dernières alarmes soulevées par le bilan de santé publique de ce confinement, qui a été présenté à l’origine comme nécessaire afin de préserver les fournitures médicales et la capacité d’accueil des hôpitaux pour les patients atteints du coronavirus.
En juillet, une analyse comparative de dix pays menée par la conservatrice Heritage Foundation révèle que les mesures de confinement les plus restrictives n’étaient pas plus efficaces pour sauver des vies que les politiques plus ciblées et adaptées aux personnes les plus à risque.
En mai, un groupe de 500 médecins avertissaient le président Donald Trump qu’il était « impossible de surestimer les dommages à court, moyen et long terme sur la santé des personnes avec un confinement continu [...] Les millions de victimes d’un confinement continu seront cachées sous le nez de tous, mais on invoquera comme cause l’alcoolisme, la pauvreté, le suicide, la crise cardiaque, l’accident vasculaire cérébral ou l’insuffisance rénale ».
Affaire Covington : The Washigton Post s'arrange à l'amiable
Par Jean Pierre Dickès (Medias-Presse.info)
Tels sont pris qui croyaient prendre…
Nos lecteurs studieux se souviennent peut-être de l’affaire de Covington en Amérique. Le 18 Janvier 2019, à la fin de la Marche pour la Vie, un groupe d’étudiants pro-vie venus de l’école supérieure de Covington (Kentucky) était en train de se disperser. Un Indien « natif » […] du nom de Nathan Phillips s’enfonça parmi eux en battant du tambourin sous le nez d’un jeune catholique du nom de Nicholas Sandmann. Le garçon sourit aimablement.
Or Phillips prétendit que ce dernier avait tenu des propos racistes à son endroit. Aussitôt se répandit la nouvelle que ce garçon est raciste.
Toute la bienséance médiatique se déchaîne. La médiacratie a trouvé son mouton noir. Il s’est même créé pour la circonstance un nouveau concept, celui de « sourire raciste ». Les médias stigmatisent le garçon, lequel se fait virer de son école qui ferme en raison des menaces de mort qui affluent. Même des évêques en ajoutent une louche contre Nicholas.
Lire la suiteLettre de Mgr Carlo Maria Viganò à Donald Trump : les enfants de la lumière et les enfants des ténèbres
Mgr Carlo Maria Viganò.
Par Jeanne Smits (Le blog de Jeanne Smits)
Mise à jour du 12 juin 2020 : Trump a tweeté la lettre de Vigano, écrivant : « Tellement honoré par l’incroyable lettre que Mgr Viganò m’a écrite. J’espère que tout le monde, religieux ou non, la lit! »
Article original du 8 juin : Alors que les Etats-Unis font face aux assauts insurrectionnels d’une confrontation raciale menée par une minorité au nom d’un tragique fait divers exploité jusqu’à plus soif, Mgr Carlo Maria Viganò a adressé une lettre de soutien à Donald Trump pour évoquer les ressorts révolutionnaires et francs-maçons de cette entreprise. Elle a été publiée samedi après-midi par LifeSiteNews dans sa langue originale.
Je vous en propose ci-dessous ma traduction aimablement relue, révisée et autorisée par Mgr Viganò. — J.S.
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Monsieur le Président,
Ces derniers mois, nous avons assisté à la formation de deux camps opposés que je qualifierais de bibliques : les enfants de la lumière et les enfants des ténèbres. Les enfants de la lumière constituent la partie la plus importante de l’humanité, tandis que les enfants des ténèbres représentent une minorité absolue. Et pourtant, les premiers font l’objet d’une sorte de discrimination qui les place dans une situation d’infériorité morale par rapport à leurs adversaires, tandis que ces derniers occupent souvent des positions stratégiques au sein des gouvernements, au niveau politique, économique et dans les médias. D’une manière apparemment inexplicable, les bons sont pris en otage par les méchants comme par ceux qui les aident soit par intérêt, soit par crainte.
