Un juge britannique ordonne qu’une jeune femme de 24 ans se mourant d’anorexie soit renvoyée chez elle par l’hôpital et ne soit pas nourrie par sonde
Par Frank Wright — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : maylim/Adobe Stock
6 octobre 2023 (LifeSiteNews) — Un juge britannique a décidé qu’une jeune femme se mourant d’anorexie pouvait être renvoyée de l’hôpital et ne pas être nourrie par une sonde.
La jeune femme de 24 ans, connue seulement sous le nom de « Patricia », a reçu l’autorisation légale de refuser une alimentation artificielle qui lui sauverait la vie. Anorexique de longue date, elle a été décrite comme étant à « quelques jours, voire quelques heures » de la mort.
La décision, rapportée le 5 octobre, découle d’un jugement de la Cour de protection. Le tribunal avait été saisi par le NHS qui traitait Patricia pour s’assurer qu’il respecterait sa volonté présumée de mettre fin à sa vie.
Les parents de Patricia ont condamné la décision du tribunal, déclarant au Daily Telegraph qu’ils étaient « absolument consternés » par cette décision.
« Le juge Moor a condamné une personne qui veut désespérément vivre à ce que nous craignons être une mort atroce », ont-ils déclaré.
Bien que Patricia ait signé l’année dernière une « directive avancée » lui permettant de refuser une sonde d’alimentation, sa famille maintient non seulement qu’elle est trop malade pour être capable d’un jugement rationnel, mais aussi qu’elle a demandé de l’aide à de nombreuses reprises depuis lors.
« Personne n’a dit au juge qu’elle changeait d’avis toutes les cinq minutes », a déclaré un membre de la famille.
Lire la suiteSoutenez le projet de loi C-314 contre l’extension de l’euthanasie aux personnes atteintes de maladies mentales
Conférence de presse de la Coalition pour la prévention de l'euthanasie en soutien à C-314, le 3 octobre 2023.
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie)
Le projet de loi C-314, présenté en première lecture à la Chambre des communes du Canada par le député conservateur Ed Fast le 10 février 2023, sera débattu en deuxième lecture demain, le 5 octobre 2023. C—314 a pour but d’empêcher l’extension de l’euthanasie aux personnes atteintes uniquement de maladies mentales, qui autrement entrera en vigueur en mars 2024. Le sommaire de C-314 indique :
« Le texte modifie le Code criminel afin de prévoir qu’un trouble mental n’est pas un problème de santé grave et irrémédiable à l’égard duquel une personne pourrait recevoir l’aide médicale à mourir. »
La Coalition pour la prévention de l’euthanasie (Euthanasia Prevention Coalition — EPC) a tenu une conférence de presse le 3 octobre dans la Salle de conférence 135-B du Parlement, durant laquelle le président d’EPC, Gordon Friesen, le Dr Paul Saba, Anike Morrison et Lia Milousis, deux jeunes femmes qui ont un historique de problèmes mentaux, ont exprimé leur soutien à C-314.
Gordon Friesen, présentant les conférenciers, souligne, entre autres, que la majorité de la population ne soutient pas l’extension de l’euthanasie.
Lire la suiteLa présidente d’un hospice pro-vie qualifie d’« horreur nationale » la légalisation de l'euthanasie au Canada
Par Anthony Murdoch — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : DCStudio/Freepik
25 septembre 2023 (LifeSiteNews) — Le chef de l’une des rares sociétés de soins palliatifs pro-vie du Canada a averti que l’euthanasie, depuis qu’elle a été légalisée par le gouvernement fédéral du Premier ministre Justin Trudeau, est devenue un spectacle « d’horreur » national.
« Malheureusement, il n’y a pas de répit en vue alors que l’aide médicale à la mort (AMM) devient une horreur nationale et que les “professionnels” aiguisent leurs aiguilles », a déclaré à LifeSiteNews Angelina Ireland, présidente de la société pro-vie Delta Hospice Society (DHS), basée en Colombie-Britannique.
