Un père du Nouveau-Brunswick perd la garde de ses enfants pour avoir refusé le vaccin covid
Par David McLoone — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Mladen/Adobe Stock
7 février 2022, Fredericton, Nouveau-Brunswick (LifeSiteNews) — Un autre père canadien a été séparé de ses enfants après qu’un juge eût décidé qu’il représentait une menace pour la santé de l’un d’entre eux parce qu’il refuse de recevoir les vaccins contre le COVID-19.
Le juge Nathalie Godbout de la Cour du Banc de la Reine du Nouveau-Brunswick a rendu le 31 janvier une décision à l’égard du père de trois enfants, lui interdisant de voir ses enfants en personne en raison de son refus de recevoir l’un des vaccins COVID-19 contaminés par l’avortement.
Mme Godbout a restreint le droit de visite du père après avoir noté que son deuxième enfant ─ une fillette de 10 ans ─ présente un système immunitaire déficient que le juge a estimé menacé par tout contact physique entre la fillette et son père « non vacciné » ainsi que sa nouvelle compagne.
Les documents judiciaires n’identifient pas les parents par leur nom.
« En tant que parents qui s’occupent de [l’enfant] 50 % du temps, dans un environnement proche, non masqués et non vaccinés, ils sont bien placés pour transmettre le virus à [l’enfant] s’ils le contractent, et ce malgré tous leurs efforts », peut-on lire dans un article de la Canadian Broadcasting Corporation (CBC) à propos de la décision de Mme Godbout.
Le juge a conclu que les enfants « doivent avoir la meilleure chance possible d’échapper à l’infection par le COVID-19 », estimant que le statut « vaccinal » du père n’est pas satisfaisant pour cette exigence et, « le cœur lourd », lui retire temporairement le droit de garde.
Lire la suiteFloride: projet de loi interdisant le matériel scolaire pornographique et exigeant l'accord des parents pour l’éducation sexuelle
Par Raymond Wolfe — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Prostock-studio/Adobe Stock
28 janvier 2022, Tallahasse, Floride (LifeSiteNews) — En Floride, un nouveau projet de loi, accueilli très favorablement par les défenseurs de la famille, instaurerait des sanctions strictes concernant le matériel pornographique dans les écoles publiques et interdirait d’enseigner aux élèves l’éducation sexuelle sans la permission explicite des parents.
Rédigé par le sénateur d’État républicain Dennis Baxley, le projet de loi SB 1842 imposerait une série de changements destinés à protéger les enfants et à renforcer le contrôle parental sur le contenu [cours et matériel] à caractère sexuel dans les écoles de la maternelle à la douzième année.
La proposition de loi élargit la définition de la « pornographie enfantine » pour inclure tout texte décrivant un mineur impliqué dans un comportement sexuel et élargit également les définitions du matériel jugé « nuisible aux mineurs » ou « obscène ». Les contenus répondant à ces définitions seraient interdits dans les bibliothèques et les salles de classe des écoles publiques de la maternelle à la douzième année et sur les listes de lecture des écoles publiques.
Les districts scolaires qui ne « retirent pas de manière proactive tous ces documents » risquent d’être accusés de crime en vertu du projet de loi de Baxley.
« Si le conseil scolaire de district estime que tout matériel pédagogique, y compris le matériel utilisé en classe ou assigné ou offert comme matériel de lecture, viole cet article, le matériel doit être retiré de manière proactive. Cette action requise ne dépend pas de la plainte d’un parent ou d’un résident », précise le SB 1842. « Toute personne violant une disposition de cette section commet un crime du troisième degré concernant les écoles. »
Lire la suiteLa « théorie critique » et la corruption des enfants
Par Liam Gibson (Voice of the Family) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Gorodenkoff/Adobe Stock
Parmi les nombreux développements politiques qui ont eu lieu aux États-Unis en 2021, l’émergence des droits parentaux en tant que question électorale est sans doute l’un des plus importants. [1] Les inquiétudes concernant le contenu des programmes de l’école publique se sont lentement développées depuis des années, mais le passage à l’apprentissage en ligne pendant les confinements de Covid-19 a contribué à mettre en lumière la nature extrême de certaines des choses que l’on enseigne aux enfants américains.
