Victoire pour les enfants et les parents : l’Alberta abroge la loi 24
Par Pour une école libre au Québec
Texte de l’avocat John Carpay, président du Centre de justice pour les libertés constitutionnelles (JCCF.ca). Il a représenté les parents et les écoles lorsqu’ils ont contesté avec succès la loi albertaine 24.
En 2017, le gouvernement néo-démocrate de l’Alberta a adopté une loi obligeant les enseignants et les directeurs d’école à ne pas divulguer les secrets de leurs enfants à leurs parents — parfois pour des enfants âgés d’à peine cinq ans.
Connue sous le nom de loi 24, la nouvelle loi privait les enseignants et les directeurs d’école de la discrétion d’informer — ou non — les parents de la participation de leurs enfants aux activités d’une Alliance Homo-Hétéro (A2H) ou d’activités liées à l’A2H.
Plus de deux douzaines de parents et d’écoles ont contesté la validité constitutionnelle de la loi 24 devant les tribunaux. La procédure judiciaire a mis au jour des faits troublants. En effet, des militants profitaient des A2H pour la promotion du transgenrisme. Dans un cas, une fille autiste vulnérable de Calgary a été encouragée par l’A2H de l’école à s’habiller, à vivre et à se comporter comme un garçon à l’école, le tout sans informer ses parents. Ce n’est que lorsque la fille a tenté de se suicider que l’école a finalement informé ses parents qui l’élevaient pourtant avec amour et tendresse de ce qui se tramait dans leur dos.
Dans un autre cas, un garçon de 15 ans a été encouragé à sécher des cours afin d’assister à une conférence de l’A2H dans le centre de l’Alberta, le tout sans en informer sa mère. « Ne vous inquiétez pas, elle ne le saura pas », avait dit une enseignante activiste au garçon. Bien sûr, la mère a fini par le découvrir ; les mères le savent presque toujours en fin de compte. La mère a donc appris que son fils avait séché des cours. Elle a également appris que la conférence de l’A2H avait distribué à son fils et à d’autres enfants un manuel qui détaillait de façon crue et pas à pas comment effectuer une sodomie, le tout illustré en couleur avec deux hommes nus impliqués dans cet acte.
La loi 24 permettait de jeter un voile secret sur les activités des A2H. Secret dont les adultes parlent lors des réunions de l’A2H [eux qui…] ont accès aux enfants, à l’insu de leurs parents. Secret sur le matériel sexuel et politique auquel les enfants sont exposés lors d’activités et d’événements liés à la A2H. Le site Web officiel de l’A2H du gouvernement de l’Alberta, destiné aux enfants de la maternelle à la 12e année, comportait des liens vers de la pornographie ignoble, ce qui a amené les parents raisonnables à s’inquiéter de la teneur de ce à quoi leurs enfants seraient exposés lors des réunions et des activités de l’A2H de leur école.
Lire la suiteUn homme qui se dit «femme» entre dans les toilettes des femmes et agresse une fillette de 10 ans
Par Jonathon Van Maren — traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Alexas_Fotos/Pixabay
15 février 2019 (LifeSiteNews) — Des décennies après que le féminisme ait balayé l’Occident, les droits des transgenres ont officiellement remplacé les droits des femmes, car l’idéologie émergente de la fluidité des sexes annihile toute conception formelle de ce qu’est une « femme » en partant.
Les femmes et les filles qui ne se sentent pas en sécurité lorsque des hommes biologiques* pénètrent dans des espaces autrefois réservés aux femmes se font essentiellement dire qu’elles sont transphobes et qu’elles devraient se taire. L’Université de West England a même lancé récemment une campagne par le biais d’affiches invitant les étudiants à ne pas se préoccuper de ceux qui auraient l’air d’être dans les mauvaises toilettes. Lorsque la journaliste Josephine Bartosch a fait remarquer que « l’UWE en en train de dire que les sentiments et les craintes des femmes comptent moins que ceux qui s’identifient comme transgenres », elle a rapidement été condamnée par le chef de la société LGBT.
