Un père canadien en prison pour 6 mois pour avoir parlé de sa fille, qui se veut transgenre, comme d’une fille…
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : diegoattorneyPixabay
Rob Hoogland, cet homme de Vancouver en Colombie-Britannique, père d’une jeune fille qui s’est fait pousser au transgenrisme par l’école qu’elle fréquentait au début de l’affaire, est maintenant en prison pour six mois. Son crime ? Avoir osé appeler « fille » sa fille ou employer le pronom « elle » à son propos, malgré l’interdiction de la cour en charge du procès qui opposait le père à sa fille, influencée par des activistes LGBT… International Family News rapporte :
Un père canadien est aujourd’hui en prison pour avoir simplement fait ce que tout parent aimant ferait, à savoir protéger son enfant d’un danger clair et présent.
Le vendredi 16 avril, Rob Hoogland — un facteur de Vancouver, en Colombie-Britannique — a été condamné à une peine de 6 mois de prison. Son crime ? Appeler sa fille « elle », s’insurger contre l’endoctrinement « idéologie du genre » auquel son enfant était soumis à l’école, et défendre son enfant contre l’agression médicale imposée à sa famille par l’État.
Hoogland est en prison aujourd’hui pour ces « crimes ».
Des jumelles nées à 22 semaines n’avaient que 50 % de chances de survie ― elles se portent à merveille
Loren (la mère), Billie et Bonnie (ses jumelles) Lyon.
Par la Society for the Protection of Unborn Children ― (LifeNews)
Les jumelles prématurées Billie et Bonnie, originaires d’Écosse, sont nées quatre mois avant terme et n’avaient que 50 % de chances de survie. Dix-neuf mois plus tard, ce sont des bambines heureuses et en bonne santé.
La mère, Loren Lyon, de Falkirk, n’a pu tenir dans ses bras ses chères jumelles que plusieurs semaines après leur naissance.
Billie et Bonnie sont arrivées quatre mois d’avance et ne pesaient que 2 lb 2 oz à elles deux. Elles étaient les plus petites jumelles d’Écosse.
Après leur naissance, les deux filles ont été placées dans des sacs spéciaux pour maintenir leur chaleur corporelle. On leur a donné une chance « très faible » de survie.
Loren se souvient : « La première fois que je les ai vues, elles avaient l’air si mal en point. Je me souviens avoir pensé : “Vont-elles s’en sortir ?” Elles étaient si petites ».
Pendant leurs 89 jours d’hospitalisation, les jumelles ont lutté contre des infections et d’autres complications liées à leur naissance prématurée qui comportait notamment une rupture de la membrane [de la mère].
Lire la suiteUn bébé né à 25 semaines, à qui on ne donnait que 50 % de chances de survie, se porte bien
Henry Augustus Truhill.
Par Nancy Flanders (LiveActionNews) ― Traduit par Campagne Québec-Vie
Henry Augustus Truhill vint au monde à 25 semaines le 1er février 2021 après que sa mère fut amenée d’urgence pour subir une césarienne, car Nicole, la mère, et Henry étaient tous deux en danger.
Selon le Média local Tucson, Nicole avait été diagnostiquée d’un décollement placentaire ce qui est une complication dangereuse lorsque le placenta se détache de la paroi utérine. Dans une telle situation, les deux vies sont à risques, car le bébé est privé d’oxygène et la mère peut faire une hémorragie.
Sur la page GoFundMe de cette famille, on mentionne que Nicole avait déjà une pré-éclampsie, une complication qui inclut une très haute pression artérielle et c’est ce qui exige une césarienne d’urgence. C’est la raison pour laquelle Nicole fut transportée par hélicoptère au Centre Médical Tucson, tandis que son époux Kyle, s’y rendit en voiture, parcourant 78 miles de distance. Une fois arrivée alors que l’équipe médicale s’affairait à préparer la mère, les médecins disaient ne donner que 50 % de chance de survie au bébé. Dans la salle opératoire, il y avait une telle tension à la naissance du bébé, car tous attendaient fébrilement d’entendre son cri, ce qu’il finit par faire à leur grand soulagement.