Dans plusieurs régions du pays, les réunions des conseils d’administration des écoles ont donné lieu à des scènes passionnées, alors que des parents en colère s’insurgeaient contre l’endoctrinement politique de leurs enfants. L’un après l’autre, ils ont dénoncé le matériel sexuellement explicite, la théorie critique des races et les politiques relatives aux transgenres qui obligent les filles à partager les toilettes et les vestiaires avec des garçons qui s’identifient en tant que filles. Le Commonwealth de Virginie est au cœur de la tempête qui balaie le système éducatif américain.
Le 22 juin, Scott Smith, 48 ans, a été arrêté lors d’une réunion du conseil scolaire du comté de Loudoun. Smith — dont la fille avait été victime d’une grave agression sexuelle dans les toilettes des filles d’une école d’Ashburn, en Virginie, par un garçon de 15 ans portant une jupe — est devenu furieux lorsque le surintendant du district, Scott Ziegler, a déclaré que « l’étudiant ou la personne transgenre prédateur n’existe tout simplement pas », et qu’à sa connaissance, il n’y avait aucun dossier d’agressions. [2]
Smith a passé 10 jours en garde à vue, puis a été reconnu coupable de trouble à l’ordre public et condamné à une peine avec sursis. Au cours de l’accusation, il a été révélé que Ziegler avait envoyé un courriel à des collègues en mai montrant qu’il était, en fait, au courant de l’incident. La publicité entourant l’affaire a forcé les autorités à admettre que le garçon qui avait attaqué la fille de Smith avait été accusé d’avoir agressé une deuxième fille, après son transfert dans une autre école. L’adolescent de 15 ans a ensuite été reconnu coupable des deux agressions et enregistré comme délinquant sexuel.
Lire la suiteUn juge québécois suspend les droits de visite d’un père auprès de ses enfants parce qu’il n’est pas vacciné
Par Jack Bingham — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : kostia/Adobe Stock
13 janvier 2022, Montréal (LifeSiteNews) — Un père québécois a vu ses droits de visite temporairement suspendus après que la mère eût dit à un juge qu’il est « anti-vaccin » et qu’il affiche des théories du « complot » sur les médias sociaux.
Le juge Jean-Sébastien Vaillancourt de la Cour supérieure du district de Montréal a rendu un jugement le 23 décembre 2021 qui a interdit « temporairement » à un père québécois de visiter ses trois enfants, âgés de 12 ans, 4 ans et 7 mois, parce qu’il n’est « pas vacciné » et qu’il publie des messages sur les médias sociaux qui expriment son opposition aux tyranniques et prétendues mesures de santé publique du Québec.
« Il serait normalement dans le meilleur intérêt d’un enfant d’avoir des contacts avec son père, mais il n’est pas dans son meilleur intérêt d’avoir des contacts avec lui s’il n’est pas vacciné et s’il s’oppose aux mesures de santé dans le contexte épidémiologique actuel », a écrit M. Vaillancourt dans sa décision.
Selon le National Post, le père avait demandé au juge un jour de visite supplémentaire pendant les vacances de Noël auprès de son enfant de 12 ans. La mère a alors déclaré au juge que la demande devait être rejetée car elle avait « récemment » appris que l’homme n’était pas vacciné et, selon le jugement, qu’il était un « théoricien du complot » et un « anti-vaccin ».
Le père a déclaré que son statut vaccinal ne devrait pas entrer en ligne de compte dans cette affaire, puisque l’enfant de 12 ans a reçu le vaccin et que les deux autres enfants sont trop jeunes pour recevoir les vaccins expérimentaux.
