La Cour suprême du Texas rejette la requête d’un hôpital voulant retirer le respirateur d’un bébé handicapé
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo (modifiée) : Pxfuel
Nouveau rebondissement de l’affaire Tinslee Lewis ; espérons qu’elle se terminera bien à l’instar de celle de Tafida Raqeeb, et non comme les cas de Charlie Gard et d’Alfie Evans, d’autres jeunes enfants dont les hôpitaux qui les prenaient en charge ont contesté le droit de vivre. Selon LiveActionNews :
La Cour suprême du Texas a rejeté la requête de l’hôpital demandant l’autorisation d’interrompre le traitement médical de Tinslee Lewis, âgée de 18 mois. L’hôpital espérait que la Cour annulerait l’injonction que la Seconde cour d’appel lui avait imposée en juillet.
La petite fille, qui est sous respirateur en raison de graves problèmes cardiaques congénitaux causés par l’anomalie d’Ebstein, a dû être hospitalisée et recevoir des soins médicaux intensifs pendant la majeure partie de sa vie. La continuation de ses soins a fait l’objet d’une bataille juridique, qui remonte à près d’un an, entre l’hôpital et sa famille. Avec la décision de la Cour suprême du Texas, l’affaire revient maintenant devant la Cour de district afin qu’elle statue sur le droit de Tinslee à des soins continus.
[...]
Comme le rapportait Live Action News, les médecins qui ont examiné le cas de Baby Tinslee en juillet ont affirmé que son état pouvait être traité. Ces médecins ont fait valoir qu’une simple trachéotomie résoudrait bon nombre des problèmes causés par le fait qu’elle a été sous respirateur sur une longue période de temps, et permettrait de poursuivre le traitement. Selon WFAA, le Cook Children’s Medical Center devrait d’abord accepter d’accorder des privilèges d’urgence à un médecin pour qu’il pût effectuer une trachéotomie et des soins de suivi.
Joe Biden — pour que les enfants de 8 ans puissent décider d’être transgenres…
Joe Biden.
Par Pour une école libre au Québec ― Photo : Gage Skidmore/Flickr
L’ancien vice-président Joe Biden, en plein scandale de corruption, de népotisme et de censure par Facebook et Twitter, a déclaré lors d’une réunion publique complaisante organisée par ABC News jeudi soir que les enfants de huit ans devraient être autorisés à décider qu’ils sont transgenres.
Mieke Hacke, une électrice de Pennsylvanie, a posé à Biden la « question » suivante :
Lire la suiteHaeck ― Je suis la fière maman de deux filles de huit et dix ans. Ma plus jeune fille est transgenre. L’administration Trump a attaqué les droits des personnes transgenres, leur interdisant le service militaire, affaiblissant les protections contre la discrimination et même supprimant le mot « transgenre » de certains sites Web gouvernementaux. En tant que président, comment allez-vous inverser ce programme dangereux et discriminatoire et vous assurer que la vie et les droits des personnes LGBTQ sont protégés par la loi américaine ?
Biden ― Je vais carrément changer la loi. Éliminez ces décrets, d’emblée. Vous vous souvenez peut-être, je suis le gars qui a dit ― j’ai été élevé par un homme qui, je me souviens, il me déposait, mon père avait un diplôme d’études secondaires, un homme instruit qui était un gars vraiment décent, et comme il me déposait pour que je postule au centre-ville de Wilmington dans le Delaware, la capitale mondiale de l’entreprise à l’époque, et ces deux hommes sortent pour postuler au poste de sauveteur dans la communauté afro-américaine, car il y avait un grand complexe de piscines. [Biden parle vraiment comme cela…] Et ces deux hommes, bien habillés, se penchaient, se serraient dans leurs bras et s’embrassaient. Je sors de la voiture au feu, je me suis tourné vers mon père, et mon père m’a regardé, il a dit : « Joey, c’est simple. Ils s’aiment. » L’idée qu’un enfant de 8 ans, un enfant de 10 ans, décide, vous savez, « je veux être transgenre, c’est ce que je pense que j’aimerais être, ça rendrait ma vie beaucoup plus facile » — il ne devrait y avoir aucune discrimination. Et ce qui se passe, c’est que trop de femmes transgenres de couleur sont assassinées. Elles sont assassinées. Je veux dire, je pense qu’on en est maintenant à 17, enfin je ne suis pas sûr du chiffre. Mais... [Haeck fait un signe vers le haut] c’est plus haut maintenant ?