Angelina Ireland a prévenu que le Canada en est arrivé à un point où tout le monde doit se « protéger » des incitateurs à l’euthanasie.
« Nous avons atteint le point où nous devons tous nous protéger les uns les autres contre l’AMM », a-t-elle fait remarquer.
Récemment, Mme Ireland a mis en garde contre la publication d’une initiative défendue et financée par le gouvernement fédéral libéral, intitulée « Medical Assistance in Dying accredited training program for health professionals » (programme de formation accrédité pour l’assistance médicale à la mort à l’intention des professionnels de la santé).
Selon elle, ce programme de formation n’est rien d’autre qu’une préparation à « la prochaine phase du massacre canadien ».
« Ils (le ministre de la Santé du gouvernement Trudeau, Mark Holland) veulent nous faire croire que l’aide médicale à mourir (AMM) est si “personnelle et complexe” qu’apparemment aucune personne ordinaire ne pourrait comprendre les subtilités d’un homicide non coupable », a déclaré Mme Ireland.
Lire la suiteMAiDHouse, une organisation caritative canadienne, a euthanasié 125 personnes en 2022
Par Alex Schadenberg (Coalition pour la prévention de l’euthanasie) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Freepik
Le rapport annuel 2022 de MAiDHouse révèle que cet établissement a facilité la mort par euthanasie de 125 personnes en 2022, une hausse significative par rapport à 2021.
MAiDHouse, est une clinique d’euthanasie à Toronto qui propose l’aide médicale à mourir (AMM ou MAiD en anglais) aux personnes ne souhaitant pas mourir par euthanasie dans un hôpital.
En septembre 2022, Margaret Marsilla a lancé une campagne de pétition pour empêcher l’euthanasie de son fils de 23 ans, Kiano, qui devait mourir à MAiDHouse le 28 septembre 2022.
Dans son communiqué de presse, Margaret Marsilla écrivait :
Les docteurs Joshua Tepper et Laurie Morrison (« Dr. Death ») ont approuvé la demande d’aide médicale à mourir (AMM) pour mon fils, qui doit avoir lieu le 28 septembre 2022 à MAiDHouse. Les médecins et MAiDHouse, dirigé par Tekla Hendrickson, continuent de faire la sourde oreille aux exigences de la législation quant à des dispositifs de sécurité intégrés pour protéger les personnes vulnérables.
Le rapport annuel de MAiDHouse expose son projet d’étendre l’euthanasie en ouvrant d’autres cliniques de la mort.
En revanche, Delta Hospice Society, qui fournissait d’excellents soins de fin de vie, a été privée de financement et a vu son bâtiment de 10 lits exproprié par le gouvernement de la Colombie-Britannique en raison de son engagement à fournir un hospice non meurtrier.
MAiDHouse pratique exclusivement l’euthanasie.
MAiDHouse et CAMAP (Canadian Association of MAiD Assessors and Providers ou Association canadienne des évaluateurs et prestataires de l’AMM) n’existent que pour fournir et promouvoir l’euthanasie. Or, tous deux ont été désignés comme organismes de bienfaisance par le gouvernement canadien.
Célébrer ses propres funérailles
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : maxbelchenko/Adobe Stock
Un homme du Lac-Saint-Jean, Éric De Launière, atteint d’un cancer aux intestins métastasé n’en a plus longtemps à vivre et a fait une demande d’euthanasie. Désirant rassembler sa famille et ses amis une dernière fois avant sa mort prévisible (puisqu’anticipée), il a organisé une fête, qu’il considérerait comme ses propres funérailles selon une proche parente, dans l’aréna de Chambord. Deux cents personnes se sont présentées à l’événement, durant lequel la joie des retrouvailles s’est mêlée aux larmes du décès prochain.
Marie-Ève Tremblay, qui a une lointaine parenté avec Éric De Launière, a invité sa petite cousine Valérie à raconter sur les ondes de 98,5 le singulier événement. Selon Valérie, Éric voulait éviter à sa femme et ses enfants d’avoir à affronter seuls le poids et le souci des funérailles... en célébrant en quelque sorte ses propres obsèques de son vivant.
