Zuckerberg admet qu'il y avait «clairement un parti pris» dans la «vérification» par Facebook d’un groupe pro-vie
Mark Zuckerberg.
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) ― Photo :
On se doutait déjà d’un certain parti pris dans l’attitude de Facebook par rapport aux groupes pro-vie, bien avant que M. Zuckerberg ne nous l’avoue. Extrait de LifeSiteNews :
Le fondateur de Facebook, Mark Zuckerberg, a admis qu'un parti pris a joué un rôle dans la récente suppression de contenu de Live Action sur Facebook, basée sur la parole d'une paire de militants de l'avortement, a déclaré le sénateur républicain Josh Hawley du Missouri après une réunion au Capitole avec Zuckerberg, mais celui-ci refuse de soumettre cette question à un contrôle véritablement indépendant.
Plus tôt ce mois-ci, Facebook a avisé le groupe pro-vie qu'il serait assujetti à « une distribution réduite et à d'autres restrictions en raison de propagation répété de fausses nouvelles », une décision prise parce qu'une paire d'avorteurs affiliés aux groupes pro-avortement Advancing New Standards in Reproductive Health (ANSIRH) et Physicians for Reproductive Health ont contesté deux des vidéos du groupe pro-vie. Live Action a répondu en expliquant en détail comment les deux avorteurs ont déformé les vidéos en question dans leurs propos.
La semaine dernière, Hawley et trois autres sénateurs républicains ont envoyé une lettre au fondateur de Facebook, Mark Zuckerberg, faisant remarquer que l'incident viole la politique du réseau social qui stipule de faire certifier l'impartialité des vérificateurs par le biais du International Fact-Checking Network (IFCN) (Réseau international de vérification des faits), et demandant une vérification externe. Le mois dernier, Facebook a publié le premier rapport d'une équipe de vérification qu'elle a engagée, que les sénateurs ont qualifié de « simple résumé des plaintes contre Facebook et ses réponses ».
Jeudi, Zuckerberg a rencontré Hawley pour discuter de la question, après quoi ce dernier a tweeté que le fondateur de Facebook a reconnu qu'il y avait « clairement un parti pris » dans l'affaire, ce qui est : « un problème avec lequel nous avons lutté depuis longtemps ». Cependant, Zuckerberg a refusé d'ouvrir Facebook à un « vérificateur tiers parti indépendant sur la question de la censure ».
Facebook censure une citation de saint Augustin comme «discours haineux»
Saint Augustin.
Par Dorothy Cummings McLean — traduit par Campagne Québec-Vie
Californie, 15 juillet 2019 (LifeSiteNews) — La décision de Facebook d’interdire une citation pacifique de saint Augustin d’Hippone, théologien et philosophe catholique du Ve siècle, n’a pas manqué de surprendre un auteur catholique.
Constatant que deux amis prêtres avaient été censurés par le géant des médias sociaux pour avoir affiché des conseils pastoraux du saint, Dominic Bettinelli, pro-vie du Massachusetts, a publié les mêmes mots sur sa page Facebook vendredi dernier. Puis, lui aussi a été averti que le message allait à l’encontre des « Normes communautaires sur le discours haineux » de Facebook.
La citation jugée si offensante par Facebook est la suivante :
Ne prétendons aucunement que notre vie est vertueuse et que nous sommes sans péché. Pour que notre vie mérite l’éloge, demandons pardon. Les hommes sans espérance, moins ils font attention à leurs propres péchés, plus ils sont curieux des péchés d’autrui. Ils ne cherchent pas ce qu’ils vont corriger, mais ce qu’ils vont critiquer. Et puisqu’ils ne peuvent pas s’excuser, ils sont prêts à accuser les autres.
La citation, expliqua Bettinelli dans un billet de blogue spirituel sur l’accusation de « discours haineux », provient d’une homélie du saint inclus dans la Liturgie des heures catholique romaine, aussi connue sous le nom d’Office divin.
« Discours de haine ? » s’interrogeait Bettinelli. « C’est le contraire d’un discours de haine. Cela demande aux gens de cesser de se concentrer sur les péchés des autres et de se concentrer sur leurs propres péchés. Augustin est en train de reformuler les paroles évangéliques de Jésus : “Pourquoi vois-tu la paille dans l’œil de ton frère et ne vois-tu pas la poutre qui est dans ton œil ? (Matthieu 7:3).” »
Lire la suiteUn informateur révèle que Google fausse les résultats de recherche, démonétise et relègue les contenus pro-vie
Par pour une école libre au Québec ― Photo : Mike MacKenzie/www.vpnsrus.com
Des documents internes à Google révèlent que les employés du géant des médias sociaux Google ont qualifié de « nazis » des personnalités politiquement conservatrices telles que Jordan Peterson et Ben Shapiro. Ils ont, en outre, indiqué comment des algorithmes permettent de réduire la portée de ces personnalités. Une vidéo en caméra cachée montre également une cadre de Google responsable de l’« innovation responsable » qui reconnaît que l’entreprise tente d’empêcher qu’un autre « incident Trump » ne se reproduise lors des élections de 2020.
