Importantes victoires au congrès du Parti conservateur
Les délégués au congrès du Parti conservateur votent dans l’Atelier C en faveur de la politique C-14 qui s’oppose à l’extension de l’euthanasie aux handicapés et aux personnes souffrant de maladie mentale. (Si vous voyez « NON » de ce côté-ci des cartons brandis, c’est parce que les délégués présentent le côté « OUI ».)
Par Jack Fonseca (Coalition nationale pour la Vie) — Traduit par Campagne Québec-Vie
Notre équipe vient de rentrer d’une fin de semaine épuisante — mais extraordinaire — à Québec, au Congrès national du Parti conservateur du Canada (PCC).
Pourquoi était-ce si extraordinaire ?
Nous avons contribué à l’adoption de 13 résolutions politiques qui font avancer la cause de la vie, de la famille, de la foi et de la liberté ! Elles constituent désormais la politique officielle du Parti conservateur du Canada !
Opposition à l’idéologie transgenre = politique officielle du PCC
La victoire la plus frappante a été l’adoption de deux politiques qui placent fermement le parti en opposition à l’idéologie du genre.
L’une de ces politiques engage le parti à interdire les changements de sexe chimiques et chirurgicaux pour les enfants de moins de 18 ans souffrant d’un trouble du genre. Cela signifie que le parti est désormais officiellement opposé aux bloqueurs de puberté, aux hormones transsexuelles et à la mutilation génitale pour les enfants !
Ci-dessus, tract de CNV demandant aux délégués de voter pour une résolution
politique visant à bannir les nuisibles changements de sexe d'enfants.
Cette merveilleuse politique visant à mettre un terme à une forme flagrante de maltraitance des enfants a été adoptée à une majorité écrasante de 69 %, y compris par la majorité des provinces qui ont soutenu la mesure. Même les délégués du Québec ont voté à 58 % en faveur de la mesure.
Les fidèles du parti ont adopté une deuxième mesure contre l’idéologie du genre, sous la forme d’une politique visant à interdire l’accès des hommes biologiques aux espaces intimes féminins (tels que les toilettes, les douches et les prisons) et aux sports féminins. Cette politique a été adoptée avec une majorité de 87 % !
Tract de CNV demandant aux délégués de voter pour une proposition politique visant à
interdire aux hommes biologiques l'accès des sports et lieux intimes réservés aux femmes.
Lors des prochaines élections fédérales, les électeurs se réjouiront certainement de ce contraste flagrant avec la position radicalement pro-LGBT des libéraux de M. Trudeau.
Au moins sur le papier, il n’y a plus de doute quant à savoir lequel des deux grands partis se range du côté des parents, des enfants et des vraies femmes.
Poilievre et son groupe parlementaire seraient bien avisés de suivre l’exemple des fidèles du parti et de s’élever fièrement contre l’idéologie du genre qui maltraite les enfants, et contre la violation des droits des femmes par des hommes souffrant de troubles mentaux.
Comme on pouvait s’y attendre, les médias corporatifs ont déjà attaqué le PCC pour ces politiques de bon sens. Mais M. Poilievre doit ignorer les médias. Lui et son caucus doivent réaliser que les parents et les électeurs canadiens sont prêts pour un gouvernement moralement responsable et fondé sur des principes.
Lire la suiteAu Québec la mort naturelle est remplacée par la mort assistée
Par Alex Schadenberg (Coalition pour la prévention de l’euthanasie) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Gajus/Adobe Stock
Scott Norvell, dans un article paru dans le New York Sun le 15 août 2023, explique comment, au Canada, la mort naturelle est remplacée par une mort assistée. Norvell commente la lettre du Dr Michel Bureau, président de la Commission québécoise sur les soins de fin de vie, qui a récemment demandé aux médecins québécois de cesser de tuer des personnes par euthanasie pour des situations « non conformes à la loi ». M. Bureau a déclaré que, d’ici à la fin de 2023, il est probable que 7 % de tous les décès au Québec seront dus à l’euthanasie. Norvell cite les propos de M. Bureau :
Lire la suite« Nous constatons, de plus en plus, que les cas d’aide médicale à mourir se rapprochent des limites de la loi », a déclaré le président de la commission, Michel Bureau, à la Canadian Broadcasting Corporation. « Il ne s’agit plus d’un traitement exceptionnel, mais d’un traitement très fréquent ».
