Le plus jeune mannequin transgenre du monde : 10 ans
Par Ashley Sadler — Traduit par Campagne Québec-Vie
26 août 2022, Chicago (LifeSiteNews) — Les tuteurs « non binaires » d’un jeune garçon, qui a été publiquement présenté comme enfant drag queen, auraient déclaré qu’ils prévoyaient lui faire prendre des bloqueurs de puberté et à lui faire subir des opérations transgenres lorsqu’il aura 16 ans.
L’histoire a suscité de vives réactions sur les médias sociaux, leurs opposants estimant que la mère de l’enfant et son « conjoint » se livrent à des abus sur l’enfant.
Noella McMaher a été présenté par les idéologues LGBT comme le « plus jeune modèle transgenre » du monde, selon le Daily Wire. Le garçon de 10 ans a été élevé comme fille depuis qu’il est tout petit et a subi un changement de nom légal à l’âge de sept ans.
La semaine dernière, le garçon a fait la une des journaux pour avoir défilé sur le podium de la Fashion Week de New York, habillé en fille et représentant la marque Trans* Clothing Company.
Noella vit actuellement avec sa mère Dee et son « conjoint » Ray, toutes deux des femmes qui s’identifient comme transgenres. Les deux femmes ont également la garde du frère de Noella (qu’elles élèvent comme garçon), ainsi que celle d’un bébé appelé « theybie ». Toutes deux travaillent professionnellement dans l’activisme de gauche.
Lundi, REDUXX a souligné que la mère de la fillette de 10 ans et son « conjoint » transgenre ont affirmé il y a plusieurs années qu’ils mettraient Noella sous traitement hormonal et médicamenteux bloquant la puberté. Elles avaient également l’intention de lui faire subir des opérations transgenres à l’âge de 16 ans.
Le « plus jeune mannequin transgenre du monde », Noella McMaher, 10 ans, vient d’un foyer à prédominance transgenre et est l’enfant d’une activiste trans professionnel.
Il se serait déclaré à l’âge de 2 ans et devrait subir des « opérations du genre » à 16 ans.
Selon l’article publié en 2019 dans Chicago Parent, la mère du garçon a déclaré qu’il avait commencé à dire qu’il était vraiment une fille à l’âge de deux ans, et qu’il avait subi une « transition sociale » à l’âge de quatre ans.
Le média a déclaré que Dee avait « hâte de voir » l’enfant, alors âgé de sept ans, « grandir et se transformer en la personne qu’elle [sic] est et devait être. »
Lire la suiteLettre ouverte à Jordan Peterson : Votre promotion de la « parentalité » homosexuelle trahit des enfants innocents
Le Dr Bordan B. Peterson en entrevue avec Dave Rubin.
Par Gabriele Kuby — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : YouTube
13 août 2022 (LifeSiteNews) — Ce qui suit est une lettre ouverte à Jordan Peterson en réponse à son émission de juillet avec le commentateur politique Dave Rubin intitulée: Gay Parenting and Pitfalls.
Cher Jordan Peterson,
J’ai lu votre livre 12 Rules for Life il y a quelques années et je l’ai offert à mon fils comme cadeau de Noël. De temps en temps, j’écoute vos émissions. Récemment, j’ai été ravie de votre article paru dans The Telegraph, « Nous sacrifions nos enfants sur l’autel d’une idéologie brutale d’extrême gauche », et je me suis réjouie de votre réponse à votre bannissement sur Twitter. Un homme qui défend la vérité et qui préférerait mourir plutôt que de supprimer son tweet.
Quelques jours plus tard, j’ai vu votre entrevue avec Dave Rubin intitulé « Gay Parenting: Promise and Pitfalls » et j’ai été choqué. Dans cette émission, vous déroulez le tapis rouge devant le mariage gay et la reproduction artificielle.
Vous êtes devenu célèbre et suivi par des millions de personnes en tant que voix honnête recherchant la vérité et qui ne s’incline pas devant le politiquement correct. Vous semblez avoir cédé à l’immense pression culturelle de la révolution sexuelle, et pour cela, je suis profondément déçu.