Apparemment aveugle à l’ironie de la situation, le juge a noté que, puisque le variant dit omicron infecte les personnes vaccinées, le vaccin de l’enfant de 12 ans n’offre pas une protection suffisante pour qu’elle soit en contact avec son père, en dépit du fait que les essais sur les vaccins covid n'eussent jamais produit de preuves que les non-vaccinés transmettaient davantage omicron que les vaccinés.
En fait, il existe même des preuves solides que les « vaccinés » sont tout aussi susceptibles de porter et de transmettre le virus que les personnes non vaccinées, ce qui signifie que le père ne présente pas plus de risque pour ses enfants que la mère « entièrement vaccinée ».
Pour démonter encore davantage le discours dominant du covid, le Dr Robert Malone, l’inventeur même de la technologie du vaccin à ARNm, a déclaré que non seulement les non-vaccinés ne sont pas à blâmer pour la propagation du virus, mais que ce sont en fait les vaccinés qui sont les « super-propagateurs » de la maladie.
La pression en faveur de la vaccination ou de la protection des jeunes enfants s’exerce en dépit du fait que les enfants courent un risque extrêmement faible face au covid-19. En fait, l’été dernier, des chercheurs de l’école de médecine Johns Hopkins ont constaté un « taux de mortalité de zéro chez les enfants sans condition médicale préexistante telle que la leucémie » lorsqu’ils ont « analysé environ 48 000 enfants de moins de 18 ans diagnostiqués avec le covid dans les données de l’assurance maladie entre avril et août 2020 ».
En guise de consolation, le juge Vaillancourt a précisé que les restrictions « doivent être de courte durée puisque la situation liée à la pandémie évolue rapidement, encore plus en ce qui concerne le variant omicron, et qu’il pourrait être nécessaire de réévaluer la situation à court terme », tout en ajoutant que le père devrait tout de même recevoir les vaccins et donner son assentiment aux mesures de santé publique de la province.
Les médecins ont dit que son bébé naîtrait en « état de mort cérébrale », mais maintenant il fait ses premiers pas
Isaiah Martin.
Par Nancy Flanders (LiveActionNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie
En Australie, un garçon d’un an a étonné les médecins dès sa naissance prématurée à 23 semaines. Alors qu’on ne s’attendait pas à ce qu’il survive, Isaiah fait maintenant ses premiers pas et donne de l’espoir à d’autres familles.
La mère d’Isaiah, Jillian Martin, a perdu les eaux alors qu’elle n’était enceinte que de 20 semaines. Les médecins l’ont emmenée dans le service des mort-nés, rapporte ABC, car ils ne s’attendaient pas à ce que son bébé survive. « Ils ont dit que mon fils allait être mort-né, parce que vous avez environ 98 % de chances d’entrer en travail après avoir perdu les eaux », a-t-elle déclaré.
Elle et son partenaire Dan Rhodes ont été « dévastés » par cette nouvelle, mais Mme Martin n’a pas commencé le travail comme les médecins l’avaient prévu. Elle a pu porter Isaiah trois semaines de plus, ce qui a donné à celui-ci le temps nécessaire pour se renforcer. « Il me restait encore un peu de liquide [amniotique], mais dans la limite inférieure de la normale », explique-t-elle. « Alors qu’ils procédaient à d’autres contrôles, les battements de cœur du bébé étaient bons ».