Ces deux camps, qui ont un caractère biblique, sont établis selon la séparation nette entre la postérité de la Femme et celle du Serpent. D’un côté, il y a ceux qui, bien qu’ils aient mille défauts et faiblesses, sont motivés par le désir de faire le bien, d’être honnêtes, d’élever une famille, de travailler, de donner la prospérité à leur patrie, d’aider les nécessiteux et, dans l’obéissance à la Loi de Dieu, de mériter le Royaume des Cieux. D’autre part, il y a ceux qui se servent eux-mêmes, qui n’ont aucun principe moral, qui veulent démolir la famille et la nation, exploiter les travailleurs pour s’enrichir à outrance, fomenter des divisions internes et des guerres, et accumuler du pouvoir et de l’argent : pour eux, l’illusion fallacieuse du bien-être temporel cédera un jour — s’ils ne se repentent pas — au terrible destin qui les attend, loin de Dieu : la damnation éternelle.
Monsieur le Président, dans la société, ces deux réalités opposées coexistent comme des ennemis éternels, tout comme Dieu et Satan sont des ennemis éternels. Et il semble que les enfants des ténèbres — que l’on peut facilement identifier au deep state auquel vous vous opposez avec sagesse et qui vous mène une guerre acharnée en ce moment — ont décidé d’abattre leurs cartes, pour ainsi dire, en dévoilant maintenant leurs plans. Ils semblent tellement certains d’avoir déjà tout sous contrôle, qu’ils ont laissé de côté cette discrétion qui, jusqu’à présent, avait au moins partiellement dissimulé leurs véritables intentions. Les enquêtes déjà en cours révéleront la véritable responsabilité de ceux qui ont géré l’urgence du Covid non seulement dans le domaine des soins de santé mais aussi dans la politique, l’économie et les médias. Nous découvrirons probablement qu’au sein de cette colossale opération d’ingénierie sociale se trouvent des personnes qui ont décidé du sort de l’humanité, s’arrogeant le droit d’agir contre la volonté des citoyens et celle de leurs représentants dans les gouvernements des nations.
Lire la suiteSalutation pour temps de COVID-19 : « Restez forts, et Viva Cristo Rey ! » (un beau texte du Pr John Rao)
Pr John C. Rao.
Par Jeanne Smits (Le blog de Jeanne Smits) ― Photo :
Je vous propose ci-dessous, avec l’aimable autorisation d’Edward Pentin qui a d’abord publié ce texte en anglais, ma traduction des réflexions du Pr John Rao sur la crise du coronavirus et la création, à sa faveur, d’une société qui isole et aseptise les rapports humains au point de détruire notre civilisation occidentale et chrétienne.
Nous n’avons pas besoin de sécurité, mais de force, sous l’étendard du Christ-Roi, tel est son message !
Le Pr John Rao est professeur associé d’histoire à l’université de St. Johns à New York. Il préside aujourd’hui le Rome Forum fondé en 1968 par Dietrich von Hildebrand en réponse aux oppositions à Humanae vitae, qui organise des cycles de conférences sur l’histoire et le catholicisme traditionnel.
Découvrez vite cette charge vigoureuse contre la « Nouvelle normalité » ! — J.S.
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« Plus la panique grandit, plus l’image d’un homme qui refuse de s’incliner devant la terreur s’élève » — Ernst Jünger
Le but du Forum romain étant éducatif, ce serait manquer à son devoir que de ne pas faire quelques commentaires sur ce dont nous sommes témoins autour de nous et sur ce que cela signifie pour nous en tant que catholiques, en tant que citoyens, et en tant qu’hommes et femmes civilisés. Je ne m’estime pas compétent pour discuter de la cause initiale d’une maladie qui a touché le monde entier, et je ne voudrais en aucune façon minimiser les souffrances et les pertes réelles que cette maladie a entraînées pour de nombreuses personnes. Mais je crois en revanche qu’un éducateur se doit de souligner la façon dont une pandémie contrôlable a été transformée en un pandémonium totalement inutile ; d’y mettre en évidence illustration horrifiante de la désorientation diabolique qui accompagne tous les ravages de la modernité, et qui a permis à une société moderne douloureusement vide de se titiller avec le « sentiment » de faire l’expérience de la peste bubonique sans la vivre réellement.
