Mobilisation pour interdire les avortements eugéniques en Pologne!
Couverture de l’hebdomadaire catholique polonais Gosc Niedzielny de cette semaine, avec le titre « Laissez-moi vivre »
Par Olivier Bault (Présent)
LA CINQUIÈME FOIS sera-t-elle la bonne ? C’est ce qu’espèrent les organisateurs de la nouvelle initiative citoyenne visant à interdire les avortements eugéniques en Pologne. Forts de leurs expériences précédentes, et notamment du rejet à l’automne dernier par la majorité PiS du projet de loi citoyen qui aurait interdit l’avortement dans tous les cas sauf danger pour la vie ou la santé physique de la femme enceinte, les organisations pro-vie polonaises ont décidé de se concentrer sur la question des enfants handicapés. Ceux-ci payent en effet le plus lourd tribut à la loi actuelle interdisant les IVG de confort. Sur 1 098 avortements réalisés dans les hôpitaux polonais en 2016, 1 042 étaient motivés par une malformation ou maladie grave et incurable de l’enfant.
La collecte des signatures a été lancée le 1er septembre, après que le maréchal (président) de la Diète ait approuvé la demande d’enregistrement du comité Zatrzymaj Aborcje (Arrêtez l’avortement). Ce comité a donc trois mois à compter du 1er septembre pour collecter au minimum 100 000 signatures et contraindre le parlement polonais à se saisir de la question. A en croire les dé- clarations des députés et sénateurs du PiS, y compris du président du parti Jaroslaw Kaczynski et du Premier ministre Beata Szydło qui se sont dits, à titre personnel, opposés aux avortements eugéniques, cette cinquième initiative en six ans devrait être transformée en amendement à la loi actuelle. Tuer son bébé parce qu’il est par exemple touché par la trisomie 21 deviendra alors interdit en Pologne, et l’avortement ne sera plus autorisé que si la grossesse est le fruit d’un viol ou si elle met en danger la vie ou la santé physique de la femme enceinte.
Lire la suiteInterdiction des avortements eugéniques : nouvelle initiative citoyenne contre l’avortement en Pologne
Drapeau de la Pologne
Par Olivier Bault (réinformationtv)
Le 6 juin, une nouvelle initiative citoyenne contre les avortements eugéniques a été annoncée à Zakopane devant la Conférence des évêques de Pologne. Kaja Godek, une des personnes à l’origine de l’initiative Zatrzymaj Aborcję ! (Arrêtez l’avortement) qui est elle-même mère d’un petit garçon touché par la trisomie 21, a demandé aux évêques de soutenir ce projet de loi citoyen dont le but est d’interdire l’avortement pour cause de malformation ou maladie de l’enfant conçu. Il s’agit d’une des trois causes permettant d’avorter en Pologne, les autres étant les cas de grossesse issue d’un acte interdit par la loi (viol, inceste…) et les cas de grossesse mettant en danger la vie ou la santé physique de la femme enceinte. Dans les faits, les avortements eugéniques qui correspondent à la première de ces trois causes possibles comptent pour 96 % des plus de mille avortements réalisés chaque année dans les hôpitaux polonais. La conférence épiscopale a apporté son soutien officiel à l’initiative des associations pro-vie dans un communiqué du 7 juin dans lequel il est dit que « Les évêques recommandent cette initiative à la prière et soutiennent la collecte des signatures ».
Lire la suiteCitation du jour: L’avortement légal nous mène vers un monde sans ‘syndrome de Down’
Jeune trisomique (Source: Fondation Jérôme Lejeune)
LiveActionNews - Traduit par Campagne Québec-Vie
Le mois dernier, Dr Peter McParland, un obstétricien de l’Hôpital National de Maternité, a discuté à l’Assemblée des Citoyens à propos de ce qui se passe réellement dans d’autres pays une fois qu’on a légalisé l’avortement pour des raisons d’infirmité. La réalité des chiffres est dure et tout à fait bouleversante.
