Italie : appui des ministres de l’Éducation et de l’Intérieur aux crèches de Noël et aux crucifix dans les écoles
Par Pour une école libre au Québec
Le ministère italien de l’Éducation a autorisé l’installation [ordonné même¹] de crucifix et la réintégration de crèches de Noël dans les écoles du pays.
« Le crucifix est pour moi le symbole de notre histoire, de notre culture et de nos traditions », a déclaré le ministre de l’Éducation, Marco Bussetti, devant la Fédération des écoles catholiques. « Je ne vois pas comment cela peut être offensant, cela peut au contraire aider les écoliers à réfléchir à notre histoire. » Il a ajouté « Le crucifix et la crèche sont des symboles de nos valeurs, de notre culture et de nos traditions, expression de notre identité.² Je ne vois pas comment cela peut poser problème à l’école. Ceux qui pensent que pour pratiquer l’inclusion il faut les cacher font fausse route ».
Après qu’une école de Terni, au nord-est de Rome, a annulé la crèche vivante traditionnelle sous le prétexte de respecter les enfants d’autres cultures, le ministre de l’intérieur italien Matteo Salvini a qualifié la mesure d’« idiotie ».
« Il ne s’agit pas seulement de religion », a déclaré Salvini sur Facebook, « mais de l’histoire, des racines, de la culture. Vive nos traditions. Je ne lâche pas ! » a-t-il ajouté.
Samedi dernier [17 novembre*], Salvini s’est exclamé au sujet d’un autre incident du même type, quand une école avait interdit le mot « offensant »³ de « Jésus », qu’il ne voyait pas comment le mot « Jésus » dans un chant de Noël pouvait offenser quiconque pour conclure par « exceptionnelle écolière [qui s’est rebellée], lamentables institutrices. »
Dans ce dernier incident, les institutrices d’une école primaire du Nord de l’Italie avaient demandé aux élèves d’omettre le nom de Jésus dans le cantique de Noël afin de ne pas offenser la sensibilité de leurs camarades non catholiques. Mais une écolière se rebella, recueillit les signatures de ses camarades et obtint à la fin que la chanson soit chantée dans sa version originale lors du récital de Noël. Le fait s’est produit dans une école élémentaire de la Riviera del Brenta, à la frontière entre les provinces de Venise et de Padoue. La fille a 10 ans et est en 5e année.
Sources : Corriere de la Sera, Il Gazzettino (de Padoue), Facebook de Salvini
¹CQV
²Le crucifix et la crèche sont surtout des représentations de scènes de la vie du Christ. — CQV
³Les guillements entourant le mot « offensant » sont rajoutés par CQV
Une mère se voit interdire l'entrée de l'école de son fils après qu'elle se soit opposée à un événement « gai »
Par Dorothy Cummings McLean — traduit par Campagne Québec-Vie
Londres, Angleterre, 21 novembre 2018 (LifeSiteNews) — Une mère chrétienne a dû affronter la direction de l'école primaire de son enfant au sujet du traitement qu'elle et son fils ont reçu après qu'elle se soit opposée aux célébrations obligatoires de l'école de la « Journée de la fierté ».
Ce traitement qui consistait en l'interdiction d'entrer dans l'école de son enfant de cinq ans, alors qu'elle désirait discuter du fait que son enfant ait été placé en retenue pour une durée totale de quatre heures après que les objections de sa mère sur l'événement LGBT eussent été connues.
Izoduwa Adhedo faisait partie d'un groupe de parents qui se sont plaints que leurs enfants, élèves de la Heavers Farm Primary School dans le sud-est de Londres, étaient contraints de participer à l'événement, du 29 juin 2018, « Proud to be Me » « Fier d'être Moi ».
Selon une déclaration publiée par le Christian Legal Centre (CLC) du Royaume-Uni, certains de ces parents, dont Mme Adhedo, affirment avoir été traités « avec dédain » et « victimes » après leurs objections.
Robert Kiska, de CLC, a déclaré à LifeSiteNews que lorsque Mme Adhedo a rencontré Susan Papas, principal ou « professeur principal » de l'école, le 19 septembre pour discuter de ses préoccupations, elle a été confrontée à une enseignante — la fille de la directrice —qui portait un chandail à manches courtes pro-LGBT agressif.
