Un groupe militant organise des ateliers pro-théorie du genre dans les écoles
Par Pour Une École Libre au Québec — Photo : PxHere
Un groupe LGBT infligera à l’esprit des jeunes infortunés, qui lui tomberont entre les pattes, des ateliers de propagande en bonne et due forme — A. H.
Dès la prochaine rentrée scolaire, l’organisme militant Groupe de recherche et d’intervention sociale de Montréal (GRIS) offrira dans les écoles un nouvel atelier pour démystifier la diversité de genre. Ces rencontres seront animées, entre autres, par des transsexuels. Le GRIS est déjà bien connu dans le milieu scolaire, car l’organisme y parle depuis 24 ans d’orientation sexuelle et d’homosexualité.
Cela fait deux ans que le GRIS travaille à mettre au point ce nouvel atelier destiné aux jeunes du secondaire.
Marie-Ève et Sam, des personnes qui se disent trans, sont des militants bénévoles au sein de l’organisme. En classe, ces intervenants se présentent, parlent succinctement d’eux et répondent aux questions des jeunes.
Des adultes ayant été élevés dans des familles « gaies » craignent de révéler leur triste expérience
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : Max Pixel
C’est l’affligeante réalité qui se cache derrière la propagande LGBT qui veut faire paraître les « familles » « gaies » comme normales. Quatre adultes, élevés dans des familles « gaies », ont donné leur témoignage à la Cour du 5e circuit en Nouvelle-Orléans, qui doit statuer sur le maintien du statut du mariage comme étant entre un homme et une femme, au Texas, en Louisiane et au Mississippi. Extraits de CNS.News :
Lire la suiteDans son mémoire, Dawn Stefanowicz a décrit son expérience de vie dans un « ménage »* homosexuel.
« Je n’étais pas entourée de couples hétérosexuels moyens », dit-elle dans son mémoire. « Les partenaires de papa dormaient et mangeaient dans notre maison, et ils m’ont emmenée dans des lieux de rencontre des communautés LGBT. J’ai été exposée à des activités sexuelles ouvertes comme la sodomie, la nudité, la pornographie, le sexe en groupe, le sadomasochisme et de tout acabit. »
« Il n’y avait aucune garantie que les partenaires de mon père resteraient là pour longtemps, et pourtant j’ai souvent dû leur obéir, » dit-elle. « Mes droits et mon innocence ont été violés. »
« En tant qu’enfants, nous ne sommes pas autorisés à exprimer notre désaccord, notre douleur et notre confusion », explique Stefanowicz. « La plupart des enfants [devenus]** adultes issus de foyers homosexuels ne se sentent pas en sécurité ou libres d’exprimer publiquement leurs histoires et les défis de leur vie ; ils craignent de perdre leur permis professionnel, de ne pas obtenir de l’emploi dans le domaine de leurs préférences, d’être coupés de certains des membres de leur famille ou de perdre quelques relations qu’ils avaient avec leurs parent(s) “gais”*. Certains parents “gais”* ont menacé de ne laisser aucun héritage si leurs enfants n’acceptaient pas le partenaire du jour de leur parent. »
Analyse : quelques réflexions à propos du texte de Benoît XVI sur les abus sexuels
Par Jeanne Smits (Le blog de Jeanne Smits) — Photo : Pixabay
Le texte du pape émérite, Benoît XVI, sur la crise des abus sexuels, suscite des critiques à « droite » comme à « gauche ». Il me semble que ni à droite, ni à gauche, on n’en a perçu la véritable portée qui va bien au-delà des abus sexuels du clergé, point de focalisation d’une désagrégation sociétale qui dépasse l’entendement.
A gauche, on reproche à Benoît de prendre le contre-pied du pape François. Comment, il ose accuser l’idéologie de Mai 68 ? Le tweet d’Isabelle de Gaulmyn de La Croix est emblématique : « Abus sexuels, un texte troublant de Benoît XVI : au final, le P. Marie-Dominique Philippe serait un dangereux soixante-huitard. »
A droite, on lui reproche plutôt de ne pas en faire assez, de se borner à des réflexions théologiques qui ne vont pas au cœur du sujet, et de ne pas s’opposer assez frontalement à la confusion semée par le pape François – même si l’explication de celui-ci sur les agressions sexuelles, le « cléricalisme », est remarquablement absente du texte du pape émérite.
D’autres, plus iréniques, jugent qu’il y a une complémentarité entre l’un et l’autre : si François aborde l’affaire des agressions de la part des prêtres depuis l’angle du pouvoir, Benoît le fait depuis la perspective théologique.