Les militants LGBT insistent sans cesse sur le fait qu’il n’y a pas d’inconvénient à éliminer les espaces réservés aux femmes ou à les limiter aux femmes biologiques*. Quiconque prétend qu’il pourrait y avoir un danger à permettre à quelqu’un d’entrer dans un espace privé en fonction de la façon dont il décide de s’identifier se fait dire qu’il est motivé par la haine envers les personnes transgenres plutôt que par le souci des femmes vulnérables. Tout malaise exprimé par les femmes elles-mêmes est condamné comme de l’intolérance. Et ce système est imperméable aux questions : Il n’est pas seulement transphobe de demander si certains espaces devraient être limités aux femmes biologiques* pour des raisons de sécurité, il est également transphobe de poser des questions complémentaires à ce sujet. La communauté transgenre, apparemment, est un groupe uniformément parfait, tout à fait sans péché et dépourvu de membres infâmes, quels qu’ils soient. Je suppose que si l’on est capable de croire qu’une femme a un organe sexuel masculin, l’on peut croire n’importe quoi.
Malheureusement, mais comme on pouvait s’y attendre, ce n’est pas le cas. Au Royaume-Uni, le Courier a récemment rapporté qu’un jeune homme violent, pour lequel les médias ont docilement utilisé le pronom « elle » tout au long de leur reportage, a reçu une tape sur le poignet ayant agressé sexuellement une fillette de dix ans dans les toilettes des femmes d’un supermarché à Morrisons en Kirkcaldy. L’individu de 18 ans, qui porte actuellement le nom de « Katie Dolatowski », a attrapé la petite fille par le devant, l’a poussée dans une cabine de toilettes et lui a ordonné d’ôter son pantalon, ajoutant qu’un homme devant la salle de bains tuerait sa mère. La fille a paniqué et a commencé à frapper Dolatowski, le frappant [...] au ventre et au visage. Elle s’est ensuite précipitée vers son père et ses frères et sœurs, qui l’attendaient juste à l’extérieur de la salle de bains, présumée sûre pour les femmes.
Lire la suiteMère Miriam exhorte les parents à retirer leurs enfants de l’école publique : « Je ne connais rien de plus urgent »
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie)
L’éducation (à ne pas confondre avec l’instruction), qui avant tout doit apprendre comment aller vers Dieu, puis à bien vivre en société et enfin la culture, et l’instruction qui enseigne le savoir humain ont été pris en otages par de nombreux États qui imposent diverses idéologies et perversions aux enfants soumis à leur propagande, bafouant les droits des parents (qui découlent de leur devoir d’éduquer). C’est ce que Mère Miriam dénonce dans une vidéo diffusée entre autres par LifeSiteNews, première d’une série visant à avertir les parents des dangers de l’enseignement public, selon LifeSiteNews :
Au cours de son émission quotidienne en direct hier, Mère Miriam a mis les parents au défi de respecter leur devoir en tant qu’éducateurs premiers de leurs enfants. Elle a alerté les parents sur le fait que les écoles d’aujourd’hui sont malsaines et que c’est le premier et le plus important devoir des parents de protéger leurs enfants.
« Cela a à voir avec le fait d’être une mère et un père convenables pour vos enfants... Quelle que soit la situation, vous êtes responsables de la croissance de vos enfants dans la foi », a-t-elle dit.
Or, comme vous le savez déjà sans doute, l’école (publique) est devenue le lieu d’un endoctrinement malsain. LifeSiteNews continue :
L’avertissement d’hier portant sur le système scolaire public est le premier épisode d’une série d’émissions, que Mère Miriam réalise, livrant sa réflexion sur un livre écrit par Mary Rice Hasson, J. D., et Theresa Farnan, Ph. D., Get out Now : Why You Should Pull Your Child from Public School Before It’s Too Late (Voici pourquoi vous devriez retirer votre enfant de l’école publique avant qu’il ne soit trop tard), et sur le résumé du livre dans le magazine Crisis [...]