L’équipe médicale fit une conférence de presse pour dire qu’Henry est maintenant stable après avoir reçu plusieurs transfusions sanguines afin d’augmenter sa capacité respiratoire et donc son taux d’oxygène, ce qui fait que le bébé pouvait désormais respirer par lui-même. Alors l’équipe de spécialiste espère bien pouvoir les laisser sortir en juin prochain. Même Kyle put dire : « je n’aie jamais vu de toute ma vie quelque chose d’aussi beau et d’aussi petit et fragile, au moment de la naissance je fus submergée par l’émotion, la gratitude, la sensation d’un miracle, un grand soulagement, mais aussi la peur bleue de le perdre. Alors cette semaine je peux dire que je n’aie jamais autant pleuré de ma vie, on veut juste que notre bébé vive ! »
Sur la page GoFundMe familiale, on apprend qu’Henry fut nommé ainsi en l’honneur de son arrière-arrière-grand-père et qu’il a gagné 7 oz depuis sa naissance, que la mère se porte bien.
Il faut dire que dans ces dernières années, le taux de survie des bébés prématurés s’est amélioré, au point qu’il y en a qui viennent au monde à 21 semaines et s’en sortent quand ils reçoivent des soins médicaux. Mais en dépit de ces nouvelles encourageantes, il reste encore bien des hôpitaux qui eux refusent de mettre au monde des bébés de moins de 24 semaines. À ceux concernés, vous pouvez vérifier sur la carte de Twenty-Two Matters s’il existe près de chez vous un hôpital qui accepte de soigner les prématurés de moins de 22 semaines.
Un hôpital québécois sépare un nouveau-né de sa mère pendant 10 jours, car les deux ont été déclarés « positifs » au covid…
Site Glen du CUSM, Centre universitaire de santé McGill, hôpital Shriners pour enfants.
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) ― Photo : Jeangagnon/Wikimedia Commons
Décidément, aucune considération n’arrête les fanatiques des mesures « sanitaires ». Ainsi, un nouveau-né et sa mère ont été séparés par l’hôpital qui prend soin du bébé prématuré, parce que les deux ont été déclarés « positifs » au covid-19, pour la durée de dix jours qu'aura passés la petite fille là-bas. La raison en est que, le bébé ayant été déclaré « positif », il devait rester dans une partie isolée de l’hôpital, et que la mère, également « positive », ne pouvait rester en isolement avec son enfant pour la fichue raison qu’il n’y avait pas de chambre isolée avec toilettes ! Selon LifeSiteNews :
Un nouveau-né a été retiré à ses parents contre leur gré et placé en isolement pendant dix jours, dans le but, selon l’hôpital, d’empêcher la propagation du coronavirus. Auparavant, les parents et l’enfant avaient été déclarés positifs au covid-19.
La petite Olivia Santos Sforza, fille de la Brésilienne Geovana Silva Rodrigues dos Santos et de l’Italien Sebastiano Sforza, est née le 15 mars à l’hôpital Pierre Boucher de Longueuil, au Québec. Sebastiano a déclaré à LifeSiteNews que, bien que la grossesse de sa femme ait été normale, Olivia est née prématurément, à 36 semaines.
La mère et le bébé ont été immédiatement séparés et n’ont jamais été réunis car, lors de son admission à l’hôpital, Geovana a été obligée de passer le test COVID-19, qui s’est révélé positif.
« Le bébé, cinq heures après sa naissance, a été transféré au CUSM [Centre universitaire de santé McGill] à Montréal, cet établissement étant censé être mieux équipé pour effectuer les tests nécessaires à l’état du bébé », déclare Sebastiano à LifeSiteNews par courriel. « Geovana, ayant reçu un résultat positif au test covid, a dû rester à la maison pendant dix jours à partir du 15 mars ».