A moins que son texte n’ait été dans une certaine mesure manipulée par d’autres — c’est ce que semble croire Louis Daufresne à propos de la dénonciation de « cliques homosexuelles dans différents séminaires » (en fait Benoît XVI a évoqué des « clubs homosexuels » dans le texte d’origine), qui écrit : « Benoît XVI emploie un vocabulaire inhabituel qui pourrait laisser penser que ce texte n’est pas de lui, même si on ne peut pas le prouver. »
Lire la suiteEnfants éduqués à la maison... adultes bien adaptés ?
Texte de Rachel Arseneault, ergothérapeute (Pour une école libre au Québec) — Photo : Pixabay
L’« instruction à domicile » existe depuis bien plus longtemps que l’école-marchant-au-programme-d’État elle-même, les preuves de l’efficacité de l’école maison sont bien établies, aussi, pourquoi le gouvernement s’acharne-t-il à vouloir la contrôler ? Serait-ce parce qu’il ne peut pas endoctriner comme il faut les enfants qui ne sont pas sous son empire, les gaver de cours d’ÉCR, d’« éducation sexuelle » perverse et d'instruction médiocre ? — A. H.
Les familles qui font l’école-maison font souvent l’objet d’idées préconçues en ce qui concerne les résultats d’une telle approche à long terme. Notamment, on s’inquiète de la socialisation de ces jeunes, de leur niveau de connaissance, de leur taux de diplomation, de leur capacité d’intégration dans le système d’éducation et de leurs chances de réussite pour décrocher un emploi par la suite. Les médias ont tendance à véhiculer l’image d’enfants qui grandissent isolés, qui restent dépendants et renfermés parce qu’ils auraient été trop longtemps couvés par leurs parents et qui ne s’ajustent pas bien au stress ou aux contraintes de la vie adulte.
Mais est-ce vraiment le cas ? Et si on demandait aux jeunes et aux adultes eux-mêmes ?
Un sondage informel a été réalisé auprès d’une quarantaine d’adultes de partout au Québec qui ont fait l’école-maison quand ils étaient jeunes. Les témoignages recueillis pourraient vous surprendre ! Écoutons-les...
Les enfants d’école-maison, pas « socialisés » ?
On pourrait penser que les enfants n’ayant jamais fréquenté l’école ne développent pas les qualités interpersonnelles essentielles pour intégrer le système scolaire par la suite. Pourtant, selon l’expérience de ces enfants, l’école à domicile ne se limite pas à remplir des cahiers en restant à la maison… « On peut apprendre ailleurs que dans une salle de classe : dans les musées, en voyage, etc. On apprend le respect des autres et l’ouverture aux différentes cultures. » (Justine Villeneuve, 20 ans)
Lire la suiteProgramme d’éducation à la sexualité du Québec: lutter contre «les effets nuisibles des versions traditionnelles» des rôles sexuels
Par Pour une école libre au Québec — Photo : Dimitri Martin/PublicDomainPictures
Extrait[s] du programme officiel d’éducation à la sexualité du Québec, partie des contenus obligatoires au secondaire :
En agrandissant certains passages, on voit un des aspects idéologiques du programme : la lutte conte les « stéréotypes » sexuels traditionnels, contre les normes sociales qui s’opposeraient à la fluidité de l’« identité de genre » des enfants, distincte rappelons-le de leur sexe, selon la théorie du genre en vogue dans certains départements universitaires de sciences sociales […]
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Notez ci-dessous le « mais ». Pourquoi « mais » ? Comme si les comportements et les attitudes « de genre » plus traditionnels étaient une mauvaise chose...
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Le programme est écrit dans un langage un peu hermétique (sans doute pour aider les parents...). Rappelons à ce sujet que le Monopole de l’Éducation du Québec (MEES) fournit du matériel pédagogique, mais qu’il n’est accessible qu’à ceux qui enseignent le programme, mais pas aux parents.
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Ici l’allusion aux jeunes immigrés (en novlangue « issus de différentes communautés culturelles ») qui font face à un plus important « défi » signifie que ces communautés culturelles sont plus traditionnelles et s’opposeraient à une libre « construction [de genre] de soi » chère aux militants LGBTQ2SAI+. Heureusement, l’État québécois est là pour assurer qu’ils pourront se construire « librement » dans le domaine des rôles, de l’orientation et du genre, loin des constructions stéréotypées et traditionnelles.