Vidéo de Projet véritas sous-titrée en français.
Prager et Shapiro, qualifiés de nazis, sont tous deux des Juifs pratiquants. Le courrier électronique divulgué avait été envoyé aux membres du groupe « transparence et éthique » de Google. Il demandait de supprimer le contenu des personnes susmentionnées de la « fonctionnalité de suggestion » de Google lorsque les utilisateurs effectuaient des recherches sur Internet à l’aide de Google.
Le projet Véritas a indiqué que le document divulgué semblait contredire l’affirmation d’un employé selon laquelle Google, selon ses termes, n’applique « aucun biais idéologique ou politique dans son classement de recherche ».
Shapiro a répondu à cette affirmation sur Twitter en mentionnant la PDG de YouTube, Susan Wojcicki : « Hé, Susan Wojcicki, nous aimerions en discuter avec vous. Pensez-vous que vos employés devraient cavalièrement étiqueter ceux qui s’opposent avec véhémence au suprématisme blanc de “nazis”, puis de créer des algorithmes qui utilisent de tels mensonges ? » Shapiro est un militant pro-vie et un critique fréquent de ce qu’on nomme l’alt-right et de certains groupes nationalistes.
Dans un courriel obtenu par le Projet Véritas, Liam Hopkins, employé de Google, écrivait : « Aujourd’hui, il suffit souvent d’une ou deux étapes pour tomber sur des nazis, si nous comprenons que PragerU, Jordan Peterson, Ben Shapiro et autres sont des nazis qui utilisent les mots codés à l’étape 1. Je peux recevoir ces recommandations, quel que soit le contenu de ce que je regarde et j’ai enregistré des milliers d’internautes partageant la même expérience. »
Lire la suiteRichard Martineau censuré sur Facebook
Richard Martineau.
Par Pascal Bergeron (Le Peuple) — Voici la ou les sources de cet article : Facebook/Voici la source de la photo : Facebook
Richard Martineau s’est fait bannir pour une semaine de Facebook, et ce pour avoir dit qu’un homme ne pouvait pas accoucher. Ce qu’il a dit est vrai, si au moins Facebook le bannissait plutôt quand il dit des bêtises…
Je rajouterais à ce que M. Martineau affirme : le transgenrisme est mauvais, aussi bien pour les personnes qui s’en réclament que pour la société. — A. H.
La rectitude politique a frappé à nouveau, et ce, sous le couvert de la lutte aux messages « haineux ».
Le compte personnel du chroniqueur Richard Martineau a été banni pour une semaine du réseau social Facebook. Il s’est exprimé à ce sujet par le biais d’une vidéo qui a été diffusée sur le compte Facebook de QUB radio. La voici ci-dessous. Qu’en pensez-vous ?
Facebook prend d’assaut le marché des médias locaux américains
Mark Zuckerberg, président de Facebook.
Par Patrice-Hans Perrier (Le Peuple) — Voici la ou les sources de cet article : Le Devoir, Facebook, Forbes, The Guardian et Phys.org/Voici la source de la photo : Brian Solis, Flickr, CC BY 2.0
Rappelons que Facebook exerce une censure à l’égard des pro-vie. Cette nouvelle n’est donc pas de nature à nous rassurer. — A. H.
Le géant des médias sociaux suit l’exemple de Google afin d’investir pour soutenir le journalisme numérique.
Facebook a annoncé, mardi dernier, qu’il investira 300 millions de dollars US sur une période de trois ans afin de supporter la profession journalistique. Le géant des médias sociaux souhaite mettre l’accent sur les petits médias locaux qui battent de l’aile, surtout depuis que le grand public américain a pris ses distances de la presse officielle. Ce projet semble venir s’amarrer à la Google News Initiative qui avait été lancée l’an dernier par le moteur de recherche américain.
Mettre le grappin sur les petits médias
Chemin faisant, les géants de la Silicon Valley prennent d’assaut le marché des petits médias régionaux et locaux, dans un contexte où les médias sociaux ont déjà remplacé les journaux imprimés en qualité de principal vecteur d’information en Amérique.
Ces données, colligées par le Pew Research Center, soulignent que 20 pour cent des adultes affirment consulter l’actualité par le biais des médias sociaux de manière fréquente. En comparaison, seulement 16 pour cent des répondants de l’enquête ont affirmé lire les journaux afin d’obtenir le même type d’informations.
