Une femme confie ses regrets d’avoir été transgenre et dit avoir pleuré après avoir été opérée à l’âge de 14 ans
Par Matt Lamb — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Freepik
30 avril 2025 (LifeSiteNews) — Selon un nouveau documentaire, des professionnels de la santé auraient poussé une jeune fille de 14 ans à subir une double mastectomie et à se présenter comme un garçon.
IW Features (IWF) présente une série, intitulée « Identity Crisis », qui explore les erreurs médicales du complexe de « soins de santé » pro-transgenre, qui pousse les enfants confus en matière de genre à subir des opérations chirurgicales qui les endommagent de façon permanente et à prendre des « médicaments » [dont l’effet est] irréversible. Il est à noter que c’est un fait biologique que personne ne peut changer de sexe.
Les « médicaments » et les interventions chirurgicales ont été associés au suicide, à la perte de densité osseuse, aux maladies cardiaques, aux accidents vasculaires cérébraux, au cancer et à de nombreux autres problèmes médicaux. Les bloqueurs de puberté provoquent également la stérilité, comme on peut s’y attendre avec des produits destinés à stopper le développement normal du système reproducteur.
La série a récemment présenté l’histoire terrifiante de Claire Abernathy, une jeune fille qui se décrit elle-même comme un « garçon manqué » et que les thérapeutes et les médecins ont poussée à se faire enlever les deux seins à l’âge de 14 ans — une histoire étrangement similaire à celle d’une autre « détransitionneuse », Chloe Cole. « Je me sens lésée », déclare Claire dans le documentaire.
Lire la suiteUn ex-transgenre rend gloire au Christ de l’avoir sauvé de l’opération de mutilation sexuelle
Joshua McParland.
Par Jonathon Van Maren — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : @joshuamcparland/TikTok
24 mars 2025 (LifeSiteNews) — Un autre détransitionneur de premier plan s’est présenté pour expliquer pourquoi il regrette profondément d’avoir eu recours à des « soins d’affirmation du genre » pour obtenir un changement de sexe.
Joshua McParland, de Belfast, a commencé à lutter contre la dysphorie de genre à un très jeune âge. « À l’école primaire, les gens me prenaient pour une fille parce que j’avais une voix aiguë et des cheveux longs », a-t-il expliqué à Good Morning Ulster. « C’est comme ça que la confusion de mon identité s’est installée... parce que j’avais l’air si féminin. Quand on est enfant, on absorbe les opinions des autres comme une éponge ».
McParland a donc décidé de tenter une « transition » vers le sexe féminin et a commencé à prendre des hormones du sexe opposé à l’âge de 17 ans. Selon lui, il a dû faire pression sur sa mère pour obtenir l’autorisation de « transitionner », mais elle l’a finalement soutenu. « En tant que mère, elle voulait simplement m’aimer », a-t-il déclaré. « Je pense qu’à l’adolescence, on croit tout savoir, mais ce n’est pas le cas. Je faisais la fête, je me droguais, je faisais des choses folles ». En janvier 2024, il s’est rendu en Turquie pour se faire poser des implants mammaires afin de mieux « se présenter » en tant que femme.
La mère de McParland le soutient également dans ses efforts pour inverser les changements qu’il a entrepris à l’âge de 17 ans. En février, à peine un an après son voyage en Turquie, il a été opéré pour retirer les implants mammaires qu’il avait achetés. Il a également cessé de prendre des hormones transsexuelles. McParland affirme qu’il reconnaît aujourd’hui qu’il « fuyait » ses problèmes et qu’il n’aurait pas dû essayer de changer de sexe.
Lire la suiteUne ex-transgenre qualifie les interventions de « transition » de « pseudoscience » et de « charlatanisme »
Prisha Mosley.
Par Emily Mangiaracina — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : YouTube
9 janvier 2025 (LifeSiteNews) — Une jeune femme qui a été persuadée de subir des interventions hormonales et chirurgicales pour « devenir » un « homme » et qui a, depuis, détransitionné, s’élève contre ce processus transgenre qui repose sur du « charlatanisme » et de la « pseudo-science ».
Prisha Mosley, maintenant âgée de 26 ans, luttait, à l’âge de 17 ans et à la suite d’un viol, contre l’anorexie et des idées suicidaires. Des conversations en ligne avec des activistes transgenres l’ont convaincue que sa détresse était due au fait que son « corps se battait pour être un garçon », comme elle l’a déclaré à Fox News.
