DeSantis reproche à Disney de s’opposer au projet de loi interdisant l’« éducation sexuelle » radicale des jeunes enfants
Ron DeSantis, gouverneur de Floride.
Par Ashley Sadler — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : State of Florida/Wikimedia Commons
11 mars 2022, Orlando, Floride (LifeSiteNews) — Le gouverneur républicain de Floride, Ron DeSantis, a riposté jeudi au PDG de Disney, Bob Chapek, lui reprochant d’avoir critiqué publiquement un projet de loi de Floride qui vise à protéger les jeunes enfants de l’idéologie sexuelle radicale dans les écoles.
Lors d’un événement organisé le 10 mars à Orlando, en Floride, où se trouve l’immense complexe Disney World de 27 000 acres, le gouverneur républicain a déclaré que l’« État ensoleillé » ne fonderait pas sa politique sur « les rêveries des grandes sociétés » et a critiqué la méga-corporation pour ses relations avec le régime brutal du Parti communiste chinois (PCC).
« Voici donc ce que je peux vous dire : dans l’État de Floride, nous n’allons pas permettre que l’on injecte du transgenrisme en maternelle », a déclaré DeSantis dans une vidéo obtenue par Fox News Digital.
« Les enfants de première année ne devraient pas se voir imposer l’idéologie du genre “woke” dans leurs programmes, et c’est ce que nous défendons, parce que nous défendons les enfants et les parents », a déclaré DeSantis, qui a suscité un large soutien parmi les conservateurs pour avoir combattu les mesures COVID-19 liberticides, soutenu l’application de la loi, favorisé les mesures limitant l’avortement et travaillé à déraciner les idéologies radicales de la salle de classe.
« Je peux vous dire ceci : la probabilité que je renonce à mon engagement envers les étudiants et à mon engagement envers les droits des parents simplement à cause de récits médiatiques frauduleux ou de pressions exercées par des sociétés malveillantes est nulle », a déclaré M. DeSantis.
Lire la suiteBiden veut empêcher le Texas de restreindre les « transitions » chez les enfants
Joe Biden.
Par Raymond Wolfe — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Gage Skidmore/Flickr
4 mars 2022, Washington DC (LifeSiteNews) — L’administration Biden a annoncé mercredi plusieurs actions visant à empêcher le Texas de restreindre les médicaments et les chirurgies transgenres pour les enfants, après que le gouverneur du Texas Greg Abbott eût ordonné la semaine dernière des enquêtes sur les parents qui soumettent leurs enfants à ces procédures expérimentales et dangereuses.
Dans une déclaration de la Maison-Blanche mercredi, Joe Biden a dévoilé une liste de mesures prises par le département américain de la santé et des services sociaux (HHS) pour contrer l’ordonnance du gouverneur Abbott qui a déclaré que les pratiques de « transition de genre » constituent des abus à l’égard des enfants en vertu de la loi de l’État.
« Parce que le département des services familiaux et de protection du Texas est responsable de la protection des enfants contre les abus », a écrit Abbott dans sa directive, « je demande par la présente à votre agence de mener une enquête rapide et approfondie sur tous les cas signalés de ces procédures abusives dans l’État du Texas ».
« Il s’agit de la pire forme d’excès de pouvoir de la part du gouvernement [du Texas] », a répliqué M. Biden, dont l’administration se bat actuellement devant les tribunaux pour obliger les médecins à pratiquer des opérations de « changement de sexe » contre leur conscience. Il a ajouté que son administration « mettait l’État du Texas en demeure ». Le catholique autoproclamé [Biden] a également décrit « l’affirmation de l’identité d’un enfant transgenre » comme « l’une des meilleures choses qu’un parent, un enseignant ou un médecin puisse faire » et a déclaré que les enfants dits « transgenres » « sont faits à l’image de Dieu ».
La déclaration de M. Biden était liée à une annonce distincte du secrétaire du HHS, Xavier Becerra, menaçant les prestataires de soins de santé de leur retirer le financement fédéral s’ils dénoncent les parents qui ont recours à des procédures transgenres pour leurs enfants. « Le HHS prendra des mesures immédiates si nécessaire », a déclaré Becerra.
