L’exploitation des enfants
Par Paul-André Deschesnes
Le 7 août 2018, les nouvelles télévisées de la France (TV5) nous ont présenté un reportage intitulé « les enfants Jackpot ».
Une nouvelle mode diabolique prend de l’ampleur en Occident, en France et au Québec : utiliser les enfants pour faire beaucoup d’argent.
Notre monde postmoderne, pervers, athée et apostat n’a plus aucune limite quand il a le goût de se vautrer dans le Mal qu’il ose qualifier de Bien. Le nombre de parents irresponsables pullule un peu partout. Les enfants sont devenus des « objets » à utiliser, car ils peuvent rapporter gros ! Avec une imagination diabolique, on peut facilement se remplir les poches.
Lire la suiteUn drag-queen de neuf ans... pauvre garçon
Blog D’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie)
J’ai aussi lu dans cet article du Journal Metro qu’en plus, d’après sa mère, il se dirait « genderfluid ». Le fait de se déguiser d’une façon féminine (et encore, plutôt déformant la féminité qu’autre chose) ne doit sûrement pas l’aider.
Il est triste de penser que ce jeune de Montréal, qui se donne le nom de Lactatia lorsqu'il est déguisé, est plongé dans l’univers vulgaire des groupes LGBT+, portant parfois des vêtements que des parents normaux ne voudraient pas voir leur fille porter
La DPJ retire deux filles à leurs parents sur fond d’instruction à la maison
Un couple lance un cri du cœur contre la DPJ, qui lui a retiré ses deux filles il y a plus de trois ans. Au centre du désaccord, la scolarisation et un diagnostic d’autisme.
Lorsque Sylvie et François (prénoms modifiés) vont voir leurs deux filles, âgées de 10 et 11 ans, ils ne peuvent même pas les toucher. Ni les consoler. Ils ont le droit de les voir une heure et demie par semaine, sous supervision, dans un endroit déterminé par la Direction de la protection de la jeunesse (DPJ). Sylvie et François se sont vu retirer leurs droits parentaux et tous les autres droits. Aussi bien dire qu’ils se sont fait retirer leurs enfants, point. Depuis plus de trois ans. L’histoire commence en région, leur première fille a huit mois, Sylvie et François font le choix de s’acheter une maison sur le bord d’un lac privé, dans les pays d’en haut, avec plein d’animaux, des poules, des canards, des lapins, des chèvres miniatures.
Ils ont un élevage de chiens de race.
Presque un an plus tard, ils ont eu une autre fille. « On est resté là pendant sept ans, les filles étaient libres, raconte Sylvie. C’est ce qu’on voulait, qu’elles grandissent dans la nature. Elles allaient se baigner dans le lac, avec une veste de sauvetage bien sûr, elles ont appris à faire du vélo, du quatre roues... »
Lisez le reste de l'article sur le journal Le Soleil.
Bravoure des parents face à une école primaire qui voulait faire participer tous les élèves à une Gay Pride LGBT
Par Jeanne Smits (Réinformation.TV)
Les enfants accueillis à l’école primaire de Heavers Farm dans la banlieue londonienne de Croydon (South-East London) ont tous moins de 11 ans ; certains sont même encore à l’âge de la maternelle. Le tabloïde conservateur britannique Daily Mail cite d’emblée l’exemple d’un petit garçon de quatre ans — oui, quatre ans — passionné d’ours, de dessins animés et de football, pour dénoncer l’activisme LGBT de la directrice de Heavers Farm, Susan Papas, qui prétendait célébrer le mois de la fierté LGBT dans le cadre scolaire et qui voulait même faire participer tous les élèves à une Gay Pride le 29 juin. Les parents du petit Tristan Anderson en ont été consternés, et ils s’en sont ouverts au quotidien. Mais ils n’étaient pas les seuls. Le Royaume-Uni a beau être en pointe pour la défense de la « diversité », les parents de jeunes enfants ne sont pas d’accord face à cette tentative d’endoctrinement.
Le jour de la marche, vingt enfants ne sont pas venus en cours, leurs parents ayant prévenu la direction de leur désaccord. 90 enfants supplémentaires étaient également absents, cette fois sans la moindre explication, mais pour une raison évidemment identique.
La directrice d’une école primaire a voulu envoyer des enfants de 4 ans à une Gay Pride
Tout a commencé avec la volonté de la directrice de mettre en place nombre d’activités et de cours en relation avec la « Pride Month », tout le mois de juin étant placé dans l’école sous le signe non seulement de la lutte contre l’homophobie — la chose est encore d’actualité, mais de fait, dépassée — mais aussi de mise en valeur des sexualités et des familles « différentes ».
