Des parents rejettent l'avortement, font le choix de la vie pour leur fils atteint du syndrome de Down
Par Nancy Flanders de LiveActionNews - traduit par Campagne Québec-Vie
Enceinte de quinze semaines, Claire Martin et son mari Benjamin s'attendaient à un ultrason de routine de leur bébé garçon. Au lieu de cela, le docteur les secoua en leur annonçant que leur garçon avait le syndrome de Down.
''Mon docteur fut merveilleux. Il était très factuel, laissant les émotions de côté il a dit: ''Votre bébé a le syndrome de Down'' alors que mon mari et moi pleurions tous les deux,'' dit Martin au Daily Mail.
Le docteur les avisa d'aller à la maison et de discuter du diagnostic avec famille et amis et de décider d'avorter le bébé ou non.
''J'ai trouvé que les gens qui m'ont fait le plus de peine, sans intention de leur part, étaient parfois les plus proches,'' a dit Martin. ''J'ai dit à toute ma famille que j'étais enceinte d'un bébé ayant le syndrome de Down et ils me disaient, ''Je suis vraiment peiné'' et pleuraient et me serraient dans leurs bras. J'ai même eu une personne pour me dire: ''Si c'était un chien, que ferais-tu?''
Lire la suiteDes docteurs affirmaient qu’un bébé, du nom de Grace, présentait une anormalité mortelle. Ils avaient tort.
Par Sarah Terzo de LiveActionNews - traduit par Campagne Québec-Vie
Dans son livre Défiant la Naissance : Des Mères Résistantes aux Eugénismes Médicaux, Melinda Tankard Reist regroupe des histoires de couples dont les bébés prématurés étaient diagnostiqués avec des problèmes médicaux sévères ou même mortels. Une histoire de ce livre est celle de Sandi Seyferth et de son époux, qui firent tous deux face à une décision extrêmement dure après qu’ils apprirent que leur fille ne survivrait pas à la naissance. Les Seyferths étaient très excités à la nouvelle d’avoir un cinquième enfant. Mais à 18 semaines, un ultrason n’alla pas comme prévu…
La journée de l’ultrason arrivait rapidement et mon mari et moi étions excités de voir notre bébé en croissance. L’ultrason de routine semblait se passer correctement, mis à part le fait qu’il prit beaucoup de temps et que le technicien semblait prendre beaucoup de photos des os de mon enfant… Lorsqu’elle revint, elle commença à prendre davantage de mesures. Je commençais à m’inquiéter…
Lire la suiteLes parents qui avaient subi la pression pour avorter montrent leur fille, belle et en bonne santé
Par Kristi Burton Brown de LiveActionNews - traduit par Campagne Québec-Vie
Les parents d’Olivia-Jax, une enfant de 7 mois, parlent de sa vie sur Facebook. Encore dans le sein maternel, Olivia-Jax fut diagnostiquée d’une série de problèmes de santé. Ses parents racontent avoir subi à plusieurs reprises des pressions en vue d’avorter. Et pourtant, aujourd’hui la souriante petite fille jouit d’une parfaite santé.
Voici le message :
Lire la suiteSalut, je m’appelle Jax. Les médecins ont cherché par trois fois à pousser mes parents vers l’avortement. Ils ont dit que mes intestins étaient hors de mon corps – mes parents leur ont dit non. Ils ont dit que mes jambes et mes pieds avaient des malformations et ne valaient pas le risque que voulait prendre ma mère – mes parents leur ont dit non. Ils ont alors dit que je souffrais de trisomie 18 et que je ne survivrais pas hors du sein maternel – et mes parents leur ont dit non. Mon père a dit qu’il ne leur faisait pas confiance, que leurs arguments étaient lamentables, car j’étais en bonne santé disait-il. Ma mère était d’accord avec lui et maintint sa grossesse contre l’avis et les conseils d’éminents médecins spécialistes des “grossesses à haut risque.” Je suis née un mois avant la date prévue d’accouchement – je suis à 95+ % en tout – mes mains et mes pieds sont magnifiques – mon abdomen est normal – je n’ai pas un 18e chromosome supplémentaire. J’ai presque 7 mois aujourd’hui parce que je suis venue au monde un mois plutôt et je vais bien. Je m’appelle Olivia-Jax et non fœtus ou cellule humaine. Je suis une petite fille et mes parents ont refusé de m’abandonner; je vais bien.
La lettre d’un père à sa fille trisomique, à l’occasion de son mariage, devient célèbre
Par Kristi Burton Brown de LiveActionNews - traduit par Campagne Québec-Vie
L’émission TODAY Show a suscité une grande émotion avec la photo publiée sur sa page Facebook le 14 avril. On voit sur la photo Ryan et Jillian, le jour de leur mariage avec leurs parents. Ryan et Jillian – qui souriait d’un éternel sourire de jeune mariée heureuse – souffrent tous les deux du Syndrome de Down.
