Une famille allemande faisant l'école à la maison réobtient la garde de ses enfants
Les enfants de la famille Wunderlich.
Par la Catholic News Agency ― traduit par Campagne Québec-Vie ― Photo : ADF International
Un tribunal allemand a décidé qu'un couple chrétien faisant l'école à domicile pouvait conserver la garde de leurs enfants dans l'attente d'un recours contre la loi nationale sur la fréquentation scolaire obligatoire.
Depuis près de 15 ans, Dirk et Petra Wunderlich sont engagés dans une bataille juridique au sujet de leur décision de donner à leurs quatre enfants l'école à domicile, en violation d'une loi allemande interdisant l'enseignement à la maison.
Le tribunal de la famille de Darmstadt a décidé le 2 juillet que les Wunderlich pourraient avoir la garde de leurs deux plus jeunes enfants, qui sont encore mineurs, en attendant d'être déférés au plus haut niveau de la Cour européenne des droits de l'homme.
« Le droit des parents à diriger l'éducation de leurs enfants est un droit fondamental, protégé par le droit international », a déclaré Robert Clarke, directeur du European Advocacy for ADF International.
Clarke est l'avocat principal des Wunderlich devant la Cour européenne des droits de l'homme.
Il s'est dit « heureux de voir que le tribunal allemand respectait ce droit et reconnaissait que les enfants Wunderlich allaient bien. »
En tant que chrétiens fidèles, les Wunderlich voulaient faire l'école à la maison afin d'éviter d'exposer leurs enfants à des influences non désirées.
Lire la suiteLes services sociaux norvégiens enlèvent à une famille américaine ses trois enfants
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : Pexels
Le tristement célèbre Service de « protection » de l’enfance Barnevernet a encore frappé. Ce monstre administratif a séparé les trois enfants d’une famille de leurs parents sous un prétexte lourdaud, sorte qui lui est d’ailleurs habituelle. Cette famille chrétienne américaine avait déménagé en Norvège en septembre 2018. Moins d’un an après… d’après Citizen Go :
La mère, Natalya, est citoyenne américaine. Son mari est lituanien. Leurs trois enfants, âgés de 7 à 11 ans, sont nés aux États-Unis et sont citoyens américains.
Le vendredi 17 mai, trois jours seulement avant l’enlèvement des enfants, la fille aînée a reçu un téléphone pour son anniversaire. Au cours de la fin de semaine, son mauvais comportement a porté Natalya à lui retirer le téléphone jusqu’à ce que son comportement s’améliore.
Le lundi 20 mai, leur fille a parlé de cet incident à l’école. Ce soir-là, le Barnevernet est entré par effraction dans la maison familiale avec la police. Les enfants dormaient déjà. Ils ont été arrachés de leur lit et retirés de la maison. Toute la famille a été maintenue en détention policière pendant 24 heures et chacun a été interrogé séparément pendant trois heures. Les enfants ont ensuite été envoyés en famille d’accueil dans une ville située à une heure de route.
Barnevernet a insinué que la raison pour laquelle ils ont pris les enfants était qu’ils croyaient que les enfants n’avaient pas une routine appropriée. En Norvège, cela, et à peu près n’importe quoi, peut être considéré comme de la « négligence » ou une « négligence future potentielle », et peut être utilisé comme motif pour retirer un enfant.
De plus, les parents n’avaient pas le droit de parler de l’affaire jusqu’au 11 juin, sous menace de deux ans de prison. Les enfants sont en famille d’accueil et les parents peuvent à peine les voir.
Citizen Go a lancé une pétition, adressée au vice-président des États-Unis Mike Pence pour que celui-ci intervienne, ainsi qu’une autre traitant d’un cas similaire d’une mère américaine appelée Amy et de son enfant Tyler.
Une fillette de 10 ans suspendue pour avoir demandé à être dispensée d’un cours LGBT
Kaysey.