De nombreux États imposent maintenant l’idéologie du genre et l’éducation sexuelle pornographique aux étudiants.
Dans presque toutes les matières, les élèves sont nourris du mensonge, parfois subtilement et d’autre fois non, qu’il n’y a pas de Dieu. Mère Miriam cite Get out Now : « Le cas de l’athéisme à l’école a produit la génération la plus impie de l’histoire. Le relativisme moral a laissé plus de 2/3 des gens sans croyance en la vérité et en l’objectivité du bien et du mal. »
[...]
Mère Miriam appelle tous les parents à ramener leurs enfants à la maison. Elle encourage les parents de tous les niveaux d’éducation, de revenu et de la société à scolariser leurs enfants à la maison. Elle souligne l’affirmation courante selon laquelle l’enseignement à domicile n’est pas pour tout le monde. Elle lance encore une fois un défi aux parents, affirmant qu’il est non seulement possible, mais nécessaire, pour tout le monde, d’éduquer leurs enfants à la maison : « L’enjeu est trop important. On ne recommence pas l’enfance. »
Un drag queen apprendrait aux enfants, lors d’une activité, à se comporter comme des prostitués
Le père disant sa façon de penser au travesti.
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Image : Capture d'écran — Mise à jour : 22 août 2019
D’après un père assistant à une activité destinée aux enfants, le travesti apprenait à ceux-ci la prostitution. Le père en question en fit le reproche au travesti, et le différend fut filmé par Radio-Canada et publié sur internet, donnant ainsi lieu aux appréciations du public sur le point de vue du père, que plusieurs ont soutenu (voyez la vidéo ici, malheureusement celle-ci ne permet pas de se faire une idée sur l'affaire). Extrait du site Le Peuple :
Une activité pour enfants animée par une drag queen à Ottawa ne s’est pas déroulée comme prévu. Dans une vidéo filmée par Radio-Canada, on peut apercevoir un père furieux se lever de sa chaise et lancer au travesti : « Vous leur apprenez à être des prostitués ». Une altercation entre l’homme et la drag s’ensuit, au cours de laquelle certaines personnes s’interposent entre eux pour tenter de calmer le jeu.
Greta Thunberg promeut aussi les antifas et les LGBT
Par Pierre-Alain Depauw (Medias-Presse.info)
La suédoise Greta Thunberg, oracle du réchauffement climatique, a enregistré une chanson avec le groupe The 1975. A cette occasion, elle a posé en portant un t-shirt de la mouvance antifa, extrême gauche connue pour ses violences répétées.
Dans un tweet, Greta Thunberg promet que tous les revenus tirés de l’enregistrement de cette chanson iront à l’organisation d’extrême gauche Extinction Rebellion.
En avril, ces extrémistes environnementalistes ont semé le chaos dans les rues de Londres. Cette organisation prévoit également de forcer à fermer l’aéroport d’Heathrow cet automne, à l’aide de drones venant perturber le trafic aérien.
Avec le groupe The 1975, Greta Thunberg prêche la fin du monde en affirmant que toutes les solutions à la crise climatique ont échoué.
Un suédois condamné pour des émeutes et n’excluant pas le meurtre
La section suédoise de Extinction Rebellion est dirigée par le militant d’extrême gauche Jonathan Pye, qui a participé aux émeutes de Göteborg en 2001 , lors d’un sommet européen dans la ville.