Lire la suiteLe Barnevernet norvégien, enleveur d’enfants
Par Olivier Bault (Réinformation.TV) — Photo : Pixabay
« Les enfants ont le droit d’être protégés contre tous les types de violence, d’abus et de négligences », ont déclaré jeudi [28 juin] les membres de l’Assemblée parlementaire du Conseil de l’Europe (APCE), « mais ils ont aussi le droit de ne pas être séparés de leurs parents contre leur volonté, sauf quand […] c’est absolument nécessaire dans le meilleur intérêt de l’enfant. » Dans une résolution votée à une large majorité sur la base du rapport du vice-président du parlement moldave Valeriu Ghiletchi adopté le 27 avril dernier par la Commission des affaires sociales, de la santé et du développement durable de l’APCE, les parlementaires ont énuméré des conditions strictes qui devraient être satisfaites avant que des services sociaux ne décident de retirer un enfant à sa famille. Rappelons que le rapport de M. Ghiletchi avait été commandé par l’APCE à la suite du scandale de la famille roumano-norvégienne Bodnariu dont les 5 enfants — dont un bébé de 3 mois — avaient été retirés par le Barnevernet norvégien à leurs parents en 2015 et qui ne leur ont été rendus que grâce à de très fortes pressions internationales. C’est la raison pour laquelle la critique des pratiques du Barnevernet occupe une place particulière dans le rapport qui a entraîné le vote pour la résolution adoptée jeudi, même si le rapport et la résolution concernent tous les pays européens.
Le vice-président du parlement norvégien confirme devant l’Assemblée parlementaire du Conseil de l’Europe les reproches faits au Barnevernet
Au cours du débat qui a précédé le vote de la résolution, l’intervention de Morten Wold (à partir de la minute 41’12 de la vidéo des débats) a été particulièrement remarquée. M. Wold est en effet vice-président du parlement norvégien et membre du Parti du progrès, membre de la coalition gouvernementale en Norvège. Avant son entrée dans la coalition de gouvernement, ce parti était très critique du Barnevernet mais a depuis mis ses reproches en sourdine. Pourtant, devant l’APCE, le parlementaire norvégien a reconnu que les reproches faits aux services sociaux norvégiens dans le rapport Ghiletchi sont malheureusement conformes à la réalité et que les droits fondamentaux des enfants et des familles sont régulièrement violés en Norvège.
Lire la suiteMonseigneur Schneider : Derrière le phénomène des migrants se cache un plan pour remplacer la population européenne
Par Francesco Boezi (Il Giornale) — article porté à notre connaissance par Rorate Cæli et traduit par Campagne Québec-Vie
Mgr Athanasius Schneider, évêque du Kirghizstan voit dans ce mouvement un plan qui a pour but de remettre en question la Chrétienté en Europe. Mgr Schneider s’est penché sur ce thème et sur d’autres concernant également les préoccupations de l’Église catholique.
Extraits d’une entrevu avec l’Il Giornale :
« Question — Il y a beaucoup de débats sur le sujet de l’immigration. Est-ce que l’Italie a été laissée seule par l’Union européenne ? L’Église continue d’appeler notre pays à être “humanitaire”.
Le phénomène de cette soi-disant “immigration” reflète un plan orchestré, préparé depuis longtemps par les pouvoirs internationaux pour changer radicalement l’identité chrétienne des populations européennes. Ces puissances sont en train d’utiliser l’énorme potentiel moral de l’Église et ses structures pour réaliser encore plus efficacement leur objectif antichrétien et anti-européen. À ces fins, le concept même de l’humanisme et celui du commandement chrétien de la charité sont faussés.
Lire la suiteUn jeune garçon de 13 ans se réveille bien qu’étant en état de « mort cérébrale »
Par Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — source : Le Salon Beige
Trenton Mckinley, de l’État d’Alabama a été victime d’un accident grave voici deux mois ; il était dans une remorque tirée par un buggy, et celle-ci s’est renversée lors d’un violent coup de frein qui a envoyé le garçon sur le béton et la remorque sur sa tête.
Il courait le grand risque de se faire enlever ses organes, si son cœur s’arrêtait à nouveau. « Mais contre toutes attentes, Trenton s’est réveillé avant qu’il ne soit débranché. L’une de ses mains a bougé suivie de ses pieds. Ses iris ont repris leur couleur verte. » Rapporte Le Salon Beige.
Le jeune garçon a affirmé qu’il avait eu le sentiment avoir été au Paradis quand il était inconscient :
« J’étais dans un champ immense et marchais droit devant moi. Il n’y a pas d’autre explication que Dieu, même les médecins l’ont dit ».