Dès le début de votre conversation avec votre ami Dave Rubin, qui se prépare à la « parentalité » homosexuelle, vous abattez les murs du fondement anthropologique de l’existence humaine : l’humanité, créée comme homme et femme, appelée à procréer. Vous dites :
- Notre culture semble l’avoir décidé, le mariage gay fait désormais partie de la structure même du mariage.
- Le mariage est l’union de deux personnes.
- C’est l’union de deux personnes pour fournir de fondement aux enfants.
Première objection :
Notre culture n’a pas décidé que le « mariage » homosexuel était « devenu une partie de la structure du mariage lui-même », mais plutôt, la culture occidentale a été soumise à une guerre culturelle implacable et radicale. En utilisant les armes de la propagande, à savoir le contrôle des médias et des grandes entreprises technologiques, et en sapant le système judiciaire et le monde universitaire, la culture dominante de l’Occident cherche maintenant à ruiner l’existence des personnes qui ne s’y conforment pas, en harcelant et en persécutant toute voix qui ose s’y opposer. Plus la voix est importante, plus la persécution est dévastatrice, ce qui inclut l’ouverture de procès pour l’exemple contre les dissidents, afin que personne n’ose s’opposer au programme.
Les techniques de propagande très sophistiquées ont été exposées en détail dans le livre After the Ball, How America will conquer its fear & hatred of Gays in the 90s, publié en 1990. Compte tenu de l’état actuel de l’Occident, il semblerait que les auteurs de ce livre, les activistes homosexuels Marshall Kirk et Hunter Madsen, formés à Harvard, aient atteint leur objectif.
Le programme totalitaire de la minorité activiste qui se bat pour les intérêts de moins de 3 % de la population est ouvertement exposé au monde par les principes de Jogjakarta de 2007, additionnés de 111 « obligations supplémentaires de l’État » dix ans plus tard. Personne ne pourra dire plus tard : nous ne savions pas. L’histoire devra se pencher sur la question : pourquoi les détenteurs du pouvoir dans le monde de la finance et de la politique ont-ils soutenu un programme qui détruit la famille et le fondement éthique nécessaire à une société viable ? Le fait que l’écrasante majorité des gens ait cédé à l’idéologie LGBT n’est pas surprenant, puisque la mollesse opportuniste semble être une constante anthropologique. Mais Jordan Peterson ?
Lire la suiteRéaction de parents à l’annonce d’une école pour filles voulant inclure des garçons se disant « filles »
Par Jonathon Van Maren — Traduit par Campagne Québec-Vie - Photo : dtiberio/Adobe Stock
(LifeSiteNews) — Le 17 août, nous rapportions l’histoire d’une annonce faite par la prestigieuse école de filles du Tennessee, Harpeth Hall, selon laquelle les garçons biologiques* qui s’identifient comme filles pourraient être admis comme étudiants. La nouvelle fut également couverte par une série de médias conservateurs et l’histoire devint virale nationalement et internationalement — ce qui provoqua une réaction massive. Dans les jours qui suivirent, Harpeth Hall annonça qu’il mettait en pause la « philosophie de la diversité des sexes », et il fut rapporté que le personnel avait organisé des appels de discussion avec des centaines de parents et d’anciens élèves, inquiets de cette politique.
Les discussions sont toujours en cours, car Harpeth Hall se retrouve coincé entre ceux qui insistent sur le fait que les garçons biologiques qui s’identifient comme filles sont des filles et l’indignation de nombreux parents qui envoient leurs filles dans une école exclusivement féminine pour une bonne raison. WSMV 4 a maintenant obtenu des lettres soulignant la division interne « au sein de la communauté de Harpeth Hall », dont une lettre d’opposition à la politique compte plus de 1 000 donateurs, parents et anciens élèves signataires, et une lettre anonyme de suivi appelant à un changement de direction de l’école.
Parmi les signataires de la lettre figurent d’éminents avocats, chefs d’entreprise et médecins de Nashville. La lettre, rédigée en termes forts, se lit comme suit :
Chère Mme Hill et le conseil d’administration de Harpeth Hall,
Nous vous écrivons aujourd’hui au nom d’un nombre important de parents actuels, d’anciens parents et d’anciens élèves. La semaine dernière a été difficile pour tout le monde, de quelque point de vue que ce soit. Une chose sur laquelle nous sommes tous d’accord est que vous, le corps professoral et le conseil d’administration, vous vous souciez profondément de nos filles et de Harpeth Hall en tant qu’institution. Dans cette optique, rien ne peut surpasser l’amour et l’intérêt d’un parent pour sa fille. L’adoption d’une politique qui invite les personnes autres que des femmes à poser leur candidature à Harpeth Hall constitue un changement critique dans la structure de l’école et, par extension, a un impact majeur sur nos filles.
