Une Canadienne a demandé l’euthanasie parce qu'elle manquait de soins médicaux
Par Bridget Sielicki (LiveActionNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : DC Studio/Adobe Stock
Une Canadienne a récemment été euthanasiée dans le cadre des lois sur l’Aide médicale à mourir (AMM) du pays, mais elle a admis dans sa propre notice nécrologique que c’est le manque de soins médicaux appropriés, et non sa maladie, qui l’a poussée à choisir de mourir.
Selon Radio-Canada, News, Sathya Dhara Kovac, 44 ans, de Winnepeg, souffrait de sclérose latérale amyotrophique (SLA). Bien que la maladie soit dégénérative et qu’elle affaiblisse les muscles au fil du temps, Mme Kovac estimait qu’elle pouvait encore profiter de la vie — mais les soins à domicile qu’elle recevait ne lui permettaient pas de le faire.
« En fin de compte, ce n’est pas une maladie génétique qui m’a emportée, c’est un système », a écrit Mme Kovac dans sa propre notice nécrologique en guise de message à ses proches. « Il y a un besoin désespéré de changement. C’est la maladie qui cause tant de souffrance. Les personnes vulnérables ont besoin d’aide pour survivre. J’aurais pu avoir plus de temps si j’avais eu plus d’aide ».
L’amie de Kovac, Shayla Brantnall, qui travaille comme aide au maintien à domicile, a déclaré à Radio-Canada que Kovac ne recevait pas le soutien médical dont elle avait besoin. « C’est difficile parce que mentalement, elle était là... Elle acceptait les changements dans son corps, mais sans un soutien suffisant, comment quelqu’un pourrait-il continuer ? » a déclaré Brantnall. « Vous êtes constamment stressé, vous luttez constamment, vous demandant “Comment vais-je aller aux toilettes ? Comment vais-je manger ?” Ce n’est pas vraiment une bonne qualité de vie non plus. »
Lire la suiteLe Collège des médecins du Québec est critiqué pour avoir justifié l'euthanasie des nourrissons gravement malades
Billet de blogue de Joanne D’Arc (Campagne Québec-Vie) — Photo : Rawpixel.com/Adobe Stock
Catherine Levesque a publié un article le 11 octobre 2022 dans le National Post. Elle nous rapporte que le Collège des médecins du Québec est critiqué par des groupes de défense des droits pour avoir proposé que l’euthanasie des nouveau-nés gravement malades devienne légale.
Jusqu’à présent, le Canada a refusé d’étendre l’aide à mourir aux enfants de moins de 18 ans, mais on a quand même envisagé de la rendre accessible aux « mineurs matures ». Puis, dans une présentation récente faite par le Dr Louis Roy pour le Collège des médecins du Québec devant le Comité mixte spécial de la Chambre des communes sur l’AMM (Aide médicale à mourir), le gouvernement fédéral du Canada a été exhorté à adopter un protocole pour permettre l’euthanasie des nourrissons gravement malade.
Levesque précise : L’organisation du Dr Roy croit que l’AMM peut être appropriée pour les nourrissons jusqu’à l’âge d’un an, qui sont nés avec des « malformations graves » et des « syndromes graves et sévères » pour lesquels leur « perspective de survie est nulle, pour ainsi dire ».
Dans le même article, Krista Carr, vice-présidente générale d’Inclusion Canada s’est dit alarmée par la recommandation de M. Roy selon laquelle le Canada devrait légaliser l’euthanasie pour les enfants handicapés de moins d’un an.
Madame Carr ajoute : « Le Canada ne peut pas commencer à tuer des bébés lorsque les médecins prédisent qu’il n’y a aucun espoir pour eux. Les prédictions sont bien trop souvent fondées sur des hypothèses discriminatoires concernant la vie avec un handicap ».
Elle dit aussi : « Un nourrisson ne peut pas consentir à sa propre mort. Ce n’est pas de l’AMM, c’est un meurtre. Et fournir l’AMM à une personne qui ne peut pas consentir est une norme qui est extrêmement dangereuse pour toutes les personnes ayant une déficience intellectuelle au Canada ».
Lire la suiteUn Canadien demande l’euthanasie après s’être fait retirer sa prestation d’invalidité
Les Landry.