Se refaire une virginité auprès des usagers
Facebook tente de se refaire une virginité auprès du grand public après avoir été accusé à plusieurs reprises de manipuler ses plateformes afin de ralentir ou de bannir certaines sources d’information jugées non conformes ou assimilées à de « fausses nouvelles ». Par ailleurs, plusieurs médias émergents critiquent le géant des médias sociaux pour sa politique de mise en valeur des contenus qui favorise les grands conglomérats capables d’avancer les fonds nécessaires afin de passer en priorité.
Tout dernièrement, Facebook s’est associé à l’Agence France Presse afin de mettre sur pied un mécanisme de vérification des faits et plusieurs instances politiques ont fait pression sur l’entreprise de Mark Zuckerberg afin qu’elle intervienne pour éviter que des contenus indésirables ne viennent perturber le déroulement des élections prévues sous plusieurs latitudes en 2019.
Un nouveau modèle d’affaires
Campbell Brown, vice-présidente responsable des partenariats avec les médias pour Facebook, affirme, selon ce que rapporte l’AFP, vouloir « continuer à lutter contre les fausses informations (fake news), la désinformation et les informations de mauvaise qualité ». Voulant faire bonne figure, les stratèges de Facebook estiment qu’ils ont « aussi l’opportunité et la responsabilité d’aider les médias locaux à croître et réussir », toujours selon Mme Brown.
Tout cela est bien beau, mais certains analystes s’interrogent à propos de cet investissement de 300 millions de dollars qui correspond au seul budget d’exploitation annuel d’un grand média national américain. Facebook serait-il en train de tester un nouveau modèle d’affaires qui consisterait à faire migrer une part substantielle des petits médias émergents sur sa propre plateforme ?
Censure de la page Facebook de Media-Presse.info
Par Pierre-Alain Depauw (Media-Presse.info)
Le site catholique et français Media-Presse.info, bonne source d’information, se voit encore une fois bloquer sa page Facebook. Ce site traite de divers sujets, dont l’avortement, le LGBTQIsme, la PMA, la GPA, etc. — CQV
Alors que Medias-Presse Info connaissait depuis quinze jours une progression fulgurante de partages d’informations via Facebook, notre page Facebook se trouve une fois de plus bloquée depuis ce matin, ne permettant momentanément plus d’y ajouter les nouveaux articles.
Facebook débloque l'image du Père Noël adorant l'Enfant Jésus après qu'un article de LifeSiteNews soit rendu viral
Billet de blogue d'Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : Jennifer Beahm Crawford/Facebook
Facebook avait rendu plus difficile l'accès de cette image du Père Noël* génuflectant devant l'Enfant Jésus, et ce, pour cause de « violente ou graphique »! C'est à n'y rien comprendre et les explications de Facebook sont nébuleuses. Extrait de LifeSiteNews :
Facebook avait censuré une image du Père Noël agenouillé devant l'Enfant Jésus qu'il avait jugée « violente ou graphique », ce qu'il a cessé de faire après qu'un article de LifeSiteNews sur ce sujet soit rendu viral le 5 décembre.
Facebook avait opacifié la photo, expliquant que « la photo était automatiquement masquée pour que vous puissiez décider si vous voulez la voir ».
Les utilisateurs devaient ensuite cliquer sur un bouton pour découvrir la photo. Les utilisateurs de Facebook peuvent désormais diffuser librement l'image sans qu'aucune étape supplémentaire ne soit nécessaire pour la voir.
Capture d'écran de Facebook censurant l'image du Père Noël et de l'Enfant Jésus. Après que LifeSiteNews ait écrit le 5 décembre sur la censure de la photo par Facebook, l'histoire est devenue virale. En moins de 18 heures, l'histoire a été relayée sur Facebook plus de 42 000 fois par les lecteurs de LifeSiteNews et a été vue environ 60 000 fois.
L'histoire a reçu un coup de pouce lorsqu'elle a été reprise par le chroniqueur conservateur américain Todd Starnes et publiée sur son blog aujourd'hui. Il a également été repris par The Blaze dans un post aujourd'hui.
Il est intéressant de noter que l'image a été restaurée le jour de la fête de la Saint-Nicolas, appelé Père Noël, qui est vénéré pour sa gentillesse et sa générosité.
Facebook explique sur son site ce qu'il entend par « Violence et contenu graphique » :
« Nous savons aussi que les gens ont des sensibilités différentes en ce qui concerne le contenu graphique et violent. Pour cette raison, nous ajoutons une étiquette d'avertissement sur les contenus particulièrement graphiques ou violents afin qu'ils ne soient pas accessibles aux personnes de moins de dix-huit ans et que les gens soient conscients de la nature graphique ou violente avant de cliquer pour les voir », déclare le géant des médias sociaux.