« J’ai également passé un test qui est revenu positif, et j’ai donc également été confinée à la maison. Ainsi, malheureusement, notre bébé n’a eu aucun contact avec ses parents, surtout sa mère, depuis sa naissance. »
Comme Olivia a elle aussi été déclarée positive au virus, elle est en isolement. Ses parents ont supplié le Centre universitaire de santé McGill de permettre à Geovana de rester isolée avec son bébé à l’hôpital, mais la réponse du CUSM fut que cela était impossible, car il n’y avait pas de chambre isolée avec des toilettes. Sebastiano a trouvé cela difficile à croire, étant donné le statut du Canada en tant que pays classé premier monde, entièrement développé.
Le couple devrait récupérer son enfant aujourd'hui. Les deux parents songent à intenter une poursuite contre le CUSM.
Né à 23 semaines, James est maintenant un enfant de 5 ans en pleine santé
James.
Par Nancy FLanders (LiveActionNews) ― Traduit par Campagne Québec-Vie
Michael et Rachel attendaient leur premier bébé en 2015 lorsque Rachel a perdu ses eaux à seulement 22 semaines. C’est à ce moment-là que le couple a appris pour la première fois qu’il attendait des jumeaux, mais les très prématurés nés à 22 semaines n’ont que 21 % de chances de survivre. Malheureusement, le bébé Ian n’a pas survécu, mais son frère jumeau James, né à 23 semaines, a maintenant cinq ans.
À 23 semaines et deux jours, James ne pesait qu’une livre et deux onces, et il avait tout un combat devant lui. Il a fallu six jours avant que sa mère ne le tienne dans ses bras pour la première fois. Et tandis que ses parents disent que les deux premières semaines après la naissance se sont déroulées sans heurts, après cela, James a commencé à faire face à de nombreux problèmes médicaux.
« James a tellement souffert. Il a reçu une intubation [trachéale (?)], puis il est passé au CPAP [ventilateur] et est revenu à l’intubation et toutes ces différentes choses. Et il a traversé tellement de choses », a déclaré Michael dans une vidéo YouTube.
À trois semaines, James a subi une chirurgie PDA pour fermer une ouverture dans le cœur entre l’aorte thoracique et l’artère pulmonaire. Il a bien traversé l’opération, mais à deux mois, ses poumons ne se portaient pas aussi bien qu’on avait espéré et il continuait d’avoir besoin d’une assistance respiratoire. Il est resté à l’hôpital à l’unité de soins intensifs néonataux jusqu’à l’âge de quatre mois environ. Après sa sortie de l’unité des soins intensifs néonataux, il est resté sous oxygène pendant des mois à la maison.
Lire la suiteColombie-Britannique — un père emprisonné pour avoir qualifié sa fille de fille et utilisé le pronom féminin « elle »
Par Pour une école libre au Québec ― Photo : Rawpixel
Un mandat d’arrêt a été lancé par un juge pour l’arrestation d’un père après que celui-ci ait appelé sa fille biologique* « sa fille » et qu’il ait utilisé le pronom « elle » pour se référer à elle. Hoogland a été reconnu coupable d’outrage au tribunal.
Hoogland est le père d’une fille biologique* de 14 ans qui s’identifie comme transgenre et préfère que l’on utilise des pronoms masculins pour parler d’elle. Hoogland a appelé à plusieurs reprises cette personne sa fille, bien que le tribunal lui ait interdit de le faire.
Mardi, à 10 h, heure de Vancouver, Hoogland s’est rendu au tribunal en réponse au mandat d’arrestation du procureur général de la Colombie-Britannique pour outrage au tribunal. Il a été arrêté et emprisonné. Le mandat a été délivré par le juge Michael Tammen le 4 mars 2021.