Bridget Sielicki (LiveActionNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie
Un Canadien a annoncé qu’il envisageait de recourir à l’euthanasie par l’entremise du programme d’assistance médicale à mourir (AMM) à cause de l’insuffisance de l’aide financière qu’il reçoit afin de payer ses dépenses en lien avec son handicap.
Lors d’une entrevue par vidéo-conférence avec Bridge City News, Les Landry de Medicine Hat en l’Alberta a expliqué qu’à son 65e anniversaire, ses prestations d’invalidité ont été remplacées par des prestations de vieillesse. En revanche, la pension étant insuffisante, il n’était plus capable de couvrir ses transports médicaux, prescriptions ou les frais de son chien de service. Il estime que ses dépenses ont augmenté de 300 %.
En raison de ses difficultés financières, des douleurs chroniques ainsi que leurs effets sur sa qualité de vie, Landry envisage le suicide assisté. « Si je décide de le faire, je veux que le monde sache à quel point la situation est mauvaise », a déclaré Landry. « Je ne savais pas que la vie s’arrêtait à 65 ans ».
« Mon futur semble sombre », a-t-il ajouté. « Ce processus, en plus de la douleur et la souffrance émotionnelle que j’endure, rend cette décision difficile ».
Landry croit que si sa demande est approuvée, il est sûr à 90 % qu’il ira jusqu’au bout. « Êtes-vous prêt à mourir avec l’aide de docteurs ? » a demandé le journaliste. « Oui, je le suis », a-t-il répondu.
Lire la suiteC’est une erreur de tuer des bébés par avortement simplement parce qu’ils sont handicapés
Par Micaiah Bilger (LifeNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : oksix/Adobe Stock
Quand la société a-t-elle commencé à adhérer à la notion selon laquelle tuer un enfant malade relève de la « compassion » ?
Tant que l’enfant n’est pas encore né, il est considéré comme acceptable — même jusqu’au neuvième mois de grossesse — de mettre fin à sa vie par l’avortement. Soumettre l’enfant malade à une mort violente et prématurée est accepté, tandis que protéger ces innocents par des lois pro-vie est considéré comme méprisable.
Ainsi, la couverture médiatique de l’histoire tragique d’une famille de Louisiane après le diagnostic d’une anomalie potentiellement fatale chez leur enfant à naître.
Au début de sa grossesse, la mère, Nancy Davis, a déclaré que son bébé à naître avait été diagnostiqué comme souffrant d’acranie, une maladie généralement mortelle dans laquelle le crâne du bébé ne se développe pas.
Nancy Davis a déclaré avoir demandé un avortement dans un hôpital de Baton Rouge, mais celui-ci a refusé en raison de la nouvelle loi pro-vie de l’État.
« En gros, ils ont dit que je devais porter mon bébé pour l’enterrer », a déclaré Mme Davis lors d’une conférence de presse en août.
Mais au lieu de porter son bébé, elle a décidé de parcourir 2 253 km pour avorter de son enfant à naître dans un établissment de Planned Parenthood à New York au début du mois, selon le Daily Advertiser.
Pendant ce temps, des organes de presse prétendument impartiaux couvrant l’histoire de Mme Davis ont utilisé des mots comme « forcé » et « refusé » pour vilipender les législateurs de Louisiane qui tentent de protéger les bébés à naître contre les morts violentes par avortement. Cette semaine, dans le Dr Phil Show, Lila Rose, présidente et fondatrice de Live Action, a été critiquée pour avoir défendu la vie des enfants à naître.
« Tuer le bébé avant qu’il ne meure naturellement n’est jamais la solution. Cela viole le principe fondamental de la médecine : guérir ou apporter du réconfort, ne jamais nuire », a déclaré Rose à l’auditoire hostile. « La réalité est que l’avortement ne résout ni ne guérit aucun problème — il ne fait que tuer un bébé. »
Lire la suiteUn médecin de Toronto dénonce l’euthanasie : une « solution tacite » au « vieillissement de la population » ?
Par Alex Schadenberg (LifeSiteNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : motortion/Adobe Stock
22 juillet 2022 (Coalition pour la prévention de l’euthanasie) — Le Dr Mark D’Souza, un médecin de Toronto spécialisé dans la gestion de la douleur et des symptômes, a récemment fait l’objet d’un article publié par le Toronto Sun le 18 juillet : « The ever-expanding goalposts of euthanasia in Canada [Les poteaux de but toujours plus grands de l’euthanasie au Canada] ».