«En Grande-Bretagne, 90% des bébés qui ont le syndrome de Down sont avortés avant leur naissance. En Islande, chaque bébé, soit, 100% de ceux qui ont été diagnostiqués du syndrome de Down sont avortés. Il n’y a eu aucun bébé né avec le syndrome de Down en Islande durant les cinq dernières années».
Le Danemark en fait autant et on s’attend à ce qu’il soit, d’ici 2030, «sans syndrome de Down»; et ces statistiques à faire frémir, nous indiquent exactement vers où l’avortement légal dirige le reste de l’Europe.
L’avortement légal nous mène vers un monde «sans syndrome de Down». Je peux à peine taper ces mots. C’est à vous fendre le cœur complètement. Figurez-vous un peu qu’en Grande-Bretagne, Lord Shinkwin – un membre de la Chambre Haute qui a un handicap congénital – a donné la semaine dernière, un discours poignant qui souligne: « c’est écrit sur le mur pour des gens comme moi. Les gens avec des handicaps congénitaux sont menacés d’extinction».
~ Anne Trainer, Le journal.ie, 4 février
Voici la vidéo de Lord Shinkwin, qui déclare "Les gens avec des handicaps congénitaux sont menacés d’extinction":
‘Le garçon sans cerveau’ stupéfie les médecins après que ses parents aient refusé l'avortement
Par Nancy Flanders (LiveActionNews) - traduit par Campagne Québec-Vie
À trois mois de gestation, Shelly Wall et son mari Rob ont appris ces nouvelles dévastatrices qu’aucun parent ne veut entendre. Les médecins leur ont dit que leur bébé à naître, le petit garçon Noah avait plusieurs problèmes de santé incluant le spina bifida, des anomalies chromosomiques et l'hydrocéphalie. Ils ont dit que Noah n'avait que 2% de ses tissus cérébraux et mourrait probablement avant la naissance. On a conseillé au couple d'avorter leur fils.
Ils ont refusé.
« On nous a offert d’avorter cinq fois », a déclaré Rob Wall dans le documentaire « Le garçon sans cerveau. » « Ce n’avait jamais été une option acceptable pour nous. Nous voulions tout simplement donner à Noah la chance de vivre. »
Salut tout le monde ! Un bien beau bonjour à vous tous ! Ça sera une semaine magnifique parce que j’ai eu MON TOUT PREMIER BOULOT DE MANNEQUIN !!!!! Si je peux le faire, N’IMPORTE QUI peut y arriver aussi ! Ceci est une photo de moi 48 heures après la naissance, qui l’aurait cru !
Les médecins prédisaient si obstinément que Noah allait mourir à la naissance que le couple avait planifié des funérailles pour leur fils avant qu'il ne soit né. Mais à leur grande joie, tout de suite après sa naissance le 6 mars 2012, Noah a laissé échapper un cri.
Lire la suiteRapport du Congrès : Le cerveau d’un enfant avorté souffrant du syndrome de Down vendu à 325$
LiveActionNews - traduit par Campagne Québec-Vie
(16 janvier 2017) Le rapport du comité d’enquête sur la vie des enfants (un comité du congrès présidé par la Républicaine Marsha Blackburn) déborde de détails terrifiants sur l’avortement et le commerce des organes du fœtus.
Des captures d’écran faites directement à partir du rapport montrent les prix de plusieurs organes et parties du corps. En ce qui concerne la première image ci-dessous, Advanced Bioscience Resources (ABR) a acheté “quatre fœtus” à Planned Parenthood du Sud-Ouest du Pacifique (PPSOP) pour un montant de 240$; cet institut a ensuite vendu vingt “spécimen” de ces enfants avortés à 6825$. Chacun de ces enfants était âgé d’au moins 20 semaines.
Fœtus de 20 semaines. (Source)
Le rapport fournit d’autres détails selon lesquels le cerveau d’un fœtus de 19 semaines (fœtus également livré par Planned Parenthood du Sud-Ouest du Pacifique) a été vendu à 325$, “les deux jambes à 650$... le thymus et le foie à 325$ chacun.” ABR a encaissé un montant total de 1625$ après avoir vendu tous les organes sollicités.