Viktor Orbán, président de Hongrie, aux groupes LGBT : « Laissez nos enfants tranquilles »
Viktor Orbán, Premier ministre de Hongrie.
Par Francesca de Villasmundo (Médias Presse Info)
La défense de la famille traditionnelle est une priorité pour le Premier ministre hongrois, Viktor Orbán. Et gare à qui veut pervertir les enfants !
Suite à la parution d’un livre pour enfants mettant en scène des personnages homosexuels, l’homme fort de Budapest a tonné dimanche 4 octobre :
Laissez nos enfants tranquilles !
« La Hongrie a des lois sur l’homosexualité, qui reposent sur une approche exceptionnellement tolérante et patiente », a déclaré le dirigeant souverainiste lors d’une interview à la radio publique. « Mais il y a une ligne rouge à ne pas franchir », a-t-il poursuivi, fustigeant un « acte de provocation ». « Pour résumer mon opinion : laissez nos enfants tranquilles », a-t-il conclu.
Le livre en question a été publié par une association de la communauté lesbienne, gay, bisexuelle et transgenre (LGBT) et adaptant des contes et légendes célèbres avec des personnages issus de « minorités marginalisées » (handicapés, pauvres, Roms, LGBT…). Ainsi, dans une histoire, Cendrillon est lesbienne, dans une autre un tueur de dragons est transgenre.
Un mouvement spontané de la société civile a demandé le retrait du livre du marché, et une élue en a même déchiré une copie en conférence de presse.
Viktor Orbán continue sur sa lancée de restauration des valeurs chrétiennes et traditionnelles dans son pays. En 2018 il avait retiré les études de genre de la liste des enseignements universitaires. La même année, la comédie musicale Billy Elliot d’Elton John avait été déprogrammée de l’Opéra national faute de réservations après une campagne des médias progouvernementaux, qui accusaient l’œuvre de promouvoir l’homosexualité. En mai dernier, Budapest a interdit l’inscription du changement de sexe à l’état civil et la reconnaissance juridique de l’identité de genre des personnes transgenres, malgré de nombreuses protestations internationales.
Sans surprise, le Parlement européen, toujours du côté de la déconstruction de l’identité et voulant imposer son agenda arc-en-ciel aux réfractaires, a activé en septembre 2018 une procédure dans le cadre de l’article 7 du traité de l’Union pour violation des valeurs de l’UE, qui peut en théorie déboucher sur des sanctions.
Écosse arc-en-ciel : leçons lgbtqi+ obligatoires
Par Francesca de Villasmundo (Médias Presse Info) — Photo (modifié) : Freepik
D’ici mai 2021, dans toutes les écoles publiques écossaises deviendront obligatoires des leçons Lgbtqi+. On y parlera de la terminologie arc-en-ciel, de « l’homophobie-biphobie-transphobie », de l’histoire du mouvement Lgbt et de bien d’autres choses encore ayant trait à la culture gay.