Lorsqu’elle a fait part de ses idées aux professionnels de la santé qui tentaient de résoudre son anorexie, on lui a « presque immédiatement » donné des pilules hormonales qui ont perturbé son cycle menstruel.
Mme Mosley a mis en évidence l’irrationalité et le double standard absurde auxquels la profession médicale a recours lorsqu’elle aborde la dysphorie de genre.
« J’ai été traitée pour des croyances délirantes pendant un certain temps », a expliqué Mme Mosley à Fox News Digital. Mais lorsque j’ai exprimé un délire différent, à savoir « je suis né dans le mauvais corps » au lieu de « je suis grosse », alors que j’étais en train de mourir d’anorexie, j’ai été traitée médicalement pour cela.
Lire la suiteL’Alberta adopte un projet de loi interdisant les « transitions de genre » de mineurs
Danielle Smith.
Par Anthony Murdoch — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Danielle Smith/X
5 décembre 2024, Edmonton, Alberta (LifeSiteNews) — Le gouvernement du Parti conservateur unifié (UCP) de l’Alberta sous la direction de son premier ministre Danielle Smith a officiellement adopté une loi interdisant les chirurgies dites « du haut et du bas » pour les mineurs.
Mardi, les députés de l’Assemblée législative de l’Alberta ont voté par 47 voix contre 33 en faveur de l’adoption de la loi Health Statutes Amendment Act (HSAA). Tous les députés d’extrême gauche du Nouveau Parti démocratique ont voté contre le projet de loi, qui doit maintenant recevoir la sanction royale, attendue dans les prochains jours.
La nouvelle loi, appelée Loi 26, reflète « l’engagement du gouvernement à construire un système de santé qui réponde aux besoins changeants des Albertains ».
La Loi 26 modifiera la Loi sur la santé pour « interdire aux professionnels de la santé réglementés de pratiquer des opérations de changement de sexe sur des mineurs ».
Lire la suiteUne détransitionniste raconte l’histoire terrifiante des tactiques insidieuses des idéologues du genre
Par Jonathon Van Maren — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Adobe Stock
18 juillet 2024 (LifeSiteNews) — Alors que le débat sur la transition de genre fait rage dans les législatures des États à travers l’Amérique, de plus en plus de « détransitionneurs » se présentent pour raconter leurs histoires brutales. Ces histoires mettent toujours plus en évidence la réalité terrifiante que nous sommes au milieu de l’un des plus grands scandales médicaux depuis l’eugénisme. En effet, le terme « détransitionneur » lui-même est nouveau, car il fallait inventer un mot pour décrire ceux qui ont été broyés dans le complexe médical transgenre et qui ont survécu pour raconter leur histoire.
« Je suis née de sexe féminin et j’ai grandi en Caroline du Nord », écrit Prisha Mosley, 26 ans. « J’ai découvert la communauté transgenre en ligne lorsque j’étais adolescente et j’ai été persuadée de faire une transition sociale ». Cette histoire s’est répétée des milliers de fois aux États-Unis et au Canada. Des centaines de parents ont contribué anonymement à la lettre d’information de Substack « Parents With Inconvenient Truths About Trans (PITT) » (Parents avec des vérités dérangeantes sur le transgenrisme) et ils sont unanimes à désigner Internet comme un facteur clé dans la conversion de leurs enfants au culte transgenre.
Mais au cours de la dernière décennie, les institutions médicales ont été envahies par les activistes — et les enfants et adolescents en difficulté peuvent trouver des professionnels de la santé prêts à les aider à changer de sexe avec une facilité déconcertante. « Je n’avais que 17 ans lorsque les médecins ont commencé à m’injecter de la testostérone », se souvient Mosley. « Rétrospectivement, j’étais la victime idéale. J’étais jeune, impressionnable, isolée et je souffrais de graves problèmes de santé mentale, notamment d’anorexie, d’automutilation et de tentatives de mettre fin à mes jours. Les médecins m’ont dit que la transition était le remède à ma douleur émotionnelle ».
Lire la suiteLe cours de Culture et citoyenneté québécoise imposera l’idéologie du genre à la rentrée
Jean-Léon Laffitte, président de l'Association des parents catholiques du Québec.
Billet de blogue d’Augustin Hamilton — (Campagne Québec-Vie) — Photo : Jordaniste/YouTube
Le nouveau cours Culture et citoyenneté québécoise, qui remplacera l’ancien cours d’ÉCR à la prochaine rentrée, comprendra dans son volet d’éducation sexuelle (déjà néfaste) l’idéologie du genre.