Selon Marie-Ève Tremblay, ce genre d’événements aurait lieu de plus en plus fréquemment — ce qui n’est pas sans rappeler les fêtes dans les salons funéraires où le futur défunt fait ses adieux avant de recourir à l’euthanasie.
Dans la seconde partie de l’émission de Marie-Ève Tremblay et Philippe Cantin, la parole est donnée à Jean-Marc Barreau, professeur à l’Université de Montréal, titulaire de la chaire de recherche Jean-Monbourquette sur le soutien social des personnes endeuillées. Ce dernier fait judicieusement remarquer que ce phénomène est en partie dû à l’éloignement de la population québécoise par rapport à la religion, et que n’ayant plus recours aux cérémonies religieuses, ils éprouvent le besoin de réaliser un « rituel ». Il fait également remarquer que ce nouveau genre de cérémonies ne peut subvenir au besoin du deuil qui survient au décès de la personne.
Cette affaire est assez triste, non seulement du fait qu’un homme soit proche de la mort, mais aussi qu’il ait décidé de recourir à l’« aide médicale à mourir » — ce qui met une note malsaine au tout.
En effet, pourquoi ne pas rassembler comme il l’a fait la famille autour d’un être cher qui va mourir prochainement ? Ce désir n’est pas condamnable. Ce geste cependant ne nécessite pas que la personne mette fin à ses jours avec l’euthanasie, au contraire, combien parmi sa famille et ses amis désapprouvent sa décision ?
Il est affligeant de constater à quel point le Québec a perdu la foi.
L’adolescente britannique décédée après s’être vu refuser d’essayer un traitement peut désormais être nommée publiquement
Sudiksha Thirumalesh.
Publié sur LifeSiteNews le 22 septembre 2023 — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Christian Concern
(Christian Concern) — À la suite du décès tragique de leur fille et sœur, après s’être vu refuser la possibilité de suivre un traitement spécialisé à l’étranger en raison de restrictions « déshumanisantes » en matière de déclaration, les membres d’une famille ont enfin obtenu le droit de dire son nom,
Connue publiquement sous le seul nom de « ST » pendant plus d’un an en raison d’une décision de justice imposée à la famille, elle peut désormais être appelée Sudiksha Thirumalesh, originaire de Birmingham, à la suite d’une décision rendue aujourd’hui (22 septembre) par la division des affaires familiales de la Haute Cour.
Les parents de Sudiksha, M. Thirumalesh Chellamal Hemachandran et Mme Revathi Malesh Thirumalesh, ainsi que son frère Varshan Chellamal Thirumalesh peuvent également être nommés et sont libres de raconter l’histoire de leur calvaire.
Toutefois, le juge Peel a reporté à la semaine prochaine la décision de lever ou non les restrictions concernant la désignation de l’hôpital, du centre hospitalier et des cliniciens impliqués.
Le sort de Sudiksha a fait la une des journaux et a culminé la semaine dernière avec la tragédie de la mort de la courageuse jeune femme de 19 ans.
Depuis plus de six mois, Sudiksha était engagée dans une longue bataille juridique avec le NHS pour être autorisée à se rendre à l’étranger afin d’y recevoir un traitement expérimental qui aurait pu lui sauver la vie. Sudiksha souffrait d’une maladie génétique mitochondriale rare, mais était pleinement consciente et capable de communiquer.
Lire la suiteUn avorteur est passé à l’euthanasie après l’arrivée de la pilule abortive
Par Nancy Flanders (LiveActionNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Yaokobchuck Olena/Adobe Stock
Dans un documentaire du Telegraph, Dr Konia Trouton a expliqué au journaliste Steven Edginton, qu’elle avait pratiqué l’avortement avant de devenir praticienne de l’aide médicale à mourir (AMM) — après que l’avortement ait cessé de lui rapporter de l’argent.
