La Haute Cour d’Espagne juge que le confinement était inconstitutionnel et violait les « droits fondamentaux » des citoyens
Par Jeanne Smits — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : sergign/AdobeStock
Espagne, 16 juillet 2021 (LifeSiteNews) — Suite à un recours du mouvement populaire conservateur Vox, le Tribunal constitutionnel espagnol a jugé que le premier confinement COVID-19 dans le pays était illégal et inconstitutionnel : les « droits fondamentaux » des citoyens espagnols ont été violés par les mesures gouvernementales contre la crise sanitaire, même si celles-ci avaient été approuvées par des votes successifs au Parlement.
Vox et le Partido Popular ont tous deux appelé le gouvernement à démissionner après la décision.
La décision a été rendue publique mercredi par le tribunal, après un vote de 6 contre 5 des juges suprêmes du tribunal. Théoriquement, tous ceux qui ont été condamnés à une amende pour ne pas avoir respecté les règles de confinement sévère pourront donc demander le remboursement de leur argent.
Toutes les amendes qui n’ont pas été payées sont annulées par la décision, ainsi que les procédures pénales à l’encontre de ceux qui n’ont pas respecté les mesures de confinement, mais le Tribunal a décidé de protéger les autorités contre les demandes massives de remboursement des amendes en décidant que « les citoyens ont le devoir juridique de supporter les dommages matériels qu’ils ont subis », ce qui est pour le moins curieux. D’autres sanctions pourront cependant être révisées.
Non content d’être le seul groupe politique du Parlement à s’être constamment battu pour les droits des citoyens tout au long de la crise du COVID, Vox est également responsable de cette grande victoire, puisque c’est lui qui a porté l’affaire en justice, obligeant les juges constitutionnels à désavouer les actions du gouvernement socialiste-communiste contre la population espagnole l’année dernière.
Un communiqué de presse publié mercredi par le Tribunal constitutionnel a révélé que les principaux griefs présentés par Vox avaient été pris en compte. Le décret royal du 14 mars dernier instaurant un « état d’urgence » en raison de la « crise sanitaire » a été déclaré nul et non avenu dans plusieurs de ses dispositions.
Lire la suiteEspagne : le Parti Vox dépose un recours contre la loi sur l’euthanasie
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : Freepik
Le Parti Vox de Santiago Abascal a déposé un recours en inconstitutionnalité et demande la suspension de la nouvelle loi sur l’euthanasie qui est censée entrer en vigueur le 25 juin, selon Gènéthique :
En Espagne, le parti politique Vox dénonce une « inconstitutionnalité radicale » de la loi légalisant l’euthanasie dans le pays. L’entrée en vigueur de la loi, votée à 202 voix contre 141, est prévue pour le 25 juin prochain. Le parti dépose un recours en inconstitutionnalité et demande la suspension de son application qui implique : « le sacrifice du droit fondamental à la vie ».
Santiago Abascal, chef de Vox, voit dans cette législation « une défaite de la civilisation et une victoire de la culture de la mort », il dénonce cette « victoire de ceux qui pensent que certaines vies sont plus dignes que d’autres, une victoire de ceux qui ont jeté l’éponge du devoir des sociétés et des États d’offrir des soins palliatifs aux personnes qui souffrent le plus », rapporte Gènéthique.
Les législateurs espagnols veulent emprisonner les pro-vie montrant des « modèles de fœtus » aux femmes
Par Laura Nicole (LifeActionNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Olivier Bault/Facebook
Afin de créer une « zone tampon » autour des centres d’avortement, un projet de Loi a été présenté à la Chambre basse d’Espagne qui empêcherait toute forme de manifestation ou de conseil pro-vie dans ladite zone.
Le projet de loi, présenté par le Parti socialiste ouvrier espagnol (PSOE) au Congrès des députés le 21 mai, pénaliserait toute personne qui « harcèle ou restreint la liberté d’une femme qui a l’intention d’exercer son droit » à l’avortement. Les citoyens espagnols pourraient être punis pour avoir « encouragé ou favorisé des rassemblements, ou y avoir participé, à proximité de lieux aptes à interrompre des grossesses » ou pour avoir « porté atteinte à la liberté ou à la vie privée » de femmes souhaitant avorter.
