Des lanceurs d’alerte dans le gouvernement américain dénoncent une hausse de fausses couches depuis le lancement des vaccins covid
Thomas Renz.
Par Patrick Delaney — Traduit par Campagne Québec-Vie
26 janvier 2022 (LifeSiteNews) — Trois lanceurs d’alerte du ministère américain de la Défense (DOD) ont déclaré que, sur la base de données gouvernementale secrète, il y a eu une augmentation alarmante des cas de cancer, de myocardite et de fausses couches depuis le lancement des vaccins expérimentaux COVID-19.
Cette annonce a été faite par Thomas Renz, avocat spécialisé dans les droits à la liberté médicale, au cours d’une brève présentation lors d’un débat au Sénat américain organisé par le sénateur Ron Johnson (républicain-Wisconsin) lundi. L’événement était intitulé « COVID-19 : A Second Opinion », et a accueilli une douzaine d’experts médicaux, dont les docteurs Peter McCullough, Harvey Risch, Pierre Kory et Robert Malone.
L’avocat basé dans l’Ohio, qui reste impliqué dans plusieurs poursuites majeures intentées contre des agences fédérales pour fraude et violation des droits à la liberté médicale, a commencé par préciser qu’il avait reçu des déclarations formelles sous peine de parjure de la part des trois lanceurs d'alerte.
« Nous avons des données substantielles montrant, par exemple, que les fausses couches ont augmenté de près de 300 pour cent par rapport à la moyenne sur cinq ans. Nous avons constaté une augmentation de près de 300 % des cancers par rapport à la moyenne sur cinq ans », a déclaré M. Renz.
En ce qui concerne les « problèmes neurologiques ─ qui affecteraient nos pilotes ─ [les données montrent] une augmentation de plus de mille pour cent ! … 82 000 par an à 863 000 en un an. Nos soldats font l’objet d’expériences, sont blessés et parfois même tués ».
Remerciant Kory d’avoir fait une référence antérieure à la corruption, Renz a affirmé : « C’est précisément ce dont il s’agit. Ils connaissent ces [informations] ».
Pour renforcer son propos, l’avocat a évoqué des informations provenant du « Project Salus », un système du ministère de la Défense qui intègre de multiples flux de données à des fins d’analyse.
Lire la suite« Aucun mot ne peut décrire ma douleur » : une mère a perdu son bébé à naître cinq jours après la 2e dose de Pfizer
Stephanie Whitmore.
Par Emily Mangiaracina — Traduit par Campagne Québec-Vie
13 janvier 2022 (LifeSiteNews) — Une mère australienne a raconté ce mois-ci que cinq jours après qu’elle ait reçu une deuxième dose du vaccin Pfizer, sa petite fille à terme est morte in utero d’une hémorragie cérébrale.
Stephanie Whitmore a déclaré qu’elle partage son histoire parce qu’elle « était tout à fait favorable » à l’injection COVID, mais elle pense que l’injection de Pfizer est la cause du décès de sa fille Isabella.
Stephanie Whitmore a raconté par écrit comment elle a suivi le conseil de ses médecins de se faire vacciner contre le COVID afin de « protéger sa famille et son bébé », et a reçu sa première dose du vaccin Pfizer le 13 septembre 2021. À ce moment-là, elle « n’a eu aucune réaction ».
Le 4 octobre 2021, elle a reçu sa deuxième injection Pfizer. « Mon bébé était en bonne santé et parfait tout au long de ma grossesse », a-t-elle écrit. « Elle devait naître n’importe quand maintenant, deux jours après ma deuxième dose de vaccin Pfizer ».
Whitmore a partagé une vidéo racontant ce qui s’est passé : « J’ai eu mon rendez-vous à 36 semaines, une semaine avant sa mort. Elle avait la “tête en bas, donc elle était prête à venir” ».