Lire la suiteLes autopsies montrent que des personnes meurent à cause des vaccins covid
Par Joel S. Hirschhorn (LifeSiteNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Yuttana Studio/Adobe Stock
Campagne Québec-Vie aborde le sujet des vaccins du covid-19, dont l’imposition est le sujet ici, car il a un impact sur nos sujets habituels comme l’avortement. En effet, les vaccins du covid-19 actuellement disponibles sont liés à l’avortement par les lignées cellulaires issues de bébés avortés, comme HEK 293, dans leur développement, leur production ou leur testage. Voici un texte plus détaillé sur la question de notre implication dans ce débat. — A.H.
25 février 2022 (TrialSiteNews) — Imaginez des parents trouvant leurs fils adolescent mort dans son lit le matin, sans aucune indication préalable qu’ils étaient sérieusement malades. Imaginez le chagrin des parents qui se sont laissés convaincre par la coercition et la propagande pour faire vacciner leurs enfants, malgré toutes les données du CDC montrant que le COVID présente peu de risques d’effets graves sur la santé des enfants. Aujourd’hui, leurs enfants sont morts dans leur sommeil peu après avoir été vaccinés.
Notez qu’un excellent article paru en juin 2021 était intitulé : « Si les vaccins Covid-19 peuvent provoquer une inflammation cardiaque, la prudence s’impose chez les personnes à risque ». Il disait ceci : « Bien que la plupart des cas rapportés à ce jour soient légers et se résolvent sans conséquence, la myocardite peut être une affection grave. Elle peut entraîner un déclin important de la fonction cardiaque, nécessiter une hospitalisation, une pompe cardiaque artificielle, voire une transplantation cardiaque, et peut même être fatale ». Les médecins auteurs ont noté : « Pourtant, en tant que prestataires de soins de santé, nous ne devons pas donner l’impression de minimiser les complications graves comme la myocardite chez les personnes potentiellement à risque ». Mais qui est à risque ? Il semble maintenant clair que les jeunes hommes sont à risque. Ce qui est moins clair, c’est de savoir quels adultes sont à risque, sauf que nous savons que ce sont les hommes qui sont le plus à risque.
Un article médical récent a présenté des données sur la fréquence de la myocardite ; voici ses conclusions : « Dans cette étude descriptive de 1626 cas de myocardite dans un système national de déclaration passive, les taux bruts de déclaration dans les 7 jours suivant la vaccination ont dépassé les taux attendus dans de multiples strates d’âge et de sexe. Les taux de myocardite étaient les plus élevés après la deuxième dose de vaccination chez les adolescents de sexe masculin âgés de 12 à 15 ans (70,7 par million de doses du vaccin [Pfizer]), chez les adolescents de sexe masculin âgés de 16 à 17 ans (105,9 par million de doses du vaccin [Pfizer]) et chez les jeunes hommes âgés de 18 à 24 ans (52,4 et 56,3 par million de doses du vaccin [Pfizer] et du vaccin [Moderna], respectivement)… Ce risque doit être considéré dans le contexte des avantages de la vaccination par le COVID-19. » Mais les avantages sont minimes pour les jeunes gens en bonne santé.
Lire la suiteDes enfants payés 100 $ pour assister à un cours LGBTQIA+ au Texas
Par Geneviève De Vriendt (Campagne Québec-Vie) — Photo : Toni Reed/Unsplash
Le mensonge LGBT ne s’infiltre pas seulement dans les programmes scolaires. Il ne s’infiltre pas seulement dans le langage et le « politiquement correct ». Il commence à être un produit offert aux enfants qui sont payés pour l’écouter, du moins au Texas.