Lire la suiteLe gouvernement d’Alberta menace de retirer les subventions aux écoles qui n’ôtent pas l’élément religieux de leurs règlements
David Eggen, ministre de l'Éducation d'Alberta.
Par le Justice Centre for Constitutional Freedoms — traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Dave Cornouyer/Flickr
Calgary, 14 novembre 2018 (LifeSiteNews) — Le Justice Centre for Constitutional Freedoms a répondu mercredi à l’ordonnance du ministère de l’Éducation d’Alberta imposant aux écoles religieuses les politiques gouvernementales générales de gauche.
L’ordonnance, émise mercredi matin, impose une politique créée par le ministère aux écoles dont les règlements, à son avis, ne sont pas conformes à l’article 45.1 de l’Alberta School Act.
Cette ordonnance remplace effectivement les politiques propres aux écoles, qui respectent le caractère religieux et l’identité unique de chaque école, par des politiques prescrites par le gouvernement.
L’ordonnance du ministère exige également des écoles qu’elles s’engagent à collaborer avec lui contre les intérêts des parents, protégés par la Constitution, en acceptant de ne pas divulguer aux parents la [possible] participation de leurs jeunes enfants à des Clubs d’alliance gay-hétéro (Gay Straight Alliance).
En septembre, le ministère a avisé les écoles qu’elles ne pouvaient pas inclure de références à la « vérité », aux « hommes et aux femmes », à la Bible et à d’autres notions religieuses dans leurs politiques « Safe and Caring ». D’autres lettres (1, 2, 3) montrent que le ministère de l’Éducation justifie son interdiction des éléments religieux dans les politiques scolaires religieuses, sur la base de sa seule opinion, sans expliquer (par exemple) comment ou pourquoi la « vérité » est contraire à « diversité ».
« L’ordonnance du ministère imposant sa volonté sans explication, sans égard à la sécurité de l’enfant et sans égard aux droits parentaux qui sont protégés par la Déclaration des droits de l’Alberta et la Charte canadienne des droits et libertés, donne à penser que cette ordonnance ne se base pas sur la loi, » déclare Jay Cameron, avocat des parents et des écoles appelantes dans le dossier du projet de loi 24.
La contestation judiciaire de la constitutionnalité des articles de la School Act, dont l’article 45.1, est en cours.
Une audience est actuellement prévue pour le 3 décembre 2018.
L’éducation « gay » et LGBT devient obligatoire en Écosse
Francesca de Villasmundo (Medias-Presse.info)
L’éducation à l’homosexualité entre à l’école, en Écosse ! On est bien loin des époques mémorables où les rudes Scots savaient tenir tête aux légionnaires romains et aux farouches Anglais ; adeptes des nouvelles « valeurs » contemporaines, de la stupidité de « genre », et du sexuellement correct, ils inclinent craintivement leur tête devant la dictature gaystapiste, véritable puissance tyrannique de nos temps post-modernes.
L’Écosse devient ainsi le premier pays qui oblige les écoles d’État à intégrer l’enseignement des « droits » des minorités sexuelles, c’est-à-dire des lesbiennes, gays, bissexuels, transsexuels et intersexuels dans le cursus scolaire. Le gouvernement a accepté d’intégrer les propositions d’un groupe de travail conduit par des activistes homosexualistes, le Time for Inclusive Education (TIE). Ainsi les établissements scolaires devront, dorénavant, enseigner l’histoire des mouvements gays et lesbiens, affronter les thèmes liés à « l’homophobie » et « la transphobie » et explorer « l’identité Lgbt ». Tout un programme de formatage à l’idéologie arc-en-ciel sur lequel les élèves seront interrogés aux examens finaux.
L’activiste et cofondateur de TIE, Jordan Daly, a bien raison d’évoquer un moment historique :
Lire la suite« C’est une victoire monumentale pour notre campagne et un moment historique pour notre pays. La mise en place de l’instruction inclusive Lgbt dans toutes les écoles d’État est une nouveauté mondiale. Dans un moment d’incertitude globale, ce message envoie aux jeunes lgbt un message fort et clair qu’ici en Écosse ils sont appréciés. »
Fortes réactions devant la publicité réalisée par Céline Dion pour la marque de vêtement pour enfants Nununu
Par Campagne Québec-Vie — Photo : capture d’écran d’une vidéo publicitaire de Céline Dion
Quelle n’a pas été ma surprise de découvrir la quantité de commentaires exprimant la désapprobation des lecteurs envers Céline Dion, à la suite d’un billet de blogue dénonçant la publicité qu’elle fait pour la marque de vêtement « Nununu », qui « vise à libérer les enfants des traditionnels rôles des garçons et des filles et d’encourager les plus jeunes à grandir en favorisant l’égalité de chacun », d’après le site Célinununu. Quelques commentaires :
Lire la suiteMarie […] "New Order" ça me fait penser à Nouvel Ordre Mondial, En plus, il y avait le triangle d'illuminati sur l'un des vêtements des enfants dans un photo dans un autre article...Encore une manœuvre perverse satanique pour dégenrer les enfants...
