Une note inquiétante d'un groupe de discussion du Synode des jeunes sur l'école à la maison
Blog d'Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie)
Dans un article de Catholic Culture, Phil Lawler, du Cardinal Newman Society, s'interroge sur un passage inquiétant du résumé d'une discussion s'étant déroulée dans un groupe de réflexion d'évêques anglophones, lors du Synode des jeunes.
Extrait, contenant le passage du résumé puis les réflexions de Phil Lawler, du Catholic Culture.org :
Les écoles à domicile, un modèle venant d'Amérique.
Beaucoup d'élèves étudient à la maison aux États-Unis — les évêques des États-Unis ne sont pas unis sur la question, car l'enseignement à domicile peut avoir une base idéologique — les enfants peuvent avoir des besoins spéciaux.
Les parents sont-ils qualifiés pour les éduquer à la maison ?
Répondons d'abord à cette dernière question. Oui, les parents sont qualifiés pour enseigner à leurs propres enfants. Dans des temps meilleurs, les catholiques pouvaient compter sur leurs évêques pour soutenir le rôle des parents comme « premiers éducateurs ».
Comment se fait-il alors que les « évêques des États-Unis ne soient pas unis » pour soutenir les élèves scolarisés à domicile ? La note fait froid dans le dos par sa réponse à cette question évidente ; les évêques du Cercle C de langue anglaise ont fait référence à « une base idéologique ». Comme le souligne Patrick Reilly, les opposants libéraux de l'enseignement à domicile utilisent régulièrement ce terme pour dénigrer le mouvement de l'enseignement à domicile. Les fidèles catholiques familiers de l'enseignement à la maison endurent fréquemment l'étiquette « idéologique » de la part d'autres catholiques, laïcs, prêtres et même évêques, remarque Reilly, et l'accusation d'être trop « conservateurs » et trop « moralistes »
Espagne : Danger d'imposition d'une éducation sexuelle selon l’idéologie du genre aux enfants de 6 ans
Par Jeanne Smits (Réinformation.TV)
Le journal du parti socialiste espagnol OkDiario vient de révéler que la proposition de loi de défense des « droits » homosexuels présentée par l’extrême gauche Podemos, progresse actuellement aux Cortes en Espagne grâce au soutien apporté par le PSOE qui est même en train de la radicaliser par le biais d’une aggravation des sanctions proposées. Les socialistes sont également prêts à imposer l’endoctrinement des enfants dès l’âge de six ans : ils doivent apprendre à s’incliner devant l’idole « LGBT » qui n’est autre que mot de ralliement des partisans de l’inversion totale de la loi naturelle et divine. L’idéologie du genre doit s’inculquer aux enfants dès le primaire pour mieux réaliser cette révolution infernale.
La commission de l’Egalité du congrès espagnole, chargée de faire passer les étapes parlementaires à cette fameuse « Loi LGBTI », se réunit précisément cette semaine pour accélérer le processus après avoir été interpellée par diverses associations se plaignant des « retards » pris. Il y a un an, en septembre 2017, c’est le congrès réuni qui a approuvé la mise du texte à l’ordre du jour ; après divers amendements il est passé en février devant la commission de l’Egalité présidée par une socialiste, Pilar Cancela.
Lire la suiteMenaces de suivi des services sociaux pour les parents refusant à leurs garçons le port de jupes
Par Jeanne Smits (Réinformation.TV)
Les parents qui refusent à leur garçon de porter une jupe pour aller à l’école pourraient devoir être signalés aux services sociaux, a fait savoir un conseil local dans ses directives aux établissements scolaires sous sa compétence. La recommandation figure dans la « Boîte à outils pour l’inclusion trans dans les écoles » qui sera bientôt diffusée auprès des enseignants du conseil municipal de Brighton et Hove. La dictature de l’idéologie du genre s’accentue et s’accélère, à travers un détournement caractérisé de l’autorité parentale que les pouvoirs publics sont en mesure de soutenir et d’imposer.
Pas de jupe pour les garçons ? Voilà qui révélerait presque une maltraitance ou une difficulté d’éducation, tout comme les réticences parentales face à un enfant demandant à changer de prénom parce qu’il se pose des questions sur son identité de genre – gender questioning, pour reprendre l’abominable terme de la Novlangue imposée par le lobby de la normalisation de toutes les « orientations sexuelles ».