International Family News rapporte que, « Dans un message Twitter (supprimé depuis) du 18 février 2022, le système de bibliothèques de la ville d’Austin a annoncé qu’il parrainait un “Spring Break Sex-Ed Camp” (Camp d’éducation sexuelle des vacances de printemps, NDLR) pour les adolescents »
De nombreux commentaires négatifs ont suivi et le tweet a été supprimé rapidement. Le message annonçait : « Appel à tous les élèves du secondaire. Soyez PAYÉ pour apprendre l’éducation sexuelle pendant les vacances de printemps ! Des cours gratuits sur ce cours basé sur des preuves et adapté aux LGBTQIA+, dirigé par @AustinPublicHealth, sont organisés dans plusieurs bibliothèques ! Les places sont LIMITÉES alors inscrivez-vous dès maintenant… »
« Les adolescents peuvent être payés 100 $ (plus le déjeuner) pour apprendre l’éducation sexuelle. »
On paie les enfants pour adhérer aux erreurs de l’idéologie LGBT et leur vision de la réalité est ainsi complètement déformée. Ensuite devrait-on s’étonner des taux de suicide élevés ou de l’effondrement visible des familles ?
« Le système de bibliothèques de la ville d’Austin, au Texas, essaie de préparer nos enfants en leur promettant de les payer s’ils assistent à des cours d’endoctrinement radical sur le sexe et les LGBT. »
Et ce n’est qu’un exemple parmi tant d’autres. Les combattants pour un monde sans loi naturelle, sans Dieu, et sans famille profitent des années les plus critiques et les plus fragiles de l’enfance pour enraciner leurs propos néfastes.
Une commission scolaire « catholique » au Canada lance un sondage « LGBT »
Par Geneviève De Vriendt (Campagne Québec-Vie) — Photo (modifiée) : Freepik
Une commission scolaire catholique en Ontario a émis un sondage pour tous ses élèves de la 4e année jusqu’à la 12e année. Sous la bannière de l’inclusivité, le sondage optionnel revêt ouvertement les folies de la théorie du genre.
Une des questions posées aux élèves porte sur les « adultes avec lesquels ils vivent », à laquelle ils peuvent répondre « deux mères » ou « deux pères ».
Selon LifeSiteNews, « Les enfants sont également invités à répondre à “comment décrivez-vous votre sexe ?” » Les choix de réponses indiquent « garçon », « fille », ou l’option de s’identifier d’« une autre manière ».
« De plus, les élèves sont informés qu’ils peuvent sélectionner “plus d’une case”, ce qui leur permet d’indiquer plusieurs combinaisons de genres, y compris garçon et fille simultanément. » « L’enquête fournit un champ dans lequel les étudiants peuvent élaborer une description personnalisée de leur identité de genre. »
Les écoles, et surtout les écoles catholiques, ne doivent-elles pas garantir une éducation saine et véritable pour les enfants qui les fréquentent ?
Si les personnes responsables de leur apprentissage de la réalité présentent aux étudiants le « choix » de nier cette réalité, et d’inventer leur propre sexe, comment peuvent-ils alors prétendre transmettre la vérité ?
L’erreur est ouvertement enseignée, et la vérité volontairement cachée.
LifeSiteNews rapporte aussi que, « Le conseil scolaire a déclaré que seul le personnel du département des services de recherche et de données du district “aura accès aux réponses anonymes de votre enfant à l’enquête”, qui autrement seront cachées aux parents, aux enseignants et aux directeurs. »
Le droit des parents est atténué pour laisser place à l’emprise d’un système de mensonges.
Au Québec l’État empiète sur le droit parental
Par Geneviève De Vriendt (Campagne Québec-Vie) — Photo : Kostia/Adobe Stock
Le projet de loi 15 adopté le 1er février à l’Assemblée nationale du Québec, a bousculé la structure des familles québécoises.
