Soros derrière la censure des médias conservateurs?
Blog d'Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie)
Je peux voir de plus en plus d'articles selon lesquels les médias conservateurs sont censurés par les géants des réseaux sociaux comme Facebook; notre expérience corrobore leurs dires, nous connaissons nous-même une baisse inexpliquée de lecteurs. Le WND explique :
Lire la suite«La récente vague de censure des voix conservatrices sur Internet par les géants de la technologie Facebook, Twitter, YouTube et Apple, reflète un plan créé par une coalition de groupes progressistes financés par George Soros pour reprendre le pouvoir sur Washington à l'administration du président Trump.
En janvier 2017, le fondateur de Media Matters, David Brock, a présenté un document confidentiel de 49 pages, pour vaincre Trump en travaillant avec les principales plateformes de médias sociaux à éliminer la "propagande de droite et les fausses nouvelles", lors d'une réunion de réflexion en Floride à laquelle participaient environ 100 donateurs, rapporta le Washington Free Beacon à l'époque.
« Fake news » : l’arme de destruction massive de l’élite libérale
Par Eric Pilon (Le Peuple) — Voici la ou les sources de cet article : Eurolibertés/Voici la source de la photo : CC0
Par la censure des « fake news », médias traditionnels et réseaux sociaux ont trouvé le moyen de museler leurs opposants.
Depuis plusieurs années, on assiste à une reconfiguration de l’espace médiatique, les médias traditionnels n’étant plus les seuls diffuseurs d’information. Certains d’entre eux sont même en déroute, surclassés par des sites en ligne qui jouissent d’une popularité croissante.
Pris de panique par crainte de perdre le contrôle de l’information, ces médias ont dû chercher un moyen de museler cet ennemi redoutable. C’est ainsi que la censure des « fake news » est devenue l’outil de premier plan qui leur permet de discréditer leurs compétiteurs du Web. C’est la thèse développée par l’auteur québécois Rémi Tremblay dans un texte publié sur le site Eurolibertés.
L’élite médiatique avait bien essayé de « couper l’herbe sous le pied » des nouveaux médias en ligne, soutient M. Tremblay, mais la stratégie s’était révélée infructueuse. D’où la tactique qui consiste à les accuser de propager des « fake news ». Et comment risque-t-on d’être accusé de propager des « fake news » ? Simple : « Si un dissident émet une vérité, elle relève automatiquement de la “fausse nouvelle” », nous dit M. Tremblay, « alors que si un média du système émet une contre-vérité, il s’agit tout au mieux d’une erreur de bonne foi ».
Lire la suiteUne image de femme enceinte ? Facebook censure des publicités du site pro-vie LifeSite
Par Clémentine Jallais (Réinformation.TV)
L’affaire devient hallucinante. Le site pro-vie américain LifeSiteNews a vu ses publicités qui montraient des images de femme enceinte, de bébés ou encore d’échographies, purement et simplement refusées. Le réseau social Facebook considère ça désormais comme de la « publicité politique » qui doit donc se conformer à un certain nombre d’impératifs définis par lui-même… Sa censure prégnante avait déjà causé un tort certain aux campagnes de LifeSite. Cette nouvelle politique fait encore pire — d’autant qu’elle est destinée à s’étendre.
Facebook veut « émanciper »… mais selon ses critères. Et la situation se durcit. Non seulement les gens se trouvent empêchés, sans même le savoir, d’accéder à des informations désirées. Mais, de plus en plus, ils en subiront d’autres, passablement orientées.
L’avortement fait partie des contenus politiques selon Facebook
De fait, LifeSiteNews s’est trouvé confronté aux nouvelles règles établies par Facebook le 24 mai dernier. Selon lesquelles toute page Facebook promouvant (en payant) du contenu politique sur la plate-forme devra suivre les règles de la plate-forme pour les « annonces avec du contenu politique », notamment divulguer la source de financement et observer tout un processus d’autorisation relativement lourd. Ces annonces seront également archivées pendant sept ans dans une base de données consultable publiquement.
Lire la suiteL’étau se resserre-t-il autour du bon usage de la liberté d’expression?
Par Patrice Hans-Perrier (Le Peuple) — Voici la ou les sources de cet article : La Presse n° 1, n° 2, Centre de la sécurité des télécommunications/Voici la source de la photo : CC0
Facebook, avec l’Agence France-Presse (AFP), lancera bientôt un outil dédié à la lutte aux « fausses nouvelles » au Canada.
Le gouvernement canadien promettait, au sortir du Sommet économique mondial de Davos, en janvier 2017, de lutter contre les « fausses nouvelles » et avait mandaté Mélanie Joly, ministre du Patrimoine canadien, pour qu’elle organise des rencontres « informelles » avec plusieurs leaders de la presse et des médias sociaux.
Par la suite, l’équipe Trudeau n’a pas pris de temps pour mettre en action son plan de match à l’effet de mettre en branle une concertation serrée avec les géants de l’information, incluant Facebook aux premiers rangs.
Facebook prend les devants
Le journal Le Peuple soulignait d’ailleurs, en décembre dernier, que Kevin Chan, directeur des politiques publiques au sein de la compagnie Facebook, avait déjà rencontré des ministres du cabinet Trudeau dans le courant de l’année 2017. Il appert que M. Chan aurait participé à plusieurs rencontres auxquelles assistait une brochette de ministres canadiens.
Lire la suiteFacebook devant le Sénat américain : la plateforme entraverait la diffusion des sites conservateurs
Par Matthieu Lenoir (reinformation.tv)
L’audition de Mark Zuckerberg devant le Sénat américain mardi a permis de mesurer le degré de parti pris du média social mondial faussement neutre. Si, sous le feu des questions de Ted Cruz et Ben Sasse, Mark Zuckerberg a concédé que Facebook ne devrait pas censurer les opinions pro-vie, il s’est vu publiquement asséner les preuves montrant que sa plateforme entravait la diffusion des sites conservateurs en les qualifiant de « dangereux pour la société ». Le préjugé nihiliste et libéral-libertaire de Facebook ne surprendra personne quand on sait que des dizaines d’anciens membres des équipes de campagne de Barack Obama ou d'Hillary Clinton ont été recyclés dans ses équipes, et que Facebook a collecté des quantités de données personnelles de ses utilisateurs, sans leur accord, pour servir de fichiers à Carol Davidsen, membre de l’équipe électorale d’Obama en 2012.
Mark Zuckerberg, au Sénat sur fond d’une série de scandales accablant Facebook
L’audition de Mark Zuckerberg, dont le visage impassible de cyborg émettait des phrases façon intelligence artificielle, se déroulait sur fond de scandales de censure. Un blog vidéo conservateur, Diamond and Silk, tenu par deux sœurs noires de Caroline du Sud, Lynette Hardaway et Rochelle Richardson, suivi par des millions d’abonnés, a été « démonétisé » par Facebook sous prétexte qu’il n’était « pas adapté à tous les annonceurs publicitaires ». Les protestations des auteurs du site ne reçurent de réponse que « six mois, 29 jours, cinq heures, 40 minutes et 43 secondes » après protestation. Raison invoquée par les censeurs gauchistes de Facebook : « Site dangereux pour la société », décision « définitive et non susceptible d’appel ». Il fallut une série de reportages pour que Facebook reconnaisse que son message était « inapproprié ». Un mea culpa que les deux sœurs n’ont du reste jamais personnellement reçu.
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