Lire la suiteDes enfants de six ans chargés à l’école d’écrire des lettres d’amour entre deux hommes
Par Clémentine Jallais (Réinformation.TV)
Il aurait été demandé à des petites filles d’écrire une lettre d’amour à un prince ou à des petits garçons d’ouvrir leur cœur à une princesse [ce serait quand même déplacé*], que l’affaire aurait été jugée effroyablement sexiste, digne du plus grand sectarisme sexuel qui soit, négatrice de liberté, voire attentatoire à la santé psychique des enfants… Dans l’autre sens, c’est bien. Parce que c’est LGBT+. Et que l’accueil de la diversité, c’est forcément beau, c’est même le souverain Bien d’aujourd’hui. L’institutrice qui passait sur la BBC dans un mini reportage a donc raconté sans sourciller comment elle faisait écrire des lettres d’amour entre deux hommes à ses élèves de six ans.
Les réseaux sociaux ont adoré – enfin pas tous.
« Cette classe d’enfants de six ans apprend le mariage gay »
La vidéo avait été initialement téléchargée sur la page Facebook de la BBC Radio Manchester. On y voit donc de jeunes enfants de l’école primaire Bewsey Lodge s’atteler à la tâche demandée par la maîtresse : « Vous êtes le prince Henry, vous allez dire à Thomas pourquoi c’est une idée géniale, pour lui, de l’épouser ». Une lettre d’amour donc, à rédiger, qui célèbre un mariage gay.
Lire la suiteUn joueur de la NFL et sa femme ont huit enfants, ils souhaitent en avoir d'autres
Les époux Philip et Tiffany Rivers.
Blog d'Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Source : LifeSiteNews — Photo : Hits Berry/YouTube
Le quart-arrière des Chargers de Los Angeles, Philip Rivers, a révélé lors d'une entrevue téléphonique que sa nombreuse descendance s'élevait à huit membres et se composait de six filles et de deux garçons. Au grand étonnement (pourquoi?) du radiodiffuseur déjà étonné qui l'interrogeait, il répondit que lui et sa femme Tiffany désiraient en avoir d'autres.
Les époux Rivers son tous deux catholiques.
Une psychologue dénonce la pression des lobbies transsexuels
Par Patrice-Hans Perrier (Le Peuple) — Voici la ou les sources de cet article : 4thWaveNow / Voici la source de la photo : PublicDomainPictures.net
Il est préférable d’établir un dialogue constant avec vos enfants que de les laisser seuls face à l’emprise d’Internet.
Sasha Ayad, une thérapeute qui pratique à Houston, dans l’État du Texas, s’est entretenue avec le magazine en ligne 4th Wave Now à propos d’un nouveau phénomène qui prend des proportions alarmantes. L’article, mis en ligne le 20 septembre dernier, met le doigt sur la croissance exponentielle des diagnostics portant sur la dysphorie de genre se manifestant à partir de l’adolescence.
Un état de confusion généralisé
Rappelons à nos lecteurs que la dysphorie de genre est un terme clinique qui concerne un syndrome frappant des patients qui n’arrivent plus à s’identifier à leur identité sexuelle de naissance. Sasha Ayad a profité de cet entretien pour souligner l’impact grandissant des médias sociaux et l’effet d’entraînement des théories du genre sur la crise de l’adolescence.
Lire la suiteLe cardinal Burke fait l'éloge des Troops of Saint George : un « authentique apostolat catholique »
Troupes de Saint Georges. troupe 31.
Par Lisa Bourne — traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Troopsofsaintgeorge.org
Keller, Texas, 22 juin 2018 (LifeSiteNews) — Le cardinal Raymond Burke soutient une nouvelle organisation de style scout pour garçons et jeunes catholiques, qui suit sans crainte le Magistère de l’Église.
«Pendant un certain temps, j'ai suivi avec joie le développement des Troupes de Saint Georges (Troops of Saint George) en tant qu'authentique apostolat catholique de scoutisme», écrivit le cardinal Burke dans une lettre du 25 mai. «Mes sincères félicitations pour la récente reconnaissance des troupes de Saint Georges en tant qu'apostolat catholique du diocèse de Fort Worth.»
Le cardinal faisait référence à Fort Worth, au Texas et à l’approbation de l’évêque Michael Olson, le 16 mai, des Troupes de Saint-Georges comme apostolat catholique officiel pour son diocèse.
Mgr Olson avait les félicité «pour cette étape importante dans la vie des Troupes de St. Georges», ajoutant que les troupes devaient «être assurées de mon soutien dans la prière».
«L 'approbation de notre organisation par Mgr Olson confirme que nous suivons le chemin que le Saint-Esprit a tracé pour les Troupes de Saint Georges», affirme à LifeSiteNews Brian Squibbs, directeur national des Communications et du recrutement du groupe. «Nous revoyons le programme de plein air pour la formation de saints catholiques dans la masculinité authentique. Dès le premier jour nous avons suivi le magistère de l’Église catholique. Ce processus de vérification et d'approbation en tant qu'apostolat catholique du diocèse de Fort Worth nous permet de nous assurer que c'est exactement ce que nous faisons par le biais de notre mission et de nos programmes.»