Si les taux actuels se maintiennent, plus d’un décès sur 14 au Québec sera assisté par un médecin d’ici la fin de l’année. Le Dr Bureau note que ce taux est plus élevé que dans tous les autres pays qui autorisent cette pratique : il est 4,5 fois plus élevé qu’en Suisse et trois fois plus élevé qu’en Belgique. Le taux est deux fois plus élevé que dans la province voisine de l’Ontario.
Une canadienne tétraplégique ne peut obtenir l’aide dont elle a besoin pour son handicap, mais elle peut obtenir l’euthanasie
Par Cassy Fiano-Chesser (LiveActionNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Quality Stock Arts/Adobe Stock
Une mère admissible à l’euthanasie en raison de sa quadriplégie en a fait la demande en Ontario. Mais si l’accès à l’aide médicale à mourir lui est facilement accessible, elle dit avoir du mal à obtenir les mesures de soutien nécessaires à sa survie.
L’histoire de Rose Finlay est devenue virale sur TikTok, mais elle s’exprime davantage auprès des médias canadiens pour expliquer son désespoir. « Je suis une mère célibataire quadriplégique de 33 ans qui élève deux enfants handicapés », a-t-elle déclaré sur les médias sociaux. « Tous les Ontariens qui paient des impôts et cotisent aux programmes sociaux en pensant qu’un jour, s’ils ont besoin de ces aides, elles seront à leur disposition, je suis ici pour vous dire que ce n’est pas le cas ».
Elle a expliqué à Global News qu’après avoir été victime, à l’adolescence, d’un accident à la moelle épinière, elle est capable d’être autonome, mais qu’elle a encore besoin d’aide à l’occasion. « Ma vie telle qu’elle est, sans soutien en tant que quadriplégique, est bien plus mortelle que le fait que j’explore même le processus de l’Aide médicale à mourir (AMM) », a-t-elle déclaré. « L’absence de soutien depuis un an a fait que je tombe plus souvent malade et je pense qu’il vaut mieux que ce soit une option, que l’AMM soit une option, au cas où je tomberais vraiment, vraiment malade ».
Lire la suiteCette Canadienne a demandé de l’aide pour des pensées suicidaires — on lui a proposé l’euthanasie à la place
Kathrin Mentler.
Par Alex Schadenberg (Coalition pour la prévention de l’euthanasie) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Michelle Gamage
Kathrin Mentler (37 ans), une Canadienne qui vit avec des pensées suicidaires chroniques, a récemment raconté à Michelle Gamage, dans un article paru dans The Tyee le 9 août dernier, qu’on lui avait proposé l’euthanasie alors qu’elle cherchait de l’aide au cours d’une crise de santé mentale.
Il s’agit de la première histoire claire d’un conseiller proposant l’euthanasie comme option de traitement d’une maladie mentale et d’une illustration de la raison pour laquelle il y a eu une augmentation de 24 % des décès par euthanasie en Colombie-Britannique en 2022.
Mme Mentler souffre de dépression, d’anxiété et de pensées suicidaires chroniques depuis de nombreuses années, mais le centre d’évaluation de l’hôpital général de Vancouver lui a récemment proposé l’euthanasie. Gamage rapporte :
« Ce jour-là, mon objectif était de me mettre en sécurité. Je pensais peut-être essayer de me faire admettre à l’hôpital parce que j’étais en crise », dit-elle.
