Une religieuse courageuse met en garde contre le vaccin covid, citant de nombreux décès et blessures graves
Mère Marilla.
Par Michael Haynes — Traduit par Campagne Québec-Vie
Londres, 2 juin 2021 (LifeSiteNews) — La fin de semaine dernière, à Londres, au Royaume-Uni, les manifestants contre le confinement ont été accueillis par des religieuses catholiques du couvent historique de Tyburn, dont l’une a révélé qu’on lui avait demandé de prier pour « 50 personnes qui sont mortes » à la suite de la réception des vaccins expérimentaux contre le COVID-19. La courageuse religieuse a par la suite accordé une puissante entrevue par courriel à LifeSiteNews, fournissant des détails choquants sur les incidents qui avaient été confiés aux prières du couvent, exhortant les gens à garder espoir et à renforcer leur vie de prière face à ce qui est finalement une « bataille entre le bien et le mal ».
À Londres, les manifestants de la marche Unite for Freedom [S’unir pour la liberté], qui protestaient contre les restrictions liées au coronavirus et les passeports vaccinaux, ont été accueillis par un groupe de religieuses en liesse alors qu’ils passaient devant Marble Arch.
L’une des sœurs, Mère Marilla, la mère générale s’est adressée aux manifestants, les encourageant alors qu’ils défilaient dans les rues de la capitale.
« Vous avez été créés à l’image et à la ressemblance de Dieu. Vous êtes nés libres », a-t-elle déclaré. « Ne les laissez pas vous priver de vos libertés. »
Elle a également mis en garde contre les injections expérimentales tant vantées contre le coronavirus. « Protégez les enfants, et ne les laissez en aucun cas avoir ce vaccin, il tue des gens », a-t-elle déclaré.
« Depuis janvier, on m’a demandé de prier pour 50 personnes qui sont mortes. Je suis religieuse depuis 28 ans, et pendant toute ma vie, on ne m’a jamais demandé de prier pour quelqu’un qui est mort, ou même, qui a été blessé par un vaccin. [En fait, cela est arrivé,] une seule fois, en 2015, pour une jeune fille, mais depuis janvier de cette année, 2021, 50 personnes pour lesquelles on nous a demandé de prier sont mortes à cause du vaccin. »
Son avertissement n’est pas sans données à l’appui. Aux États-Unis, les données montrent qu’« entre le 14 décembre 2020 et le 21 mai, un total de 262 521 événements indésirables ont été signalés au Vaccine Adverse Event Reporting System (VAERS), dont 4 406 décès — soit une augmentation de 205 par rapport à la semaine précédente — et 21 537 effets secondaires graves, soit une augmentation de 3 009 depuis la semaine dernière ».
Lire la suiteLes photos d’un bébé décédé lors d’une fausse couche à 14 semaines ont sauvé d’autres bébés
Par Kelli (LiveActioNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Sharran Sutherland/Facebook
Une femme de 40 ans, mère de 11 enfants dans le Missouri, a publié les photos de son bébé, mis au jour suite à une fausse couche, dans l’espoir que les gens verront l’humanité des enfants à naître. Lorsque Sharran Sutherland a fait une fausse couche à 14 semaines, elle raconte que son médecin lui a proposé de jeter son fils, Miran, avec les « déchets médicaux ». Le UK Mirror cite les propos de Sharran :
Le médecin a dit que nous pouvions soit le jeter comme un déchet médical, soit appeler un salon funéraire.
J’étais tellement en colère quand elle a appelé mon bébé un « fœtus ». Je ne pouvais pas croire qu’elle insinuait qu’il était un déchet médical...
Mais j’ai aussi pensé qu’un enterrement semblait extrême. Je ne savais pas quoi faire...
