La vie de bébé Walter, né à 19 semaines à la suite d’une fausse couche, transforme le débat sur l’avortement
Par Nancy Flanders de LiveActionNews - traduit par Campagne Québec-Vie
« Amas de cellules. » « Tissus. » « Juste un fœtus. » Voilà de quelle manière certains partisans pro-avortements décrivent les enfants à naître dans le but de diminuer leur humanité. Mais ces étiquettes ne définissent pas ces nouvelles vies, et cela a été prouvé par celle d’un tout petit enfant. Walter Joshua Fretz est né durant l'été 2013 après 19 semaines de grossesse. Il n’a pas survécu longtemps, mais sa vie a eu un impact durable.
Lexi et Joshua Fretz, les parents de Walter et de deux autres filles (ils ont accueilli leur troisième fille, Mia, en septembre), attendaient avec impatience l’arrivée de leur nouveau bébé lorsque, selon le blogue de Lexi, elle a remarqué des saignements vaginaux légers. Ce n’était pas anormal pour elle durant une grossesse, mais lorsque les saignements sont devenus roses, elle a commencé à s’inquiéter et a appelé sa sage-femme qui lui a conseillé de se rendre à l’urgence.
À l’urgence, plusieurs femmes enceintes sont arrivées après elle et ont été automatiquement redirigées vers l’aile de maternité. Comme Lexi n’était pas encore enceinte de 20 semaines – plutôt 19 semaines et six jours –, les règlements de l’hôpital spécifiaient qu’elle devait rester à l’urgence. Après environ une heure, Lexi a pu entendre le cœur de son bébé et s’est sentie soulagée, mais en attendant une échographie, elle a commencé à ressentir les douleurs familières du travail qui commençait. Près de cinq heures après son arrivée à l’hôpital, Lexi a donné naissance à son fils, Walter Joshua Fretz. Elle écrit :
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