Le projet à forte teinte idéologique avait déjà été approuvé en 2018. Le vice-premier ministre de l’époque, John Swinney, avait déclaré :
L’Ecosse est déjà considérée comme l’un des pays les plus progressistes d’Europe en matière d’égalité Lgbtqi+. Je suis heureux d’annoncer que nous serons le premier pays au monde à intégrer une éducation Lgbtqi+ inclusive dans le programme scolaire. Notre système éducatif doit aider chacun à atteindre son plein potentiel. Pour cette raison, il est essentiel que le programme soit aussi diversifié que les jeunes qui viennent apprendre dans nos écoles. Les recommandations acceptées amélioreront non seulement l’expérience d’apprentissage de nos jeunes Lgbt, mais aideront également tous les élèves à célébrer leurs différences, à promouvoir la compréhension et à encourager l’inclusion.
C’est la première fois au monde qu’un gouvernement impose des leçons de genre sur tout son territoire national [excepté au Québec*]. Nous passons ainsi de l’interdiction de discriminer à l’obligation d’embrasser l’idéologie gender, qu’on le veuille ou pas. La Gaystapo est tyrannique.
*Commentaire d’A. H.
Erin O’Toole dénonce le film « Cuties » pour sexualisation d’enfants
Erin O'Toole, nouveau chef du Parti conservateur du Canada.
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : Arlington National Cemetiery/Flickr
Vous avez sans doute entendu parler d’un récent film « Cuties » publié par Netflix, montrant des jeunes filles exécutant des danses sexuellement suggestives, entre autres. Face à ce modèle d’obscénité, qui devient de plus en plus courant sur Netflix, de nombreuses personnes ont véhémentement protesté, dénonçant l’hypersexualisation de préadolescentes et l’encouragement à la pédophilie que représente ce film.
Ce film mettant en scène une jeune fille issue d’une famille musulmane et luttant avec la mentalité de son milieu serait une histoire sur le passage à l’âge adulte (un peu jeune non ?) et sur les choix qu’impose la société aux jeunes filles (il est vrai qu’on peut critiquer ce qu’impose l’islam, mais non en allant à l’extrême opposé). REAL Women of Canada rapporte dans un courriel :
Netflix défend ce film, affirmant qu’il s’agit simplement d’une histoire sur la question sensible du passage à l’âge adulte, censée critiquer les choix que la société contemporaine impose aux jeunes filles. C’est une explication absurde. Il existe de nombreuses façons de raconter des histoires de passage à l’âge adulte sans exploiter sexuellement les enfants. Cuties est un film pornographique qui se fait passer pour un commentaire social et s’inscrit dans une tendance plus large de la sexualisation croissante des enfants.
L’auteur du film se défend en affirmant avoir voulu dénoncer l’hypersexualisation des enfants par le biais de l’écran. Que cela fût son intention ou non, ce n’est pas en produisant un film obscène et pornographique qu’on arrangerait ce problème, bien au contraire.
Surprise ! Erin O’Toole, nouveau chef du Parti conservateur du Canada, est descendu dans l’arène pour blâmer à son tour le torchon cinématographique, s’attirant par là la critique des gros médias. Selon REAL Women of Canada :
Le chef conservateur Erin O’Toole a été critiqué pour avoir exprimé sa préoccupation à propos du film, déclarant : « Je suis un père qui est profondément perturbé par cette émission de Netflix. L’enfance est une période d’innocence. Nous devons faire plus pour protéger les enfants. Cette mauvaise émission est de l’exploitation ». M. O’Toole a raison.
Cela mérite qu’on lui tire notre chapeau, du moins sur ce chapitre, car autrement il se dit « pro-choix ».
Des autorités allemandes ordonnent aux parents de mettre en isolement les enfants suspects d’avoir le coronavirus
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) ― Photo : Freepik
Le coronavirus est prétexte de toutes sortes d’abus plus abracadabrants les uns que les autres. En Allemagne, les services sociaux et les autorités municipales menacent les parents qui n’obtempéreraient pas à leurs exigences démentielles : confiner les enfants suspects d’avoir contracté le coronavirus dans leur chambre ; les faire manger séparément du reste de la famille ; leur faire porter un masque quand ils sont en présence d’autres membres de la famille ! Voilà des mesures dans le plus pur style nazi ― rappelons que l’école maison est vigoureusement interdite en Allemagne depuis le 3e Reich. Selon LifeSiteNews :
En Allemagne, les autorités locales menacent les parents, dont les enfants sont soupçonnés d’avoir contracté le coronavirus, d’amendes et de peines de prison lorsqu’ils n’isolent pas ces enfants dans leur propre chambre.