Lire la suiteLa théorie du genre fait des ravages
Par Francesca de Villasmundo (Medias-Presse.info) — Source de la photo : Pixabay
La population infantile britannique vit une véritable « désorientation ». En Grande-Bretagne la « théorie du genre » se retrouve sur le banc des accusés !
L’introduction de cette « discipline » idéologique dans l’éducation scolaire est considérée la cause principale de cette inquiétante augmentation de jeunes enfants demandant à « changer de sexe » ces dernières années. C’est le constat qu’a du faire le gouvernement de Teresa May devant cette crise de l’identité sexuelle.
Depuis 2006, imposée par les courants « progressistes », que l’on peut qualifier plus proprement de nihilistes, l’idéologie incriminée est au programme des écoles primaires et secondaires.
Le ministre de la Santé, dans un récent rapport, confirme que le nombre de mineurs ayant l’intention de changer de sexe a fait un bond de 4400 % depuis 2007. Le service de santé britannique précise que ces demandes ont été repoussées par les directions sanitaires. Les enfants, souvent âgés de moins de 10 ans, ont été diagnostiqués comme sujets à de simples « troubles mentaux ». Il leur a été prescrit des traitements psychiatriques et des médicaments anti-schizophrénie.
Lire la suiteBeaucoup d'enfants se tournent vers le transgenrisme par contagion sociale
Par Patrice Hans-Perrier (Le Peuple) — Voici la ou les sources de cet article : The Federalist
C’est ce que révèle une étude produite par un professeur de l’Université Brown qui qualifie la situation d’épidémique.
Les résultats de cette étude sans précédent ont été rapidement retirés du fil des communiqués de presse de l'université après qu'un activiste transgenre ait déclenché une controverse autour de l'affaire. Le journal universitaire qui avait accepté de publier les résultats de l'étude va jusqu'à remettre en cause la validité des constats qui y sont exposés.
Tout cela illustre à merveille la force de frappe des lobbies LGBT+ dans un contexte où la rectitude politique s'est même installée au sein des départements de recherche en santé. Il faut dire que les résultats de cette étude ont de quoi perturber le plan de match des activistes au service des idéologies du genre.
Un effet de contagion sociale
En effet, l'auteur de l'étude constate que « l'épidémie de dysphorie de genre » qui se répand à la vitesse de l'éclair parmi les adolescents et les jeunes adultes pourrait bien être le fruit d'une contagion sociale. L'étude expose que ce phénomène pourrait être causé par le fait d'avoir des amis qui s'identifient à la communauté LGBT ou par l'influence des politiques identitaires partagées par la culture de groupe, tout cela sans oublier l'augmentation vertigineuse de l'usage d'Internet chez les jeunes.
C'est la journaliste Joy Pullmann, dans un article intitulé « Explosive Ivy League Study Repressed For Finding Transgender Kids May Be A Social Contagion », qui tire sur la sonnette d'alarme. Cette dernière souligne qu'une pétition a été lancée par un groupe de parents et de citoyens motivés par l'objectivité afin d'éviter que cette étude passe sous le rouleau compresseur de la censure.
Une pétition soutient le professeur
La pétition en question utilise des données statistiques qui portent sur les cas de signalement des symptômes de la dysphorie de genre, ou perturbation au niveau de l'identité, qui ont été compilées au Royaume-Uni. On y expose, aussi, des données qui illustrent l'augmentation rapide des centres de traitements pour les enfants diagnostiqués transgenres, un phénomène qui est observable des deux côtés de l'Atlantique.
La même pétition souligne que « l'étude en question tient compte de plusieurs signalements parentaux qui mettent le doigt sur un phénomène important, à savoir qu'une multitude d'adolescents, principalement des filles, n'ayant pas d'antécédents en matière de dysphorie, demandent qu'on leur procure des interventions médicales irréversibles, lesquelles pourront potentiellement affecter leur fertilité ou leurs capacités sexuelles dans le futur ».
Le recrutement et le conditionnement de nos enfants
Par Austin Ruse, président de C-Fam — traduit par Campagne Québec-Vie
Ceci est la traduction d’un courriel envoyé par C-Fam, c’est pourquoi il s’adresse au lecteur à la 2e personne du pluriel. — CQV
Cher ami,
Je me suis à un entretenu avec une jeune fille de 14 ans il y a quelques mois, et elle m’a mis au courant de ses batailles contre la gauche sexuelle de son collège.
Elle m’a raconté l’histoire d’un garçon qui exigeait un baiser d’un autre garçon. Quand elle a défendu le garçon menacé, on l’a traité d’intolérante.
Elle m’a parlé de deux de ses amies s’embrassant sans vergogne devant elle.
Elle m’a décrit l’intimidation dont elle avait été la cible à l’école pour avoir porté un chandail pro-vie.
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