Lire la suitePressions LGBT : un acteur s’excuse d’avoir déclaré les enfants de 3 ans trop jeunes pour choisir un « genre »
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie)
Mario Lopez, Américain, acteur, producteur de films, animateur et père de trois enfants, avait eu l’imprudence (louable) de se prononcer sur le trangenrisme que l’on introduit chez les jeunes enfants, d’un âge aussi bas que trois ans, notamment parmi ceux des acteurs de cinéma. En retour, il a subi la critique de la gent LGBT, particulièrement transgenres et protransgenrisme, qui lui reprochait de tenir des propos qui osaient mettre en doute le bien-fondé d’accéder aux fantaisies d’un enfant de trois ans concernant son sexe. Extrait de People :
Le nouveau coanimateur d'Access Hollywood est apparu au The Candace Owens Show en juin, où la commentatrice conservatrice a évoqué « cette nouvelle tendance parmi les célébrités à se distinguer... en annonçant que leur enfant choisissait son genre. »
En réponse, Lopez dit à Owens que lui aussi avait du mal à comprendre cette mentalité, et qu'il était « en quelque sorte sidéré ».
« Écoutez, je ne suis pas du genre à dire à qui que ce soit comment élever ses enfants, évidemment, et je pense que si vous venez d'un lieu aimant, vous ne pouvez vraiment pas vous tromper », affirma-t-il. « Mais en même temps, mon Dieu ! si vous avez 3 ans et que vous dites que vous vous sentez d'une certaine façon, ou que vous pensez être un garçon ou une fille, ou peu importe ce que ça pourrait être, je pense qu'il est dangereux pour un parent de prendre cette décision : "Bon, alors vous allez être un garçon ou une fille", peu importe le cas. C'est un peu alarmant et, bon sang ! je pense aux répercussions plus tard. »
[…]
L'ancienne vedette de Saved by the Bell a continué, encourageant les parents de jeunes enfants à « être l'adulte dans la situation » et à attendre les « années formatives » de l'enfant pour avoir des discussions et faire des déclarations concernant le genre.
Je rajouterais aux paroles d’alors de M. Lopez que peu importe l’âge de l’enfant, il est dangereux et faux de prétendre qu’il est autre chose que ce qu’il est, à savoir un garçon ou une fille, ce qui est déterminé par sa biologie, par son ADN. Mais M. Lopez s’est fait tomber dessus par la vindicte LGBT et s’est soumis à ses volontés, dommage qu'il ait manqué de courage. Extrait de People :
Dans une déclaration publiée dans People, mercredi, Lopez s'est excusé pour ses remarques.
« Les commentaires que j'ai faits étaient ignorants et insensibles, et je comprends maintenant mieux à quel point ils étaient blessants », protestait-il. « J'ai été et je serai toujours un ardent défenseur de la communauté LGBTQ, et je vais profiter de cette occasion pour mieux m'éduquer. Allant de l'avant, je serai mieux informé et plus réfléchi. »
« La puberté n’est pas une maladie » : un Conseil régional d’Italie vote une motion contre les produits bloqueurs de puberté
Par Martin M. Barillas — traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : freepik
Trieste, Italie, 23 juillet 2019 (LifeSiteNews) — Le Conseil régional du Frioul-Vénétie Julienne, une région autonome du nord-est de l’Italie, a approuvé une motion demandant au gouvernement national d’interdire l’utilisation de produits dits bloqueurs de puberté dans le cadre du soi-disant traitement de réassignation du sexe pour enfants confus au sujet de leur sexe.
Le 17 juillet, le conseil régional du Frioul-Vénétie Julienne a approuvé, à l’initiative d’une majorité de centres droits dirigée par le parti de la Lega, une motion demandant au gouvernement national italien d’interdire la prescription de médicaments qui empêchent le développement sexuel normal des adolescents.
Le chef de la Lega Nord est le Vice-Premier ministre Matteo Salvini, qui est l’un des trois membres du gouvernement de coalition italien qui comprend le Vice-Premier ministre Luigi Di Maio du Cinque Stelle et le Premier ministre Giuseppe Conte. Les partis de gauche au sein du conseil régional, y compris le Cinque Stelle, ont voté contre la motion.
Selon la motion du conseil, « la puberté n’est pas une maladie » et ne devrait donc pas être entravée par des opérations et des médicaments qui peuvent avoir des effets irréversibles. Elle a souligné également les effets négatifs à long terme des médicaments contenant de la triptoréline.