Nos aïeux socratiques nous ont appris par leurs « Semences du Logos » que l’homme qui raisonne n’a pas besoin d’être un expert dans un domaine donné pour être capable de juger avec compétence s’il a affaire à des dirigeants dont il doit suivre les conseils ou les rejeter comme étant frauduleux. Les fraudeurs exigent qu’on leur accorde une foi absolue, et traitent celui qui doute et qui fait preuve de confusion avec mépris à cause de son ignorance invincible. Il se peut que ces imposteurs se croient sérieusement experts omniscients. Mais lorsqu’ils disent à des personnes jeunes ou en bonne santé qu’elles sont dans la même situation que les plus faibles parmi les personnes âgées ou les personnes déjà malades ; lorsqu’ils disent que, pour se protéger, la vaste masse de la population doit abandonner ses moyens de subsistance, le bien-être de son pays, la vie culturelle de sa civilisation et les outils nécessaires à son salut éternel, ils doivent être rejetés pour ce qu’ils sont en réalité : des charlatans.
Nous nous trouvons aujourd’hui à la merci de guides de ce genre, bien éduqués, peut-être même bien intentionnés, mais finalement très dangereux et arrogants. Ces maîtres du savoir nous pressent de détruire tout ce qui nous est cher afin de créer un monde aseptisé, stérile et sans âme dans lequel les êtres humains ne peuvent pas vivre et mourir avec dignité. Il faudra étudier calmement, quand ce pandémonium s’achèvera (s’il s’achève), pour établir toute la genèse et la complexité du charlatanisme en question, mais il est certainement clair que toutes les forces destructrices qui jouent un rôle dans le monde moderne, ainsi que tous ceux qui y ont volontairement succombé, y ont eu leur part malheureuse.
Lire la suiteDénoncer la tromperie pour regagner sa liberté : Libre opinion sur la pandémie 2020
Par Vincent Mathieu, Ph. D.
Note de la rédaction : Depuis plusieurs semaines des populations entières sont réduites à un confinement forcé, seule solution, nous affirment les gouvernements de bien des pays, ou du moins seule solution en attendant le vaccin qui nous sauvera tous. Avec le temps qui s’est écoulé depuis l’annonce de la « pandémie » du coronavirus, on a pu étudier, comparer, constater les pour et les contre des tenants de cette situation catastrophique.
Le confinement a condamné l’économie de nombreuses nations à un avenir peu reluisant, toute activité « non essentielle » a été interrompue, la liberté de circuler a été plus ou moins restreinte selon les endroits, on a quasi séquestré les personnes âgées, ne leur permettant même pas le réconfort de voir leurs proches, visites souvent essentielles pour leur santé. Les gouvernements augmentent de façon hallucinante leur dette. Et par-dessus tout cela, on a matraqué les populations par un battage médiatique monstrueux, transmettant les nouvelles morbides de l’État ; depuis, la peur du virus règne dans les cités...
Mais les conséquences des mesures prises à travers le monde sont-elles justifiables ? La santé publique était-elle à ce prix, encore incalculable, et surtout, les futures mesures que l’on prévoit nous imposer sont-elles raisonnables ?
De nombreuses questions valaient largement la peine que l’on se penchât dessus, davantage même devant les incohérences des gouvernements et des instances internationales qu’il fallait gober jour après jour ; le confinement était-il vraiment la seule solution ? Le confinement n’est-il pas au contraire nuisible ? Le coronavirus est-il aussi dangereux que l’on nous l’a décrié ? Et si les règlements mis en place étaient vains, pourquoi les avoir érigés ? Pourquoi inspirer la peur à tant de peuples ?