Traduction :
Le registre d’approvisionnement fournit aussi l’heure de la livraison du fœtus et l’heure de l’expédition des spécimens par le technicien de l’ABR. ABR a réceptionné le fœtus de 20 semaines mentionné plutôt à 9 :00 am et à 1 :00 pm il a expédié les spécimens tirés du dit fœtus ainsi que de trois autres fœtus recueillis ce matin-là. En effet, pendant les quatre heures de travail fournies ce jour-là par le technicien de l’ABR à la clinique de PPSOP, il ou elle a obtenu, traité et expédié au total 20 spécimens procédant de quatre fœtus achetés. À cause de ces quatre heures de travail, ABR demande des frais de service élevés à 6825$ à ses clients pour ces spécimens. Et cela ne concerne que les frais de service liés aux spécimens; l’expédition, le dépistage des maladies, l’entretien et la réfrigération (le cas échéant) engendrent d'autres frais. En vertu de l’accord avec PPSOP, ABR leur a versé un montant de 240$ en échange de ces quatre fœtus. Le technicien de l’ABR a perçu 60$ pour les quatre heures de travail à raison de 15$ l’heure. Il en ressort donc que les dépenses faites par ABR se résument à 240$ pour PPSOP, 60$ pour le technicien et probablement une somme moins importante pour la logistique, les fournitures et la paperasse.
Ce fœtus n’était pas un cas isolé. Par exemple un jour de juin 2014, la clinique de PPSOP livra à ABR un fœtus de 19 semaines. ABR vendit son cerveau à un client pour 325$; il fit de même pour les jambes à un autre client pour 650$; le foie et le thymus furent cédés à un troisième client pour 325$ chacun. Après avoir payé 60$ pour avoir le fœtus, ABR obtint au total 1625$ pour les frais de service liés aux spécimens provenant du fœtus.
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Rapport: Des docteurs ont tué un nouveau-né ayant le syndrome de Down
Par Sarah Terzo (LiveActionNews) - traduit par Campagne Québec-Vie
Dans un rapport du Centre Européen pour la Loi et la Justice appelé ''Avortement en fin de grossesse et infanticide néonatal en Europe,'' une docteure donne un témoignage vécu d'infanticide.
La docteure, identifiée comme Mme D.F., a été appelée dans une salle et on lui a demandé son opinion à propos d'un bébé qui venait de naître. A cette époque, elle était interne en pédiatrie dans un hôpital achalandé:
Lire la suiteLe pédiatre senior de garde m'a appelée et me demanda de le rejoindre dans la salle de réanimation néonatale adjacente aux salles d'accouchement. Un enfant nouveau-né y était intubé et ventilé. L'enfant présentait de multiples symptômes d'un enfant atteint du syndrome de Down (aucun de ces signes n'avaient été détectés lors des ultrasons prénataux). Mon patron me demanda de lui dire ce que je pensais des particularités de ce bébé. Après ma réponse, il demanda à l'anesthésiste présent si on avait des restes de produit d'épidurale de la mère, ce qui était le cas. Il le prit et en injecta à l'enfant qui mourut tout seul en une ou deux minutes. Au moment où l'enfant étendu mourait, les deux docteurs parlaient, sans aucune gêne ni égard pour ce bébé. Quant aux parents, ils furent informés de l'état de santé de leur enfant après sa mort!
Nick Cannon: L’avortement est un ‘vrai génocide’ contre la communauté noire
Par Anna Reynolds (LiveActionNews) - traduit par Campagne Québec-Vie
21 nov. 2016 - La semaine dernière, le rappeur Nick Cannon est intervenu à l’émission de radio new-yorkaise, «Le club du petit-déjeuner». Lorsque l’animateur «Charlamagne Tha God» a soulevé la question des élections, la conversation s’est rapidement tournée vers la comparaison entre le président élu Donald Trump et Hillary Clinton. Cannon qui a décidé de ne supporter aucun des candidats, a refusé d’accepter que Clinton serait un meilleur choix en affirmant ceci :
Hillary c’est fini – Pensez à toutes les choses qu’elle a faites avec Planned Parenthood et toutes choses du genre. Ce genre de choses menacent notre communauté – et oubliez la gentrification – C’est un vrai génocide et ça dure depuis des années. Ce système n’est pas fait pour nous.