Le documentaire, intitulé « Canada's woke nightmare : A warning to the West » (Le cauchemar « woke » du Canada : un avertissement pour l’Occident), aborde de nombreuses questions auxquelles le Canada est confronté aujourd’hui. L’un d’entre eux concerne la mort assistée et les pressions exercées sur les personnes atteintes de maladies et sur leurs médecins pour qu’ils y participent. Mme Trouton, militante pour la justice sociale, a fait part à M. Edginton de son soutien à la mort assistée par un médecin, ainsi que de son parcours rapide pour devenir praticienne de l’AMM.
« La majeure partie de ma carrière a été consacrée aux soins liés à l’avortement, à la santé des femmes, aux droits reproductifs, à la justice sociale et j’ai simplement essayé d’intégrer ce en quoi je crois à ce qui se passe sur le terrain », a-t-elle déclaré. « Ainsi, lorsque la législation sur l’aide médicale à mourir a été adoptée, c’est la même année que la mifépristone a été introduite au Canada. La mifépristone est le comprimé que l’on peut prendre pour avorter. Du coup, on avait moins besoin de mes compétences en matière d’avortement chirurgical et je me suis dit qu’il y avait un changement intéressant dans la loi, qui concernait également la justice sociale et l’autonomie d’une personne. Je me suis demandé si je ne voudrais pas m’impliquer dans ce domaine ».
La loi canadienne sur l’AMM a été adoptée en 2016, puis elle a fait l’objet d’une révision en 2021 autorisant la mort assistée pour les « personnes admissibles qui souhaitent obtenir une mort médicalement assistée, que leur mort naturelle soit raisonnablement prévisible ou non ». Au cours de la même période, en janvier 2017, la mifépristone (le premier médicament de la pilule abortive à deux médicaments) a été distribuée pour la première fois au Canada après avoir été approuvée en 2015.
Lire la suiteMgr Viganò : l’interdiction de l’avortement est essentielle pour arrêter le « nouvel ordre mondial soumis à Satan »
Mgr Carlo Maria Viganò.
Traduction de Campagne Québec-Vie — Photo :
(LifeSiteNews) — Voici le texte écrit d’un sermon donné par Mgr Carlo Maria Viganò, archevêque, le 11 septembre 2023.
L’avortement, sacrement de Satan
On peut aller en prison à cause de l’avortement : la prison est la peine infligée dans certains pays à ceux qui s’arrêtent en prière silencieuse devant une clinique où l’on tue des enfants. Mais vous n’allez pas en prison si vous tuez une créature innocente.
Vous pouvez être victime de discrimination à cause de l’avortement : la discrimination est la stigmatisation sociale de ceux qui se préoccupent de la vie de l’enfant tué dans l’utérus, qui est considéré comme « un amas de cellules » jusqu’au moment où il naît, et pour certains meurtriers de nos gouvernements, il est encore considéré comme tel même après sa naissance.
Ils ne parlent pas d’avortement, mais de « santé reproductive », d’« interruption de grossesse ». C’est l’obligation imposée par le politiquement correct et son jargon orwellien. Et ceux qui dissimulent ce crime horrible contre des vies innocentes derrière une expression aseptisée sont également en faveur de la mutilation des personnes — jusqu’aux enfants prépubères — pour les faire ressembler à ce qu’elles ne sont pas au moyen d’amputations et de traitements destructeurs : ils appellent cela la « transition de genre ». Les partisans de l’avortement et de la mutilation des enfants sont aussi partisans de tuer les malades, les personnes âgées, les déments, les handicapés et tous ceux qui, à tout âge, sont jugés indignes de vivre par l’État ou l’individu : on ne parle pas de meurtre légalisé, mais d’« euthanasie », d’« aide médicale à mourir ». Pendant la farce de la psychopandémie, un pays d’Europe du Nord a aussi invité les personnes âgées à ne pas encombrer les services de santé en leur envoyant à domicile un kit pour les aider à « s’en aller » sans déranger personne et en leur assurant que l’État prendrait en charge leurs funérailles.