Par Pour une école libre au Québec — Photo : Christian Concern/YouTube
Croydon — Une fillette de 10 ans a été renvoyée de l’école pendant une semaine après avoir demandé à son professeur la permission d’être dispensée d’un cours LGBT à l’occasion du mois de la « fierté ».
Elle s’est expliquée dans une vidéo (ci-dessous, en anglais) : « Quand personne n’avait entendu parler des LGBT, tout le monde savait de quel sexe ils étaient ». Elle et son camarade de classe, Farrell, ont été suspendus de l’école primaire Heavers Farmer, située à Croydon, dans le sud de Londres.
« Mais maintenant, tout le monde est désorienté », a poursuivi la jeune fille de 10 ans, « et ils disent qu’ils sont bisexuels et trans, car ils sont désorientés. »
« Avant cela, ils étaient complètement sûrs de qui ils étaient, mais ce n’est plus le cas », a-t-elle ajouté.
Idéologie qui désoriente et trouble les enfants
« Cela concerne vraiment d’autres enfants », a expliqué Kaysey, « car à présent, ils perdent confiance en eux-mêmes et se regardent eux-mêmes en se demandant : “Pourquoi suis-je cette personne ? Pourquoi ne puis-je pas être quelqu’un d’autre ?” »
« Avant tout cela, les gens savaient qui ils étaient », a déclaré Kaysey. « Les écoliers doivent maintenant choisir leur sexe à l’âge de quatre ans. »
Lire la suitePersécution scolaire : une famille allemande émigre et s’installe en Russie
Par Pour une école libre au Québec
Nous avions déjà parlé de la famille Martens (10 enfants) il y a quelques années : Allemagne — Un père en prison pour avoir refusé que sa fille suive un cours d’éducation sexuelle en primaire — et : Allemagne : prison pour une mère qui refuse que sa fille suive les cours d’éducation sexuelle.
Eugène Martens, 40 ans, est le père de 10 enfants.
Eugène Martens et son épouse, Louise, sont tous deux nés en Russie, mais ont quitté le pays avec leurs familles pour l’Allemagne dans les années 1990. Le couple s’est rencontré et s’est marié en Allemagne. Les Martens, qui se décrivent comme de « simples chrétiens vivant selon la Bible », se disent mécontents de l’éducation sexuelle dispensée dans les écoles allemandes et s’inquiètent de l’afflux de réfugiés.
Les Martens ont profité d’un programme du gouvernement russe visant à rapatrier les Russes à l’étranger. Près de 2,2 millions de citoyens de l'URSS et de la Russie (la plupart d’origine allemande) se sont établis en Allemagne de 1950 à 2005.
Opposé à la vision de la sexualité distillée dans les écoles allemandes, empêché d’instruire ses enfants à la maison, il avait brièvement quitté l’Allemagne à la fin 2017 avec sa femme et ses enfants, pour s’établir en plein hiver en Sibérie et fuir ce qu’il a décrit comme l’Occident « sexuellement permissif ». En février 2018 après avoir passé un peu plus de deux mois dans un village sibérien par -40 °C, dans une masure mal équipée et mal isolée, la famille Martens était rentrée en Allemagne.
La famille Martens est désormais de retour dans le Sud de la Russie. Et il semble bien que ce soit pour de bon. Un mécène local a offert de loger gratuitement les Martens dans une de ses maisons.
Lire la suiteGoogle veut montrer à vos enfants comment se forger une opinion
Par Pascal Bergeron (Le Peuple) — Voici la ou les sources de cet article : TechCrunch / Voici la source de la photo : Firmbee/Pixabay
Non seulement ce n’est pas à Google d’apprendre aux enfants à discerner le vrai du faux, rôle revenant à leurs parents, mais ce n’est pas à ce géant de l’internet de donner des leçons de jugement, lui qui laisse à désirer quant à sa fiabilité. — A. H.
L’entreprise californienne dit vouloir apprendre aux enfants une méthode pour détecter les « fausses nouvelles ».