Nous comprenons profondément la nécessité pour chaque enfant d’être soutenu et de trouver le meilleur environnement pour chaque étape de son développement. Nous admirons également tous les parents qui cherchent à trouver le meilleur environnement pour leur enfant unique. Nashville présente de nombreuses options, notamment des écoles réparties dans toutes les dimensions sociales et éducatives — qui acceptent les enfants sans considération de sexe ou genre et aident à leur développement. Mais nous avons choisi Harpeth Hall intentionnellement en raison de l’excellence de son enseignement, de ses nombreuses traditions et, oui, de l’importance qu’il accorde aux filles. Bien que beaucoup considèrent les questions de sexe et genre comme très complexes, il existe également une approche simple pour notre école : Harpeth Hall sélectionne et aide au développement des filles issues d’un large éventail de milieux, mais uniquement des filles, des filles à la naissance qui s’identifient également comme des filles aujourd’hui. Nous sommes convaincus que c’est l’idéal pour nos filles et nos petites-filles, et que cela leur permettra de se développer et de grandir, de concourir et de s’épanouir sans les distractions et les complexités des garçons, nés ou déclarés, dans la salle de classe, sur le terrain et les lieux.
Un nombre important de familles et de donateurs de la communauté de Harpeth Hall, dont ceux qui ont reçu une copie de ce message, estiment que l’administration et le conseil d’administration de Harpeth Hall ont oublié de nous inclure dans le processus d’examen d’un changement aussi important. La réputation de Harpeth Hall est endommagée et nous aimerions tous faire partie du processus de réparation. Nous demandons respectueusement la tenue d’une réunion publique en direct, avec tous les administrateurs de l’école, les membres du comité et les membres du conseil d’administration impliqués dans la création et l’adoption de cette politique. Étant donné les récents dommages causés à l’image de Harpeth Hall au niveau national et international, la question est urgente. Nous vous soumettons les dates et heures suivantes qui se tiendront dans le gymnase principal de Harpeth Hall, sans la présence des médias, des équipes de gestion de crise ou de relations publiques.
Au lieu des réunions en personne demandées, le personnel de Harpeth Hall a organisé des discussions virtuelles. Des groupes LGBT comme la Human Rights Campaign ont déjà exprimé leur déception face à la décision de mettre la politique en pause, et exercent sans aucun doute une pression énorme en coulisses.
Dans l’intervalle, cependant, la situation de Harpeth Hall souligne une fois de plus une leçon importante : lorsque les parents et les citoyens de bonne volonté s’opposent à des politiques radicales que la majorité des Américains ne soutiennent pas, ils peuvent créer un véritable changement. Le travail des journalistes et des militants conservateurs mettant en lumière ces politiques est essentiel.
*Remarquez que puisqu’un homme l’est du fait de sa biologie, de sa génétique même, il ne peut donc pas devenir femme, d’où il est absurde de parler d’« homme biologique » quand on veut mentionner un vrai homme, car en fait d’homme, il n’y a que des hommes biologiques. La même chose est vraie pour les « femmes biologiques ». — A. H.
Une fillette de 4 ans annonce sa « transition de genre » lors d’une parade de la « fierté »
« Charlie Danger » Lloyd.
Par Jonathon Van Maren — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Alaina Bourrel/Facebook
10 août 2022 (LifeSiteNews) — Lors de la parade de la fierté de Vancouver le 31 juillet, une enfant d’âge préscolaire qui marchait avec sa grand-mère a tiré un pétard bleu de révélation de genre pour annoncer qu’elle allait passer au sexe masculin.