Mentler raconte qu’elle a dit à la conseillère qu’elle avait peur de « ne plus jamais se sentir horrible ». Elle a également révélé ses antécédents de maladie mentale et d’automutilation.
La conseillère lui a alors dit que le système de santé mentale était « complètement débordé », qu’il n’y avait pas de lits ni de médecin disponibles et que le plus tôt qu’elle pourrait parler à un psychiatre était le mois de novembre.
Lire la suiteLes euthanasieurs du Québec n’aiment pas qu’on leur dise de rester dans les limites de la loi
Coalition pour la prévention de l’euthanasie — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Csaba Deli/Adobe Stock
Cet article de Wesley J. Smith a été publié par le National Review le 9 août 2023.
Le schéma ne change pas. L’euthanasie est légalisée sous la promesse de « directives strictes » empêchant les abus. Au fil du temps, ces directives strictes sont assouplies, puis à nouveau assouplies. Le processus est parfois lent, parfois rapide. Mais la direction est toujours la même.
En outre, les médecins peuvent assister les suicides ou injecter des substances mortelles à des patients qui, techniquement, ne remplissent pas les conditions requises pour bénéficier d’une mort accélérée. Peu de choses, voire rien, n’est fait à ce sujet.
Aux Pays-Bas, de tels cas n’ont jamais donné lieu à des sanctions significatives. Jamais. Au contraire, ils ont été ignorés par les autorités ou, s’ils ont été poursuivis (rarement), les tribunaux n’ont jamais puni l’auteur de l’infraction de manière significative.
Après cela, la « violation » peut devenir l’élément déclencheur d’un assouplissement des « directives strictes » — comme dans le cas du médecin néerlandais qui a tué sa patiente atteinte de démence, qui luttait pour rester en vie, en demandant à sa famille de la tenir pendant qu’il lui administrait la piqûre létale. Le médecin a été déclaré non coupable par le tribunal et le juge l’a félicité pour ses bonnes intentions. La loi a ensuite été modifiée pour permettre aux médecins de décider du moment de tuer dans de tels cas.
Lire la suiteUn Canadien vivant dans le regret et la douleur d’avoir « changé de sexe » veut mourir par euthanasie
« Lois » Cardinal.
Par Jonathon Van Maren — Traduit par Campagne Québec-Vie
1er août 2023 (LifeSiteNews) — En janvier, j’ai écrit une chronique dans Substack intitulée « Où le suicide assisté, le désespoir et le mouvement transgenre se rencontrent », examinant le nombre d’incidents de « détransitionneurs » au cœur brisé qui optent pour le suicide assisté à la suite des dommages irréversibles et des effets secondaires douloureux provoqués par leur tentative de changement de sexe. En Belgique, une femme a opté pour l’euthanasie après que ses opérations de transsexualité l’ont transformée, dit-elle, en « monstre » ; un Néerlandais a également demandé l’euthanasie après que ses opérations l’ont plongé dans une douleur quasi constante.
À l’époque, je me suis demandé si nous allions voir apparaître d’autres cas de ce genre à mesure que les effets à long terme des opérations de changement de sexe commenceraient à se manifester. Il n’est pas surprenant que le dernier cas en date se situe au Canada. « Lois » Cardinal est un homme qui a effectué une « transition » à l’âge de 19 ans (il y a 14 ans) pour pouvoir se présenter comme une femme. Lois affirme aujourd’hui qu’il a été poussé à changer de sexe par le personnel d’une clinique d’Edmonton, en Alberta, qui lui a dit qu’un programme de subventions du gouvernement provincial destiné à financer l’opération était sur le point de prendre fin. Malgré son hésitation, on lui a dit que la possibilité de se procurer les procédures risquait de disparaître — et bien que sa demande initiale ait été rejetée, il est allé jusqu’au bout.
Il a commencé à regretter l’opération aussitôt que l’anesthésie s’est dissipée.