« Il n’y a aucune preuve, en fait, », dit la motion, « sur le rétablissement complet et effectif de la fertilité en cas d’arrêt du traitement. » Elle cite des données diffusées par l’American College of Pediatricians, qui affirme que 98 % des mineurs surmonteront leur dysphorie de genre (sentiment que le sexe biologique ne correspond pas au sexe auquel on ressent une appartenance) après avoir passé la puberté naturellement.
« Nous exprimons notre opposition à l’utilisation de ce produit », a déclaré Mauro Bordin, selon VoceControCorrente. Bordin, qui représente la Lega au conseil et qui a signé la motion, a ajouté qu’il n’y avait pas assez d’études cliniques, « surtout en ce qui concerne les effets négatifs possibles à long terme et comment le blocage pharmacologique de la puberté pourrait causer un débalancement dans le développement physique et cognitif [des adolescents] ». Il a affirmé que les bloqueurs de puberté pourraient même compromettre les parties du cerveau qui contribuent à la définition de l’identité sexuelle, ce qui implique également des facteurs environnementaux et éducatifs.
Lire la suiteLa vie d’une fillette de 5 ans dans la balance de la justice, l’hôpital où elle est retenue veut la débrancher
Tafida Raqeeb, à l'âge de 4 ans.
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie)
Voici un cas similaire à ceux d’Alfie Evans et de Charlie Gard, deux petits Anglais en état de conscience diminuée, morts débranchés de leur aide respiratoire avec l’approbation de l’État, ou même semblable au cas du Français Vincent Lambert, mort de faim et de soif avec l’aval de la république. D’après LifeSiteNews :
Les parents d’une petite fille victime d’un accident vasculaire cérébral soudain se battent maintenant pour sa vie, contre les médecins qui veulent la débrancher de son aide respiratoire et la laisser mourir.
Tafida Raqeeb, âgée de 5 ans, se trouve actuellement au King’s College Hospital de Londres, après avoir subi une rupture soudaine et rare au cerveau en février. Un test du tronc cérébral a montré qu’elle n’est pas morte [cérébralement — la « mort cérébrale » n'est pas un critère pour définir la mort]. Cependant, ses médecins, convaincus qu’elle ne se remettrait jamais de son état de conscience minimale, souhaitent lui retirer l'aide respiratoire, provoquant ainsi sa mort.
Aujourd’hui [16 juillet], les représentants légaux des médecins se sont rendus au tribunal pour le faire.
La mère de Tafida, Shelina Begum, 39 ans, a déclaré à LifeSiteNews que ni elle ni son mari, Mohammad Raqueeb, 45 ans, ne veulent que cela arrive. Croyant que la petite fille se rétablissait, ils ont trouvé un hôpital qui est prêt à soigner leur petite fille, l’hôpital pédiatrique Gaslini de Gênes, et veulent l’y emmener.
Cependant, la situation rappelant les cas Alfie Evans et Charlie Gard, les médecins londoniens de Tafida croient qu’il est dans son intérêt de mourir.
[...]
Une pétition sur Change.org demandant que Tafida soit autorisée à se rendre à l’hôpital du choix de ses parents a été signée par plus de 7 000 personnes.
Roberge modifie à la marge ses restrictions imposées à l’instruction à domicile
Par Pour une école libre au Québec — Photo : Pixabay
Le ministre Jean-François Roberge a légèrement modifié son règlement sur l’école à la maison pour répondre à certaines critiques de parents qui trouvaient les nouvelles règles imposées bien trop contraignantes.
L’obligation pour les enfants scolarisés à la maison de passer les examens ministériels est repoussée d’un an, de juin 2020 à juin 2021. Les commissions scolaires devront offrir gratuitement des activités de préparation aux épreuves ministérielles. Dès l’été 2020, le ministre de l’Éducation et de l’Enseignement supérieur devra aussi rendre disponibles aux parents des documents préparatoires aux épreuves qu’il impose.