Selon un rapport publié par le journal allemand Die Welt, certains organismes gouvernementaux locaux ont même décrété que les enfants ne devaient pas manger avec les autres membres de la famille.
« Votre enfant doit éviter tout contact avec les autres membres de la famille en veillant à ce qu’il y ait une séparation dans le temps et dans l’espace », peut-on lire dans une lettre. « Pas de repas ensemble. Votre enfant doit de préférence être seul dans une pièce séparée des autres membres du foyer ».
Les parents d’enfants de trois ans seulement reçurent des lettres similaires.
Dans la ville de Bruchsal, des dizaines d’élèves de quatrième année ont été envoyés chez eux en quarantaine. Les parents ont été priés de faire porter à leurs enfants, qui ont pour la plupart environ neuf ans, un masque de protection à la maison lorsqu’ils sont en contact avec les membres de la famille. Les fonctionnaires municipaux ont même menacé de retirer les enfants à leur famille et de les placer dans une institution spéciale pour la durée de la quarantaine si les parents refusaient d’obtempérer.
Pour un professeur, les parents sont une gêne lors des cours virtuels « sur le genre et la sexualité »…
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) ― Photo : Freepik
Il s’agit pour le moins d’un professeur qui n’a cure des droits parentaux et n’a de repos que les élèves se fassent assener l’idéologie LGBT. Le professeur Matthew R. Kay, qui travaille pour l’Académie de gestion des sciences de Philadelphie, trouve peu à son goût que les parents puissent éventuellement être présents lors des cours virtuels — confinement oblige — qui traitent, notamment, de « genre » ou de « sexualité ». Selon LifeSiteNews :
« Je suis très intrigué par les dégâts que les parents “hélicoptère ou chasse-neige” pourraient faire dans des conversations honnêtes sur le genre et la sexualité », se lamente l’enseignant.
[...]
Bien que ses tweets soient privés, un usager de Twitter a publié une capture d’écran de son cortège de plaintes.
« Ainsi, cet automne, les discussions de classe virtuelle auront de nombreux spectateurs potentiels — parents, frères et sœurs, etc. — dans la même pièce », commence Kay. « Nous ne serons jamais tout à fait sûrs de savoir qui entend le discours. Qu’est-ce que cela change pour notre travail d’équité et d’inclusion ? »
« Dans quelle mesure les élèves ont-ils dépendu des barrières (quelque peu) sécurisées de nos salles de classe physiques pour l’encouragement à la vulnérabilité ? Combien d’entre nous ont installé une version de “ce qui se passe ici reste ici” pour y parvenir ? »
Kay mentionne ensuite les « conversations honnêtes sur le genre et la sexualité » comme une question dans laquelle les parents qui s’impliquent dans l’éducation de leurs enfants ne seraient d’aucune aide.
Kay l’admet : « les parents “conservateurs” sont ma principale préoccupation », mais déclare : « les dégâts peuvent venir de la gauche aussi ». Si nous sommes engagés dans le sale travail de déstabilisation du racisme, de l’homophobie ou de la transphobie d’un enfant [sic] — à quel point voulons-nous que les parents de leurs camarades de classe grossissent les rangs ? »
C’est donc un travail de sape conscient qui était en œuvre depuis un certain temps que le professeur craint de voir déranger.