Paul, le père de Jillian, a fait part de la lettre écrite à sa fille, et TODAY l’a envoyée au monde entier. Le message a déjà reçu plus de 50 000 réactions, 5 700 partages et 2 000 commentaires – beaucoup de commentaires de parents célébrant les réussites et la beauté intrinsèque de leurs propres enfants ayant le Syndrome de Down.
Voici un passage de la lettre de Paul :
Lire la suite“Chère Jillian, j’ignore les difficultés que doit affronter une femme souffrant du Syndrome de Down pour épouser l’amour de sa vie. Tout ce que je sais, c’est que tu les as surmontées…Nous ne pouvions pas amener les autres enfants à t’aimer, à t’accepter, à se lier d’amitié avec toi, à te soutenir sur le plan social. Nous pensions : “À quoi sert la vie d’un enfant si elle n’est pas faite de soirées pyjamas, de fêtes d’anniversaires et des bals de finissants?”. Je me faisais alors des soucis pour toi. Au plus profond de moi, j’ai pleuré cette nuit où tu es descendue me dire : “je n’ai pas d’amis.” Tu avais 12 ans. Tu es très naturelle lorsqu’il s’agit de socialiser. À l’école primaire, on t’avait surnommée la Mairesse à cause de ton habilité à t’intéresser à tous. Tu faisais partie de l’équipe de danse junior du collège. Tu as fait 4 ans de collège et tu fis forte impression sur toute personne rencontrée. Jills, te souviens-tu de toutes les choses que tu étais supposée ne jamais faire? Conduire un engin à deux roues ou faire du sport. Tu n’irais pas au collège. Tu ne te marierais certainement pas. Regarde-toi maintenant. Tu es la personne la plus charmante que je connaisse. Quelqu’une capable de mener une vie d’empathie et de sympathie, sans hypocrisie, est une personne que tous veulent rencontrer. …Il y a dix ans, lorsqu’un jeune homme en costume portant un bouquet d’orchidées cymbidium, frappa à notre porte et dit : “Monsieur, je viens chercher votre fille pour l’amener à la fête,” toutes les peurs que j’avais nourries sur la possibilité d’une vie incomplète pour toi s’évanouirent. Aujourd’hui, Ryan et toi, vous empruntez un nouveau chemin ensemble.” (Source : Paul Daugherty via The Mighty)
Une sénatrice pro-vie de l’Indiana soumet un projet de loi pour interdire les avortements basés sur le syndrome de Down
Par Micaiah Bilger de LifeNews - traduit par Campagne Québec-Vie
Une sénatrice pro-vie de l'Indiana va de l'avant avec un projet de loi pour protéger les enfants à naître contre la discrimination en raison de leur sexe ou d’un handicap.
« Ce que nous entendons des médecins est – qu’il aurait mieux fallu que vous ne naissiez pas.» rapporte la sénatrice de l’Indiana Liz Brown au sujet de la pratique de l'avortement discriminatoire. «Si vous naissez, nous vous aimerons et nous pensons que vous avez les mêmes droits et devrez être un membre de la société. En fait, nous avons des Américains avec des handicaps et nous devons faire des accommodements. Mais nous ne voulons pas nous accommoder avant votre naissance, en fait, ce serait vraiment préférable que vous ne veniez pas au monde. "
Indy Star rapportait que Madame Brown a co-écrit avec le sénateur Travis Holdman un projet de loi qui interdirait les avortements fondés sur le sexe ou sur le diagnostic d'un handicap du bébé à naître en Indiana. Le projet de loi du Sénat 313 échoua lors d’un vote du comité du Sénat de l’Indiana à 7 contre 4 mais il passera devant le Sénat au complet pour un vote.
Lire la suiteUne mère refuse l'avortement de son bébé atteint de trisomie 18: «mon devoir était de le protéger»
Par Nancy Flanders de LiveActionNews - traduit par Campagne Québec-Vie
À 21 semaines de grossesse, Sarah Hynes apprit que son fils Seán avait le syndrome d'Edward, ou trisomie 18. Sarah n’a jamais entendu parler de cette condition et a été dévastée lorsque les médecins lui ont dit que son fils était «incompatible avec la vie».
Informée qu‘elle avait l'option d'avorter, Sarah a immédiatement su qu'elle choisirait la vie pour Seán.
«Je savais d'emblée que ce n’était pas ainsi que je voulais faire face à cette situation», a-t-elle confié à Newstalk FM.
En poursuivant sa grossesse, elle savait qu'à tout moment elle pourrait échouer. Même si Seán survivait à la grossesse, il n'y avait aucun moyen de savoir combien de temps il vivrait en dehors de l'utérus.
Lire la suite7 citations choquantes de Margaret Sanger, la fondatrice du planning familial
Par Becky Yeh de LiveActionNews — traduit par Campagne Québec-Vie
« Il ne faut pas que circule l’idée que l’on veut exterminer la population nègre. » Margaret Sanger, fondatrice du planning familial, 1939.
En tant que fondatrice de la plus grande chaîne d’avortement des États-Unis, l’idéologie de Margaret Sanger pour le planning familial se base sur ce qu’on appelle l’eugénisme, théorie qui consiste en l’élimination de certains peuples.