Vincent Mathieu, psychologue, tente d’éclaircir les tenants de cette crise, qui paraît de plus en plus en être une du mensonge, dans un texte fortement documenté et fermement appuyé.
Vincent Mathieu est psychologue et thérapeute de groupe. Il a fait un doctorat en psychologie en 2019 à l’Université de Laval et s’est spécialisé au cours de son doctorat sur les questions de l’empathie et des pathologies antisociales et narcissiques. Il a travaillé à l’Institut Philippe-Pinel de Montréal pendant deux ans au cours de la rédaction de sa thèse.
Une version PDF de cet article est disponible, ici. — A. H.
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Libre opinion sur la pandémie 2020
L’éclosion de la Covid-19 qui est d’abord survenue en Chine à l’automne 2019 ne semblait pas, à ce moment, annoncer une crise d’une telle ampleur en Occident. Au Québec, on parlait du nouveau coronavirus (Sars-Cov-2) comme d’un virus certes contagieux, mais qui ne menaçait pas la santé des Québécois plus qu’il n’en faut. Divers experts relayés dans les journaux indiquaient que la grippe saisonnière faisait plus de morts que ce nouveau virus, que le Sars-Cov-2 était moins à craindre que l’influenza avec laquelle nous avons à composer cycliquement et qui mène annuellement à environ 3500 décès au Canada, 295 000 à 600 000 dans le monde. [1] [2]
Tout à trac, au début du mois de mars, le narratif a changé. À la suite de l’annonce de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) qui déclarait l’état de pandémie, la plupart des pays occidentaux ont réagi en contraignant la circulation aérienne et en fermant les frontières. S’en sont suivi les déclarations d’urgence sanitaire qui ont mené à la prise du pouvoir par les directions de santé publique (DSP). Ce dernier aspect est primordial, car de cette prise de pouvoir a découlé la mise à l’arrêt de la plupart des secteurs économiques et de la vie sociale. Au cours de cette période, il est important de bien réaliser que les rênes de l’état étaient données aux DSP (Dr Horacio Arruda au Québec). Autrement dit, la loi d’urgence sanitaire dépossède, à même titre que la loi martiale, les citoyens de leurs droits et libertés en vue de les protéger d’une situation de crise majeure. Il va sans dire que la mise en place de ces lois opposées à la démocratie et au droit civil ne doit se faire que dans des situations d’urgence extrême. On nous a donc dit, sur la base de chiffres donnés par l’OMS [3], que la situation était d’une urgence extrême. Les courbes statistiques basées sur ces données prévoyaient par exemple la mort d’environ 60 000 Québécois et 2 millions d’Américains si nous ne procédions pas aux mesures de confinement. Des chiffres qui donnent froid dans le dos et qui auraient justifié les mesures d’urgence sanitaire prises par les gouvernements. Le problème, c’est que ces prédictions se sont avérées exagérées. Plusieurs spécialistes ont effectivement mis en cause la crédibilité des données de l’OMS en ce qui a trait au taux de mortalité sur la base de deux grandes questions : quel est le nombre de cas réellement atteints du coronavirus et combien de personnes en meurent directement.