Lire la suiteLes autorités sanitaires canadiennes détruisent les soins palliatifs en promouvant le suicide assisté
Par Nancy Flanders (LiveActionNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : lightfield studios/Adobe Stock
Selon WNG, les médecins du Canada professant une religion sont soumis à une pression accrue pour participer au programme national d’aide médicale à mourir (AMM) malgré le fait que cela aille à l’encontre de leurs croyances, ce qui en a conduit certains à quitter leur emploi et des organisations de santé entières à fermer leurs portes. L’un de ces médecins, le Dr Kevin Sclater, médecin de famille, a expliqué la situation à WNG.
Le Dr Sclater a travaillé pendant 19 ans au Crossroads Hospice, en Colombie-Britannique, mais il a démissionné en décembre après avoir dû s’opposer pendant des années aux politiques pro-euthanasie de l’établissement. L’hospice étant financé par le gouvernement, il était tenu de pratiquer l’euthanasie. Bien que M. Sclater n’ait pas été contraint de commettre l’acte lui-même, on lui demandait d’évaluer les patients pour l’AMM.
« Mes convictions personnelles s’opposant à l’euthanasie sur les plans spirituel, émotionnel, social et professionnel, je n’aimais pas parler de l’AMM avec les gens », explique-t-il. « Mais je devais leur parler avec respect sans qu’ils sachent que j’avais mes propres préjugés à ce sujet, et je ne voulais plus faire cela ».
Un problème qui fait boule de neige
Depuis que le Canada a légalisé l’euthanasie pour la première fois en 2016, il a élargi son critère de mort naturelle « raisonnablement prévisible » pour inclure les patients qui vivaient avec des douleurs, mais qui n’avaient pas de mort naturelle raisonnablement prévisible dans leur avenir. Il cherche à étendre encore davantage la mort assistée aux personnes souffrant de maladies mentales à partir de mars 2024.
Selon WND, les établissements de soins de santé de la Colombie-Britannique qui pratiquent l’aide médicale à mourir et reçoivent plus de 50 % de financement du gouvernement sont tenus d’évaluer les patients en vue d’un suicide assisté et de le mettre en œuvre. Cette loi exempte les établissements confessionnels, mais les partisans de l’euthanasie tentent de supprimer ces exemptions.
Lire la suiteUn détenu canadien demande l’euthanasie après le refus de sa libération conditionnelle
Par Bridget Sielicki (LiveActionNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : sakhorn/Adobe Stock
Un homme en phase terminale qui purge une peine dans une prison canadienne a demandé à bénéficier d’une aide au suicide parce que sa demande de libération anticipée pour des raisons humanitaires a été rejetée.
Ed Speidel souffre d’une broncho-pneumopathie chronique obstructive (BPCO) en phase terminale, de douleurs chroniques et de polyarthrite rhumatoïde. Après qu’une commission de libération conditionnelle ait rejeté sa demande de libération anticipée afin qu’il puisse mourir dans une maison de transition, il a demandé à bénéficier de l’aide médicale à mourir (AMM), une forme d’aide au suicide légalisée dans le pays.
M. Speidel a déclaré qu’il aurait préféré mourir d’une mort naturelle dans une maison de transition, mais comme sa prochaine audience de libération conditionnelle n’aura lieu qu’en 2024, il a décidé de faire une demande d’aide médicale à mourir. « Ma plus grande peur est de mourir en prison. Je ne veux pas mourir en prison », a-t-il expliqué lors d’un entretien téléphonique avec CTV News. « J’espère vraiment que je sortirai de prison, car si ce n’est pas le cas, je demanderai l’Aide médicale à mourir. Je ne vais pas rester assis ici, incapable de respirer, jusqu’à ce que je sois allongé sur le sol en train d’étouffer », a-t-il ajouté.