Peu de temps après, Whitmore a remarqué qu’Isabella avait cessé de bouger, et elle est allée à l’hôpital pour voir si quelque chose n’allait pas. Ils ont d’abord vérifié les battements de son cœur et ont constaté qu’il « battait bien », et Whitmore a « ressenti un sentiment de soulagement ».
Lire la suiteLes documents secrets de Pfizer : le vaccin covid a provoqué quantité de fausses couches et de mortinaissances
Par Celeste McGovern — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Africa Studio/Adobe Stock
23 décembre 2021 (LifeSiteNews) — La semaine dernière, Maya Vander, actrice vedette de Netflix, a raconté à ses admirateurs la douleur qui l’a dévastée d’avoir accouché d’un bébé mort-né à 38 semaines de grossesse le 9 décembre 2021.
« Hier a été le jour le plus difficile de ma vie », a posté Vander, 39 ans, sur Instagram, avec une photo de nouveaux vêtements de bébé dans une boîte à souvenirs qu’elle ramenait de l’hôpital à la place de son petit garçon. « J’en ai toujours entendu parler mais je n’ai jamais imaginé que je ferais partie des statistiques ».
Vander, un agent immobilier de Beverly Hills qui joue dans l’émission « Selling Sunset », avait posté en novembre une photo d’elle lors d’un tournage de grossesse et elle semblait l’image de la santé. Décrite comme « entièrement vaccinée » par le magazine US, Mme Vander a deux autres enfants : Aiden, deux ans, et sa fille Elle, un an.
Après sa perte, elle a écrit dans le magazine Insider qu’elle avait ressenti une diminution des mouvements du bébé quelques jours avant d’apprendre son décès et que son mari et ses deux enfants étaient positifs au COVID, alors qu’elle avait été testée négative. Elle a déclaré que le bébé, qui était « parfait » et pesait trois kilos et quatre onces, sera autopsié.
La perte de Vander a fait l’objet d’un grand nombre de reportages compatissants, mais aucun article n’a osé poser les questions brûlantes : les injections de vaccin COVID pendant sa grossesse ont-elles eu un rapport avec la mort de ce bébé ? Ou bien, le COVID avait-il quelque chose à voir avec la mort du bébé et le vaccin COVID aurait-il échoué ?
Les données que Pfizer ne voulait pas que vous voyiez
Lorsqu’un groupe appelé Public Health and Medical Professionals for Transparency a demandé à Pfizer de partager les données brutes des essais du vaccin COVID et de la surveillance post-commercialisation qui ont été utilisées pour homologuer l’injection, le géant pharmaceutique s’est associé à la Food and Drug Administration (FDA) pour refuser les demandes de Freedom of Information Act (FOIA). En fait, la FDA (censée servir et protéger la santé publique) a engagé des avocats du ministère de la Justice et est allée en justice pour éviter au géant pharmaceutique de devoir révéler ses données ─ pendant 55 ans. C’est exact. La FDA et Pfizer ne voulaient pas que quelqu’un voie les chiffres derrière leur vaccin COVID avant 2076.
Lire la suiteDes études montrent que les complications liées à l’avortement sont fréquentes
Par Sarah Terzo (LiveActionNews) Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : motortion/Adobe Stock
Dans ses mémoires, l’ancienne avorteuse Dr Patti Giebink, parle des complications de l’avortement. Elle décrit les répercussions de l’avortement sur les organes reproducteurs de la femme, ce qui révèle à quel point il est vraiment facile de blesser une femme :
Le premier passage avec la canule d’aspiration permet idéalement de recueillir tous les tissus ─ la plupart, sinon tous. Une curette (un instrument en forme de cuillère [dont les bords sont tranchants]) est utilisée après l’aspiration... Un grattage trop fort laisse des cicatrices. Si l’on gratte trop doucement, les tissus laissés derrière peuvent provoquer une infection et des saignements...