A 4-year-old had a gender reveal and came out as transgender at a pride event. pic.twitter.com/cX4Ll4uS1Z
— Libs of TikTok (@libsoftiktok) August 9, 2022
« Charlie Danger » Lloyd est une petite fille de la Colombie-Britannique, au Canada. Elle n’a que quatre ans. Les enfants de quatre ans ne sont pas capables de comprendre beaucoup de choses. Si je souscrivais à la bifurcation entre sexe et genre de l’idéologie transgenre — ce qui n’est pas le cas — je serais tout à fait convaincu qu’un enfant d’âge préscolaire ne peut pas la comprendre. Les enfants d’âge préscolaire n’ont pas non plus la conscience de soi nécessaire pour déclarer que, sur la base de leurs années de compréhension et d’expérience, ils sont nés dans le mauvais corps.
Mais nous sommes en 2022, et la mère de Lloyd a confirmé son désir d’être un garçon. Lloyd — un enfant d’âge préscolaire — utilise le pronom « il » (avez-vous déjà rencontré un enfant d’âge préscolaire qui savait ce qu’était un pronom ?) et était apparemment ravi de faire l’annonce de sa transition à la Fierté (c’était évidemment l’idée de Lloyd). Selon la mère de Lloyd :
« Une fois la route fermée, Charlie s’est pavané avec Mamie et ils ont fait face à tout le monde et après une courte lutte, le canon a explosé avec de la fumée bleue et des confettis biodégradables. Charlie a sauté de joie alors que la foule l’acclamait. Il n’en revenait pas de l’amour et du soutien que lui témoignaient les spectateurs. »
La mère de Lloyd a déclaré que l’enfant d’âge préscolaire voulait être un garçon depuis l’âge de deux ans. Elle affirme également que la révélation du genre avec le canon lors de la parade de la fierté de Vancouver était une idée de Lloyd. La raison pour laquelle elle et d’autres personnes savaient que Lloyd était un garçon est qu’en tant que petite fille, elle disait souvent qu’elle voulait ressembler « à papa » et insistait sur le fait qu’elle était un garçon. « Il n’était pas la petite fille typique. Il jouait avec d’autres garçons et les parents disaient qu’il était plus garçon que leurs propres enfants », dit-elle.
À l’école maternelle, le personnel et les autres enfants ont félicité Lloyd lorsqu’il est passé au pronom « il » -- la transition, selon la mère de Lloyd, a apparemment commencé il y a plusieurs mois. Le point de bascule n’a pas seulement été le fait de jouer avec les garçons et le comportement de garçon manqué, mais aussi le fait qu’elle voulait se faire couper les cheveux courts.
Lire la suiteUne coalition mondiale de parents se forme pour résister à l’endoctrinement sexuel pro-LGBT en classe
Par LifeSiteNews — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : a4gpa/Flickr
22 juillet 2022 — Un mouvement international de parents de différents pays, tels que les États-Unis, l’Irlande, le Canada et des nations d’Amérique du Sud, a pris naissance. Tous ces parents se lèvent contre la sexualisation des enfants par leurs enseignants, leurs districts et leurs commissions scolaires dans un nouvel Engagement des parents qui prendra effet tout au long de l’année scolaire 2022-23.
En formant une coalition unie, les parents se soutiennent mutuellement et édifient un pouvoir populaire pour résister au matériel pornographique promu et distribué par certaines des plus grandes ONG du monde, dont l’Organisation mondiale de la santé.
Comme le montre la pétition déjà signée par plus d’un millier de parents, l’Engagement des parents est fondé sur la résistance dans trois domaines clés :
- La poussée politique en faveur d’une théorie transgenre radicale
- L’objectif de l’OMS de faire passer le plaisir sexuel pour des soins de santé
- La « préparation sexuelle » des enfants dans leurs salles de classe par des enseignants et des adultes en qui ils ont confiance pour qu’ils deviennent sexuellement actifs.
S’adressant exclusivement à LifeSiteNews, un parent américain souhaitant rester anonyme a exposé les raisons qui l’ont poussé à signer l’Engagement des parents :
Le fait que des documents pornographiques sur la masturbation soient présentés comme des soins de santé à des enfants de 4 ans par l’Organisation mondiale de la santé n’est qu’une petite indication de l’agenda prédateur bien ancré contre les valeurs familiales traditionnelles, mais nous, parents, faisons front commun avec le nouvel Engagement des parents.
