Métaétude — Différences entre les sexes dans les préférences des enfants en matière de jouets
Selon une enquête publiée dans la revue Infant and Child Developement, dès leur plus jeune âge, la plupart des enfants choisissent de jouer avec des jouets typiquement associés à leur sexe.
Afin d’isoler les variables qui prédisent la préférence des jouets, les auteurs ont réalisé une méta-analyse des études d’observation de la sélection libre des jouets par les garçons et les filles âgés de 1 à 8 ans. D’un fonds initial de 1788 articles potentiels, 16 études (portant 787 garçons et 813 filles) répondaient aux critères d’inclusion des chercheurs.
Ils ont constaté que les garçons jouaient plus avec des jouets de garçons que les filles (Cohen d = 1,03, p < 0,0001) et que les filles jouaient plus avec les jouets de filles que les garçons (Cohen : d = -0,91, p < 0,0001). La métarégression n’a montré aucun effet significatif de la présence d’un adulte, du contexte de l’étude, de la localisation géographique de l’étude, de la date de publication, de l’âge de l’enfant ou de l’inclusion de jouets neutres. Cependant, une analyse plus poussée des données sur les garçons et les filles a révélé que les garçons plus âgés jouaient plus avec les jouets de type masculin qu’avec les jouets de type féminin (β = 0,68, p < 0,0001).
Lire la suiteMauvaise nouvelle, l’UNESCO publie ses nouvelles normes pour l’éducation sexuelle complète : l’idéologie du genre pour les enfants de 5 ans
Par Jeanne Smits (Reinformation.tv)
Sous la signature d’Audrey Azoulay, directice générale de l’UNESCO, l’agence culturelle de l’ONU vient de publier ses nouvelles normes pour une éducation sexuelle complète, en particulier pour obtenir une meilleure mise en œuvre des Objectifs du développement durable (ODD) qui expriment le plan politique de l’ONU pour 2030. Pour chaque classe d’âge, l’UNESCO prévoit les connaissances et attitudes à inculquer aux jeunes. A l’information sur la prévention des grossesses non désirées (contraception partout, avortement « là où il est légal ») et sur les droits de la santé reproductive s’ajoutent en bonne place l’égalité de genre et la promotion de l’idéologie du genre. Il y en a même pour les enfants de cinq à huit ans.
Dans sa présentation de 139 pages, l’UNESCO insiste lourdement sur le respect de l’orientation sexuelle, le rejet des stéréotypes, le droit de profiter des plaisirs de la chair, le tout habillé d’un discours sur le respect et la responsabilité qu’il ne faut en aucun cas prendre pour une justification de la morale traditionnelle. Au contraire, en prônant une information sexuelle précoce donnée dans le cadre scolaire et non par les parents, c’est une véritable spoliation des droits parentaux qui continue ici d’être organisée en même temps que la prudente éducation à la chasteté est de fait vouée au gémonies.
Lire la suiteLe garçon, à qui il n’était donné que 5% de chance de survie, fête son premier anniversaire
Le petit Liam Stephenson.
Par Nancy Flanders (LiveActionNews) — traduit par Campagne Québec-Vie
Le petit Liam Stephenson vient juste de fêter son premier anniversaire [le mois dernier], un évènement que ses parents pensaient ne jamais vivre à cause de la méningite purulente diagnostiquée à la naissance ; il ne lui fut accordé que 5% de chance de survie.
La méningite purulente peut provoquer l’empoisonnement sanguin, des lésions cérébrales, la perte d’audition et quelque fois la nécessité d’amputer les membres.
L’information au sujet du pronostic défavorable de Liam a été découverte après que sa famille ait demandé des prières sur les réseaux sociaux. Liam avait été admis dans l’unité des soins intensifs néonataux pendant six semaines, et, une IRM que l’on a performée sur lui, a montré une hémorragie et une lésion cérébrale probable. Sa famille avait peur de le perdre.
« Ils ne lui donnèrent que 5% de chance de survie ; et s’il survivait, il ne pourrait pas bien entendre, ni bien parler, ni bien ramper, ou marcher, » a déclaré à Fox 5 sa tante Jana Blankenship d’Atlanta.
Lire la suiteAttention : les soi-disant spécialistes du sexe veulent pervertir nos enfants
Par Paul-André Deschesnes
Les grands spécialistes de la sexualité humaine n’arrêtent pas de se prononcer publiquement et d’écrire de nombreux ouvrages sur cette question. Sexologues, sociologues et psychologues de tout acabit nous annoncent partout haut et fort que nous vivons maintenant dans une nouvelle ère sexuelle.