Le projet de loi caractérise le harcèlement pro-vie comme « l’approche des femmes avec des photographies, des modèles de fœtus et des proclamations contre l’avortement avant qu’elles n’entrent dans la clinique. L’objectif est que les femmes modifient leur décision par la coercition, l’intimidation et le harcèlement. En Espagne, l’ACAI a demandé une réglementation qui considère le harcèlement dans les cliniques par ce type d’actions comme un délit d’obstruction à l’avortement ».
Les conseillers pro-vie sur les trottoirs seraient passibles d’une peine de trois mois à un an de prison ou d’un travail d’intérêt général de 31 à 80 jours. Toute personne qui enfreint la loi pourrait également se voir interdire de revenir dans la région pendant une période allant de six mois à trois ans.
Lire la suiteL’Espagne rejette l’« autodétermination de genre »
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo :
Le Parlement espagnol a rejeté le mardi 18 mai un projet de loi visant à autoriser les « transgenres » à changer légalement de sexe sans intervention médicale ou psychologique, dès 16 ans, sans le consentement des parents, tout comme à reconnaître légalement les « genres “non-binaires” », rapporte Gènéthique.
Déjà que la reconnaissance du « transgenrisme » et de tous ses dérivés est une très mauvaise chose, au moins pour l’instant les Espagnols n’auront pas été plus loin ne la matière.
L’Espagne légalise l’euthanasie
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) ― Photo : Freepik
Le Parlement espagnol a finalement légalisé l’euthanasie, ouvrant les portes du pays à la mort programmée. C’est par 200 voix pour, 141 contre et deux abstentions que le projet de loi est passé. Une « priorité » du Premier ministre Pedro Sánchez, selon Le blog d’Yves Daoudal (et commenté par lui) :
Le Premier ministre socialiste Pedro Sánchez avait fait de cette loi une « priorité ». Parce que c’est une priorité de tuer les vieux et les malades, une fois qu’on a permis de tuer les enfants à naître. Et il a osé dire que l’Espagne était désormais un « pays plus humain, plus juste et plus libre ».
La Chambre des députés d’Espagne légalise l’euthanasie
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : Freepik
La Chambre des députés d’Espagne a approuvé la légalisation de l’euthanasie par 198 voix pour, 138 contre et 2 abstentions, selon la FSSPX.News
La Chambre des députés venait d’approuver par 198 voix pour, et 138 contre – dont 2 abstentions — le projet de loi porté par les socialistes du Parti socialiste ouvrier espagnol (PSOE), qui établit le cadre légal de l’euthanasie.
Apparemment, il n’y aura même pas le concept fumeux (fumeux car n’annulant pas l’immoralité de l’euthanasie) de « fin de vie » dans le cadre de la loi :
Le texte approuvé fait tomber de nombreux garde-fous : pour obtenir son « droit » au suicide, le patient ne devra en formuler que deux fois la demande, à quinze jours au moins d’intervalle, après avoir été informé de sa situation médicale, et des éventuelles alternatives en soins palliatifs.
Le demandeur doit souffrir d’une maladie grave et incurable, causant des souffrances physiques ou mentales constantes et intolérables, ou même seulement souffrir d’une maladie chronique et invalidante, qui affecte son autonomie. Pour les patients dans le coma ou en état pauci-relationnel, il doit exister des directives anticipées permettant l’euthanasie. Dispositif dont on connaît la fragilité.
Le parti Vox vertement a condamné cette nouvelle loi.
Europe : baisse du soutien à l’avortement selon un sondage Ipsos Mori
Par Adèle Cottereau (Droit de Naître) — Photo : prostooleh/Freepik
Ce sont les résultats encourageants d’un récent sondage réalisé par l’agence Ipsos Mori : un nombre croissant de personnes en Europe se déclarent opposées à l’avortement, comme le rapporte le site spécialisé Genethique.org.
L’institut de sondages a interrogé 17 500 personnes dans 25 pays sur cette question et a comparé les chiffres avec ceux du même sondage, mené il y a six ans, en 2014.
La grande majorité (70 %) des personnes interrogées estiment cependant que l’avortement doit être autorisé. Mais globalement, cette proportion a baissé de 2 % depuis 2014.