Tout d’abord, le nombre de cas atteints du virus est sous-estimé. Des données chinoises [4], allemandes [5] et américaines [6] [7] suggèrent que le nombre de cas infectés à la Covid-19 était, dès le début de la pandémie, de beaucoup supérieur à celui rapporté par les autorités de santé publique. Si l’on se fie à ces données, les personnes infectées par le Sars-Cov-2 étaient donc probablement déjà nombreuses dans la « population saine » lorsque les premiers taux de mortalité et les premières prédictions alarmistes ont été dévoilés à la population. Puisque les diverses DSP nationales, avec l’OMS comme chaperon, ont calculé les taux de mortalité en fonction du nombre de cas confirmés ou en fonction d’un nombre de cas inférieur au nombre de cas réels (c’est-à-dire en excluant bon nombre de cas asymptomatiques ou des personnes qui développent des formes bénignes de la Covid-19 sans jamais se faire tester), il va de soi que le taux de mortalité en ait été gonflé. Voici ce que déclarait le Dr Antony Fauci et ses collaborateurs dans une note éditoriale du New England Journal of medecine publiée le 28 février 2020 [8] :
Lire la suiteSi l’on suppose que le nombre de cas asymptomatiques ou peu symptomatiques est plusieurs fois plus élevé que le nombre de cas signalés, le taux de létalité peut être considérablement inférieur à 1 %. Cela suggère que les conséquences cliniques globales de COVID-19 pourraient finalement être plus proches de celles d’une grippe saisonnière sévère (qui a un taux de létalité d’environ 0,1 %) ou d’une grippe pandémique (similaire à celles de 1957 et 1968).
Covid-19 : Des cardinaux et des évêques se joignent à un appel mondial pour dénoncer la répression des libertés fondamentales
Mgr Carlo Maria Viganò
Par Jeanne Smits (Le blog de Jeanne Smits)
Nous rajoutons en bas, après l’article de Jeanne Smits, le texte de l’Appel pour l’Église et pour le monde, paru sur veritasliberavitvos.info ― A. H.
Les cardinaux Gerhard Müller, Joseph Zen et Janis Pujats ont signé un appel lancé à l’initiative de Mgr Carlo Maria Viganò « pour l’Église et pour le monde » rendu public ce jeudi 7 mai à 19 h 30. Des évêques et prêtres, de nombreux laïcs — médecins, universitaires, écrivains, juristes, responsables d’associations, journalistes, la liste provisoire est en fin d’article — ont d’ores et déjà également apporté leur soutien à cet appel qui veut dénoncer l’utilisation du « prétexte de l’épidémie de Covid-19 » pour violer les droits des citoyens et porter atteinte aux libertés fondamentales. Y compris l’exercice de la liberté de culte, d’expression et d’aller et de venir.
(Addendum : Tard dans la soirée de jeudi, le cardinal Robert Sarah, mentionné comme signataire de l’appel, s’en est distancé par deux tweets. Je commente cela ici. La réponse de Mgr Viganò est ici.)
L’hebdomadaire Valeurs actuelles a publié l’intégralité de l’appel en ligne ici.
Ces limitations à la liberté en laissent présager d’autres, qui passent notamment par le « contrôle des personnes » et le « suivi de leurs mouvements ». Les signataires estiment qu’on peut craindre de voir l’utilisation de la « panique », les mesures de confinement et la crise économique profonde qui s’y associe conduire vers la création d’un « gouvernement mondial hors de tout contrôle » et des « répercussions sociales et politiques graves » dans les pays soumis à « ces formes d’ingénierie sociale ».
On ne s’étonnera pas de trouver parmi les signataires Mgr Athanasius Schneider, qui a déjà dénoncé avec vigueur la « dictature sanitaire » qui s’est mise en place.
Les signataires, parmi lesquels une dizaine de médecins italiens, soulignent d’ailleurs que cette « panique » est entretenue, alors que « les doutes croissent quant à l’effective contagiosité, à la dangerosité et à la résistance du virus : de nombreuses voix faisant autorité dans le monde de la science et de la médecine confirment que l’alarmisme à propos du Covid-19 amplifié par les médias ne semble absolument pas justifié ».
Sur le plan médical, l’appel souligne également que des remèdes « efficaces, souvent peu coûteux », ont été « pénalisés » et invitent la communauté scientifique à veiller à ce que des « intérêts iniques » ne dictent les choix des gouvernements en la matière.
« Nous rappelons également, en tant que Pasteurs, que pour les Catholiques, il est moralement inacceptable de recevoir des vaccins dans lesquels du matériau provenant de fœtus avortés est utilisé », soulignent-ils. Des associations de bioéthiciens catholiques ont d’ores et déjà insisté pour que l’on évite l’utilisation de lignées de cellules souches ayant leur origine dans un bébé avorté en 1972, comme c’est le cas pour l’un des essais actuellement menés à Oxford.