Lundi, Google a annoncé l’élargissement de « Be Internet Awesome », son programme qui vise à fournir certaines connaissances de base sur le Web aux enfants. En toute autre chose, le géant de la Silicone Valley y a inclus du nouveau contenu qui doit en principe aider les plus jeunes à détecter les « fausses nouvelles ». Selon l’entreprise, le programme, offert en dix langues, est à la fois destiné aux enseignants et aux familles.
Grâce à cette initiative, Google nous dit que les plus petits apprennent à cerner les sources crédibles, à comprendre quels sont les motifs d’une source, ainsi qu’à réaliser que « ce n’est pas parce qu’une personne est un expert dans un domaine qu’elle devient un expert sur tout ».
De plus, on leur apprend à comparer les informations trouvées avec d’autres sources elles aussi jugées crédibles afin de s’assurer qu’elles ne dérogent pas du mantra commun. « Si vous ne pouvez pas trouver plusieurs sources crédibles qui concordent avec la source que vous vérifiez, vous ne devriez pas croire cette source », enseigne-t-on aux enfants.
Une enfant de six ans se fait dire qu'il n'y a ni fille ni garçon
Par Pascal Bergeron (Le Peuple) — Voici la ou les sources de cet article : The Post Millennial, The Toronto Sun, The National Post et LEGISInfo / Voici la source de la photo : Alexas_Fotos/Pixabay
Un enfant de six ans s’est fait expliquer, à l’école, que les « filles » et les « garçons » n’existaient pas.
La théorie des genres gagne du terrain dans les écoles canadiennes : deux parents ontariens l’ont malheureusement appris à leurs dépens lorsque leur fille de six ans a commencé à se questionner sur son identité sexuelle. Plus particulièrement, cette dernière a été troublée qu’on lui enseigne que les concepts de « filles » et de « garçons » n’existaient pas.
Le père et la mère de l’enfant se sont inquiétés puisque leur fille n’avait jamais exprimé de doute à l’égard de son identité avant de se faire enseigner la théorie des genres à l’école. La situation était devenue telle que l’enfant voulait consulter le docteur au sujet du fait qu’elle était une fille. Les parents se sont donc efforcés de communiquer leurs craintes à l’enseignante, à la direction, ainsi qu’au Commissaire de la commission scolaire et à la personne chargée de valider le contenu des cours. Sans exception, tous ont refusé de donner suite aux requêtes des parents.
Se sentant impuissant face à la situation, le couple a pris la décision de retirer leur fille de l’établissement et de porter plainte devant le Tribunal des droits de la personne de l’Ontario (TPDO). Selon eux, leur fille a subi de la discrimination en recevant des leçons contredisant l’existence du sexe féminin et la réalité biologique de la gent féminine. De plus, ils estiment que la Commission scolaire et la directrice de l’école ont participé à cette discrimination en omettant de rectifier ce qui était enseigné à leur enfant.
Cette nouvelle a poussé le psychologue clinicien et professeur Jordan Peterson à commenter la situation par un article d’opinion dans le quotidien The National Post. Déplorant que des enfants aussi jeunes puissent être appelés à remettre en question leur identité sexuelle, il a souligné qu’il ne fallait pas sous-estimer les répercussions potentielles de ce type d’exercice intellectuel. Selon lui, demeurer silencieux face à ce phénomène causera un lot de problèmes qui devront être assumés par les prochaines générations.
Rappelons que M. Peterson est devenu célèbre après avoir publiquement refusé de se conformer à la loi fédérale C-16, laquelle ouvre la porte à l’imposition de pronoms neutres pour inclure les personnes transgenres, en remplacement des pronoms traditionnels « il » ou « elle ».
Le fait d'être homme ou femme ne pouvant changer, il est tout à fait inutile de le remettre en question. — A. H.