L’Engagement des parents renvoie également à une leçon vidéo déchirante expliquant la « transition » de Lucy à Liam, produite par l’Irish National Teachers' Organization. On y trouve également la désormais tristement célèbre proposition de l’OMS qui préconise que les enfants de 0 à 4 ans soient informés sur la masturbation et l’« identité de genre ».
L’« identité de genre » pose un risque majeur pour la sécurité des enfants, comme l’a montré une histoire qui a attiré l’attention internationale, dans laquelle un étudiant a violé une étudiante dans les toilettes des filles à l’école.
Lire la suiteUn père du comté de Loudoun, qui a été traîné hors d’une réunion du conseil d’administration de l’école, révèle que sa fille a été « violée » dans les toilettes des filles par un élève en jupe qui a été arrêté pour avoir agressé une DEUXIÈME fille des mois plus tard — mais le personnel n’a rien fait.
— Jack Posobiec (@JackPosobiec) 12 octobre 2021
Valérie Plante supporte les drag queens pour la lecture de conte aux enfants à l’automne
Sébatien Potvin travesti en Barbada de Barbadès, lisant des histoire LGBT aux enfants à la Grande Bibliothèque à Montréal, le 3 mars 2018.
Par Joanne D'Arc (Campagne Québec-Vie) — Photo : Jennifer Ricard/Wikimedia Commons
L’automne s’en vient à grand pas et Barbada gagne son mandat. Après l’appui social de Valérie Plante sur la plateforme Twitter, Barbada racontera des histoires aux petits enfants l’arrondissement de Saint-Laurent à l’automne 2022.
Après l’annulation temporaire de l’heure du conte cet été, avec la drag queen connu sous le nom de Barbada de Barbadès, l’événement aura lieu le 5 novembre 2022 aux bibliothèques du Vieux-Saint-Laurent et du Boise.
Pour ceux qui ne la connaissent pas, Barbada est un travesti au nom de Sébastien Potvin. Il lit des histoires aux enfants du Québec depuis environ cinq ans — des histoires qui envoient le message : « qu'il n'y a rien de mal à être différent ». Mais, est-ce que c’est le seul message qu’il communique vraiment aux enfants ?
Puis, que cela signifie-t-il exactement « être différent » ?
Lors de son heure de conte à la bibliothèque de Pointe-aux-Trembles en février 2019, Barbada a demandé aux enfants s'ils savent ce qu’est un drag queen. Un petit enfant répond « t’es un monsieur, mais déguisé en madame ! ». Sébastien corrige l’enfant et lui dit «Je suis une drag queen […] Ça peut aussi être une fille qui se déguise en fille ». Le silence se repend dans la salle, puis il continue un peu névrosé « voyez-vous comment j’ai des cheveux, des gros cheveux, une robe multicolore, alors c’est ça une drag queen ! ». Je doute que les enfants aient compris cette explication, mais Sébastien continue avec la lecture de conte. Il lit un conte sur l’histoire d’amour entre deux garçons en support des unions homosexuelles. Controverse ou nouvelle normale ?
Selon Talar, éducatrice à la garderie Les Génies du St-Laurent, ce n’est pas une pratique commune d’aborder de tels sujets à un jeune âge. Les enfants peuvent être exposés à de tels sujets, mais beaucoup plus tard, selon elle. D’ailleurs, le dernier événement de Barbada en début juin à la bibliothèque de Dorval avait entrainé une vague de messages haineux sur les réseaux sociaux. Chers parents de banlieue, que se passe-t-il ? Avez-vous un problème avec un homme qui se déguise en femme soudainement ?
Lire la suiteUn juge espagnol déclare qu’une enfant de 8 ans a la « maturité suffisante » pour changer de « genre » sur son certificat de naissance
Par Joseph Summers — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Africa Studio/Adobe Stock
30 juin, 2022, Orense, Espagne (LifeSiteNews) — Un juge espagnol a statué qu’une fillette de huit ans pouvait changer le genre sur son certificat de naissance, affirmant qu’elle présentait une « maturité suffisante » et une « situation stable de transsexualité ».