Particulièrement dans huit pays européens, où le nombre de personnes favorables au « droit à l’avortement » a reculé plus fortement, surtout en Allemagne, en France et en Espagne, pays qui ont connu respectivement une baisse de 9, 6 et 5 points en pourcentage par rapport aux chiffres de 2014.
A l’échelle mondiale, on peut noter un net recul en Turquie et en Afrique du Sud, avec respectivement 15 % et 10 % de personnes en moins en faveur de l’avortement, sur cette même période.
Rappelons que la plupart des pays de l’Union européenne ont légalisé l’avortement avec ou sans période d’attente obligatoire ou conseil.
A l’exception de Pologne et Malte, pays fortement catholiques où des lois limitent toujours l’accès à l’avortement. Fort heureusement.
Le déclin de la population mondiale
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : Pxfuel
Une étude publiée dans The Lancet et financée par la Fondation Bill et Melinda Gates annonce le déclin de la population mondiale à partir de 2064, l’étude attribue cette chute à la contraception et à l’avortement, entre autres, selon Michel Janva sur Le Salon Beige :
La population mondiale pourrait décliner dès la deuxième moitié du siècle pour atteindre 8,8 milliards en 2100, soit deux milliards de moins que les projections de l’ONU, selon une étude du Institute for Health Metrics and Evaluation (IHME) à Seattle (financé par la Fondation Bill et Melinda Gates), publiée mercredi 15 juillet dans The Lancet. A prendre donc avec des pincettes…
Ce déclin sera lié en grande partie à la culture de mort par la contraception, qui va faire baisser le taux de fécondité à 1,66 enfant par femme en 2100 contre 2,37 aujourd’hui.
Le dépeuplement mondial devrait se ressentir, s’il faut en croire une étude financée par Bill Gates, fortement en Chine, qui devrait perdre la moitié de sa population d’ici 2100, ainsi que 23 pays européens, qui devraient subir une perte semblable. Selon les chercheurs de l’IHME, rapporte Gènéthique :
Ainsi, « la Chine pourrait perdre près de la moitié de ses habitants (1,4 milliard aujourd’hui, 730 millions en 2100), avec un déclin du nombre de personnes en âge de travailler qui va “entraver” sa croissance économique ». Ce qui pourrait amener les Etats-Unis à « repasser devant la Chine d’ici la fin du siècle, si l’immigration continue à pallier la fécondité en baisse ».
Si le cours des choses se poursuit comme il se présente actuellement (le mieux serait un retour aux mœurs normales, ce qui comprend la protection de l’enfant à naître), Gènéthique poursuit :
D’autres pays pourraient voir, à l’instar de la Chine, « leur population réduite au moins de moitié ». Parmi eux : le Japon (128 à 60 millions), la Thaïlande (71 à 35), l’Espagne (46 à 23), l’Italie (61 à 31), le Portugal (11 à 4,5), ou encore la Corée du Sud (53 à 27). La population de la France devrait au contraire augmenter selon l’étude, de « 65 à 67 millions ».
À cause de l’immigration… Gènéthique continue :
L’Afrique subsaharienne pourrait de son côté voir « tripler sa population (1 à 3 milliards), tirée notamment par le Nigeria (206 à 790 millions d’habitants), qui deviendrait en 2100 le deuxième pays le plus peuplé au monde derrière l’Inde mais devant la Chine » d’après l’étude.
Où est donc passée la terrible surpopulation qui menaçait le monde ? Dans les oubliettes (ou plutôt les égouts…) de la Culture de Mort.
Dénoncer la tromperie pour regagner sa liberté : Libre opinion sur la pandémie 2020
Par Vincent Mathieu, Ph. D.
Note de la rédaction : Depuis plusieurs semaines des populations entières sont réduites à un confinement forcé, seule solution, nous affirment les gouvernements de bien des pays, ou du moins seule solution en attendant le vaccin qui nous sauvera tous. Avec le temps qui s’est écoulé depuis l’annonce de la « pandémie » du coronavirus, on a pu étudier, comparer, constater les pour et les contre des tenants de cette situation catastrophique.
Le confinement a condamné l’économie de nombreuses nations à un avenir peu reluisant, toute activité « non essentielle » a été interrompue, la liberté de circuler a été plus ou moins restreinte selon les endroits, on a quasi séquestré les personnes âgées, ne leur permettant même pas le réconfort de voir leurs proches, visites souvent essentielles pour leur santé. Les gouvernements augmentent de façon hallucinante leur dette. Et par-dessus tout cela, on a matraqué les populations par un battage médiatique monstrueux, transmettant les nouvelles morbides de l’État ; depuis, la peur du virus règne dans les cités...