Une fois que la cavité utérine est propre et que tous les instruments chirurgicaux ont été retirés de la patiente, l’utérus devrait visiblement se contracter pour retrouver sa taille normale. Si ce n’est pas le cas, il y aura des saignements, ce qui signifie que des tissus sont restés en place ou, pire, que l’utérus pourrait être perforé. [1]
Tissus retenus, infection et hémorragie
Dans son rapport de 2018 sur la sécurité de l’avortement, l’Académie nationale des sciences, de l’ingénierie et de la médecine a déclaré que 8 % des avortements par aspiration laissent des tissus derrière eux. Selon elle, ce chiffre est « lié à la gestation, à l’expérience du médecin et à l’utilisation ─ ou non ─ d’un guidage par ultrasons ». [2]
Les tissus retenus peuvent provoquer une infection. L’étude intitulée « Prevention of infection after induced abortion » (Prévention de l’infection après un avortement provoqué), publiée dans la revue « Contraception », indique que 30 % des décès liés à un avortement sont dus à des infections. Une étude a révélé que le taux d’infection après un avortement était de 5,8 % si la femme recevait des antibiotiques et de 9,4 % si elle n’en recevait pas. [3] Une étude britannique intitulée « A randomised comparison of strategies for reducing infective complications of induced abortion » [Comparaison randomisée de stratégies visant à réduire les complications infectieuses de l’avortement induit] a révélé un taux d’infection de 5-10 %.
Lire la suiteMgr Viganò met en garde les évêques américains contre les vaccins du covid
Mgr Carlo Maria Viganò.
Par Jacques T. (Le Forum Catholique)
Traduction d’une nouvelle intervention de Mgr Viganò, concernant les dangers de la vaccination anti-Covid, ayant été publiée par LifeSiteNews :
Mgr Viganò met en garde les évêques américains contre le vaccin du Covid : la grande réinitialisation veut « des milliards de personnes souffrant de maladies chroniques »
Le silence de tant de cardinaux et d’évêques, ainsi que la promotion inconcevable de la campagne de vaccination par le Saint-Siège, représentent une forme de complicité sans précédent qui ne peut plus durer.
26/10/2021
Note de la rédaction : Mgr Carlo Maria Viganò a décidé de rendre publique une lettre du 23 octobre envoyée au Cardinal Luis F. Ladaria SJ, Préfet de la Congrégation pour la Doctrine de la Foi, Mgr José Gómez, Président de la Conférence des évêques catholiques des États-Unis, ainsi qu’à tous les évêques des États-Unis d’Amérique.
*
Éminences,
Excellences,
J’adresse à vous, Mgr Gómez, en tant que Président de la Conférence des évêques catholiques des États-Unis, et à vous, Cardinaux Ladaria et Müller, pour votre compétence, quelques considérations sérieuses liées aux soi-disant vaccins contre le Covid-19.
Je pense que certains aspects de la question permettent désormais une évaluation plus complète de ce que sont ces médicaments et de leurs effets ; cette évaluation doit conduire à une position collégiale, conforme au Magistère de l’Église et non influencée par des informations biaisées ou par des informations erronées diffusées par les producteurs de ces drogues ou par les médias.
Lire la suiteSe faire vacciner pour pouvoir aller à la messe ?
Par la Revue En Route — Photo : stokkete/AdobeStock
Les aspects religieux et moraux de cette réponse ont été vérifiés et approuvés par l’abbé J.-Réal Bleau, docteur en théologie.
Se faire vacciner pour pouvoir aller à la messe ?
Question : Jusqu’à maintenant, j’ai refusé le vaccin anti-Covid. Mais on parle de plus en plus de l’obligation d’être vacciné pour pouvoir accéder aux églises, à la Messe, aux sacrements. Dans ce cas, ne serait-il pas permis de me faire vacciner, même si je sais que ce vaccin est mauvais ? Si j’en meurs ou que j’ai des séquelles graves, ne serait-ce pas considéré par Dieu comme un martyre, puisque je me serai fait vacciner pour pouvoir continuer à pratiquer ma religion ?