Lire la suiteUne jeune femme britannique meurt après que les tribunaux aient refusé d’envisager un traitement
Par Jean Mondoro — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : stokkete/Adobe Stock
14 septembre 2023 (LifeSiteNews) — Une jeune femme consciente de 19 ans, qui s’est vu refuser un traitement de survie par un juge qui la considérait comme « délirante » parce qu’elle voulait lutter pour sa vie, est décédée. Sa famille en deuil est toujours obligée de se conformer à des restrictions strictes de déclaration et l’identité de la jeune fille reste inconnue.
La jeune femme britannique, connue sous le nom de « ST » en raison des ordonnances de silence imposées par le tribunal qui empêchent l’identification des personnes impliquées dans l’affaire, est décédée mardi au Royaume-Uni à la suite d’un arrêt cardiaque. Bien qu’elle ait souffert toute sa vie du syndrome de déplétion mitochondriale — une maladie génétique rare dans laquelle les mitochondries productrices d’énergie sont gravement déficientes dans les cellules du corps —, la santé de la jeune fille s’était considérablement détériorée après avoir contracté le COVID-19 en août 2022.
Au cours de la dernière année de sa vie, ST a été placée sous respirateur et sous dialyse dans une unité de soins intensifs. Un juge a décidé que l’hôpital pouvait retirer ces appareils, en invoquant des allégations non fondées selon lesquelles la jeune fille n’était pas en mesure de prendre ses propres décisions médicales.
Bien que l’affaire concernant le traitement de fin de vie de ST ait sans aucun doute pris fin après son décès tragique, les restrictions de publication, qui permettent aux tribunaux de conserver toutes les informations dans les affaires liées à la loi de 2005 sur la capacité mentale (Mental Capacity Act), n’ont pas été levées. Ces mêmes restrictions l’ont empêchée de collecter des fonds pour se rendre aux États-Unis et au Canada afin d’y suivre des traitements expérimentaux auxquels elle avait exprimé le souhait de participer.
« Nous avons perdu notre belle et courageuse fille, connue dans le monde entier sous le nom de ST », ont déclaré les parents de la jeune fille au Daily Mail. « Pour nous, elle a un vrai nom ».
« Pour sa famille, elle était tout et nous chérirons et n’oublierons jamais les 19 années que nous avons passées avec elle. L’année dernière, cependant, a été une année de lutte, voire de torture, pour ST et pour sa famille, entre les mains de l’hôpital et de la Cour de protection ».
Lire la suiteUn médecin belge « complète » une euthanasie avec un oreiller
Par Wesley J Smith (Coalition pour la prévention de l’euthanasie) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Joeahead/Adobe Stock
Cet article a été publié par National Review en ligne le 9 septembre 2023.
L’euthanasie n’est pas une pratique médicale. Elle ne fait que donner une patine « médicale » à l’homicide.
La preuve : lorsqu’un médecin a tenté de faire une injection létale à une patiente à sa demande et qu’elle n’est pas morte, il l’a étouffée avec un oreiller. Extrait de l’article du Daily Telegraph New Zealand :
Une femme belge en phase terminale a été « euthanasiée » par un médecin qui l’a étouffée avec un oreiller après que les médicaments létaux qu’elle avait demandé qu’on lui administre pour mettre volontairement fin à sa vie se soient révélés insuffisants, selon les médias belges... Le cocktail de médicaments n’ayant pas eu l’effet escompté, le médecin aurait utilisé un oreiller pour étouffer la femme et mettre fin à ses jours. L’autopsie a révélé des signes de suffocation, rapporte 7sur7.
Un spécialiste de l’euthanasie médicalisée n’est pas satisfait des modalités de la mort :
Lire la suite« Ce qui s’est passé n’est pas une euthanasie », a déclaré Jacques Brotchi, médecin et homme politique belge, au micro de RTL Info. « Une telle définition de cette terrible situation dévalorise le geste de l’euthanasie, qui accompagne une personne jusqu’à la fin sans douleur ».