D’Souza examine l’inquiétude des personnes qui ne peuvent obtenir un traitement efficace pour leur maladie, mais qui peuvent obtenir l’euthanasie. D’Souza écrit :
Mais si vous ne pouvez accéder qu’à des listes d’attente de soins de santé, par opposition à aux soins de santé réels, et que vous ne pouvez pas obtenir de soutien financier ou de logement, la fin de votre vie est-elle vraiment une décision indépendante et autonome ?
Moins de 30 % des Canadiens ont accès aux soins palliatifs, un domaine que j’ai quitté en 2017 lorsque les gouvernements canadiens ont refusé de protéger les droits de conscience des médecins lorsque leurs patients cherchent à mettre fin à leur propre vie.
D’Souza se demande en outre combien de nos pauvres et de nos opprimés nous allons léser.
Il poursuit en expliquant l’incitation gouvernementale aux économies de soins de santé associées à l’euthanasie au Canada, puis il déclare :
Lire la suiteEst-ce là notre solution tacite au problème d’une population vieillissante à qui l’on promet des soins de santé « gratuits » et illimités ?
Il y avait un épisode de Star Trek : The Next Generation sur une planète où le suicide rituel était obligatoire à 65 ans.
Ce n’est peut-être pas notre destination sociétale ultime, mais lorsque l’euthanasie est devenue légale au Canada en 2016 avec le projet de loi C-14, nous avons été roulés.
Le Canada cherche à étendre la loi sur l’euthanasie aux patients atteints de maladies mentales
Par Alex Schadenberg (LifeSiteNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : stokkete/Adobe Stock
12 juillet 2022 (Coalition pour la prévention de l'euthanasie) Le Dr Ramona Coelho est médecin de famille de London, en Ontario, dont la pratique comprend la prise en charge de patients marginalisés et de ceux qui vivent avec une maladie mentale ou un handicap. Dans son article intitulé « Medical assistance in dying overused in Canada even before expansion » [L’aide médicale à mourir est sur-utilisée au Canada, même avant son élargissement], Mme Coelho explique comment la loi canadienne sur l’euthanasie est devenue le régime le plus permissif au monde.
Son article a été publié par le London Free Press le 9 juillet 2022 :
La loi canadienne sur l’aide médicale à mourir (AMM) est la législation la plus permissive au monde en matière d’euthanasie et de suicide assisté. Le rapporteur spécial des Nations Unies sur les droits des personnes handicapées, l’expert indépendant des Nations Unies sur la jouissance de tous les droits de l’homme par les personnes âgées et le rapporteur spécial des Nations Unies sur l’extrême pauvreté et les droits de l’homme ont tous averti le gouvernement canadien que la loi sur l’Aide médicale à mourir (AMM) entraînerait des violations des droits de l’homme.
Pourtant, le comité mixte spécial fédéral sur l’AMM étudie et fait des recommandations au gouvernement sur l’élargissement du système, qui a été créé en 2016 et encore élargi en 2021.
Voici quelques exemples récents d’abus de l’AMM sous la loi actuelle, basés sur des informations fournies par des médecins, un patient et des membres de sa famille :
Un homme a été admis à l’hôpital après avoir subi un petit accident vasculaire cérébral affectant son équilibre et sa déglutition. Il se sentait déprimé et isolé en raison d’une épidémie de COVID-19 dans son service. Le neurologue spécialiste des accidents vasculaires cérébraux a prévu qu’il serait capable de manger normalement et de retrouver une grande partie de son équilibre. Le psychiatre a diagnostiqué un trouble de l’adaptation, mais a noté que son pronostic était très bon.
Le patient a alors demandé à bénéficier du programme d’AMM. Aucun de ses évaluateurs d’AMM n’avait d’expertise en matière de réadaptation et de récupération après un AVC. Comme il mangeait temporairement moins, les évaluateurs AMM ont décidé qu’il pouvait mourir tout de suite au lieu d’attendre les 90 jours requis pour les personnes vivant avec un handicap, même s’il n’avait pas de comorbidités terminales. Il a reçu l’AMM la semaine suivante. Cet homme est mort seul et déprimé, avant d’avoir essayé une thérapie appropriée ou d’avoir atteint son niveau de récupération maximal.