Nicole […] Laissez les enfants tranquilles ! Dieu a créé deux sexes différents!! Arrêtez de tout mêler
Lucie […] C,est effrayant de voir Celine s.aplaventrir devant l,ordre mondial. Imaginons le pauvre peuple qui aura le choix de mourir ou de se convertir a cette secte satanique.
Josée […] Marie […] je ne suis même pas surprise de ce que vous dites sur les Illuminatis Versus Céline, moi et mon fiancé avions déjà écouté un vidéo à ce sujet et Céline....
Chantale […] « A jeter! » svp!!! Elle a donner un spectacle aux satanistes à Paris! Elle est désormais décédée pour moi!!!
Clelia […] La différence innée, intuitive, et tout à fait complémentaire entre garçons et filles est une chose si spéciale et admirable dans la nature. Pourquoi l'effacer, la cacher, ou même l'ignorer?
Une éducation à la sexualité provenant d'institutions internationales : la pourriture à l'échelle mondiale
Jean-François Denis de ThéoVox Actualité.
Blog d'Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : Capture d'écran de la vidéo de ThéoVox Actualité
Voici une intéressante vidéo, réalisée par Jean-François Denis de ThéoVox Actualité, qui nous parle de l'influence de l'ONU, l'UNESCO, l'UNICEF et l'OMS sur l'éducation à la sexualité partout dans le monde. Le répugnant cours d'éducation à la sexualité du Québec semble suivre les directives de ces divers organismes.
Pologne — Forte résistance au « vendredi arc-en-ciel »
Par Olivier Bault Correspondant à Varsovie (Réinformation.TV) — Photo : PxHere
La Campagne contre l’Homophobie (en polonais : Kampania Przeciw Homofobii, KPH) organisait le 26 octobre son action annuelle « vendredi arc-en-ciel », avec la participation annoncée de 211 écoles. Bonne nouvelle — d’après le ministère de l’Education : « Cette action a eu un caractère marginal et n’a pas été conduite à l’échelle annoncée par les organisateurs. Selon les données préliminaires collectées auprès des différents rectorats, dans certaines voïvodies aucune école n’a participé à cette action. Là où des écoles ont participé, cela fera l’objet d’une analyse minutieuse pour savoir s’il n’y a pas eu infraction à la loi, par exemple si en décidant de participer, les directeurs des établissements scolaires avaient l’accord des parents et s’ils leur avaient fourni une information complète ». Ce « vendredi arc-en-ciel » avait été prévu dans des écoles de toute la Pologne en association avec un syndicat d’enseignants de gauche, le ZNP. Sous couvert de lutter contre la haine et les discriminations dont feraient l’objet les élèves souffrant de troubles de la sexualité et/ou de « l’identité sexuelle », le lobby homosexualiste polonais voulait ainsi familiariser les enfants à l’homosexualité. « Tout cela pour que les jeunes lesbiennes, gays, bisexuels, transsexuels, queers et intersexes sentent qu’ils ont leur place à l’école », a expliqué la KPH.
Lire la suitePologne : Plusieurs écoles ont renoncé à tenir un événement pro-LGBT
Drapeau de Pologne.
Blog d'Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : PxHere
Plus de 200 écoles avait prévu prendre part à un événement appelé le « Vendredi arc-en-ciel », supposé promouvoir « l'anti-discrimination ». Cependant et heureusement, le gouvernement polonais désapprouve ces sortes d'activité.
Extrait de l'Associated Press News :
Le ministre de l'Éducation du gouvernement conservateur polonais, Anna Zalewska, avait prévenu à l'avance que tout directeur d'école qui autoriserait de tels événements pourrait subir des conséquences négatives. Elle demande également aux parents de signaler ces activités aux autorités.