Bébé Miran (Sharran Sutherland Facebook)
Sharran et son mari Michael ont conservé le petit corps parfaitement formé de leur fils dans un récipient de solution saline dans leur réfrigérateur, puis ils l’ont finalement l’enterré dans un pot à fleurs avec des hortensias « qui pousseront chaque année et reviendront pour nous le rappeler », dit Sharran. « Nous l’avons gardé avec nous près d’une semaine », ajoute-t-elle. « Pendant cette période, j’ai pu réaliser l’empreinte de ses mains, prendre des photos de lui, le tenir dans mes bras, faire mon deuil dans une certaine mesure. J’ai bénéficié de ce temps avec lui qui, je pense, m’a beaucoup aidée. »
Miran mesurait environ 10 cm de long et pesait 26 grammes et, comme le note le Mirror, il avait « un visage, des mains, des pieds et même des ongles complètement formés ». Beaucoup de gens ne savent pas à quel point les enfants sont développés, même au cours du premier trimestre ; ils développent leurs principaux organes assez rapidement et ensuite ont seulement besoin de temps pour se développer et grandir.
Lire la suiteDes milliers de rapports de problèmes reproductifs suite aux vaccins covid-19, dont des fausses couches et des mortinaissances
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo (modifiée) : Rawpixel.com/AdobeStock
La compagnie Pfizer, lors du lancement de son vaccin covid-19, avait émis des avertissements à son sujet comme quoi il était déconseillé pour les femmes enceintes. Plusieurs scientifiques, de leur côté, ont mis en garde les gouvernements et les populations contre les possibles effets secondaires graves de ces vaccins, dont la stérilisation pouvant résulter des particularités de la protéine de la spicule (spike) du covid-19 qu’on cherche à faire produire par le corps avec les vaccins à ARNm ou à injecter avec les vaccins plus « classiques ». Maintenant on dénombre des chiffres troublants de problèmes procréatifs suite à l’injection du vaccin de Pfizer ou d’AstraZeneca en Grande-Bretagne, principalement chez les femmes, mais aussi chez les hommes. Selon LifeSiteNews :
Des milliers de femmes dans le monde signalent des cycles menstruels perturbés après avoir s’être fait injecter un des vaccins covid-19.
Le système gouvernemental britannique de notification des effets indésirables des vaccins a recueilli plus de 2 200 rapports de troubles procréatifs après avoir reçu une injection de vaccin coronavirus, notamment saignements menstruels excessifs ou absents, retards de menstruation, hémorragies vaginales, fausses couches et mortinaissances.
Au Royaume-Uni, le système de signalement des événements indésirables Yellow Card comprend 2 233 rapports de « troubles de la reproduction et du sein » après administration des vaccins AstraZeneca et Pfizer.
Le programme britannique Yellow Card fait état le 5 avril de 1 465 réactions concernant l’appareil reproducteur ainsi que de dix-neuf « avortements spontanés » (fausses couches), de cinq accouchements prématurés et de deux mortinaissances en rapport avec le vaccin AstraZeneca.
[…]
768 autres cas de « troubles de la reproduction et du sein » ont été signalés pour le vaccin coronavirus de Pfizer au Royaume-Uni, ainsi que quarante-deux « avortements spontanés », cinq accouchements prématurés et deux mortinaissances.
Une société pro-avortement augmente la souffrance des mères qui ont une fausse couche
Par Alithea Williams (LifeSiteNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Juan Pablo Arenas/Pexel
4 février 2020 (Society for the Protection of Unborn Children) — En décembre, une nouvelle étude a fait l’objet d’une vaste couverture médiatique. Elle suggérait qu’une femme sur six qui perd un bébé au début de la grossesse ressent des symptômes de stress post-traumatique à long terme. Cette étude a été discutée dans les lieux de travail, a suscité l’intérêt sur Twitter, et a entraîné des conversations très nécessaires sur la façon dont nous, en tant que société, prenons soin des femmes qui éprouvent la dévastation de la perte d’un bébé.
Les résultats sont certainement frappants. Dans l’étude menée par l’Imperial College de Londres et la KU Leuven en Belgique auprès de 650 femmes, 29 % présentaient des symptômes de stress post-traumatique un mois après la perte de grossesse, et ce chiffre ne diminuait qu’à 18 % après neuf mois. Un mois après leur perte, 24 % de femmes avaient des symptômes d’anxiété et 11 % de dépression. Vu à quel point la fausse couche est courante (jusqu’à une femme sur deux subit une perte de grossesse), cela représente un impact énorme sur la santé mentale.