Un veuf de 71 ans a été admis dans un hôpital du sud-ouest de l’Ontario après une chute. Sa famille affirme que pendant son admission, il a contracté une maladie diarrhéique infectieuse. Il a été humilié par le personnel à cause de l’odeur de sa chambre, selon sa famille. Il a développé un nouvel essoufflement qui n’a pas été évalué de manière exhaustive. Dans ce contexte, un membre de l’équipe de l’hôpital a suggéré qu’il pourrait bénéficier de l’AMM. L’équipe a déclaré qu’il était atteint d’une bronchopneumopathie chronique obstructive (BPCO) en phase terminale. Le patient a été surpris par le diagnostic, mais a fait confiance à l’équipe.
Lire la suiteL’OMS est compromise dans le développement et l’utilisation de vaccins stérilisants depuis des décennies
Par le Dr Joseph Mercola (LifeSiteNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Zach Vessels/Unsplash
11 juillet 2022
L’HISTOIRE EN UN COUP D’ŒIL
- L’Organisation mondiale de la santé a commencé à travailler sur un vaccin anti-fertilité dans les années 1970, en réponse à un danger perçu de surpopulation. Pendant 20 ans, le groupe de travail de l’OMS sur les vaccins pour la régulation de la fertilité a travaillé dans une optique de contrôle de la population.
- En 1993, l’OMS a finalement annoncé qu’un vaccin de contrôle des naissances avait été créé avec succès pour aider à la « planification familiale ». Le vaccin anti-fécondité utilise de l’hCG conjuguée (chimiquement liée) à l’anatoxine tétanique utilisée dans le vaccin contre le tétanos. En conséquence, la femme développera des anticorps à la fois contre le tétanos et l’hCG.
- L’hCG est le premier signal qui indique à l’organisme de la femme qu’elle est enceinte. En réponse à ce signal, ses ovaires produisent alors de la progestérone, qui maintient la grossesse jusqu’au terme. En combinant l’hCG avec l’anatoxine tétanique, cette hormone de grossesse cruciale est attaquée et détruite par le système immunitaire de la femme qui a reçu ce vaccin.
- En 1995, la Catholic Women’s League of the Philippines a obtenu une décision de justice mettant fin à un programme de l’UNICEF contre le tétanos qui utilisait un vaccin contre le tétanos contenant de l’hCG. À cette époque, trois millions de femmes âgées de 12 à 45 ans avaient déjà été vaccinées. Des vaccins contenant de l’hCG ont également été découverts dans au moins quatre autres pays.
- Toujours en 1995, le gouvernement kenyan a lancé une campagne de l’OMS contre le tétanos, sous couvert d’éradiquer le tétanos néonatal. Une enquête a révélé que le vaccin administré aux jeunes filles et aux femmes âgées de 15 à 49 ans contenait de l’hCG, et divers éléments suggèrent qu’il s’agissait d’un programme intentionnel de contrôle de la population.
(Mercola) — « Infertilité : A Diabolical Agenda » [L’infertilité : Un programme diabolique] est le quatrième documentaire du Dr Andrew Wakefield sur les vaccins. Il raconte l’histoire d’un programme intentionnel de vaccination destiné à causer l’infertilité mené sur des femmes africaines, à leur insu et sans leur consentement.
Bien que cette histoire ait été balayée pendant des années comme une théorie de conspiration farfelue, des preuves irréfutables montrent qu’elle a bel et bien eu lieu et que cela pourrait recommencer.
L’histoire du passé
Comme l’explique le film, l’Organisation mondiale de la santé a commencé à travailler sur un vaccin stérilisant, sous la direction du Dr G.P. Talwar à New Delhi, en Inde, dans les années 1970, « en réponse à la surpopulation perçue ». Pendant 20 ans, le groupe de travail de l’OMS sur les vaccins pour la régulation de la fertilité a travaillé dans une optique de contrôle de la population.
En 1993, l’OMS a finalement annoncé qu’un vaccin de contrôle des naissances avait été créé avec succès pour aider à la « planification familiale ». La trace écrite révèle qu’en 1976, les chercheurs de l’OMS avaient réussi à conjuguer, c’est-à-dire à combiner ou à attacher, la gonadotrophine chorionique humaine (hCG) à l’anatoxine tétanique, utilisée dans le vaccin contre le tétanos. Par conséquent, lorsque celui-ci est administré à une femme, celle-ci développe des anticorps à la fois contre le tétanos et l’hCG.
L’hCG est une hormone produite par les cellules entourant l’embryon en croissance. Ces cellules productrices d’hormones protègent et soutiennent la croissance de l’embryon et finissent par former le placenta.