Le ministre Roberge: l’État «veillerait plus que jamais à ce que chaque jeune reçoive une éducation adéquate»
Par Pour une école libre au Québec ― Photo : Paweł Zdziarski/Wikimedia Commons
Dans un entretien, le ministre Roberge a affirmé que « l’État québécois veillerait plus que jamais à ce que chaque jeune reçoive une éducation adéquate. »
Le ministre Roberge devant un parent qui l’implore, la réponse sera NON.
En ce sens, le ministre a soutenu qu’il n’avait rien contre les écoles privées dotées d’une certaine mission confessionnelle, mais qu’il ne « fallait pas que la transmission de la foi empêche tout le reste » et « entre en compétition » avec le programme d’enseignement régulier.
Enseigner tout le programme du Monopole
Sur ce point, Jean-François Roberge a rappelé que, même si un enfant était éduqué dans une école privée ou encore à la maison, ce dernier devait absolument se faire enseigner le programme du ministère de l’Éducation dans son entièreté, et ce, peu importe les croyances. Bref, le ministère veut imposer son monopole pédagogique, peu importe les croyances des parents (et s’ils ne sont pas contents qu’ils se ruinent à contester le monopole d’État, voir les procès contre ECR).
« Faire le choix de l’école à la maison, c’est permis, c’est correct. C’est permis partout en Occident, mais, au Québec, on lève la barre. [Hmmm. On y brime la liberté pédagogique des parents, oui !] On dit : “c’est correct, vous pouvez faire ce choix-là, mais attention, c’est une grande responsabilité que vous prenez comme parent” », a-t-il insisté.
Lire la suiteDes adultes chahutent une fille de 13 ans disant au conseil municipal : «l’avortement est un meurtre»
Addison Woosley.
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Image : capture d'écran vidéo
Pétition : Non à l'avortement tardif au Québec
Voilà de dignes partisans de l’avortement qui respectaient le droit des femmes en chahutant une enfant de treize ans, qui a eu le courage devant la grogne de continuer son plaidoyer pour la vie. Extrait de LifeNews :
Une jeune fille courageuse de 13 ans s’est récemment présentée devant le conseil municipal d’une ville de Caroline du Nord pour parler au nom des enfants à naître qui sont tués par l’avortement.
Comme elle le faisait, des activistes de l’avortement présents dans le public ont commencé à chahuter la jeune fille [...]
Addison Woosley, 13 ans, s’est jointe à un certain nombre de militants pro-vie le 4 juin pour exhorter le conseil municipal de Raleigh à adopter une résolution en faisant une « ville sanctuaire pour les enfants à naître » [...]
« Sur les images échographiques, on voit le bébé qui essaie de fuir les instruments perturbateurs qui tentent de tuer le bébé », a clamait Woosley. « La bouche du bébé s’ouvre en un cri quand on le tue. Ces bébés sont vivants. Ils se sentent être tués. Cela leur fait mal et ils ne peuvent rien y faire. Il n’y a pas d’autre solution. L’avortement est un meurtre. »
Dans une vidéo de son discours, des grognements et des commentaires peuvent être entendus à l’arrière-plan. Ils devenaient de plus en plus forts à mesure qu’elle continuait.
Mlle Woosley disait qu’elle espérait qu’un jour, les Américains se souviendraient de l’avortement légalisé avec la même horreur que de l’esclavage.
« L’avortement me rappelle l’esclavage », lança-t-elle. « Les propriétaires disaient que leurs esclaves leur appartenaient et qu’ils pouvaient en faire ce qu’ils voulaient. »
La compagnie YouTube pointée du doigt
Par Pascal Bergeron (Le Peuple) — Voici la ou les sources de cet article : The New York Times
Les algorithmes de la compagnie suggèrent à des pédophiles des vidéos qui comportent des enfants.
Selon des représentants du géant californien YouTube, plus de 70 % du contenu visionné sur sa plateforme est lié aux recommandations faites aux utilisateurs par son logiciel qui utilise l’intelligence artificielle. Ce qu’il faut savoir, c’est que cette fonction aurait un effet pour le moins pervers, soit celui de suggérer à des pédophiles des vidéos qui comportent des enfants.