Dans une entrevue avec Michel Lizotte, journaliste indépendant, Jean-Léon Laffitte, président de l’Association des parents catholiques du Québec (APCQ), explique les fondements de l’idéologie du genre, qui prétend que le sexe est « assigné » à la naissance et est une construction sociale.
La théorie du genre est-elle fondée scientifiquement ? M. Laffitte nous parle du tout récent rapport Cass produit en Grande-Bretagne, où des milliers de personnes ayant subi une « transition de genre » regrettent maintenant d’avoir suivi cette procédure irréversible, qui affirme qu’aucune étude probante ne soutient les prétentions de la théorie du genre, à savoir que les « traitements » comme les bloqueurs de puberté, les hormones transsexuelles ou les opérations sont bénéfiques aux enfants atteints de dysphorie du genre.
Le suicide des jeunes à qui on ne procurerait pas de transition est souvent brandi comme argument pour forcer les parents à approuver la transition de leur enfant atteint de dysphorie. Pour répondre à cet argument, M. Laffitte mentionne une autre étude qui démontre que le taux de suicide chez les jeunes n’est pas plus élevé si on s’occupe de leur santé mentale plutôt que de les transitionner.
Le gouvernement britannique, sur le fondement du rapport Cass est en train de revenir sur l’expérience de l’idéologie du genre. Pourtant, au Québec, souligne M. Laffitte, nous ne profitons pas de l’expérience britannique et persévérons dans la même erreur (Errare humanum est, perseverare diabolicum...).
Lire la suiteUn juge approuve les poursuites engagées contre les médecins qui ont « fait changer de sexe » une jeune fille en difficulté à l’âge de 17 ans
Par Calvin Freiburger — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : sergign/Adobe Stock
30 mai 2024 (LifeSiteNews) — Un juge de Caroline du Nord a décidé que le procès d’une femme de 25 ans, contre les médecins qui l’ont « fait changer de sexe » alors qu’elle était adolescente, peut avoir lieu, ouvrant la porte à un précédent potentiellement transformateur pour l’établissement médical américain.
Le Washington Examiner rapporte que Prisha Mosley a été incitée à « transitionner » à l’âge de 16 ans pour faire face aux graves problèmes mentaux dont elle souffrait à l’époque. « À l’âge de 16 ans, on m’a diagnostiqué un trouble dépressif majeur, un trouble obsessionnel compulsif et un trouble de l’alimentation », explique-t-elle. « Je me suis automutilée en me coupant, ce qui est devenu si grave que j’ai été emmenée aux urgences ».
Sur les conseils des médecins, elle a commencé à prendre des injections importantes de testostérone et a subi une ablation chirurgicale des seins. Mais le fait de se transformer pour ressembler à un garçon n’a fait qu’aggraver ses souffrances.
« Ma voix a changé de façon permanente ; je ne suis plus capable d’élever ma voix et de chanter, ce que j’aimais faire auparavant », explique Mme Mosley. « J’ai ressenti de fortes douleurs dans les épaules, le cou et la région génitale. Je ne sais pas si je pourrai concevoir et donner naissance à un enfant. À la suite de l’opération mammaire, je dois vivre sans mes seins et je ne pourrai pas allaiter d’enfant, si toutefois je parviens à en concevoir un. J’ai des douleurs dans la poitrine à l’endroit où se trouvaient mes seins ».
Lire la suite« Des profondeurs de l’enfer » : le mal profond de l’idéologie transgenre
Par John-Henry Westen — Traduit par Campagne Québec-Vie
Note de John-Henry Westen : Il est conseillé aux téléspectateurs de faire preuve de discernement. Cette émission n’est pas destinée aux enfants. Cependant, elle est certainement destinée à vos adolescents.
4 avril 2024 (LifeSiteNews) — Si vous êtes un lecteur régulier de LifeSiteNews, vous savez à quel point l’idéologie du genre s’est emparée de notre culture. Mais beaucoup d’entre nous ne connaissent pas le côté « interne » de l’idéologie du genre — les histoires des jeunes qui ont été égarés par elle et qui en ont subi d’horribles conséquences physiques, mentales et émotionnelles.
Mon invité dans l’épisode d’aujourd’hui du John-Henry Westen Show est Brandon Showalter, journaliste au Christian Post et animateur d’une émission en ligne dénonçant les méfaits de l’idéologie du genre, intitulée « Generation Indoctrination ».