Réponse : La situation semble ne nous laisser le choix qu’entre deux maux : nous faire vacciner sachant que cela est immoral, ou ne plus avoir accès aux sacrements.
Cependant, pour qu’il y ait péché, il faut que la volonté participe au geste. Donc, à moins que l’on ne me force physiquement à recevoir la piqûre, si j’accepte de me faire vacciner j’engage ma volonté.
Par contre, si on me prive injustement de l’accès aux sacrements parce que je refuse de poser un geste qui va contre ma conscience (me faire vacciner), sachant très bien que s’il n’en dépendait que de moi j’irais à la Messe, me confesser… : dans ce cas, il n’y a pas de péché de ma part puisque cette situation se produit contre ma volonté. Dieu le sait et Il n’est pas offensé du fait que je ne reçoive pas les sacrements ni ne participe à la Sainte Messe.
Dans ce cas, Il passe par d’autres voies pour m’octroyer ses grâces.
Il faut distinguer entre martyre et suicide ! Le martyre est agréable à Dieu, pas le suicide. Ici, c’est la privation injuste des sacrements qui constitue le martyre des fidèles et non pas le fait d’accepter un « vaccin » immoral et nocif.
Il faut garder à l’esprit que l’on ne peut pas honorer Dieu — le Bien suprême — en commettant le mal.
Dans l’Ancien Testament, et chez les Aztèques, des gens immolaient leurs propres enfants aux idoles, pour obtenir leurs faveurs. Plus tard, les cathares ont prétendu plaire à Dieu en pratiquant le suicide par la faim… Lors de la Révolution française, des prêtres ont prêté un serment schismatique pour pouvoir continuer leur ministère… L’histoire regorge de déviations similaires.
« Il n’est pas permis
de faire le mal
pour qu’il en résulte
un bien. »
(CEC n°1756)
Un hôpital de l’État de New York ferme sa maternité car un grand nombre d’infirmières refuse de se faire vacciner au covid
Par Jack Bingham — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : rh2010/AdobeStock
A-t-on jamais vu quelque chose de plus stupide que de fermer une maternité parce qu’un grand nombre d’infirmières refuse de se faire injecter un vaccin covid ? En tout cas, c’est ainsi que le gouvernement new-yorkais prétend prendre soin de la santé de ses administrés, en retirant des services de santé… — A. H.
Lowville, New York, 13 septembre 2021 (LifeSiteNews) — Des infirmières refusant de se soumettre au vaccin expérimental COVID-19 ont conduit un hôpital du nord de l’État de New York à fermer son service de maternité à partir du 25 septembre.
« Nous ne sommes pas en mesure d’assurer la sécurité du service [de soins de maternité] après le 24 septembre », a déclaré le Directeur général du système de santé du comté de Lewis, Gerald Cayer, lors d’une conférence de presse vendredi. « Si nous pouvons mettre le service en pause et nous concentrer maintenant sur le recrutement d’infirmières vaccinées, nous pourrons à nouveau mettre au monde des bébés ici, dans le comté de Lewis. »
L’État de New York a exigé que tous les travailleurs de la santé reçoivent au moins une injection du vaccin contre le COVID-19 d’ici le 27 septembre. Sinon, ils ne pourront plus travailler.
Selon M. Cayer, 165 des 464 employés de l’hôpital n’ont pas été vaccinés, et 30 ont officiellement démissionné en raison de l’obligation vaccinale.
Le service de maternité à lui seul a connu six démissions. Sept autres infirmières du service restent « indécises » quant à leur volonté de se conformer à l’ordre de l’État.
Le Lewis County Health System n’a pas répondu à la demande de commentaires de LifeSite sur les raisons pour lesquelles un grand nombre d’employés ont décidé de ne pas se faire vacciner.