Lire la suiteUn vétéran de l’Afghanistan dénonce la proposition d'euthanasie du gouvernement canadien à des vétérans
Par Alex Schadenberg (Coalition pour la prévention de l’euthanasie) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Jne Valokuvaus/Adobe Stock
Le 9 juillet, Will Potter a rapporté dans le Daily Mail qu’une ancienne combattante canadienne, Kelsi Sheren, qui a participé à la guerre d’Afghanistan, est dégoûtée par l’attitude du gouvernement canadien concernant l’euthanasie, notamment pour ce qui est de la rendre accessible aux anciens combattants souffrant du syndrome de stress post-traumatique (SSPT). Potter écrit :
« Kelsi Sheren était une jeune fille de 19 ans au visage frais lorsqu’elle a mis les pieds pour la première fois sur le champ de bataille en Afghanistan. Cette expérience a bouleversé sa vie ».
« Six mois plus tard, cette artilleuse canadienne “tremblait encore” à bord de l’hélicoptère militaire qui la ramenait chez elle, après avoir vu l’un de ses camarades être déchiqueté par un engin explosif improvisé sur le terrain, alors que leur bataillon se déplaçait d’une enceinte à l’autre ».
« C’était la première fois que je voyais quelqu’un mourir. Et c’était la première fois que je devais nettoyer ce qui restait de quelqu’un », a déclaré Sheren au DailyMail.com.
Sheren a déclaré que le fait d’avoir été témoin de cette mort horrible lui avait « brisé une partie du cerveau » et qu’une fois rentrée chez elle, elle avait entamé une thérapie pour soigner le syndrome de stress post-traumatique (SSPT).
Lire la suiteAu Canada, des personnes à la retraite, en bonne santé, reçoivent un courriel promouvant l’euthanasie
Par Clémentine Jallais (reinformation.tv) — Photo : Vadim Pastuh/Adobe Stock
Bienvenue en retraite ! Mais réfléchissez quand même… vous pouvez l’écourter, si besoin. C’est un peu le message reçu par toutes ces personnes âgées, avec le terrible diaporama envoyé par l’une des autorités de santé les plus importantes du Canada. Sous prétexte d’information, on promeut et on exploite les difficultés physiques ou mentales de chacun, existantes ou à venir — et il n’est plus question de mort « raisonnablement prévisible » comme cela était spécifié dans la loi originelle.
Le Canada est le théâtre d’une offensive radicale en vue de l’élargissement de l’euthanasie, y compris vers les enfants : les hôpitaux catholiques pourraient même se voir bientôt contraints de la proposer.
« Vouloir mourir » en un mois et demi ou moins, à l’âge de la retraite
Le diaporama PowerPoint dont il est question proviendrait de la Fraser Health Authority qui est l’une des autorités sanitaires les plus importantes du Canada : elle gère 12 hôpitaux en Colombie-Britannique et fournit des soins de santé à plus de 1,8 million de personnes. Insérées dans un bouquet d’informations sur le régime de retraite, ces images ont fait activement la promotion de l’euthanasie, auprès d’un groupe de patients en bonne santé. Le Daily Mail l’a obtenu et nous en a donné un rapport détaillé le 1er juillet.
Quels peuvent être leurs arguments ?! C’est toujours le même mirage qu’on fait miroiter : l’idée de liberté et de volonté personnelles. Le suicide médical peut « favoriser un sentiment de contrôle », peut-on lire. C’est une simple question de « vouloir mourir ».
Le courriel évoque un « système de suivi » qui énonce les options possibles pour l’euthanasie, lorsque la mort naturelle est « raisonnablement prévisible » ou même lorsqu’elle est « non raisonnablement prévisible ». Pour les personnes qui ne sont pas en fin de vie, mais souffrent de symptômes variés tels que douleur chronique et fibromyalgie, les patients ne subissent que 90 jours d’évaluations selon l’agence de santé. Pour les autres, il n’y a pas de période d’attente : il est indiqué que le processus de suicide « peut prendre un jour », une fois la demande déposée.
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