Comme expliqué dans le film, l’hCG est le premier signal qui indique au corps de la femme qu’elle est enceinte. En réponse à ce signal, ses ovaires produisent alors une deuxième hormone, la progestérone, qui maintient la grossesse jusqu’à son terme.
En associant l’hCG à l’anatoxine tétanique, cette hormone de grossesse cruciale est attaquée et détruite par votre système immunitaire, car elle est désormais perçue à tort comme un agent pathogène envahissant. L’hCG étant détruite, la progestérone n’est jamais produite et, par conséquent, la grossesse ne peut être maintenue.
Ainsi, si vous êtes déjà enceinte au moment où vous prenez cette infusion de sorcières, vous risquez d’avorter spontanément, et si vous n’êtes pas encore enceinte, vous ne pourrez pas le devenir, car cette hormone de grossesse cruciale est constamment attaquée par votre système immunitaire. Des doses répétées prolongent ces effets, vous rendant effectivement stérile.
Lire la suiteLes Georgia Guidestones, et ses « 10 commandements » du mondialisme, ont été détruites
Par Francesca de Villasmundo (Médias-Presse Info) — Photo : Wikimedia Commons
Monument énigmatique et gnostique, les Georgia Guidestones viennent d’être démolies.
Une partie du mystérieux monument géorgien a été détruite par un engin explosif pendant la nuit de mardi à mercredi dernier, ce qui a conduit à une enquête policière à Elberton, selon le Georgia Bureau of Investigation. Une vidéo montre une voiture fuyant les lieux et une explosion détruisant le monument. Personne n’a été blessé lors de l’incident. L’un des piliers a été endommagé par l’explosion. Dans un communiqué, le Georgia Bureau of Investigation a déclaré que des agents avaient trouvé des preuves d’une explosion sur les lieux :
« Les informations préliminaires indiquent que des inconnus ont fait exploser un engin explosif vers 4 heures du matin le mercredi 6 juillet. »
Les Georgia Guidestones ont depuis été démolies pour des raisons de sécurité, ont annoncé mercredi soir les autorités locales.
Appelées aussi le « Stonehenge américain », les Georgia Guidestones étaient un monument en granite érigé le 22 mars 1980, de 5,87 mètres de haut. « Il a été construit par la firme Elberton Granite Finishing Company sur commande d’un anonyme s’étant présenté sous le nom de R. C. Christian (pseudonyme allégorique pour Christian Rosenkreutz ou Christian Rose-Croix) » selon la page Wikipedia.
Six blocs de granite de 5,87 mètres de haut pour un poids total de 237 746 livres3 (soit presque 108 tonnes), forment le monument. Un trou dans la pierre horizontale du haut donne la date à midi. Un trou montre l’étoile Polaire dans la colonne centrale. Ses quatre dalles et son pilier central fonctionnent comme une boussole, un calendrier et une horloge. Le pilier central est sculpté de manière à permettre à un rayon de soleil de filtrer à midi tous les jours et de faire briller un faisceau sur la pierre centrale qui indique le jour de l’année. Sur les blocs de granite, un message s’affiche en plusieurs langues. La plaque du haut comporte des inscriptions en quatre langues sur ses côtés : babylonien, grec ancien, sanskrit et hiéroglyphe égyptien, qui définissent l’objectif de la structure :
« Que ces pierres nous guident vers un âge de la raison. »
Lire la suiteUne femme de Colombie-Britannique peut accéder à l’euthanasie mais pas aux soins de santé
Par Alex Schadenberg (Coalition pour la prévention de l’euthanasie) —Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Photo Sesaon/Adobe Stock
Un reportage de Penny Daflos pour CTV News Vancouver concerne une femme d’une trentaine d’années atteinte d’une maladie chronique et dont la demande d’euthanasie a été approuvée, mais qui n’a pas pu obtenir le traitement médical dont elle a besoin pour vivre. « Kat » veut vivre.
Daflos écrit que Kat a eu plus de facilité à accéder aux soins de mort qu’aux soins de santé. Daflos rapporte :
La femme atteinte d’une maladie chronique est âgée d’une trentaine d’années et vit dans le Lower Mainland, mais compte tenu de la sensibilité du sujet, elle nous a demandé de nous référer à elle sous le pseudonyme de « Kat ». Elle s’est adressée à l’autorité sanitaire de Fraser et a obtenu une [réponse positive à sa] demande d’aide médicale à mourir (AMM) ─ même si elle veut vivre.