Mme Martin a été transportée par avion à l’hôpital universitaire de Townsville pour accoucher, mais une fois sur place, les médecins lui ont dit qu’ils pensaient que son petit garçon naîtrait en état de mort cérébrale. « C’était dur », dit-elle. « Vous avez eu tout cet espoir et vous êtes restés si positifs tout ce temps et puis en un instant, tout cela est mis par terre. »
Mais lorsqu’Isaiah est né à un peu plus de 23 semaines, il était bien vivant. Il ne pesait que 700 grammes et a été transporté à l’unité de soins intensifs néonatals, où il est resté pendant quatre mois. « Après la naissance, j’étais debout dans l’unité de soins intensifs néonatals et je n’en revenais pas qu’il soit si petit », a déclaré Jillian Martin. Il y a tellement de doutes qui vous traversent l’esprit : « Comment quelque chose d’aussi petit va-t-il pouvoir survivre ? »
Lire la suiteLes parents de quatre enfants adoptent la meilleure amie de leur fille et sa petite sœur
Par Nancy Flanders (LiveActionNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie
Lauren et Dave Sager sont parents de quatre enfants biologiques — trois garçons et une fille — et lorsque leur fille est entrée en maternelle, elle est devenue rapidement amie avec l’une de ses camarades de classe. Après avoir appris que sa nouvelle amie et sa petite sœur étaient en famille d’accueil et disponibles pour adoption, le couple a décidé d’ouvrir sa maison et d’accueillir les filles dans leur famille.
« Le jour où [les deux filles] se sont rencontrées, je n’ai entendu parler que de cette amitié », a déclaré Lauren à WOTV. « Nous avons donc découvert, en apprenant à connaître cette amie et sa famille, qu’elle était une enfant en famille d’accueil ; nous avons commencé à entrer en contact avec la famille et nous avions d’autres amis qui étaient amis avec leurs enfants. Et nous avons en quelque sorte créé un lien et une relation avec cette famille. Puis nous avons découvert que ces deux gentilles filles avaient besoin d’un foyer pour toujours. [...] Et il nous a paru naturel de les inviter dans notre famille ».
Placées ensemble en famille d’accueil, les deux sœurs avaient besoin de rester ensemble, et le couple n’a pas hésité à faire en sorte que ce soit le cas. Le processus s’est déroulé sans heurts et les filles ont commencé à passer de plus en plus de temps avec la famille. Un an et demi plus tard, Lauren et Dave racontent leur incroyable histoire.
Lire la suiteLa mère d’une enfant atteinte de trisomie 18: «Sa vie compte. Elle peut être différente de la nôtre, mais elle compte»
Par Bridget Johnson (LiveActionNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie
La trisomie 18 (syndrome d’Edwards) a été diagnostiquée chez Harper Grace alors qu’elle était in utero. Les médecins ont considéré que cette condition était « incompatible avec la vie », mais malgré tous les obstacles qui se sont dressés contre elle, Harper approche de son cinquième anniversaire. Si une recherche rapide sur Internet vous apprendra que la plupart des personnes atteintes de ce diagnostic survivent moins de quelques semaines après leur naissance, de plus en plus d’histoires d’enfants défiant ces probabilités et vivant des années ─ voire des dizaines d’années ─ avec leur famille font surface.
Bella Santorum, Faith Smith, Melody Thenhaus et Kayden McClanahan ne sont que quelques noms d’enfants atteints de trisomie 18 dont les parents se sont battus pour leur donner une chance de vivre.
En raison des difficultés qu’implique la prise en charge d’un enfant atteint de trisomie 18, la plupart des médecins recommandent l’avortement lorsque le diagnostic est confirmé. Ils prétendent qu’il n’y aura pas de qualité de vie, voire pas de vie du tout, malgré ce que prouvent des enfants comme Harper. Mais le combat pour la protection et la vie ne s’arrête pas à la naissance pour ces enfants. Dans une interview vidéo « Special Books by Special Kids », la mère de Harper a évoqué la négligence et l’opposition que les enfants atteints de trisomie 18 reçoivent dans les hôpitaux :
« On ne leur donne pas [une chance équitable]. Très peu d’hôpitaux dans le pays sont disposés à fournir des interventions complètes aux enfants atteints de sa condition. Nous connaissons de nombreux enfants qui se sont vu refuser les droits humains les plus élémentaires, comme une sonde d’alimentation pour les aider à manger ou un peu d’oxygène s’ils en avaient besoin, et ces familles ont été contraintes de ramener ces enfants chez eux pour qu’ils meurent. »
Lire la suiteLa gent LGBT s’en vient pour nos enfants : il est temps de riposter
Par John-Henry Westen — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : rimmdream/Adobe Stock
19 novembre 2021 (LifeSiteNews) — La façon dont nous traitons les plus vulnérables d’entre nous a toujours été la marque d’une société civilisée ; mais nos lois sur l’avortement et l’euthanasie montrent bien que nous sommes tout sauf une société civilisée. En fait, dans le monde d’aujourd’hui, les enfants sont la cible d’abus.