Lire la suiteLes médecins disaient que Jaxon ne survivrait pas et maintenant il a deux ans
Brittany Buell et son fils Jaxon
Nancy Flanders (LiveActionNews) traduit par Campagne Québec-Vie
Cela fait maintenant deux ans depuis qu’on a dit à Brittany et Brandon Buell que leur enfant à naître Jaxon ne vivrait pas et qu’ils devraient sérieusement considérer l’avortement. Jaxon avait alors une condition non-diagnostiquée, mais les médecins étaient inquiets à propos de la forme et grosseur de sa tête. Cependant, ses parents refusèrent l’avortement et n’ont pas abandonné leur fils.
J’étais irritée, de dire Brittany, ça ma mise en colère parce qu’ils ont eu si vite recours à l’avortement avant même d’être certain, de savoir quel était le diagnostic. Ils ont déclaré forfait. Nous avons fait faire tous les tests possibles. Nous étions rendus à la 23e semaine de grossesse et là, ils nous dirent qu’il nous restait une semaine pour mettre un terme à ma grossesse.
Après que Jaxon vint au monde, les médecins demandèrent à ce couple de signer un document de non-ressusciter, mais le couple refusa. Au contraire, ils étaient plus que déterminés à tout faire pour aider leur fils et pour les deux années qui suivirent, ils regardaient grandir et montrer maintes fois combien ces médecins avaient torts. Tout d’abord, Jaxon fut diagnostiqué comme souffrant de lissencéphalée, un désordre neurologique rare en lequel le cerveau n’a pas la forme ni la grosseur normale. Mais les symptômes de Jaxon ne correspondaient pas à cette condition.
Lire la suiteAprès avoir refusé l'avortement, les parents de jumelles conjointes les appellent un « miracle »
Par Nancy Flanders (LiveActionNews) - traduit par Campagne Québec-Vie
Shellie Tucker et son mari Greg étaient heureux d'apprendre qu'ils attendaient leur deuxième enfant. Avec un fils, Owen, à la maison, le couple avait espéré agrandir leur famille. Ce à quoi ils ne s’attendaient pas c'est qu'ils auraient des jumeaux identiques, et qu'un spécialiste leur conseillerait de les avorter.
À 20 semaines de gestation, une échographie de routine a révélé que Shellie était enceinte de jumelles conjointes. Les petites filles étaient jointes à la poitrine et à l'abdomen, et partageaient un diaphragme et le foie.
Cette photo et suivantes: Captures d'écran d'un entretien
avec ABC Good Morning America / Youtube
« Il [le médecin] nous a demandé d'aller voir un spécialiste qui, à ce moment a conseillé que nous avortions », a déclaré Tucker lors d'une conférence de presse. Le médecin ne croyait pas que les filles seraient capables de survivre et qu'il serait préférable de les avorter.
Lire la suiteUne mère rédige une lettre au médecin qui lui a conseillé d'avorter son bébé atteint du syndrome de Down
Par Nancy Flanders de LiveActionNews - traduit par Campagne Québec-Vie
Courtney Baker était terrifiée quand elle est allée chez un spécialiste pendant sa grossesse pour confirmer que sa fille avait le syndrome de Down; mais ses craintes se sont transformées en tristesse et colère, lorsqu'elle a entendu le médecin lui conseiller d'avorter sa fille qu'elle avait déjà nommée.
Courtney a refusé l'avortement, et maintenant, plus d'un an après, elle a envoyé une lettre à ce médecin, et l‘a partagé sur internet.
Dans sa lettre très sincère, Courtney Baker écrit au médecin:
Lire la suite«Dès ma première visite, nous redoutions nos rendez-vous. Le moment le plus difficile de ma vie a été rendu presque insupportable parce que vous ne m'avez jamais dit la vérité.
Mon enfant était parfait.»