Le juge Dario Carpio Estevez Perez, le juge responsable du registre civil d’Orense, a rendu sa décision le 10 juin. La décision n’a été rendue publique que lundi. L’enfant est maintenant identifiée comme « Antonio ».
L’année dernière, les parents de l’enfant ont tenté de changer son sexe, mais un juge du registre civil a rejeté cette tentative en septembre, estimant qu’elle n’avait pas la maturité suffisante. Conseillés par Euforia Familia Trans-Aliadas, un groupe espagnol pro-« transgenre », les parents ont affirmé que le juge chargé de superviser le changement de sexe n’avait pas interrogé l’enfant.
Selon Euroweekly, Perez a interrogé l’enfant en mars. Il a estimé qu’elle faisait preuve d’une « maturité suffisante » pour prendre la décision de « passer » de fille à garçon et qu’elle présentait une « situation stable de transsexualité ». Perez a également déclaré que « l’absence de légitimité pour les mineurs de rectifier leur sexe dans le registre civil revient à leur dénier leur droit à l’identité sexuelle ».
La décision a été rendue le jour même où le Conseil des ministres espagnol a approuvé un « projet de loi trans » qui permettrait aux personnes âgées de 16 ans et plus de changer leur sexe sur les documents gouvernementaux sans témoin. Selon la loi, les personnes demandant le changement doivent le confirmer après trois mois. La loi permet également aux enfants dès l’âge de 12 ans de demander le changement avec l’autorisation de leurs parents ou avec l’autorisation d’un juge si les parents ne donnent pas leur consentement. La loi a été introduite en juillet dernier et devrait être soumise à l’approbation du Congrès espagnol.
Les sondages montrent que l’idéologie « transgenre » est de plus en plus discréditée aux États-Unis : le pourcentage d’Américains qui pensent que le sexe biologique détermine le genre a augmenté depuis 2017. Selon un récent sondage, 60 % des Américains pensent que le sexe biologique indique le genre d’une personne. Ce pourcentage est en hausse par rapport à 56 % en 2021 et 54 % depuis 2017.
Des sondages récents indiquent également que la confusion des genres augmente chez les adolescents américains. Une étude menée par l’Institut Williams de la faculté de droit de l’UCLA a révélé que si 0,5 % des adultes s’identifient comme « transgenres », 1,3 % des adolescents de 13 à 17 ans s’identifient comme « transgenres », ainsi que 1,4 % des jeunes adultes de 18 à 24 ans. En revanche, une étude menée en 2017 a révélé que parmi les deux groupes, le pourcentage correspondait à celui des adultes, avec 0,7 % des adolescents s’identifiant comme « transgenres », selon Breitbart.
Des élèves de la maternelle au Canada reçoivent un devoir promouvant la masturbation
Par Kennedy Hall — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : bernardbodo/Adobe Stock
16 mai 2022, Alert Bay, Colombie-Britannique (LifeSiteNews) — De jeunes enfants d’une école primaire de la Colombie-Britannique ont reçu un devoir qui pourrait les encourager à une activité sexuelle solitaire.
La feuille de travail leur dit que « certains enfants aiment toucher les parties intimes de leur corps » et leur demande quels sont les lieux « privés » à la maison où ils peuvent, eux aussi, se toucher.
Les Libs of TikTok, un compte de média social populaire qui surveille les activités de gauche, ont rapporté que le devoir scandaleux a été donné après qu’une image du devoir eût été publiée sur Facebook.
La page du devoir est tirée d’un livre intitulé Body Smart : Right from the Start et demande aux enfants : « faire un dessin des lieux privés où tu peux toucher ton pénis ou ta vulve si tu le veux ».
Sur la même page, il est également écrit : « Toutes les familles ont des règles différentes concernant la masturbation (toucher ses propres parties intimes). Parle avec les adultes en qui tu as confiance des règles de ta famille ».
Le livre pro-masturbation infantile serait écrit pour des enfants de 3 ans, selon un site internet de revue d’éducation sexuelle.
Selon Libs of TikTok, l’auteur du livre ─ Kerri Isham ─ soutient la promotion de la masturbation auprès des tout-petits sur Facebook.
Isham a défendu le livre en disant qu’il ne fait pas directement la promotion de l’activité sexuelle auprès des enfants.