Un cours d'éducation sexuelle nauséabond
Par Pour une école libre au Québec — Lettre de la ESCC au ministre de l'Éducation, du Loisir et du Sport, Sébastien Proulx
(ESCC) — Monsieur le ministre, Le Conseil catholique d'expression anglaise (ESCC) a été fondé en 1981 et représente les intérêts de presque 400 000 catholiques anglophones au Québec. Au fil des ans, le Conseil s’est prononcé sur un large éventail de questions relatives à l’éducation au Québec, notamment la déconfessionnalisation et, plus récemment, le programme d’Éthique et culture religieuse (ÉCR). Le Conseil d’administration de l’ESCC désire porter à votre attention ses préoccupations concernant le programme d’éducation sexuelle introduit comme projet pilote dans 19 écoles du Québec en septembre 2015 et qui doit devenir obligatoire dans toutes les écoles du Québec en 2017. Nous tenons d’abord à féliciter le ministère de l’Éducation de se préoccuper de la santé physique et psychosociale de la jeunesse du Québec. L’environnement social actuel présente plusieurs tendances inquiétantes, notamment l’omniprésence d’attitudes et de comportements qui semblent normaliser l’exploitation et l’agression sexuelles, et la prévalence croissante des ITSS [infections sexuelles] chez les jeunes du Québec. C’est sans doute pour contrer ces tendances que le Ministère a jugé urgent de mettre en place un programme qui permettra d’aborder ces questions. Tout en comprenant bien les intentions du Ministère, le Conseil éprouve néanmoins de sérieuses inquiétudes touchant la méthode et les postulats sous-jacents du programme.
Nous sommes préoccupés par l’approche multidisciplinaire de l’éducation sexuelle telle que présentée pour le nouveau programme. Le programme encourage non seulement une méthode transversale, mais également l’implication de tous les enseignants, administrateurs et membres du personnel de soutien dans sa mise en œuvre. En théorie, on peut penser qu’une telle approche est plus globale et donc plus efficace, mais en pratique, nous estimons qu’elle mènera à une dilution du programme et à son échec. Il nous paraît illogique, sur le plan pédagogique, de (1) confier l’enseignement de la matière à des enseignants spécialisés dans d’autres disciplines et ayant peu de formation, sinon aucune, en éducation sexuelle et (2) de répartir l’enseignement à travers les disciplines sans jamais vraiment se centrer par conséquent sur la matière elle-même. Nous sommes également préoccupés par le fait que la matière est intégrée dans plusieurs disciplines différentes au lieu d’être présentée de façon distincte et séparée, ce qui, pour les parents, rend extrêmement difficile, sinon impossible, de suivre l’exposition de leur enfant à cette matière.
Lire la suitePour le gouvernement d’Alberta les écoles chrétiennes ne peuvent affirmer que l’autorité de Dieu surpasse celle de l'homme
Par Jonathon Van Maren (The Bridgehead) — traduit par Campagne Québec-Vie
Le gouvernement néo-démocrate d’Alberta a pris la décision suivante contre les écoles religieuses de la province — et cette fois-ci, ils ont cessé de prétendre que leurs attaques contre les écoles confessionnelles étaient autre chose qu’une grossière intolérance. À la fin du mois d'août, le ministre de l'Éducation, David Eggen, a annoncé que le financement serait enlevé aux écoles chrétiennes qui refusent d'accepter les Clubs d’alliance gay-hétéro (Gay Straight Alliance). Le Justice Center for Constitutional Freedoms a publié la description des changements que le gouvernement demande aux écoles chrétiennes:
Le Justice Center for Constitutional Freedoms a publié aujourd’hui [28 septembre] une lettre envoyée aux écoles indépendantes par Curtis Clark, sous-ministre de l’Éducation de l’Alberta, dans laquelle il menaçait de supprimer le financement gouvernemental pour ces écoles indépendantes si elles ne retiraient pas le contenu suivant de leurs politiques « Safe and Caring » (Sûres et bienveillantes) :
- « Nous croyons que les hommes et les femmes ont été créés à l'image de Dieu, à son image, et ont donc une valeur intrinsèque transcendante. » (Cela violerait prétendument le « School Act » (Loi sur les écoles) parce que « peu accueillant, sans compassion et/ou irrespectueux »