Le 10 février dans une lettre publique transmise au gouvernement sur le projet de loi 15, qui modifie la Loi sur la protection de la jeunesse, les Directeurs de la protection de la jeunesse et Directeurs provinciaux du Québec ont affirmé que, « L’intérêt de l’enfant doit venir en premier, avant même le droit de ses parents, dans toutes les décisions qui le concernent. »
Voici ce qu’en pense Alain Pilote dans un article de Vers Demain (page 4) :
Lire la suite« La primauté de l’intérêt de l’enfant ». Ces paroles ont soulevé beaucoup d’inquiétude parmi les familles, à savoir si Québec allait remettre en question la primauté parentale. Eh bien, la conférence de presse du ministre Carmant le 1er décembre n’a pas dissipé ces craintes mais les a plutôt confirmées. On ne parle plus de primauté parentale, mais de « la primauté des intérêts de l’enfant ». Le ministre a déclaré :
« L’élément clé de ce projet de loi consiste à placer l’intérêt de l’enfant au centre, comme élément prioritaire de toute décision le concernant... Ça ne veut pas dire que les parents n’ont plus leur rôle à jouer. Bien au contraire, ils demeurent les acteurs principaux dans le développement et le bien-être de leurs enfants... Cependant, et j’insiste lourdement, le bien-être de l’enfant et ce qui doit être considéré en premier lieu... »
[L’]article 2.2 de l’ancienne loi est tout simplement supprimé dans le nouveau projet de loi. Cet article 2.2 se lisait comme suit : « la responsabilité d’assurer le soin, l’entretien, et l’éducation d’un enfant et d’en assurer la surveillance incombe en premier lieu à ses parents ». Voilà donc un « obstacle » d’éliminé dans l’optique du ministre.
Les mots « père » et « mère » sont « offensants » pour l’administration Biden
Par Geneviève De Vriendt (Campagne Québec-Vie) — Photo : Yuttan studio/Adobe Stock
L’Agence des États-Unis pour le développement international (USAID) a émis des lignes directrices au personnel travaillant dans le secteur de l’éducation pour « intégrer les considérations … LGBTQI+ dans l’élaboration de programmes ».
Le document de 31 pages énumère les « Meilleures pratiques pour l’inclusion LGBTQI+ dans l’éducation », dont l’une est de « promouvoir la connaissance de la terminologie préférée par les étudiants et éducateurs LGBTQI + et expliquer quels termes sont considérés comme offensants ou inappropriés dans un milieu scolaire. » Cela inclut « père » et « mère » (qui ne seraient pas exactes pour des étudiants avec des parents de même sexe).
Cette tentative d’interdire des mots précis n’est qu’une tentative volontaire de supprimer les idées représentées par les mots. Le mot « père » et « mère » sont bannis sous les « lois » d’une fausse idéologie qui cherche à abolir le sexe, la nature, et la structure de la famille.
Comme le cardinal Robert Sarah l’a rappelé au cours d’un entretien avec Nicolas Diat, l’un des éléments déclencheurs de l’effondrement spirituel du monde est le « refus de la paternité ».
Il précise que le « refus de la paternité est au fond le refus de Dieu. Je discerne au fond des cœurs occidentaux un profond refus de la paternité créatrice de Dieu. Nous recevons de lui notre nature d’homme et de femme. Cela devient insupportable aux esprits modernes … Même la nature humaine, parce qu’elle est un don de Dieu, devient insupportable à l’homme d’Occident. »
Notre société éprouve de la répulsion pour la nature humaine précisément parce qu’elle déteste l’ordre établi par son Créateur. Elle désire arracher aux enfants le point de repère et la fondation primordiale qu’est l’ordre naturel par des programmes « éducatifs » LGBT, et par des modifications du vocabulaire pour satisfaire le bilan de leur idéologie destructrice.
« Les barbares sont tous ceux qui haïssent la nature humaine, tous ceux qui bafouent le sens du sacré, tous ceux qui méprisent la vie » affirme le cardinal Sarah. Et notre société ne fait pas exception à cette triste réalité.
Les législateurs français élargissent l’adoption aux couples non mariés ou de même sexe
Par Pierre Boralevi — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : lightfield studios/Adobe Stock
9 février 2022 Paris (LifeSiteNews) — Une majorité de députés français ont voté en faveur d’un projet de loi qui ouvrira l’adoption aux couples non mariés.
Le vote a eu lieu à l’Assemblée nationale mardi et était le dernier d’une série de votes sur cette question. La proposition présentée par la députée française de gauche Monique Limon a été adoptée avec 96 voix pour et 15 contre.
Le projet de loi avait initialement été présenté en 2020, mais les membres des deux chambres du Parlement français n’avaient alors pas réussi à se mettre d’accord. La majorité de droite du Sénat, la chambre haute du parlement français, a jugé que le texte allait à l’encontre du principe de « donner une famille à un enfant et non l’inverse ».