Et maintenant, que diriez-vous chers lecteurs, si on parlait de la «nouvelle» sexualité des enfants ? En effet, dans le journal «Le Devoir» du 28 août 2016, un article intitulé «Quand les petits s’envoient en l’air», nous en fait voir de toutes les couleurs sous la plume du chroniqueur Louis Cornellier.
Nous sommes maintenant en 2016. Le temps de la grande noirceur sexuelle et des interdits sont terminés. Les enfants de tous âges doivent obligatoirement avoir une vie sexuelle active.
Lire la suitePourquoi je n’aurais jamais dû avoir huit enfants
Par Leila Miller - Traduit par Campagne Québec Vie
21 octobre 2011 (Little Catholic Bubble) -- Il y a quelques mois, j’expliquais aux lecteurs de mon blogue comment élever facilement huit enfants. Aujourd’hui, je vais vous raconter pourquoi je n’aurais jamais dû avoir huit enfants – si j’avais écouté le démon et la sagesse conventionnelle de notre monde.
Alors que j’étais la mère heureuse de quatre enfants et que j’envisageais sérieusement et désirais profondément en avoir un cinquième, je fus soudain envahie d’un sentiment étrange. Pendant plusieurs jours, ma joie à l’idée d’une nouvelle petite âme était ternie par des pensées de découragement et des craintes.
Lire la suiteSept photos incroyables qui démontrent l'humanité des bébés prématurés
Par Becky Yeh de LiveActionNews - traduit par Campagne Québec-Vie
Les images façonnent le dialogue et le dialogue donne naissance au changement. Des photos qui captivent ne sont pas seulement des testaments d’une époque mais aussi des outils efficaces de promotion de changement social. Les fortes images qui remplissent les pages d'histoire ont initié maints combats pour la justice.
Sans doute que la méthode la plus efficace pour démontrer la violence de l’avortement et la brutalité de l’industrie de l’avortement, ainsi que la dignité de la vie humaine sont par le biais de photographies. Ci-dessous sont sept images percutantes ou touchantes qui parlent fort de la violence des avortements et de l’humanité des prématurés.
Lire la suiteLa vie de bébé Walter, né à 19 semaines à la suite d’une fausse couche, transforme le débat sur l’avortement
Par Nancy Flanders de LiveActionNews - traduit par Campagne Québec-Vie
« Amas de cellules. » « Tissus. » « Juste un fœtus. » Voilà de quelle manière certains partisans pro-avortements décrivent les enfants à naître dans le but de diminuer leur humanité. Mais ces étiquettes ne définissent pas ces nouvelles vies, et cela a été prouvé par celle d’un tout petit enfant. Walter Joshua Fretz est né durant l'été 2013 après 19 semaines de grossesse. Il n’a pas survécu longtemps, mais sa vie a eu un impact durable.
Lexi et Joshua Fretz, les parents de Walter et de deux autres filles (ils ont accueilli leur troisième fille, Mia, en septembre), attendaient avec impatience l’arrivée de leur nouveau bébé lorsque, selon le blogue de Lexi, elle a remarqué des saignements vaginaux légers. Ce n’était pas anormal pour elle durant une grossesse, mais lorsque les saignements sont devenus roses, elle a commencé à s’inquiéter et a appelé sa sage-femme qui lui a conseillé de se rendre à l’urgence.
À l’urgence, plusieurs femmes enceintes sont arrivées après elle et ont été automatiquement redirigées vers l’aile de maternité. Comme Lexi n’était pas encore enceinte de 20 semaines – plutôt 19 semaines et six jours –, les règlements de l’hôpital spécifiaient qu’elle devait rester à l’urgence. Après environ une heure, Lexi a pu entendre le cœur de son bébé et s’est sentie soulagée, mais en attendant une échographie, elle a commencé à ressentir les douleurs familières du travail qui commençait. Près de cinq heures après son arrivée à l’hôpital, Lexi a donné naissance à son fils, Walter Joshua Fretz. Elle écrit :
Lire la suiteLes enfants de familles nombreuses divorcent moins...