Le fait que je fasse partie du mouvement pro-vie signifie que je pense probablement plus à la maternité, à la grossesse et à la vie dans le ventre de la mère que la plupart des gens. Mais ce ne fut que jusqu’à ce que deux de mes amies eussent souffert trois fausses couches dans un court laps de temps que j’acquis une idée de l’impact réel. Intellectuellement, je savais à quel point c’était commun, mais je n’avais jamais pensé que cela pouvait arriver à mes amies — en particulier à des femmes en bonne santé, dans la vingtaine, et qui ont tout fait « correctement ». De même, alors que je savais que la perte d’un bébé était une chose triste à se produire, le fait que ce sont des bébés que j’aurais aimé visiter, auxquels j’aurais donné des cadeaux, et dont les mères sont des amies qui vivent encore avec les pertes, fait de cette situation quelque chose de beaucoup plus réel et dévastateur.
À la suite de cette étude, beaucoup de femmes ont partagé courageusement leurs expériences, certaines d’entre elles auraient difficilement trouvé du crédit auprès si elles ne faisaient pas écho de ce que j’avais entendu de mes amies.
Une des choses les plus difficiles à entendre est l’indifférence et la froideur que nombreuses femmes reçoivent de la part des professionnels de la santé. Les femmes racontent ne pas avoir reçu de soins de suivi ou de conseils et avoir entendu leur bébé décrit comme un « produit » ou du « contenu » [d’utérus].
En réponse à cette nouvelle étude, mon amie Emma a décrit son expérience dans un récent post Facebook :
Lire la suiteJe n’ai que du respect pour les hommes et les femmes qui ont pris soin de moi pendant ma grossesse extra-utérine, l’opération d’urgence subséquente, puis la fausse couche. Je sais que nos infirmières et nos médecins sont incroyablement occupés et surchargés et il est difficile d’établir un lien émotionnel avec chaque patient que vous voyez - et encore moins trouver de la sympathie pour quelque chose que vous voyez littéralement tous les jours et que vous savez être, a) commun et b) inévitable. Mais... les souvenirs demeurent. Je me souviens de toutes les phrases désinvoltes qui m’ont blessée — quelqu’un a même essayé d’utiliser la phrase « tas de cellules » avec moi — ainsi que de toutes les actions qui semblaient signifier que mon bébé et moi n’étions pas une priorité. Je me souviens d’avoir crié à quelqu’un que mon bébé était en train de mourir quand je sentis que le sang ruisselait dans mes leggings. J’étais désespérée de comprendre ce qui se passait et comment cela pouvait m’arriver... Elle me tendit un tampon et m’a dit d’aller régler ça aux toilettes.
Les néerlandaises peuvent maintenant enregistrer leurs bébés avortés en tant que personnes
Par Jonathon van Maren ― traduit par Campagne Québec-Vie ― Photo : Lynn Greyling/PublicDomainPictures
26 avril 2019 (LifeSiteNews) ― En février 2019, la loi néerlandaise a officiellement changé d'une manière qui s'avère beaucoup plus importante que ce qui avait été prévu initialement. En réponse à une pétition signée par 82 000 personnes, le gouvernement permet maintenant aux gens d'enregistrer leur enfant mort-né comme personne légale dans la Base de données des dossiers personnels, ce qui n'était pas permis auparavant. La pression en faveur de ce changement avait été menée par des mères qui souhaitaient que leurs enfants décédés avant la naissance soient reconnus comme personnes de valeur.