Mais en France, c’est l’Assemblée nationale, la chambre basse du Parlement, qui a le dernier mot lorsqu’un projet de loi n’obtient pas le soutien des deux chambres.
La principale mesure proposée dans le projet de loi est l’ouverture de l’adoption aux couples non mariés, qui, selon les termes de la députée française Coralie Dubost, est censée mettre fin à la « discrimination des unions ou de l’homoparentalité ».
Lire la suiteUn père du Nouveau-Brunswick perd la garde de ses enfants pour avoir refusé le vaccin covid
Par David McLoone — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Mladen/Adobe Stock
7 février 2022, Fredericton, Nouveau-Brunswick (LifeSiteNews) — Un autre père canadien a été séparé de ses enfants après qu’un juge eût décidé qu’il représentait une menace pour la santé de l’un d’entre eux parce qu’il refuse de recevoir les vaccins contre le COVID-19.
Le juge Nathalie Godbout de la Cour du Banc de la Reine du Nouveau-Brunswick a rendu le 31 janvier une décision à l’égard du père de trois enfants, lui interdisant de voir ses enfants en personne en raison de son refus de recevoir l’un des vaccins COVID-19 contaminés par l’avortement.
Mme Godbout a restreint le droit de visite du père après avoir noté que son deuxième enfant ─ une fillette de 10 ans ─ présente un système immunitaire déficient que le juge a estimé menacé par tout contact physique entre la fillette et son père « non vacciné » ainsi que sa nouvelle compagne.
Les documents judiciaires n’identifient pas les parents par leur nom.
« En tant que parents qui s’occupent de [l’enfant] 50 % du temps, dans un environnement proche, non masqués et non vaccinés, ils sont bien placés pour transmettre le virus à [l’enfant] s’ils le contractent, et ce malgré tous leurs efforts », peut-on lire dans un article de la Canadian Broadcasting Corporation (CBC) à propos de la décision de Mme Godbout.
Le juge a conclu que les enfants « doivent avoir la meilleure chance possible d’échapper à l’infection par le COVID-19 », estimant que le statut « vaccinal » du père n’est pas satisfaisant pour cette exigence et, « le cœur lourd », lui retire temporairement le droit de garde.
Lire la suiteFloride: projet de loi interdisant le matériel scolaire pornographique et exigeant l'accord des parents pour l’éducation sexuelle
Par Raymond Wolfe — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Prostock-studio/Adobe Stock
28 janvier 2022, Tallahasse, Floride (LifeSiteNews) — En Floride, un nouveau projet de loi, accueilli très favorablement par les défenseurs de la famille, instaurerait des sanctions strictes concernant le matériel pornographique dans les écoles publiques et interdirait d’enseigner aux élèves l’éducation sexuelle sans la permission explicite des parents.
Rédigé par le sénateur d’État républicain Dennis Baxley, le projet de loi SB 1842 imposerait une série de changements destinés à protéger les enfants et à renforcer le contrôle parental sur le contenu [cours et matériel] à caractère sexuel dans les écoles de la maternelle à la douzième année.
La proposition de loi élargit la définition de la « pornographie enfantine » pour inclure tout texte décrivant un mineur impliqué dans un comportement sexuel et élargit également les définitions du matériel jugé « nuisible aux mineurs » ou « obscène ». Les contenus répondant à ces définitions seraient interdits dans les bibliothèques et les salles de classe des écoles publiques de la maternelle à la douzième année et sur les listes de lecture des écoles publiques.
Les districts scolaires qui ne « retirent pas de manière proactive tous ces documents » risquent d’être accusés de crime en vertu du projet de loi de Baxley.
« Si le conseil scolaire de district estime que tout matériel pédagogique, y compris le matériel utilisé en classe ou assigné ou offert comme matériel de lecture, viole cet article, le matériel doit être retiré de manière proactive. Cette action requise ne dépend pas de la plainte d’un parent ou d’un résident », précise le SB 1842. « Toute personne violant une disposition de cette section commet un crime du troisième degré concernant les écoles. »
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