Les algorithmes sont conçus de manière à augmenter graduellement l’intensité des recommandations pour attirer l’attention de ses utilisateurs, et ce, en se basant sur leurs intérêts. Aussi inquiétant que cela puisse sembler, cette tendance est également omniprésente dans le contenu à caractère sexuel, où les vidéos promues sont celles qui mettent de l’avant des personnes de plus en plus jeunes, pour enfin déboucher vers des clips qui montrent des enfants.
Soulignons que ces vidéos sont bien souvent anodines et qu’elles ont été téléversées sur la plateforme par des parents qui veulent partager de beaux moments vécus en famille. Cela dit, l’algorithme de YouTube, de fil en aiguille, fait en sorte que ce contenu soit visionné par des individus mal intentionnés. Une femme vivant au Brésil l’a d’ailleurs apprise à ses dépens après avoir constaté que la vidéo de sa fille et de son amie qui jouaient dans une piscine avait été regardée plus de 400 000 fois. [Les costumes de bain modernes ne protègent surtout pas de la curiosité malsaine, et si ces petites filles en portaient, on peut bien penser que ça n’améliorait pas les choses.*]
Le professeur Marcus Rogers de l’Université Purdue, en Illinois, craint que cette fonction insidieuse contribue à normaliser la pédophilie en érodant le tabou qui interdit moralement la société à sexualiser les enfants. « C’est extrêmement puissant, et les gens se font entraîner [dans cette spirale] », a déclaré pour sa part Stephen Blumenthal, un psychologue spécialisé dans les comportements sexuels déviants.
Bien que désactiver la fonction qui recommande des vidéos incluant des enfants puisse permettre de régler le problème, cette solution a été écartée par la société californienne sous prétexte qu’elle causerait un trop grand « préjudice » aux créateurs de contenu en limitant le trafic.
*Commentaire d’Augustin Hamilton.
Une loi qui criminalise la fessée progresse au Parlement écossais
Chateau d'Édimbourg, capitale de l'Écosse.
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photos : lino9999/Pixabay, waldomiguez/Pixabay
Le gouvernement d’Écosse est en train de s’ingérer dans un domaine qui n’est pas le sien, à savoir l’éducation des enfants. Les châtiments corporels peuvent être raisonnables et le gouvernement s’occupe déjà de sévir contre ce qui est manifestement une vraie violence. Si ce projet de loi n’est pas l’aboutissement ultime du pacifisme, je me demande ce que c’est… En fait, c’est plutôt la lente appropriation des enfants par l’État. Extrait de LifeSiteNews :
L’Écosse envisage d’adopter une loi qui rendrait illégale toute forme de correction physique d’un enfant.
Le « projet de Loi sur les enfants (l’Égalité de protection contre les agressions) (d’Écosse) » a été adopté hier à Holyrood, au Parlement écossais, lors de la première étape d'un processus en trois paliers.
Le projet de loi a reçu 80 voix pour et 29 voix contre. Tous les partisans du projet de loi étaient du Scottish National Party (SNP), le Labour Party et le Green Party, tandis que l’opposition venait des partis conservateurs écossais. Selon le magazine en ligne Holyrood, le projet de loi sera maintenant « examiné et amendé à l’étape du comité ».
John Finnie, membre du Parlement écossais (MSP) pour la région des Highlands et des îles, a présenté le projet de loi le 6 septembre 2018. Hier, il a dit aux autres MSP d’Holyrood qu’il voulait « envoyer un message clair » sur la correction des enfants.
« Mon intention en présentant ce projet de loi est de clarifier la loi en supprimant la protection du châtiment raisonnable, parfois appelé voies de fait justifiables, et d’envoyer un message clair que le châtiment corporel des enfants n’est pas acceptable, » disait-il.
Parlement d'Écosse, à Édimbourg.