Lire la suiteUn gamin seul face à la lie médiatique
Nicholas Sandmann face au « vétéran » amerindien Nathan Phillips et son tambourin.
Par Jean-Pierre Dickès (Medias-Presse.info)
C’était il y a un an, le 18 Janvier 2019 à la fin de la Marche pour la Vie. Un groupe d’étudiants pro-vie venus de l’école supérieure de Covington (Kentucky) est en train de se disperser. Un indien « natif » […] du nom de Nathan Phillips s’approche d’eux en battant du tambourin. Il se met sous le nez d’un jeune du nom de Nicholas Sandman. Le garçon sourit aimablement.
Or Phillips prétend alors qu’il a tenu des propos racistes à son endroit. Aussitôt se répand la nouvelle que ce garçon est raciste. Toute la bienséance se déchaîne. Il est même créé pour la circonstance un nouveau concept, celui de « sourire raciste ». Les médias stigmatisent le garçon, lequel se fait virer de son école. Les menaces de mort arrivent de tous côtés si bien que l’école de Covington est obligée de fermer. Des évêques condamnent les propos de Sandmann. Les parents n’osent plus sortir de chez eux. Leur maison est taguée. Les médias télévisés et écrits rajoutent couches sur couches pour insulter le garçon. L’association des étudiants pour la Vie est mise en cause ainsi que la Marche pour la Vie. Pourtant, Nicholas lui-même avait protesté immédiatement en disant qu’il était catholique et que ses convictions étaient opposées à tout racisme, et qu’il « mettait ses actes en conformité avec sa foi ». Peine perdue, au point que ses parents craignaient pour sa vie. Unanime, tout le monde médiatique cria « haro sur le baudet ». En réalité il fallait s’en prendre à tous ceux qui défendent la vie : l’occasion était trop belle. CNN la chaîne gauchiste la plus connue aux Etats-Unis porta plainte contre lui. Mal lui en a pris...
Lire la suitePour le Collège des médecins du Québec, l’avortement est un soin de santé…
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : pressfoto/freepik
Répondant aux questions partisanes de Dutrizac sur les ondes de QUB radio, Richard Décarie, qui songe à se lancer dans la course à la chefferie du Parti conservateur du Canada, avait simplement déclaré, parlant de la façon dont il agirait par rapport à la question de l’avortement en tant que potentiel chef du parti et éventuel Premier ministre, selon Le Journal de Montréal (JdM) :
« Au niveau fédéral, la loi, elle, est au niveau du financement des soins de santé à travers tout le pays. [...] Au niveau des soins de santé, un soin doit être qualifié comme étant un soin de santé avant d’être financé, et je vous annonce que l’avortement, ce n’est pas un soin de santé, et pourtant c’est financé à 100 % »
Le petit passage « l’avortement ce n’est pas un soin de santé » n’a pas échappé aux traqueuses de « fausses nouvelles », Sarah Daoust-Braun et Marie-Christine Trottier, qui font leur profession au JdM de dénicher, entre autres, les déclarations (qu’elles croient) fallacieuses des politiciens.
Ayant déniché ce qu’elles s’imaginent sans doute être une perle en son genre, Mmes Daoust-Braun et Trottier, déclarant que l'avortement est un « soin de santé », révèlent que le Collège des médecins du Québec considère que « l’avortement est bel et bien considéré comme un soin de santé dans la province et est financé par le régime public québécois. L’interruption volontaire de grossesse est assurée en vertu de la Loi québécoise sur l’assurance maladie ». Elles ont manqué l’occasion de ne pas tomber dans les « fausses nouvelles ».
Car combien même la loi ou le Collège des médecins lui-même déclarerait que l’avortement est un « soin de santé » cela ne l’en ferait pas pour autant.
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