Mais les conséquences des mesures prises à travers le monde sont-elles justifiables ? La santé publique était-elle à ce prix, encore incalculable, et surtout, les futures mesures que l’on prévoit nous imposer sont-elles raisonnables ?
De nombreuses questions valaient largement la peine que l’on se penchât dessus, davantage même devant les incohérences des gouvernements et des instances internationales qu’il fallait gober jour après jour ; le confinement était-il vraiment la seule solution ? Le confinement n’est-il pas au contraire nuisible ? Le coronavirus est-il aussi dangereux que l’on nous l’a décrié ? Et si les règlements mis en place étaient vains, pourquoi les avoir érigés ? Pourquoi inspirer la peur à tant de peuples ?
Vincent Mathieu, psychologue, tente d’éclaircir les tenants de cette crise, qui paraît de plus en plus en être une du mensonge, dans un texte fortement documenté et fermement appuyé.
Vincent Mathieu est psychologue et thérapeute de groupe. Il a fait un doctorat en psychologie en 2019 à l’Université de Laval et s’est spécialisé au cours de son doctorat sur les questions de l’empathie et des pathologies antisociales et narcissiques. Il a travaillé à l’Institut Philippe-Pinel de Montréal pendant deux ans au cours de la rédaction de sa thèse.
Une version PDF de cet article est disponible, ici. — A. H.
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Libre opinion sur la pandémie 2020
L’éclosion de la Covid-19 qui est d’abord survenue en Chine à l’automne 2019 ne semblait pas, à ce moment, annoncer une crise d’une telle ampleur en Occident. Au Québec, on parlait du nouveau coronavirus (Sars-Cov-2) comme d’un virus certes contagieux, mais qui ne menaçait pas la santé des Québécois plus qu’il n’en faut. Divers experts relayés dans les journaux indiquaient que la grippe saisonnière faisait plus de morts que ce nouveau virus, que le Sars-Cov-2 était moins à craindre que l’influenza avec laquelle nous avons à composer cycliquement et qui mène annuellement à environ 3500 décès au Canada, 295 000 à 600 000 dans le monde. [1] [2]
Tout à trac, au début du mois de mars, le narratif a changé. À la suite de l’annonce de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) qui déclarait l’état de pandémie, la plupart des pays occidentaux ont réagi en contraignant la circulation aérienne et en fermant les frontières. S’en sont suivi les déclarations d’urgence sanitaire qui ont mené à la prise du pouvoir par les directions de santé publique (DSP). Ce dernier aspect est primordial, car de cette prise de pouvoir a découlé la mise à l’arrêt de la plupart des secteurs économiques et de la vie sociale. Au cours de cette période, il est important de bien réaliser que les rênes de l’état étaient données aux DSP (Dr Horacio Arruda au Québec). Autrement dit, la loi d’urgence sanitaire dépossède, à même titre que la loi martiale, les citoyens de leurs droits et libertés en vue de les protéger d’une situation de crise majeure. Il va sans dire que la mise en place de ces lois opposées à la démocratie et au droit civil ne doit se faire que dans des situations d’urgence extrême. On nous a donc dit, sur la base de chiffres donnés par l’OMS [3], que la situation était d’une urgence extrême. Les courbes statistiques basées sur ces données prévoyaient par exemple la mort d’environ 60 000 Québécois et 2 millions d’Américains si nous ne procédions pas aux mesures de confinement. Des chiffres qui donnent froid dans le dos et qui auraient justifié les mesures d’urgence sanitaire prises par les gouvernements. Le problème, c’est que ces prédictions se sont avérées exagérées. Plusieurs spécialistes ont effectivement mis en cause la crédibilité des données de l’OMS en ce qui a trait au taux de mortalité sur la base de deux grandes questions : quel est le nombre de cas réellement atteints du coronavirus et combien de personnes en meurent directement.