Hoogland s’oppose à ce que son enfant subisse des procédures médicales « affirmatives de genre » et a répété cette opposition à de multiples reprises, dans l’espoir de sauver son enfant d’un préjudice irréversible. Le système médical canadien, le système juridique et la mère de l’enfant, pour leur part, accélèrent la transition sociale et médicale de l’enfant. Notons, qu’à l’inverse, la justice britannique recommande l’arrêt des transitions de genre avant 16 ans.
Le 14 décembre 2020, la juge Francesca Mazari a contraint Hoogland d’approuver la « transition » de genre de sa fille de quatorze ans et lui a interdit d’appeler sa fille biologique sa fille. En réponse, Hoogland a contesté cette décision en invoquant son droit à la liberté d’expression protégé par la Charte.
Lire la suiteLa Cour suprême des États-Unis rejette la demande de l’hôpital de débrancher la jeune Tinslee Lewis
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) ― Photo (rognée) : AJEL/Pixabay
L’affaire de Tinslee Lewis, une jeune enfant de presque deux ans ayant une anomalie cardiaque rare, connaît un dénouement heureux ; la Cour suprême des États-Unis rejette la requête de l’hôpital texan qui voulait retirer traitements et soutiens vitaux à Tinslee, renvoyant donc l’affaire au tribunal inférieur qui avait désapprouvé l’hôpital, selon LifeSiteNews :
La Cour suprême des États-Unis a rejeté une requête préliminaire du Cook Children’s Medical Center visant à débrancher [la ventilation de] bébé Tinslee Lewis contre la volonté de sa mère. Le combat de bébé Tinslee pour sa vie a commencé en novembre 2019 lorsque l’hôpital de Fort Worth a décidé de mettre fin à la vie de l’enfant contre la volonté de sa mère en vertu de la mortelle 10-Day Rule du Texas. Son procès a porté un coup sérieux à cette loi contre la vie dans une cour d’appel du Texas, et le Cook Children’s a cherché à faire annuler la décision. Depuis, tous les tribunaux supérieurs, y compris la Cour suprême des États-Unis, ont empêché l’hôpital de supprimer le traitement de survie de Tinslee, malgré l’objection de sa mère.
La décision contre la 10-Day Rule est toujours valide, et l’affaire va maintenant être renvoyée devant la juridiction inférieure pour un jugement final sur le fond de l’affaire.
Le « Règlement des 10 jours » pourrait ainsi être déclaré inconstitutionnel, mettant fin à de semblables situations.
Explosion de jeunes adolescents qui se disent « transgenres » à l’école... Épidémie psychologique à la mode ?
Par Pour une école libre au Québec ― Photo : Pikist
Le nombre d’adolescents qui se présentent aux cliniques d’identité de genre avec une dysphorie du genre a grimpé en flèche ces dernières années au Canada. Alors qu’un nombre croissant de jeunes disent avoir besoin d’aide, certains parents, des professionnels de la santé mentale et d’autres s’inquiètent de la façon dont ils sont traités.
La fille de Mary était à l’école primaire lorsqu’elle s’est dite d’abord bisexuelle, puis lesbienne. Mais ce qui s’est passé lorsque la fille est entrée en 9e année dans une école secondaire en Ontario était inattendu. La jeune femme a voulu rencontrer d’autres élèves LGBTQ, dont un garçon transgenre. Puis, l’année suivante, cet automne, le garçon n’était plus seul : au moins une demi-douzaine d’autres filles biologiques¹ du même groupe d’amis élargis, y compris la fille de Mary, se sont dites transgenres.