Ce à quoi le gouvernement ne s'attendait pas, c'est qu'une jeune femme qui regrettait profondément d'avoir avorté, soit donc venue faire enregistrer son enfant avorté comme personne légale, ce qu'elle a pu faire puisque les mères peuvent maintenant demander une reconnaissance pour les enfants qui sont morts avant la naissance. Le petit enfant de Yara, qui est mort à quatorze semaines dans une clinique d'avortement d'Amsterdam, était évidemment admissible. Tout parent peut déclarer un enfant décédé avant la naissance, quelle que soit la période de temps, et l'enfant décédé est alors ajouté à la « liste des personnes » néerlandaises à côté des informations concernant le(s) parent(s). Cela signifie que le nom de l'enfant apparaît également sur le site internet officiel du gouvernement, ainsi que sur le registre de population pour les personnes.
La mère en deuil était représentée par Don Ceder, un jeune avocat néerlandais d'origine ghanéenne qui figurait sur la prestigieuse liste "30 under 30" de Forbes et qui est également conseiller municipal du Parti union chrétienne à Amsterdam. Yara s'est adressée à M. Ceder lorsqu'elle a appris que la loi avait changé, estimant que si elle pouvait enregistrer son bébé en tant que personne légale, cet acte symbolique et puissant serait un pas en avant important dans son processus de deuil. Après avoir examiné la loi, M. Ceder a découvert qu'il n'y avait aucune raison qu'un enfant avorté ne puisse pas être enregistré. Le nouveau règlement ne précise pas la cause du décès ou le nombre de temps que la grossesse doit avoir durer comme facteurs selon lesquels l’enfant peut être enregistré, bien qu'on puisse dire sans risque de se tromper que la contradiction cognitive avec laquelle nous traitons la vie prénatale dans l'utérus a probablement provoqué un choc total dans ce scénario particulier.
Lire la suiteLa mère d’un bébé ayant vécu seulement deux minutes dit que sa fille « était absolument parfaite »
Erin O’Hara avec son bébé Freya.
Par la Society for the Protection of Unborn Children — traduit par Campagne Québec-Vie
L’avortement « n’a jamais été une option pour nous, pas même une seconde. »
La mère d’un enfant à naître atteint d’une malformation congénitale mortelle a décrit comment leur rejet de l’avortement leur a donné, à son mari et à elle, des moments précieux avec leur fille.
L’histoire de bébé Freya et de ses courageux parents a attiré l’attention des médias en octobre, lorsque la mère a parlé de leur décision de garder Freya jusqu’à sa naissance, malgré son diagnostic d’anencéphalie. Ce couple d’Irlande du Nord, Erin O’Hara et Jamie McCormick, a reçu de nombreux messages d’amitié et d’encouragement de partout dans le monde.
« Je referais la même chose, sans hésitation »
Erin a expliqué que sa fille, Freya Anne O’Hara-McCormick a vécu deux minutes après sa naissance prématurée, le 7 décembre 2018.
L’état de Freya a causé des complications à sa mère pendant sa grossesse et beaucoup de douleur durant les dernières semaines. « La douleur était terrible, mais je referais la même chose, sans hésitation, si je savais que je verrais Freya de nouveau », a dit Erin.
La mère en deuil a aussi raconté les minutes précieuses de la vie de sa fille. « Elle était absolument parfaite, en tout. Nous aurions tout donné pour la garder plus longtemps, mais je suis heureuse qu’elle n’ait pas souffert et qu’elle soit partie en paix. »
« Dans ces derniers moments, elle m’a regardé avec un œil ouvert, fixant mon œil, tenant le doigt de son père, et écoutant le son familier de mes battements de cœur. Je garderai ce souvenir d’elle pour toujours. »
Lire la suiteVoici le « produit » d’une fausse couche à 7 semaines de gestation. Un bébé, un tout petit d’homme parfaitement reconnaissable
Embryon à 7 semaines de grossesse dans une tasse en plastique.
Par Reinformation.tv — Photo : Save the Storks/Facebook
C’est une maman éblouie par la finesse de son enfant à naître, heureuse d’avoir pu le voir après l’avoir perdu, qui a mis cette image en ligne.