Les grandes lignes de la réforme du monopole de l’Éducation restent toutefois en place : le nombre de matières à enseigner augmentera dès la rentrée de cet automne, des agents du ministère de l’Éducation rencontreront les élèves à la maison pour s’assurer qu’ils suivent le programme, et les examens ministériels deviendront obligatoires en dépit de l’opposition de groupes de parents.
Rien ne semble indiquer à ce stade la moindre souplesse dans le type d’examens permis et qui les fait passer. Ainsi, il semble bien que des enfants qui suivent le programme du CNED (enseignement officiel français à distance) soient obligés d’également passer les examens du Monopole de l’Éducation du Québec alors que les matières sont vues à un rythme différent, selon des terminologies différentes et des pédagogies différentes.
« Ces modifications permettront d’éviter que des enfants déclarés en enseignement à la maison ne soient assujettis à des contenus d’apprentissage minimalistes », a indiqué lundi le ministre Jean-François Roberge dans un communiqué. M. Roberge oublie de mentionner le désagrément que cela pèse sur d’autres familles qui ont fait d’autres choix que le programme du monopole de l’Éducation du Québec. Mais en vieil instituteur qui défend sa paroisse, il ne semble pas pouvoir imaginer que d’autres manières de faire existent.
Au cours de la dernière session parlementaire, il a affirmé que des centaines d’enfants passent à travers les mailles du système, hors de l’écran radar du ministère de l’Éducation. Les parents risquent cependant de se cacher davantage s’ils n’ont pas le choix de pédagogie et d’évaluateur. Un parent nous a indiqué qu’il avait déjà pris des dispositions pour que son fils quitte le Québec pendant l’année scolaire prochaine.
Lire la suiteLa CBC fait la promotion de drag queens... de 12 ans et moins
Par Pascal Bergeron (Le Peuple) — Voici la ou les sources de cet article : Twitter/Voici la source de la photo : Capture d’écran
Plusieurs enfants se déguisant en « drag queens » ont des problèmes d’identité sexuelle ou d’homosexualité. La façon dont ils se déguisent est souvent choquante. — A. H.
« Je livre dorénavant des performances devant des foules qui m’acclament, alors je sais que je fais ce qu’il faut faire ».
Ceux qui estiment que les drag queens ont la cote n’ont visiblement encore rien vu : le réseau CBC fait actuellement la promotion d’un documentaire sur des enfants qui pratiquent cet « art de la scène ». Dans une bande-annonce diffusée sur la page Twitter de CBC Kid News, on peut apercevoir une fille et trois garçons respectivement âgés de 12, 11, 10 et 9 ans décrire pourquoi ils se travestissent.
Appelé à expliquer le rôle d’une drag queen, un jeune garçon ayant choisi le nom de scène de « Lady Gaga » a répondu qu’il s’agissait de se déguiser de manière à se « transformer » en personne de sexe opposé à des fins de divertissement. Un peu plus loin dans le clip vidéo, on peut entendre l’enfant dire que cette expérience l’a aidé à exprimer sa personnalité.
« Je livre dorénavant des performances devant des foules qui m’acclament, alors je sais que je fais ce qu’il faut faire », a lancé un autre garçon se donnant en spectacle sous le nom de « Lactatia ». Certains d’entre eux croient d’ailleurs que le reportage peut permettre aux téléspectateurs de réaliser qu’ils peuvent eux aussi devenir des drags s’ils le désirent.
Rappelons que l’année dernière, le réseau CBC avait fait l’objet de critiques pour avoir diffusé un clip audiovisuel montrant une célébrité anglo-canadienne, Jessi Cruickshank, parler à de jeunes enfants de l’importance d’accepter les homosexuels, les transgenres, les lesbiennes et les bisexuels — bref, ce qu’elle appelle les membres de la « diversité sexuelle ».