L’avortement est mauvais pour la santé des femmes. Voici pourquoi
Par Sarah Ruiz — traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : geograph
Le 18 mars 2019 (LifeSiteNews) — Saviez-vous que l’avortement comporte de sérieux risques pour la santé ? Au fil des années, j’ai constaté, en suivant les nouvelles sur l’avortement, que les risques pour la santé liés à l’avortement sont mis de côté. La recherche montre que l’avortement entraîne de graves complications de santé.
Vous vous demandez peut-être pourquoi les médias et de nombreux experts de la santé négligent de donner cet avertissement. Les cliniques d’avortement, qui comprennent Planned Parenhood, sont en affaires pour faire des profits. Par conséquent, il n’est pas dans leur intérêt de fournir des informations qui pourraient faire réfléchir la patiente à des alternatives à l’avortement, comme l’adoption.
Si l’on met de côté l’argument moral pour l’instant, il y a de plus en plus de preuves qui montrent que les femmes qui ont recours à l’avortement risquent beaucoup plus de développer de graves problèmes physiques et émotionnels dans l’avenir.
Lien entre l’avortement et le cancer du sein
Une méta-analyse a été menée auprès de femmes chinoises entre l’avortement provoqué et le risque de cancer du sein. La conclusion ?
« L’avortement provoqué est associé de façon significative à un risque accru de cancer du sein chez les femmes chinoises, et le risque de cancer du sein augmente au fur et à mesure que le nombre d’avortements provoqués augmente. Si l’avortement provoqué était confirmé comme facteur de risque de cancer du sein, cela signifierait que les taux élevés d’avortements provoqués en Chine pourraient contribuer à l’augmentation des taux de cancer du sein. »
En d’autres termes, plus une femme a d’avortements, plus le risque de cancer du sein est élevé. Cela pourrait peut-être expliquer les taux américains de cancer du sein. Une femme sur huit développera un cancer du sein au cours de sa vie. On estime qu’une femme sur quatre avortera avant l’âge de 45 ans.
Lire la suiteUn drag queen qui fait la lecture aux enfants dans les bibliothèques est un agresseur d’enfants reconnu
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie)
Les parents devraient être plus méfiants et ne pas emmener leurs enfants à des événements animés par des hommes habillés en femmes, bizarrement en plus, qui tiennent des propos déconcertants pour les enfants à propos de la sexualité, parlant de la théorie du genre. Franchement, avec des personnes aussi étranges, je me méfierais un peu plus avant d’emmener mes enfants les voir. Extrait d’un article de Jonathon Van Maren de LifeSiteNews :
... la bibliothèque publique de Houston vient d’être forcée de s’excuser publiquement et d’interdire un drag queen qu’elle avait invité pour faire la lecture aux enfants pendant l’événement Drag Queen Storytime, ayant été révélé qu’il avait déjà été inculpé pour l’agression sexuelle d’un enfant.
Albert Alfonso Garza, un homme de 32 ans qui a été vu pour la dernière fois en train de lire à des enfants à la bibliothèque de Montrose en septembre 2018, se fait appeler Tatiana Mala-Niña, la drag queen. La bibliothèque n’a pas vérifié les antécédents de Garza ni ceux des autres travestis qu’elle a invités à interagir avec les enfants des autres personnes. Je suis prêt à parier que les autres bibliothèques qui parrainent ce programme n’ont pas non plus procédé à des vérifications des antécédents. C’est un groupe d’activistes, MassResistance, qui a fait la recherche tout seul, et c’est alors qu’on a découvert que Garza avait été reconnu coupable d’agression sexuelle sur un garçon de 8 ans en 2008.
Promesse non tenue : L’éducation sexuelle ontarienne continuera d’enseigner aux enfants « l’identité sexuelle »
Doug Ford, Premier ministre d'Ontario.
Par Calvin Freiburger — traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : HiMY SYeD/Flickr
Toronto, le 15 mars 2019 (LifeSiteNews) — La ministre de l’Éducation de l’Ontario, Lisa Thompson, a annoncé vendredi que le gouvernement instaurera un programme d’éducation sexuelle qui exposera les enfants aux questions de l’« identité sexuelle » et du « consentement » ; les pro-famille ont considéré cette annonce comme constituant « une promesse rompue ».
« Notre plan modernisera les salles de classe, protégera l’avenir de notre système d’éducation et veillera à ce que les élèves d’Ontario acquièrent les compétences dont ils ont besoin pour réussir leur vie, leur famille et leur entreprise ici même en Ontario », a déclaré M. Thompson lors d’une conférence de presse à Toronto, selon le National Post.