De nombreux scientifiques ont trouvé des preuves que les injections de COVID-19 ont un impact négatif sur la santé des femmes en âge de procréer et sur la santé des nouveau-nés.
Le Système de notification des événements indésirables liés aux vaccins (VAERS) du gouvernement a montré qu’en juillet, un nourrisson de 6 semaines est mort de caillots sanguins et d’une « inflammation sévère des artères » après que sa mère, qui l’allaitait, eût reçu le vaccin COVID-19 de Pfizer.
La mère avait reçu sa première dose le 4 juin et son bébé a commencé à avoir une forte fièvre peu après. L’hôpital, qui a tenté d’aider le bébé, n’a pas réussi à établir un diagnostic ni un plan de traitement adéquat, et le nourrisson est décédé le 17 juillet.
Lire la suiteEffets secondaires des vaccins covid sur les femmes enceintes : fausses couches
Par Francesca de Villasmundo (Médias Presse Info) — Photo : rh2010/AdobeStock
L’Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) dans un rapport de plusieurs dizaines de pages publié aujourd’hui prévient les personnes vaccinées de certains effets indésirables sous surveillance par la pharmacovigilance des vaccins.
Les quatre injections expérimentales contre le covid sont répertoriées, soit Janssen, vaccin à vecteur viral, Covid-19 Vaccine Moderna, vaccin à ARNm, Vaxzevria, le nouveau nom d’Astrazeneca, vaccin à vecteur viral, et Comirnaty, le nouveau nom du produit de BioNTech et Pfizer, vaccin à ARNm.
Parmi les nombreux effets indésirables de ces différents « vaccins » est signalée la mort in utero, ce qui n’est pas rien, ainsi que « les fausses couches spontanées » qui « représentent la majorité des effets indésirables enregistrés dans la BNPV » pour les femmes enceintes.
On peut noter aussi que les tranches d’âge qui connaissent le plus d’effets secondaires, graves et non graves, sont celles en dessous de 65-70 ans, c’est-à-dire les populations qui ont le moins de risque de mourir du covid. Les 30-49 ans sont particulièrement affectés par ces événements post-vaccinaux.
Curieusement, ces avertissements destinés au grand public ne sont pas relayés de façon visible par les autorités ni les médias mainstream…
Les médecins de la conférence Stop the Shot : les femmes enceintes ne devraient jamais se faire vacciner au covid
Par David McLoone — Traduit par Campagne Québec-Vie
Vendredi 20 août 2021 (LifeSiteNews) — Depuis près d’une décennie, les scientifiques savent que les vaccins à ARNm mettent en danger la fertilité.
Des recherches menées dès 2012 montrent que la technologie qui sous-tend les injections expérimentales de COVID-19 peut entraîner des problèmes critiques de fertilité et de grossesse, a déclaré le Dr Elizabeth Lee Vliet lors de la deuxième conférence « Stop the Shot ». La réunion en ligne a été diffusée en continu le 19 août par LifeSiteNews.
Vliet, la présidente de Truth for Health Foundation [Fondation vérité pour la santé], et d’autres médecins et experts médicaux se sont réunis à nouveau hier pour discuter de recherches scientifiques datant de 2012 et 2018, redécouvertes et évaluées par les pairs. Ils ont également présenté de nouvelles preuves, provenant de lanceurs d’alerte, qui montrent que la technologie sous-jacente aux injections expérimentales de COVID-19 nuit à la fertilité et à la grossesse. Personne d’autre ne l’a signalé au public.
Lors de son discours d’ouverture, Mme Vliet a mis en avant une étude évaluée par des pairs datant de 2018, selon laquelle les nanoparticules, utilisées dans la technologie des piqûres d’ARNm, « peuvent perturber les niveaux d’hormones sécrétées, entraînant des changements dans le comportement sexuel », car les nanoparticules « peuvent traverser la barrière sang-testicule, la barrière placentaire et la barrière épithéliale, qui protègent les tissus reproducteurs ».