Nous sommes en plein combat contre l’imposition d’une dictature sanitaire
Photo : vperemencom/Pixabay
Je vous écris aujourd’hui au sujet du Covid 19, parfaitement conscient de la possibilité que vous soyez ébranlé par mes propos, mais d’autant plus convaincu qu’il est de mon devoir de chrétien, de père de famille, de citoyen, et de président d’un organisme voué à la défense de la Vie dans sa plénitude, de vous partager mes réflexions sur ce sujet controversé.
C’est que j’ai la conviction que nous sommes aujourd’hui, dans le monde entier, en plein combat contre l’imposition d’une dictature sanitaire, alimentée par la peur d’un virus dont le taux de mortalité avoisine celui de la grippe saisonnière.i
Peur diffuse et étouffante, attisée par l’exagération du nombre de décès dus au covid, une majoration fondée sur la confusion entre les décès directement attribuables au covid 19 et ceux seulement associés de loin ou de proche au covid 19.ii
Peur assommante, propagée par la publication, surtout dans les grands médias de masse, de statistiques données hors contexte et mal interprétées, tels ces « cas » d’infection par le coronavirus qui sont supposés augmenter de façon alarmante mais qui, en réalité, sont susceptibles d’une interprétation positive, puisque nous avons de bonnes raisons pour croire que ce coronavirus se comportera comme la plupart des autres virus, et qu’après avoir été transmis à une portion importante de la population sans qu’elle ne ressente le moindre symptôme, une bienfaisante immunisation de masse s’en suivra.iii
Peur, finalement, perpétuelle, renforcée par d’arbitraires mesures tel le port obligatoire du masque. L’utilisation de ce dernier, qui avait été précédemment découragée lorsque le virus était à son plus fort en mars et avril, est rendue maintenant obligatoire au moment où il est à son plus faible.iv
Certains se demanderont peut-être si c’est le rôle du président d’un organisme qui défend la foi, la famille et la vie, de la conception à la mort naturelle, de commenter un tel sujet. Ma réponse ne peut être qu’un emphatique oui.
Oui, car nos droits et libertés, acquis précieux qui nous permettent de partager en société les vérités salvatrices sur la foi, la famille et la vie, sont maintenant en péril : à l’occasion de cette « pandémie » artificiellement gonflée, la censure dans les médias et sur les réseaux sociaux se fait de plus en plus étouffante. Des vidéos et des articles se font effacer pour la simple raison qu’ils contredisent les diktats des instances onusiennes telles l’OMS (grand promoteur, par ailleurs, de la masturbation pour les 0 à 4 ans). Et cela, au nom de la « santé », bien sûr ! Or, l’OMS affirme sans ambages sur son site Web que l’accès à l’avortement légal et « sécuritaire » (certainement pas pour l’enfant à naître) est essentiel pour la réalisation du droit à la santé des femmes. Combien de temps avant qu’on nous fasse taire à notre tour, dans l’intérêt de « la santé » ?
Il y a également notre liberté religieuse qui est en péril : outre les restrictions démesurées sur nos lieux de culte, restrictions déplorées par nul autre que le cardinal Lacroix lors d’une récente allocution le jour de la fête de sainte Anne, la fixation sur le prolongement de la vie biologique, au détriment des autres éléments qui constituent une vie bien vécue, est la preuve que notre État n’accepte aucun point de vue contredisant celui où prime la longévité d’une vie sans principe directeur sur la plénitude d’une vie dans le Christ.
Nous ne pouvons rester silencieux face à cette transformation radicale, pour le pire, de nos sociétés, sous prétexte d’un virus dont le taux de mortalité avoisine, rappelons-le, celui de la grippe saisonnière. Nous qui défendons la foi, la famille et la vie, de la conception à la mort naturelle, voulons par nos actions former une population responsable et libre de faire le bien et d’éviter le mal, sous le regard bienveillant du Bon Dieu. Or, on est en voie de créer une dis-société d’automates surmédicamentés et surveillés, isolés les uns des autres et évoluant dans un monde virtuel aseptisé et sans foi. Ce n’est pas ça une Culture de Vie !