En tant qu’eugéniste, Sanger a encouragé la stérilisation des personnes possédant peu des caractéristiques désirées, et a fortement soutenu la reproduction des personnes qui en étaient fortement dotées. Son mépris pour les noirs, pour les minorités ethniques ainsi que pour les malades et les handicapés a donné naissance à un organisme promouvant l’avortement qui tire profit du meurtre des plus faibles et des plus vulnérables. Le planning familial est dans son essence même une émanation de la volonté d’exterminer les gens jugés « inaptes » à faire partie de l’humanité.
L’idéologie de Sanger a la peau dure. Selon le Guttmacher Institute (ancienne division de recherche du planning familial, évidemment proavortement par conséquent) les Afro-Américaines sont cinq fois plus susceptibles de recourir à l’avortement que les Blanches. Les cliniques du planning familial sont implantées stratégiquement dans les communautés de minorités ethniques, puisqu’elles visent les noirs et les groupes minoritaires qui vivent dans la pauvreté. Résultat : l’avortement reste la première cause de mortalité pour la population noire.
Lire la suiteUn bébé miraculeux, né avec une anencéphalie, survit contre toute attente
Par Kirsten Andersen de LiveActionNews - traduit par Campagne Québec-Vie
La petite Angela Morales n’était pas censée vivre. Tandis qu’elle était encore dans le ventre de sa mère, les docteurs l’ont diagnostiquée d’une anencéphalie – Une condition découlant sur une malformation du cerveau et du crâne qui ne se développent pas, provoquant généralement le décès du bébé avant ou peu après la naissance.
Lorsqu’ils délivrent un diagnostic prénatal d’une anencéphalie, la plupart des docteurs conseillent aux mères l'avortement, dans le but de leur épargner la douleur de porter un enfant durant 9 mois et de le voir mourir dans les minutes suivant sa naissance.
Mais la petite Angela fut suffisamment chanceuse pour échapper à ce destin – sa mère, Sonia, choisit tout de même de la porter et de lui donner la vie en dépit des avertissements des docteurs.
Aujourd’hui, venant de fêter son premier anniversaire, Angela est bien vivante et se porte bien, laissant les docteurs dans l’incompréhension, tandis que ses parents encourageaient les autres de penser à deux fois avant mettre fin à la vie de leur bébé doté de diagnostics similaires.
Lire la suiteRévoltant : Une maman découvre la photo de sa fille trisomique dans une pub pour le diagnostic prénatal
Voici l’une des histoires les plus poignantes que l’on puisse imaginer… Celle d’une jeune mère de famille canadienne, Christie Hoos, qui a découvert avec horreur la photo de sa fille atteinte de trisomie 21 sur la publicité d’un laboratoire pharmaceutique suisse de diagnostic prénatal. C’était une photo qu’elle avait – exceptionnellement – postée sur son blog, soheresus.com. La société Genoma l’avait utilisée pour illustrer son site où elle vantait la précision de son « test d’ADN fœtal », sous le nom commercial « Tranquillity », mais aussi sur une bannière publicitaire affichée sur un immeuble en Espagne.
Le message est sans ambiguïté. Avec « Tranquillilty », le « test d’ADN fœtal non-invasif le plus complet », les futurs parents peuvent être… tranquilles. Genoma revendique sur son site la « précision » et la « précocité » du diagnostic de « trisomie 21 et autres désordres chomosomiques » obtenu sur une simple prise de sang prélevée sur la future mère.
« En vous informant à l’avance du risque spécifique de voir se développer une maladie, ou en permettant le diagnostic très précoce d’une maladie, Genoma vous aide à prendre à temps les bonnes décisions médicales. Votre bébé ou vous-même pouvez recevoir immédiatement les traitements médicaux adéquats », assure Genoma sur son site.
Lire la suiteDes parents de jumeaux, un avec un grave trouble du crâne, rejettent l'avortement et choisissent la vie pour leurs deux enfants
Par Nancy Flanders de LiveActionNews - traduit par Campagne Québec-Vie
31 Mars 2015 – Au cours du mois de Septembre 2014, Christina et Shawn Byrum, parents de sept enfants, furent à la fois surpris et excités lorsqu’ils découvrirent que Christina étaient enceinte de deux jumeaux parfaitement identiques.
Ils pensaient au début que leur plus grande inquiétude serait de trouver un foyer plus grand. Cependant, au bout de 12 semaines de gestation, ils apprirent que l’un de leurs enfants était atteint d’acrânie, signifiant que le crâne du garçon ne s’est pas totalement formé.
Contrairement à l’anencéphalie, le cerveau de leur enfant s’est bien développé. Néanmoins suite à l’exposition au liquide amniotique, le cerveau serait devenu endommagé et se détériorerait le long de la grossesse. Le couple prit rendez-vous avec un conseiller ainsi qu’un assistant social pour discuter des différentes possibilités qui s’offraient à eux.
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