Oui, les enfants, et cela ne devrait pas nous surprendre car nous savions que cela allait arriver. Je vais vous montrer comment des enseignants essaient de convaincre les parents que leurs bambins sont transgenres, comment les écoles emmènent les enfants dans les bars gays et comment elles endoctrinent les enfants selon l’agenda « woke » LGBT tout en le dissimulant activement aux parents.
Allons d’abord en Floride, où des enfants de l’école primaire de Wilton Manors ont récemment été emmenés en excursion dans un bar gay appelé Rosie’s Bar and Grill, qui propose des plats et des boissons faisant visiblement référence aux organes génitaux masculins.
Sarah Leonardi, membre du conseil d’administration de l’école du comté de Broward en Floride, a emmené les enfants au bar gay et a publié sur les médias sociaux qu’elle était très honorée de le faire. Elle a remercié le Rosie’s d’« accueillir ce voyage spécial chaque année ».
Les enfants ne devraient pas être emmenés dans un bar, et encore moins dans un bar gay. Et pourtant, ces adultes, qui devraient être les mieux informés, ont emmené les enfants dans un bar qui propose des plats tels que « Naked Sweaty Lovin » et un hamburger appelé « Ivana Hooker ».
Il est dégoûtant de constater à quel point le contenu sexuel est enfoncé dans la gorge des enfants au nom du « wokisme ».
La semaine dernière, le Vermont a imposé aux écoles publiques de l’État de mettre des préservatifs à la disposition des enfants dès l’âge de 12 ans. La loi stipule que « pour prévenir les grossesses non désirées et les maladies sexuellement transmissibles chaque district scolaire doit mettre gratuitement des préservatifs à la disposition de tous les élèves de ses écoles secondaires ».
Lire la suiteUne ex-lesbienne qui a fui les États-Unis pour protéger sa fille risque d’être poursuivie par l’administration Biden
Lisa Miller et sa fille Isabella.
Par Raymond Wolfe — Traduit par Campagne Québec-Vie
Vendredi 12 novembre, Lockport, New York (LifeSiteNews) — Lisa Miller, une ex-lesbienne qui a fui les États-Unis pour protéger sa fille de son ancienne partenaire apparemment violente, risque d’être poursuivie par le ministère de la Justice de Biden après avoir été ramenée aux États-Unis plus de dix ans plus tard.
Mme Miller, qui a renoncé à l’homosexualité et s’est convertie au christianisme évangélique, a fui au Nicaragua en 2009 pour éviter de perdre la garde de sa fille, Isabella, qui avait sept ans à l’époque. Les Miller ont été poursuivis par les autorités fédérales pendant des années sous l’administration Obama, mais elles sont restées dans la clandestinité jusqu’en janvier, date à laquelle elles se sont rendues volontairement à l’ambassade des États-Unis au Nicaragua.
Isabella a maintenant 19 ans, et une décision de justice qui accordait la garde à l’ex-partenaire des Miller, Janet Jenkins, ne s’applique plus à elle.
« C’était le plan depuis le début — quand Isabella aurait 18 ans, elles retourneraient aux États-Unis », selon le 419Fund, un organisme chrétien à but non lucratif qui collecte des fonds pour la cause de Lisa Miller. « Dieu a pourvu et protégé Lisa et Isabella de septembre 2009 à janvier de cette année. Plusieurs fois, Dieu a contrecarré les plans de sa capture alors qu’Il les cachait au Nicaragua. »
Isabella a déclaré dans un affidavit déposé en février qu’elle est « heureuse, en sécurité et en bonne santé » tandis qu’elle vit au Nicaragua.