Showalter, qui dit avoir été « jeté » dans la couverture des questions LGBT lorsqu’il a commencé à travailler au Christian Post en 2016, commence par décrire la montée en flèche des « cliniques de genre » aux États-Unis et les choses « atroces » qu’elles font aux enfants. Par exemple, la combinaison de bloqueurs de puberté et d’hormones du sexe opposé « rendra presque certainement un enfant stérile [de façon permanente] ».
Lire la suiteUne Ontarienne « détransitionnée » poursuit les médecins qui l’ont amputée de ses seins et de son utérus
Michelle Zacchigna.
Par Mary Zwicker — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Post Millennial Live/Rumble
22 février 2023, Orillia, Ontario (LifeSiteNews) — Une Canadienne qui regrette ses opérations de prétendues « réassignation de genre » poursuit maintenant les professionnels de la santé impliqués dans son processus de « transition ».
Michelle Zacchigna, 34 ans, d’Orillia, en Ontario, qui a subi un traitement hormonal et des opérations chirurgicales il y a plus de dix ans afin d’apparaître comme un homme, a lancé le tout premier procès canadien de dé-transition, poursuivant les huit médecins et « experts en santé mentale » qui l’ont accompagnée dans ce processus d’automutilation.
« Je tiens cette carte près de ma poitrine depuis un moment, et je suis prête à la montrer », écrivit Zacchigna mardi sur Twitter. « En novembre 2022, j’ai entamé une action en justice contre les prestataires de soins de santé canadiens qui ont facilité ma transition médicale en Ontario. »
Cela fait un moment que je garde cette carte près de ma poitrine, et je suis prête à la montrer. En novembre 2022, j’ai entamé une action en justice contre les fournisseurs de soins de santé canadiens qui ont facilité ma transition médicale en Ontario.
– Michelle (@somenuancepls) 21 février 2023
« Je vivrai le reste de ma vie sans seins, avec une voix grave et une calvitie de type masculin, et sans la capacité de devenir enceinte », a-t-elle déclaré.
« L’ablation de mon utérus entièrement sain est mon plus grand regret », a déploré Mme Zacchigna.
Dans une déclaration, Zacchigna a expliqué qu’elle a pensé pour la première fois à la transition en 2009, alors qu’elle n’avait que 21 ans. Dépressive, anxieuse et autodestructrice, elle a trouvé une communauté en ligne où elle s’est enfin sentie chez elle.
« En ligne, j’ai été aspirée dans un monde où j’avais l’impression d’être enfin à ma place », se souvient-elle. « Dans des endroits comme Tumblr, on me rassurait constamment en me disant que seules les personnes trans passent autant de temps à penser à leur genre (ce qui n’est pas vrai en réalité) et que chaque personne trans a des doutes sur sa transition. »
Lire la suiteLe Conseil de médecine de Floride vote l'interdiction des opérations et produits de « transition » aux mineurs
Par Doug Mainwaring — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Minerva Studio/Adobe Stock
28 octobre 2022, Orlando, Floride (LifeSiteNews) — Le comité législatif du Conseil de médecine de Floride a voté aujourd’hui pour interdire les médicaments et les opérations transgenres pour les mineurs. La mesure sera soumise à l’ensemble du Conseil la semaine prochaine pour décider de sa date d’entrée en vigueur.
« La règle interdirait aux professionnels de la santé de prescrire aux mineurs des bloqueurs de puberté, des hormones transsexuelles et de les orienter pour fin d'opérations d’affirmation du genre », rapporte le Daily Wire.
[Malheureusement]*« Toutefois, les adolescents qui suivent actuellement un traitement à base de bloqueurs de puberté et d’hormones transsexuelles seraient autorisés à le poursuivre s’ils acceptent de prendre part à un essai clinique approuvé par un comité d’examen institutionnel (IRB) dans un centre affilié à une université, selon les membres du conseil présents à la réunion. »
Chloe Cole, qui regrette aujourd’hui d’avoir subi des procédures d’« affirmation de genre » à un jeune âge, a publié une vidéo de son témoignage déchirant devant le comité.
« À seize ans, après des années de transition médicale, je me suis rendu compte que je regrettais profondément ma transition », cite Cole de son audition devant le comité.
« Pourquoi une épidémie de santé mentale n’est-elle pas abordée avec un traitement de santé mentale pour s’attaquer aux causes profondes pour lesquelles des adolescentes comme moi veulent rejeter leur corps ? », a demandé Cole.
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