La sexualisation des enfants a fait la une des journaux depuis qu’il a été révélé que Disney a un programme secret pour promouvoir des contenus LGBT auprès des enfants. En outre, les activistes politiques de gauche se sont mis en colère après l’adoption par la Floride d’une loi protégeant les enfants contre les contenus sexualisants dans les écoles primaires publiques.
Les Nations Unies demandent que l’enseignement à domicile soit davantage réglementé
Par Jack Bingham — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Africa Studio/Adobe Stock
19 avril 2022 (LifeSiteNews) — Alors que le débat sur l’implication des parents dans l’éducation se poursuit, un nouveau rapport de l’ONU suggère de réglementer davantage ceux qui choisissent de scolariser leurs enfants à domicile.
Dans le dernier « Rapport mondial de suivi sur l’éducation » des Nations Unies pour « 2021/2 » intitulé « Les acteurs non étatiques dans l’éducation : qui choisit ? qui perd ? », l’organisation mondiale suggère qu’un système de réglementation plus strict doit être mis en œuvre pour assurer l’uniformité de ce qui est enseigné aux enfants, indépendamment de l’endroit ou de la personne qui les éduque.
Selon le rapport de l’ONU, la présence d’« acteurs non étatiques » dans l’éducation, qui fait principalement référence aux éducateurs du secteur de l’enseignement privé mais mentionne également les parents impliqués dans l’enseignement à domicile, favorise l’« inégalité » et les « privilèges », et la solution consiste donc pour les gouvernements à consolider « toute » l’éducation dans un « système unique ».
L’ONU affirme que l’augmentation du taux d’enseignement à domicile est le résultat de la « mobilisation d’un mouvement conservateur mondial ». Le rapport poursuit en critiquant l’éducation à domicile pour son rôle supposé dans « l’exacerbation des déséquilibres entre les sexes » et l’impact négatif sur les taux d’emploi des « mères mais pas des pères », une tendance observée lorsque les taux de « homeschooling » ont grimpé en flèche pendant l’ère COVID.
En réponse à ces arguments, Michael Donnelly, avocat principal de la Home School Legal Defense Association, a écrit dans une analyse approfondie du rapport qu’« il y a quelque chose de profondément défectueux dans le fait qu’un organisme international considère la “participation au marché du travail” comme la condition sine qua non de l’épanouissement humain, en particulier lorsque le sujet est en fait l’éducation des enfants ».
Lire la suiteDeSantis signe une loi qui permettra aux parents de savoir ce qui est enseigné dans les écoles de Floride
Par Matt Lamb — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Africa Studio/Adobe Stock
29 mars 2022, Tallahasse, Floride (LifeSiteNews) — Le gouverneur de Floride, Ron DeSantis, a signé vendredi une loi qui garantit que les parents peuvent voir quel matériel est utilisé dans la classe de leurs enfants.
Les conseils scolaires doivent tenir des réunions ouvertes où le public peut commenter le matériel pédagogique.
Le projet de loi HB 1467 exige que les districts scolaires « permettent l’accès à tout le matériel [pédagogique]... au moins 20 jours civils avant que le conseil scolaire du district ne prenne une mesure officielle sur ce matériel », selon un résumé de la législation.
Elle exige également que le ministère de l’Éducation de l’État « publie et mette à jour une liste du matériel [pédagogique] qui a été supprimé ou abandonné par les conseils scolaires de district à la suite d’une objection et diffuse la liste aux districts scolaires pour qu’ils en tiennent compte dans leur sélection de matériel pédagogique ».
Les bibliothèques scolaires doivent également veiller à ce que des documents adaptés à l’âge et non pornographiques soient disponibles et s’assurer que les parents puissent savoir ce qui est disponible pour leurs enfants. « Chaque école primaire publique est tenue par le projet de loi de publier sur son site Web la liste de tous les livres et documents conservés dans la bibliothèque de l’école ou requis et utilisés dans le cadre d’une salle de classe », indique le résumé de la législation fourni par le Sénat de Floride.
« Les livres obligatoires doivent être exempts de pornographie et de matériel nuisible interdit aux mineurs, adaptés aux besoins des élèves et appropriés au niveau scolaire et au groupe d’âge », indique le résumé.
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