Tout d’abord, le nombre de cas atteints du virus est sous-estimé. Des données chinoises [4], allemandes [5] et américaines [6] [7] suggèrent que le nombre de cas infectés à la Covid-19 était, dès le début de la pandémie, de beaucoup supérieur à celui rapporté par les autorités de santé publique. Si l’on se fie à ces données, les personnes infectées par le Sars-Cov-2 étaient donc probablement déjà nombreuses dans la « population saine » lorsque les premiers taux de mortalité et les premières prédictions alarmistes ont été dévoilés à la population. Puisque les diverses DSP nationales, avec l’OMS comme chaperon, ont calculé les taux de mortalité en fonction du nombre de cas confirmés ou en fonction d’un nombre de cas inférieur au nombre de cas réels (c’est-à-dire en excluant bon nombre de cas asymptomatiques ou des personnes qui développent des formes bénignes de la Covid-19 sans jamais se faire tester), il va de soi que le taux de mortalité en ait été gonflé. Voici ce que déclarait le Dr Antony Fauci et ses collaborateurs dans une note éditoriale du New England Journal of medecine publiée le 28 février 2020 [8] :
Lire la suiteSi l’on suppose que le nombre de cas asymptomatiques ou peu symptomatiques est plusieurs fois plus élevé que le nombre de cas signalés, le taux de létalité peut être considérablement inférieur à 1 %. Cela suggère que les conséquences cliniques globales de COVID-19 pourraient finalement être plus proches de celles d’une grippe saisonnière sévère (qui a un taux de létalité d’environ 0,1 %) ou d’une grippe pandémique (similaire à celles de 1957 et 1968).
« Redonnez-nous la Sainte Messe ! » demandent de jeunes catholiques aux évêques, partout dans le monde
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) ― Photo :
De jeunes catholiques de divers pays demandent respectueusement aux évêques, par le biais de vidéos, de pouvoir à nouveau assister en personne à la Sainte Messe. Jusqu’à maintenant, sept vidéos ont été produites par ces catholiques d’Autriche, de France, d’Espagne, d’Allemagne, de Grande-Bretagne, des États-Unis et d’Argentine. Ce mouvement a été lancé par l’exemple d’un groupe de jeunes autrichiens qui a agi à la suggestion d’une étudiante de 22 ans, Theresa, selon LifeSiteNews :
Theresa, l’organisatrice de 22 ans, a déclaré à LifeSite : « J’ai eu l’idée de cette vidéo après que les petites entreprises eussent été autorisées à rouvrir et j’ai réalisé qu’on pouvait aussi appliquer les mêmes normes de sécurité dans les églises, et peut-être même de façon bien meilleure ». Elle raconte qu’elle en a alors parlé avec des amis « et tous ont immédiatement dit qu’ils étaient prêts à se porter volontaires pour un tel service ».
D’une part, cette vidéo de la jeunesse catholique en Autriche se voulait « une offre sérieuse de la part des jeunes catholiques pour aider les évêques et les prêtres à réintroduire la Sainte Messe le plus rapidement et de la façon la plus sécuritaire possible ». En outre, explique Theresa, la vidéo se veut également être « un signe pour tous ceux qui perdent parfois espoir en voyant les églises vides (même avant le début du coronavirus) ou quand ils pensent que les jeunes ne sont pas intéressés par la foi ».
Dans ces vidéos, les fidèles (pas tous si jeunes que ça) montrent leur attachement à la messe et aux sacrements, ainsi que l’importance de ceux-ci, ils assurent les évêques de leur aide pour rendre les messes sécuritaires pour l’assistance.
« mais que peut-il y avoir de plus essentiel pour nous que la messe ? » :
Un jeune Allemand dit : « Chers évêques, vous êtes nos bergers », et une jeune femme poursuit la phrase : « pourquoi ne faites-vous pas quelque chose pour que nous puissions retourner à la messe ? » [... dans la vidéo française] Ils citent Saint Padre Pio, qui dit un jour « Il serait plus facile pour la terre d’exister sans le soleil que sans la Sainte Messe ».
Dans leur vidéo, les jeunes Américains disent que « les entreprises essentielles sont ouvertes », ajoutant « mais que peut-il y avoir de plus essentiel pour nous que la messe ? » [...] Ici aussi, les petits enfants demandent : « S’il vous plaît, redonnez-nous la Sainte Messe ! »
La vidéo autrichienne :
La vidéo Française :
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