Sur le site de Nouvelles de France du 26 août 2013 (via le Salon Beige):
Selon les travaux de Doug Downey, professeur de sociologie à l’Ohio State University, plus on a de frères et de sœurs, moins on a de chances de divorcer à l’âge adulte. En effet, l’étude réalisée à partir des données de la General Social Survey (des entretiens avec 57 000 adultes réalisés entre 1972 et 2012 dans 28 endroits différents des États-Unis) montre que chaque frère/sœur supplémentaire diminue ses propres chances de divorcer de 2%. Cela a été vérifié jusqu’à 7 frères et sœurs. Au-delà, il n’y a plus d’impact, ni positif, ni négatif. Ce que constate l’étude, c’est qu’avoir plus de frères et de sœurs permet de développer un ensemble de compétences utiles pour négocier lors des interactions et, par conséquent, fournit une aide supplémentaire en matière d’écoute et de communication pendant le mariage à l’âge adulte. Elle le vérifie pour chaque génération.L’étude a été présentée le 13 août à New York City, au 108e congrès de l’American Sociological Association.(...)
Tous peuvent économiquement fonder une famille selon l'Institut Fraser
Sur le site du journal Le Devoir du 23 août 2013:
(Et l'institut Fraser ne parle pas de la joie qui donne des ailes...)
Ottawa - L’Institut Fraser affirme qu’il n’a jamais été aussi facile, financièrement, d’élever un enfant au Canada, avec des coûts annuels beaucoup moins élevés que ne le croient plusieurs.Dans une étude rendue publique jeudi, le groupe de réflexion avance qu’il coûte environ de 3000 $ à 4500 $ par année pour élever un enfant au pays, et même moins si les parents ne s’attardent qu’aux dépenses nécessaires et font attention à leur budget. Il s’agit d’une somme beaucoup moins élevée que les estimations de dépenses annuelles de 10 000 $ à 15 000 $ par enfant de certaines études, selon lesquelles élever un enfant jusqu’à l’âge de 18 ans peut coûter plus de 200 000 $.L’Institut Fraser croit que ces estimations plus élevées « envoient aux familles à faible revenu le message clair qu’elles n’ont vraiment pas les moyens d’avoir des enfants ». L’organisme ajoute que « des millions de parents canadiens, y compris d’innombrables familles immigrantes, ont élevé des enfants ces dernières décennies et réussi à en faire des personnes heureuses, en bonne santé et bien éduquées à bien moindre coût ».L’auteur de l’étude, Christopher Sarlo, reconnaît cependant que l’estimation moins élevée de l’Institut Fraser repose sur ce qu’il en coûte pour subvenir aux besoins essentiels d’un enfant : nourriture, vêtements, soins personnels, accessoires pour la maison, divertissement et fournitures scolaires.L’institut Fraser ne tient pas compte des frais de garderie ou encore des revenus perdus si l’un des parents décide de demeurer à la maison afin de prendre soin de l’enfant.(...)
Une lettre d'Andrée Ruffo sur la place des enfants dans la campagne électorale
Sur le site du journal Le Devoir du 21 août 2012:
(La juge émérite Andrée Ruffo)
Dans cette campagne électorale, où les politiciens ne semblent éprouver aucune gêne à jouer les pères Noël en promettant des cadeaux plus fous les uns que les autres aux électeurs choqués et indignés par l’irresponsabilité généralisée des marchands du Temple, force est de constater que les enfants sont les grands absents.
Où sont-ils au juste ? On a beau les chercher. Nulle part ne les trouve-t-on, sinon pour leur garantir des places en garderie.
On a compris depuis toujours qu’ils ne sont pas rentables politiquement, qu’ils ne votent pas, coûtent cher et n’ont pas de voix ou plutôt, si, ils ont une voix que nous voulons faire taire : celle de la souffrance, de la colère, de la maladie, du désespoir.
Qui a parlé de leurs besoins ? Qui a exprimé la moindre préoccupation pour les enfants battus, rejetés, les enfants pauvres, les enfants itinérants, nos jeunes délinquants. Tous ces enfants différents qui nous indiffèrent. Qui a parlé de manque de ressources ? Du monopole de la DPJ, de l’absence d’un chien de garde qui sache encore aboyer et, si nécessaire, mordre ?
Qui les regarde encore ? Et cherche à comprendre leur langage pourtant si éloquent ? Sommes-nous vraiment satisfaits comme citoyens de les voir attachés à la queue leu leu sur les trottoirs, en attente de stimulation et d’émerveillement ?
Un peuple qui ne se soucie pas de ses enfants est un pauvre peuple en désespérance. (...)
Et "un peuple qui tue ses enfants n'a pas d'avenir"...