Karla l’a accompagnée d’un mot pour dire que cette photo était la meilleure illustration de ses convictions pro-vie :
« L’image n’est pas très nette mais je pouvais voir ses minuscules doigts, son petit cerveau, ses tout petits yeux, et je pouvais voir comment il pouvait ouvrir la bouche. Tu es dans nos cœurs à jamais, mon bébé ! J’espère pouvoir un jour d’embrasser très très fort. »
Un « amas de cellules » ? Jugez par vous-même…
A sept semaines de gestation [...] l’avortement est légal sans conditions en France. On le considère même comme un « droit de la femme »…
Une famille montre des photos saisissantes de leur bébé né à 19 semaines
Zane James McFarlane, Shelby Wixo sa mère et Kaden McFarlane son père.
Par Nancy Flanders (LiveActionNews) — traduit par Campagne Québec-Vie — Famille McFarlane/Facebook
Zane James McFarlane, bébé de Shelby Wixo et Kaden McFarlane, est né le 8 janvier 2017 à seulement 19 semaines de grossesse. Zane pesait 8,5 oz (241 g) et n’a vécu qu’une minute en dehors du ventre de sa mère. Un membre de la famille a partagé les photos sur Facebook et avec le blogue Life Defenders.
Bébé Zane est né prématurément à 19 semaines de grossesse.
Lire la suiteUne mère montre les photos de son minuscule bébé, né d'une fausse couche à 14 semaines : « De toute évidence, il est humain »
Les pieds de Japeth
Par Kelli (LiveActionNews) traduit par Campagne Québec-Vie
«De toute évidence, il est humain, il n’est pas une grappe de cellules, ni un amas de tissus, ni une boule de chair».
Felicia Cash et son mari ont lutté contre la stérilité pendant 13 ans avant de décider de devenir les parents adoptifs de trois petites filles, toutes des sœurs, qu'ils adopteront deux ans plus tard. Mais à leur plus grande surprise, Felicia a déclaré à Live Action News, « Le matin, après avoir signé les documents d'adoption en Cour, nous avons constaté que nous attendions un bébé. Huit mois plus tard, notre fils aîné est né. Puis quelques années après, nous avons été bénis de l'arrivée d'un autre».
Felicia a toujours eu une passion pour le message pro-vie. Au cours de sa dernière année de lycée, alors que les avortements par naissance partielle avaient été rendus illégaux, elle a participé à des débats sur le sujet de l'avortement. Atteignant l'âge adulte, elle a transposé sa passion sur les média sociaux, diffusant les messages pro-vie sur Facebook.
Mais elle n’avait jamais pensé que les questions entourant le caractère sacré de la vie, la toucheraient d’une telle façon.
Lire la suiteUne mère partage des images de sa fille décédée d’une fausse couche à 17 semaines de gestation
Nancy Flanders (LiveActionNews) - traduit par Campagne Québec-Vie
À 17 semaines de gestation, Miranda et son mari ont appris que le cœur de leur fille ne battait plus. Le couple a été dévasté par la perte, et ils désirent que la vie courte de leur fille ait un sens et un but au-delà de leur propre amour pour elle. Les membres de LifeNews ont partagé l'histoire de la vie de leur fille, en espérant qu’elle aidera les femmes qui envisagent d’avoir un avortement de choisir la vie.
Pendant sa grossesse, Miranda a développé le ‘placenta accreta,’ une condition dangereuse dans laquelle le placenta pousse trop profondément dans le mur utérin. La condition est rare et a causé la mort de son bébé et mis la vie de Miranda en péril.
"J'ai livré ma fille le 11 septembre 2016," a-t-elle déclaré à LifeNews. "J'ai pu passer environ quatre heures avec son petit corps, faisant son deuil avec mon mari, avant que les choses ne commencent à devenir mauvaises. Le docteur et moi avons essayé de délivrer mon placenta, mais nos efforts ont été vains. Après une chirurgie de 30 minutes transformée en heures, sept unités de sang et le retrait de mon utérus et de l'ovaire droit, j'ai finalement été stabilisée et transportée par avion au Sacré-Coeur à Pensacola, en Floride, où j'ai continué à récupérer.
Lire la suite