« Je me suis dit : “Mon Dieu, j’ai l’impression d’être laissée pour compte ; alors si je n’arrive pas à accéder aux soins de santé, suis-je capable d’accéder aux soins de mort ?” Et c’est ce qui m’a poussée à me renseigner sur l’AMM et j’ai fait une demande l’année dernière... »
Kat a du mal à accéder aux soins de santé. Danlos a déclaré :
Lire la suiteIl y a dix ans, elle a reçu un diagnostic de syndrome d’Ehlers-Danlos (SED), une maladie génétique où le corps ne produit pas suffisamment de collagène, essentiellement la colle qui maintient ensemble les tissus conjonctifs, la peau et nos organes internes, ce qui entraîne parfois des complications et toujours des douleurs importantes.
En conséquence, Kat prend des opioïdes depuis des années et dit que cela l’a empêchée de trouver un remplaçant à son médecin de famille, qui a déménagé il y a des années. Elle consulte des infirmières praticiennes depuis plusieurs années, ainsi que des rhumatologues, des neurologues, des psychiatres et d’autres médecins spécialistes, mais aucun d’entre eux n’est expert en SED.
Le projet de loi S-248 légaliserait le meurtre des patients atteints de démence
Pamela Wallin.
Par David Cooke (Campaign Life Coalition) — Traduit par Campagne Québec-Vie
Pamela Wallin, sénatrice de la Saskatchewan et ancienne vedette de l’information, offre aux Canadiens un choix impensable dans son projet de loi S-248 récemment déposé. Il s’agit du choix de permettre à un médecin ou à une infirmière de vous tuer dans le futur.
En vertu du projet de loi S-248, si vous êtes malade ou handicapé, vous pourriez signer une directive anticipée qui autorisera votre fournisseur de soins de santé à agir comme faucheur lorsqu’il aura déterminé que vous êtes frappé d’incapacité. Votre mort sera entre leurs mains — et vous ne pourrez pas changer d’avis !
C’est déjà une tragédie que le Canada permette aux personnes handicapées ou malades de choisir de se faire tuer par euthanasie. Il est déjà scandaleux que nous donnions aux médecins et aux infirmières le pouvoir de tuer leurs propres patients. Mais que la sénatrice Wallin propose de permettre aux médecins d’assassiner leurs patients à une date ultérieure ─ lorsque ceux-ci perdront la capacité de s’opposer ou de changer d’avis, cela porte le mal de l’euthanasie à une toute nouvelle profondeur satanique.
Nos dirigeants politiques doivent cesser de promulguer de plus en plus de moyens de tuer les Canadiens ! Ils doivent cesser de jouer à Dieu et d’ordonner aux fournisseurs de soins de santé de jouer à Dieu.
Lorsque les enfants d’Israël terminaient leur périple dans le désert, Moïse leur a donné cet avertissement : « J’ai mis devant vous la vie et la mort, la bénédiction et la malédiction ; choisissez donc la vie, afin que vous viviez, vous et vos descendants. » (Deutéronome 30:19) Comme ils étaient sur le point d’entrer en Terre promise et d’entamer une nouvelle phase pleine d’espoir de leur voyage, il était important pour eux de partir du bon pied. Leur avenir ─ et celui de leurs enfants ─ était en jeu. Ils devaient choisir la vie.
Alors que nous considérons le cheminement de notre propre nation en 2022, ces mots d’avertissement sont suprêmement pertinents. Nos politiciens décident littéralement qui vit et qui meurt dans le cadre du programme d’euthanasie du gouvernement Trudeau, qui ne cesse de prendre de l’ampleur, et ces décisions peuvent soit apporter une bénédiction, soit une malédiction sur notre pays ! Le Canada doit choisir la vie.
Lorsque l’euthanasie a été légalisée pour la première fois en 2016 sous l’euphémisme d’aide médicale à mourir (AMM), les libéraux de Trudeau ont limité la mise à mort aux personnes éprouvant des « souffrances intolérables » et jugées « proches de la mort » (quoi que cela signifie). Les personnes « admissibles » pouvaient se voir offrir une injection létale au lieu de ce dont elles avaient le plus besoin, c’est-à-dire une véritable compassion, des soins respectueux de la vie et des mots d’espoir et d’encouragement.
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