Mais alors, soit il était mort et c’est grâce à Dieu qu’il est revenu, soit la « mort cérébrale » n’est pas un critère pour savoir si quelqu’un est mort, ou bien c’est grâce à Dieu qu’il n’est pas mort et la « mort cérébrale » n’est toujours pas un critère pour savoir si quelqu’un est mort.
Justin Trudeau est à la veille de légaliser le pot pour les enfants de 12 ans
Justin Trudeau.
Par Lianne Laurence — traduit par Campagne Québec-Vie — Shutterstock
Ottawa, 13 février 2018 (LifeSiteNews) – Un groupe profamille a qualifié le projet de loi du premier ministre Justin Trudeau visant à légaliser le cannabis récréatif de « monstrueux » et d’« attaque dévastatrice » contre la société et les familles, et exhorte les Canadiens à faire pression sur le Sénat pour rejeter la loi proposée.
Encore plus flagrant, le projet de loi C-45, ou le projet de loi cannabis, présente des risques importants pour les enfants, a affirmé la vice-présidente de REAL Women of Canada, Gwen Landolt, dans une critique publiée sur le site internet du groupe.
Le projet de loi des libéraux permettrait aux enfants de plus de 11 ans de « librement posséder, utiliser, et même partager jusqu’à 5 grammes (10 joints) de marihuana à la fois, » a-t-elle souligné.
« Il n’y a absolument aucun recours si un mineur est aperçu ayant en sa possession, utilisant ou partageant de la marihuana » a écrit Landolt. « Un enfant peut littéralement prendre 10 joints de la cachette de ses parents, en distribuer à ses amis, retourner à la maison, en reprendre 10 autres, les distribuer et ainsi de suite. Cela affectera sévèrement les environnements scolaires et nos voisinages. »
Lire la suiteMétaétude — Différences entre les sexes dans les préférences des enfants en matière de jouets
Selon une enquête publiée dans la revue Infant and Child Developement, dès leur plus jeune âge, la plupart des enfants choisissent de jouer avec des jouets typiquement associés à leur sexe.
Afin d’isoler les variables qui prédisent la préférence des jouets, les auteurs ont réalisé une méta-analyse des études d’observation de la sélection libre des jouets par les garçons et les filles âgés de 1 à 8 ans. D’un fonds initial de 1788 articles potentiels, 16 études (portant 787 garçons et 813 filles) répondaient aux critères d’inclusion des chercheurs.
Ils ont constaté que les garçons jouaient plus avec des jouets de garçons que les filles (Cohen d = 1,03, p < 0,0001) et que les filles jouaient plus avec les jouets de filles que les garçons (Cohen : d = -0,91, p < 0,0001). La métarégression n’a montré aucun effet significatif de la présence d’un adulte, du contexte de l’étude, de la localisation géographique de l’étude, de la date de publication, de l’âge de l’enfant ou de l’inclusion de jouets neutres. Cependant, une analyse plus poussée des données sur les garçons et les filles a révélé que les garçons plus âgés jouaient plus avec les jouets de type masculin qu’avec les jouets de type féminin (β = 0,68, p < 0,0001).
Lire la suiteMauvaise nouvelle, l’UNESCO publie ses nouvelles normes pour l’éducation sexuelle complète : l’idéologie du genre pour les enfants de 5 ans
Par Jeanne Smits (Reinformation.tv)
Sous la signature d’Audrey Azoulay, directice générale de l’UNESCO, l’agence culturelle de l’ONU vient de publier ses nouvelles normes pour une éducation sexuelle complète, en particulier pour obtenir une meilleure mise en œuvre des Objectifs du développement durable (ODD) qui expriment le plan politique de l’ONU pour 2030. Pour chaque classe d’âge, l’UNESCO prévoit les connaissances et attitudes à inculquer aux jeunes. A l’information sur la prévention des grossesses non désirées (contraception partout, avortement « là où il est légal ») et sur les droits de la santé reproductive s’ajoutent en bonne place l’égalité de genre et la promotion de l’idéologie du genre. Il y en a même pour les enfants de cinq à huit ans.
Dans sa présentation de 139 pages, l’UNESCO insiste lourdement sur le respect de l’orientation sexuelle, le rejet des stéréotypes, le droit de profiter des plaisirs de la chair, le tout habillé d’un discours sur le respect et la responsabilité qu’il ne faut en aucun cas prendre pour une justification de la morale traditionnelle. Au contraire, en prônant une information sexuelle précoce donnée dans le cadre scolaire et non par les parents, c’est une véritable spoliation des droits parentaux qui continue ici d’être organisée en même temps que la prudente éducation à la chasteté est de fait vouée au gémonies.
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