Voici l’un des nombreux effets possibles [du vaccin] : les cellules immunitaires humaines se retrouveront « entraînées à attaquer » une protéine absolument vitale pour une grossesse réussie, a averti Mme Vliet, « ce qui pourrait causer des fausses couches, des malformations congénitales et de l’infertilité » après la vaccination anti-covid.
Le Dr Mike Yeadon, ancien vice-président de Pfizer et fervent critique des vaccins expérimentaux actuellement disponibles, a souligné que, pour de bonnes raisons scientifiques et médicales, « nous ne donnons jamais de traitements médicaux expérimentaux aux femmes enceintes ».
Lire la suiteUn prêtre aux évêques du Canada : il est temps de rouvrir pleinement les églises
Par le Père Louis Di Rocco — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : magdiel macoquis/Pixabay
18 juin 2021
Il est temps que les évêques du Canada déclarent unilatéralement et à l’unisson que les églises catholiques rouvriront au maximum de leur capacité, immédiatement et sans restriction. C’est urgent. Il faut le faire avant que nos droits religieux et civils ne soient complètement érodés et que votre autorité ne soit irrémédiablement sapée.
À mon avis, il n’y a pas d’urgence pandémique maintenant et il n’y en a jamais eu. Nous avons été trompés.
Dès le début, une panique et une peur extrêmes ont été créées par diverses forces, notamment les gouvernements, les médias, les organisations privées et les grandes entreprises technologiques.
Pour la plupart des gens, il n’y a aucun danger lié au Covid-19. Des milliers de médecins du monde entier ont témoigné que la grande majorité de la population n’a rien à craindre (la principale exception étant les personnes âgées présentant des comorbidités préexistantes).
En outre, il existe des méthodes de prévention et de traitement de l’infection très efficaces et peu coûteuses. Malheureusement, ces méthodes ont été délibérément supprimées, voire interdites. Qui sait combien de vies auraient pu être sauvées si le bon sens avait prévalu ?
En Ontario, l’Ordre des médecins et des chirurgiens a intimidé les médecins. Il a été interdit aux médecins de faire des déclarations critiquant les mesures imposées par les autorités, telles que le port du masque, la vaccination et le confinement, ou faisant la promotion de traitements « non validés » pour le Covid-19.
La plupart des églises ont appliqué les décrets tels que le port du masque et même la fermeture des églises, empêchant ainsi les fidèles d’assister à la messe et limitant même parfois sévèrement l’accès aux autres sacrements. De manière injuste et discriminatoire, le nombre de personnes autorisées par le gouvernement dans les églises a été beaucoup plus faible que le nombre de personnes autorisées dans les commerces considérés comme essentiels tels que les magasins d’alcool et les magasins à grande surface. Il semble que Dieu, l’église et les sacrements aient été jugés non essentiels. Le gouvernement a jugé que l’avortement et l’euthanasie étaient essentiels, mais pas les églises.
Des médecins et d’autres personnes ont souligné les graves dommages collatéraux causés par le confinement, tels que la faillite d’entreprises, la perte de moyens de subsistance, l’augmentation des dépressions, l’isolement social, l’abus d’alcool et de drogues et même la tentation du suicide, ainsi que les dommages psychologiques subis par les enfants et la perte d’apprentissage chez les plus jeunes en particulier.
Il faudra peut-être de nombreuses années aux églises pour retrouver leurs paroissiens. Beaucoup ne reviendront peut-être pas à l’église, certains peut-être parce qu’ils reprochent à leurs chefs et pasteurs de les avoir abandonnés, et d’autres parce qu’ils se sont habitués à ne pas assister en personne à la messe et à la regarder à la télévision. Quand la dispense de l’obligation d’assister à la messe dominicale sera-t-elle levée ?
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