La loi fait passer de 22 à 28 le nombre maximal d’élèves par classe dans les écoles secondaires, interdit les téléphones cellulaires en classe et comprend un nouveau programme de mathématiques. Mais ses éléments les plus controversés sont ses dispositions prévues pour l’enseignement du « consentement » en 2e et 3e année et de l’« identité sexuelle » en 8e année. Des leçons sur l’abstinence, le cannabis et l’image corporelle seront également enseignées.
Pour répondre aux préoccupations des parents, la province a déclaré que les parents seraient en mesure de retirer leurs enfants des leçons d’éducation sexuelle, mais que le programme d’études complet ne sera pas disponible pour examen avant sa publication prévue en mai. Il est prévu qu’il entre en vigueur en septembre.
Lire la suiteLes musulmans forcent les cours pro-LGBT à cesser après avoir retiré des centaines de leurs enfants de l'école
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : Adam Patterson/Panos/DFID - UK Department for International Development/Flickr
Décidément, la promotion du multiculturalisme et du relativisme prépare bien des surprises à ses adeptes, les tenants intolérants de la Tolérance, qui voient (peut-être) avec désespoir leurs protégés se rebiffer devant l’intolérable. On ne peut impunément « d’une main flatter la chèvre au cou
cependant que, de l’autre, on arrose le chou »*. Les parents chrétiens en tireront-ils quelques choses de bon ? Extrait de LifeSiteNews :
Au Royaume-Uni, les progressistes apprennent la première d’une série de leçons qui pourraient s’avérer désagréables : tous les immigrants qu’ils soutiennent ne partagent pas leurs valeurs. À Birmingham, rapportait cette semaine The Guardian, un programme visant à enseigner aux élèves britanniques du primaire les questions LGBT, à l’école communautaire de Parkfield, a été interrompu après que 600 élèves eussent été retirés par leurs parents, en colère du fait que leurs enfants subissent un « lavage de cerveau » en raison des leçons qui minaient leurs droits parentaux et « encourageaient agressivement l’homosexualité ». La grande majorité des parents étaient musulmans. L’école a refusé de confirmer le nombre exact d’enfants qui ont été retirés.
*Cyrano de Bergerac d’Edmond Rostand.
Transgenres : un docteur dénonce le «climat politique actuel»
Par Pascal Bergeron (Le Peuple) — Voici la ou les sources de cet article : The Post Millennial / Voici la source de la photo : maxime raynal/Flickr
Selon elle, de nombreux enfants reçoivent des interventions médicales à tort alors que d’autres options sont envisageables.
Les cliniques pédiatriques spécialisées dans le traitement de la dysphorie du genre semblent avoir gagné en popularité dans les dernières années. Des données recueillies par Jeunes Trans CAN ! auprès de neuf de ces établissements spécialisés entre 2010 et 2016 ont permis de révéler que le nombre d’enfants référés était passé de moins de 100 à plus de 1 000 par année.
Dre Greta Bauer, l’une des auteurs ayant publié ce rapport, affirme que cette augmentation est due à une forte sensibilisation du public sur la question transgenre ainsi qu’à une plus grande présence de cliniques spécialisées. Elle soutient d’ailleurs que ces consultations ne représentent qu’une infime proportion des enfants qui « sont conscients qu’ils sont trans et qui devront avoir accès à ces traitements ».
Toujours est-il que Dre Debra Soh, neuroscientifique et écrivaine, croit que la sensibilisation n’est pas un facteur suffisant pour expliquer cette hausse monumentale. Alors que le nombre d’adultes s’identifiant comme transgenres a doublé dans les dix dernières années, Dre Soh a du mal à comprendre pourquoi le nombre de cas impliquant des enfants a été multiplié par 10 fois en l’espace de seulement six ans.
Bien qu’elle estime que des interventions médicales soient parfois appropriées*, elle est d’avis que le climat politique actuel empêche les médecins de prendre des décisions éclairées. Selon Dre Soh, de nombreux enfants reçoivent ce type de traitement à tort alors qu’ils souffrent plutôt de maladies mentales pouvant être soignées différemment.
*Je rajouterais que ces interventions « médicales » sont tout à fait inutiles et néfastes, et qu’il n’y a rien de raisonnable dans le fait de déséquilibrer le système hormonal des personnes dites « transgenres » par des injections destinées à changer leur apparence physique, ou de mutiler ces mêmes personnes dans leurs organes sains dans un but identique, tout cela pour les contenter dans ce qui ne peut être vu que comme un déséquilibre mental. — A. H.