Mme Miller est actuellement détenue dans le comté de Niagara, dans l’État de New York. Un acte d’accusation de 2014 à Buffalo, d’où Miller est passée au Canada avant de s’enfuir au Nicaragua, l’accusair d’« enlèvement parental international » et de conspiration, a déclaré le ministère de la Justice dans un communiqué de presse plus tôt cette année. Les chefs d’accusation retenus contre Miller peuvent aller jusqu’à cinq ans de prison et une amende de 250 000 dollars.
Lire la suiteLes écoles de Chicago obligent les garçons et les filles à partager les toilettes au nom de « l’équité des genres »
Par Calvin Freiburger — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : MarkRademaker/Adobe Stock
3 décembre 2021, Chicago (LifeSiteNews) — Le Chicago Public Schools (CPS) a annoncé qu’il exigera que toutes les écoles sous sa juridiction affichent des panneaux permettant expressément aux étudiants et au personnel de choisir des toilettes masculines ou féminines en fonction de leur « identité ou expression de genre » préférée, au nom de la réalisation de « l’équité de genre ».
« Tous les étudiants et le personnel des CPS auront un accès juste et équitable aux toilettes qui correspondent à leur identité de genre », a déclaré Camie Pratt, responsable de la sécurité des élèves des écoles publiques de Chicago, dans une annonce vidéo publiée le 30 novembre. Elle a ajouté qu’à partir du 1er décembre, les panneaux « indiqueront clairement que toutes les toilettes pourront être utilisées par toute personne qui s’y sent à l’aise ».
« Le personnel continuera à disposer de toilettes réservées au personnel », a ajouté Camie Pratt, sans préciser si ces toilettes ou d’autres installations à occupation unique seront accessibles aux élèves qui ne souhaitent pas partager des installations intimes avec un membre du sexe opposé. « Le Bureau de la protection des élèves et de [l’application de la Loi] “Title IX” de notre district travaille également sur un plan à long terme visant à créer une signalisation plus permanente pour nos salles de bain ».
« Mes filles ne se sentiront pas à l’aise de partager une salle de bain avec des garçons », a réagi un parent sur les médias sociaux, comme le souligne le Daily Wire. « Qui prend ces décisions ridicules ? Qui s’assure que les filles ne seront pas harcelées ou intimidées dans ces cabines ? Où mon enfant peut-il obtenir de l’intimité pour s’assurer qu’aucun garçon n’essaiera de l’épier pendant qu’elle est dans une cabine ? »
Les conservateurs affirment que le fait de forcer les enfants et les adolescents à partager des installations intimes avec des membres du sexe opposé viole leur droit à la vie privée, les soumet à un stress émotionnel inutile et donne aux prédateurs masculins potentiels un prétexte valable pour entrer dans les toilettes ou les [salles de] casiers des femmes.
Une révolte publique contre ces politiques a récemment alimenté la victoire du républicain Glenn Youngkin sur le démocrate Terry McAuliffe pour le poste de gouverneur de Virginie, ainsi que la prise de contrôle de la Chambre des délégués de l’État par le Parti républicain ─ révolte causée en particulier par le viol d’une étudiante par un camarade « transgenre » dans les toilettes des filles du lycée Stone Bridge du comté de Loudoun.
En juin, la Cour suprême des États-Unis a refusé d’entendre l’appel d’une décision d’une juridiction inférieure selon laquelle l’ex-étudiant « trans » Gavin Grimm avait le droit constitutionnel d’utiliser les toilettes pour hommes du lycée de Gloucester, également en Virginie, laissant ainsi en suspens une victoire de la redéfinition « transgenre » des règles fédérales de non-discrimination.