Je vous invite donc à refuser la peur artificielle, par un Oui inconditionnel à cette Vie de liberté des enfants de Dieu.
Si le cœur vous en dit, ce « oui » à la Vie pourrait se traduire en une participation — avec ou sans masque, dans le respect de toutes les consignes gouvernementales légitimes — à notre prochaine épluchette de blé d’Inde ce dimanche 23 août à 12 h à l’extérieur de nos locaux !
Vous êtes également invité à vous joindre à nous pour un pèlerinage pro-vie le samedi 19 septembre à 8 h, débutant au 505 Sainte-Catherine Est. Pour réserver votre place, appelez-nous au 1-855-996-2686 et demandez Brian.
Pour la foi, la famille et la Vie,
Georges Buscemi, Président
Post-scriptum — Si vous n'avez pas d'exemple concret de la dictature sanitaire qui s'installe sous nos yeux, pensez à la censure, exécutée au nom de la santé, que YouTube, Facebook et compagnie exercent contre les vidéos et publications critiquant l’OMS et sa politique sur le coronavirus, ou promouvant l’hydroxychloroquine comme remède à ce virus ; d’autre part, l’avortement étant classé comme « soin de santé » par ses partisans (dont l'OMS), c’est donc sans doute pour défendre le « droit » à la santé des femmes que YouTube a censuré une célèbre vidéo qui menaçait ce « droit », au nom de la santé bien sûr… pourtant, elle ne faisait strictement que décrire des méthodes d’avortement. La dictature sanitaire et sa censure sont sur nous. — A. H.
[i] Le taux de mortalité du coronavirus se situe entre 1 et 6 décès par 1000 personnes infectées. En d’autres termes, sur 1000 personnes qui attrapent le virus, 997 en moyenne, ou 99,7 %, en survivent). La plupart des références pour toutes les affirmations contenues ci-dessus et dans les notes suivantes peuvent être trouvées sur ce site.
[ii] Le Dr Arruda a lui-même affirmé lors d’une conférence de presse que le décès d’un patient du covid dans une institution peut justifier à lui seul que tous les autres décès dans cette même institution soient attribués au covid, sans qu’il soit nécessaire de vérifier, par autopsie par exemple, la véritable cause des décès subséquents. C’est la même manipulation statistique ailleurs : en Italie, une étude démontra que seulement 12% des décès officiels par covid n’étaient pas accompagnés de cancers, de problèmes cardiaques, de diabète sévère, etc., sans parler que la moyenne d’âge des décès tourne autour de 80 ans, ce qui est en effet l’âge moyen des décès en général, en Occident.
[iii] Si suffisamment de personnes bien portantes (selon des études effectuées en Chine, jusqu’à 80% des porteurs du virus ne présentent aucun symptôme) sont exposées au virus, elles développent au contact de celui-ci des anti-corps pour y résister. La pandémie se termine lorsqu’il n’y a plus suffisamment de personnes sans contact préalable avec le virus.
[iv] L’objectif est-il actuellement de maintenir la peur en ce temps d’été où la « pandémie » au Québec tire à sa fin, en attendant la prochaine saison de grippe annuelle, où la mortalité recommencera, fournissant aux médias de nouveaux décès pour réalimenter leurs usines de fabrication de la peur ? Et cette peur ainsi maintenue, n’incitera-t-elle pas, entre autres, la population à s’arracher un prochain vaccin (obligatoire ?), ce qui renflouera de sommes faramineuses les coffres des pharmaceutiques, et cela en dépit du fait que maintes études démontrent que l’hydroxychloroquine, médicament bien connu et surtout bon marché, éradique merveilleusement le covid 19?
Projet de loi russe : le mariage seulement entre homme et femme, et protection des droits parentaux
Par Francesca de Villasmundo (Medias-Presse.info) — Photo : Piqsels
Le projet de loi sur les modifications du Code de la famille de la Fédération de Russie a été présenté à la Douma, la chambre basse du Parlement russe le 13 juillet dernier.