« Nous péchons par excès d'indulgence en autorisant le contenu, surtout lorsque certains le trouvent répréhensible, » déclarent les normes communautaires de Facebook, affirmant qu'il le fait dans le but de maintenir un « environnement sûr » pour sa « communauté Facebook ».
On ne sait toujours pas pourquoi l'image de l'Enfant Jésus et du Père Noël a été considérée par Facebook comme un « contenu violent et graphique. »
*Une petite note, En anglais le « Père Noël » c'est Santa Claus (appellation qui n'est d'ailleurs pas de l'anglais) ou Saint Nicolas. Il est un peu difficile de savoir comment traduire Santa Claus, pour la bonne raison qu'il faut savoir s'il s'agit de Saint Nicolas ou de sa version protestantisée et même laïcisée (Santa Claus), le Père Noël. Je ne l'appellerai pas Saint Nicolas puisque sur l'image ce n'est manifestement pas un évêque. Mais comme il est dans une position digne (il adore Dieu), s'il n'est Saint Nicolas, ce pourrait être un bon Père Noël. — CQV
Facebook censure encore les pro-vie
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : Pexels
Encore, encore et encore. Extrait de News Busters :
Facebook a été critiqué lors des audiences au Congrès (américain) pour la pratique du « shadowbanning », qui laisse les conservateurs publier du contenu de droite, mais empêche subtilement les utilisateurs de le voir.
Au cours des dernières 24 heures [compte fait le 5 décembre*], pratiquement aucun des 3 millions d’habitués de PragerU n’a pu visionner ses vidéos récemment diffusées, dont une présentation pro-vie organisée par l’activiste Lila Rose ainsi que des vidéos de Ben Shapiro et Candace Owens sur d’autres sujets. Même en ces temps où la haute technologie est menacée de poursuites judiciaires, les gauchistes de la Silicon Valley ne semblent pas pouvoir se retenir de bannir les conservateurs de premier plan.
Obianuju Ekeocha, une militante nigériane pro-vie, a porté les mêmes accusations envers le géant de la technologie lorsqu’elle a découvert que Facebook avait censuré son article,
*CQV
Une censure généralisée se met en place sur Internet
Par Patrice Hans-Perrier (Le Peuple) — Voici la ou les sources de cet article : Le Monde, WSWS n°1, n°2, La Presse et Atlantic Council / Photo trouvée sur LifeSiteNews
Facebook et d’autres médias sociaux américains tentent de liquider les sites jugés non-conformes à l’idéologie dominante.
Le couperet de la censure vient de s’abattre sur de nombreux sites américains qui semblent déranger l’« État profond » américain. C’est ainsi que Facebook, leader des médias sociaux, a reçu des ordres qui proviennent des centres de pouvoir qui régentent l’ordre « médiatique » afin de contrer une « désinformation » qui serait susceptible d’induire les internautes en erreur.
Détruire la page Facebook des médias récalcitrants
Certains analystes estiment qu’il s’agit, surtout, de restreindre l’espace dévolu à la liberté d’expression, qu’elle provienne de la gauche ou de la droite, afin de chasser les sites qui ont le malheur de remettre en cause les diktats d’une pensée unique mise en orbite par une poignée de centres de pouvoir mondialistes. Des médias alternatifs tels qu’Anti-Media, un site de gauche avec 2,1 millions d’abonnés, ou Right Wing News, une locomotive de droite, ont perdu leur page sur Facebook en l’espace d’un claquement de doigts.
Lire la suiteFacebook, dans sa grandissante frénésie, censure une vidéoblogueuse pro-vie
Elizabeth Johnston.
Blog D'Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Source de la photo : LifeSiteNews
Facebook, ainsi que les autres géants des médias sociaux, censurent directement ou indirectement de plus en plus les pro-vie.
Extrait d'un courriel de Elizabeth Johnston (The Activist Mommy) :
Facebook ne me laisse pas tranquille.
Ce n'est pas assez qu'ils m'aient démonétisée.
Il ne suffit pas qu'ils m'aient jetée dans la prison de Facebook non pas une fois, mais deux fois en deux semaines sous prétexte d'un vague «discours de haine», alors que je ne faisais que mention, en termes médicaux, du transgenrisme comme maladie mentale.
Maintenant que je suis sortie de prison (hi hi!), il semble que tout ce que je publie soit soumis à la censure.
J'ai reçu avis après avis que les choses que j'affiche ne sont tout simplement pas à la hauteur des normes de Facebook... et la plupart du temps, les avis n'ont aucun sens du tout.
Par exemple, j'ai reçu un avis m'informant qu'un de mes articles a été supprimé parce qu'il violait le droit sur la propriété intellectuelle... alors que je n'ai fait que partager l'article de quelqu'un d'autre !! Hein ???