« C’est devenu beaucoup plus important en un an », a déclaré la mère, qui a demandé que son nom complet et celui de l’école ne soient pas divulgués au National Post pour protéger la vie privée de la famille. « Cela ne semble pas statistiquement possible. » Pourtant, une école primaire de l’est de l’Ontario a connu le même phénomène il y a quatre ans. Quelques mois après la présentation d’un groupe extérieur sur l’identité de genre à une classe de 7e année [habituellement 12-13 ans], au moins cinq des 32 élèves ont déclaré qu’ils étaient transgenres, a déclaré Carolyn, un parent de l’école. Son fils de 11 ans était parmi eux, annonçant qu’il était une « demi-fille ». « On leur a dit en quelque sorte (à l’école) que si vous n’êtes pas à l’aise dans votre corps, vous pourriez être transgenre », a déclaré la mère, qui est également assistante sociale et conseille les jeunes en difficulté. « Cela a fait tilt pour plusieurs enfants dans cette classe. »
Ces surprenantes éclosions de dysphorie de genre — le sentiment d’avoir une identité de genre différente de son sexe de naissance — sont apparues alors que le nombre d’adolescents canadiens qui se présentent aux cliniques d’identité de genre avec dysphorie a grimpé en flèche ces dernières années, une grande majorité d’entre eux étant des filles.
Certains experts expliquent cette soudaine poussée par des facteurs comme une « contagion sociale » au sein de groupes de connaissances. Voir à ce sujet.
Lire la suiteAustralie : la police retire une enfant à ses parents parce que ceux-ci refusent qu’elle « transitionne »
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : Rawpixel
La police australienne a retiré une jeune fille de 15 ans à ses parents, parce ce que celle-ci courrait, d’après le juge qui a ordonné cet enlèvement, le risque de se mutiler si ses parents persistent à refuser qu’elle « transitionne », rapporte LifeSiteNews :
La police a retiré la jeune fille de 15 ans de son domicile, le magistrat de la cour des enfants de l’État invoquant pour ce faire, dans une ordonnance de protection rendue en octobre, le risque qu’elle s’automutilât. La jeune fille, qui ne peut être nommée pour des raisons juridiques, aurait discuté du suicide dans des groupes de discussion en ligne.
Il est évidemment stupide de vouloir régler des problèmes psychologiques en faisant suivre à cette enfant un processus qui en soi est de la mutilation et de l’empoisonnement, et qui comporte forcément de graves problèmes psychologiques. LifeSiteNews continue :
Les parents, qu’on ne peut pas non plus nommer, se sont opposés à ce qu’ils ont qualifié d’intimidation des autorités à leur égard et sont en train de faire appel de la décision. Ils nient avoir maltraité leur fille.
« (Les autorités disent) que nous ne lui permettrons pas de changer de sexe, il est donc dangereux pour elle de revenir chez nous parce que nous allons la maltraiter mentalement — ils veulent que nous consentions au traitement à la testostérone », déclarait le père au The Australian dans un article publié le 28 novembre.
Peut-être une chance :
Les parents demandent un deuxième avis avant que les médecins n’injectent des hormones à leur fille et ne l’opèrent éventuellement pour la faire ressembler à un garçon. Les avocats qui représentent l’adolescente ont déjà entamé une procédure légale le 7 novembre dernier pour que les médecins commençassent à « transformer » la jeune fille afin qu’elle ressemblât à un garçon.
Les services de protection de l’enfance du pays auraient cependant accepté la demande des parents d’obtenir un deuxième avis médical, rapporte The Australian.
L’avocat des parents a rempli une procédure pour se porter en appel. Peut-être donc ces parents pourront-ils sauver leur fille de la « transition ».
Aider cette enfant à surmonter problèmes psychologiques d’automutilations et de suicide serait infiniment mieux que de la faire passer par un traitement barbare.
Pétition parlementaire pour un projet de loi pour le contrôle de l’âge sur les sites pornographiques
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : Freepik
Une pétition parlementaire a été lancé avec l’aide du député conservateur Arnold Viersen, en soutien du projet de loi S-203 présenté par le sénateur Julie Miville-Dechêne. S-203 propose le contrôle obligatoire de l’âge des visiteurs sur les sites pornographiques, que ces derniers devront mettre en place sous peine de poursuites criminelles.