Sept sénateurs russes, dirigés par Elena Mizulina, ont présenté cet ensemble de projets de loi visant à « renforcer l’institution familiale ». La pierre angulaire est le projet de loi modifiant le code de la famille de la Fédération de Russie.
Pendant trois ans, ce […] « Projet des sept sénateurs » est resté en préparation au Conseil de la fédération (la chambre haute du parlement) et des organisations dédiées à la protection de la famille et des droits parentaux, des experts de la famille et des représentants de l’Église orthodoxe russe ont participé à la rédaction.
Le projet de loi prévoit de nombreuses mesures pour soutenir et protéger la famille. Il s’agit notamment de l’interdiction de célébrer des « mariages » homosexuels ou transgenres et de confier des enfants à des personnes homosexuelles ou transgenres.
Mais un volet, et non des moindres, consiste à protéger les familles contre la séparation illégale et injustifiée des enfants de leurs parents. Il rappelle une évidence en ce qui concerne les familles, c’est-à-dire que « les principes directeurs du système juridique doivent également inclure le respect de l’indépendance de la famille dans les questions qui la concernent et celle de l’autorité des parents ». Par les temps qui courent, étant donné l’ingérence de bien des Etats occidentaux, dit « éclairés » et « démocrates », dans la vie des familles et la facilité avec laquelle leurs services sociaux retirent les enfants à leurs parents sous le prétexte que l’éducation donnée n’est pas assez « ouverte » « gay-friendly » « pro-vax » ou « pro-choice » et trop religieuse, ce rappel est une exception !
Après des années de « révolution » voulue par le lobby arc-en-ciel contre la famille, ce projet pour le droit de la famille est une véritable contre-révolution.
La Russie résiste vaillamment à la Gaystapo mondiale.
Le confinement cause 10 000 décès d’enfants chaque mois par malnutrition dans les pays pauvres
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) ― Photo : Pikist
Le confinement qui nous est imposé, prétendument pour combattre le covid-19, a de tragiques répercussions dans les pays moins bien nantis, si l’on se fie à une étude publiée dans The Lancet, environ 10 000 enfants meurent de malnutrition par mois, maintenant, en conséquence des mesures « sanitaires » qui paralysent des pays entiers. Selon LifeSiteNews :
Plus de 10 000 enfants meurent maintenant chaque mois à cause des perturbations économiques que les restrictions contre le Covid-19 ont imposées en Amérique latine, en Asie du Sud et dans les communautés d’Afrique subsaharienne.
Dans ces régions, les familles sont confrontées à un avenir sombre sans suffisamment de nourriture, selon une étude publiée dans The Lancet.
« La crise sociale et économique mondiale sans précédent, déclenchée par la pandémie COVID-19, pose de graves risques pour le niveau nutritionnel et la survie des jeunes enfants dans les pays à faible et moyen revenu », rapporte la revue médicale. « L’augmentation prévue de la malnutrition des enfants, l’émaciation, est particulièrement préoccupante, en raison de la forte baisse des revenus des ménages, des changements dans la disponibilité et l’accessibilité financière des aliments nutritifs, et des interruptions des services de santé, de nutrition et de protection sociale ».
« Cela fait sept mois que les premiers cas de Covid-19 ont été signalés et il est de plus en plus évident que les répercussions de la pandémie causent plus de tort aux enfants que la maladie elle-même », déclare la directrice générale de l’UNICEF, Henrietta Fore, dans un communiqué de presse.
Vous remarquerez que ni l’étude ni la directrice générale de l’UNICEF n’attribuent directement ce chiffre monstrueux de décès au confinement, mais aux « répercussions de la pandémie », alors qu’il est évidemment causé par le confinement et la panique, engendrée par les médias et les gouvernements, qui asphyxient la société.
Lire la suite