Une enfant vue dans des vidéos de viols sur le site PornHub a aussi subi un avortement forcé
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie)
PÉTITION : Les autorités doivent fermer Pornhub après qu’il ait montré des vidéos d’une victime de traite de 15 ans
La production de pornographie, outre son aspect profondément immoral, entraîne dans son sillage des conséquences non moins néfastes, dont le viol, l’exploitation de femmes et d’enfants, et l’avortement forcé des victimes féminines. Selon LifeSiteNews :
On reparle ces temps-ci de cette mineure victime du trafic des personnes. Cette jeune fille dont des vidéos montrant les viols avaient été téléversées sur le site PornHub, subissant par là un double avilissement, dut également subir un avortement forcé.
Pornhub, le site de pornographie le plus populaire au monde, a été pris à héberger 58 vidéos d’une jeune fille de 15 ans, victime de la traite des êtres humains, qui a été violée à plusieurs reprises devant la caméra. La jeune fille a été forcée à avorter par son ravisseur.
Combien d’avortements forcés ? :
Si le carnage humain dû aux abus sexuels et à la traite des êtres humains dépeints sur Pornhub est peut-être incalculable, il y a aussi un nombre incalculable de morts tues, dues à des avortements associés à la production des vidéos sexuelles téléchargées sur le site.
Des statistiques monstrueuses :
Lire la suiteLes statistiques que Pornhub vante fièrement dans son « Bilan annuel » sont stupéfiantes, voire astronomiques. Pour 2019, le site fait état de :
- 42 milliards de visites sur Pornhub ;
- 115 millions de visites par jour ;
- 39 milliards de recherches effectuées par les utilisateurs du site.
Un médecin canadien : Les enfants gagnent à voir l'euthanasie
Par Michael Cook (Mercatornet) ― Traduit par Campagne Québec-Vie
Les réunions au chevet de victimes d'euthanasie au Canada sont normalement réservées aux adultes. Bien sûr, nous ne sommes pas au courant de la plupart d'entre elles, mais il arrive qu'un journaliste décrive les derniers moments d'un homme ou d'une femme âgé dans un article de revue. Parfois, il y a une fête, des coupes de champagne, de l'hilarité — jusqu'à ce que le médecin arrive. Les amis et les parents se rassemblent autour du lit pendant que le médecin administre une injection létale.
En fait, la plupart de ces décès concernent des personnes âgées de plus de 65 ans. Très peu sont en âge de laisser de jeunes enfants derrière eux. Ce sont leurs enfants ou petits-enfants adultes qui les accompagnent dans leurs derniers instants.
Qu'en est-il des personnes qui ont de jeunes enfants ? Un médecin expérimenté AMM (aide médicale à mourir, euphémisme signifiant euthanasie, qui est un autre euphémisme) suggère que les jeunes enfants gagneraient à être impliqués.
Dans un billet de blogue sur le site de l'Université de Colombie-Britannique, le Dr Susan Woolhouse, qui a participé à quelque 70 « suicides assistés », déclare :
Lire la suiteL'instinct me dit que faire assister des enfants au processus d'AMM de leur proche est probablement l'une des expériences les plus importantes et les plus thérapeutiques pour un enfant. Mon expérience passée des unités de soins palliatifs m'ont confortée dans l'idée que les enfants pouvaient bénéficier du témoignage de la mort d'un être cher. Pourquoi l'AMM serait-elle différente ?
Elle donne quelques conseils sur la façon d'expliquer le processus de la mort aux jeunes enfants :
En supposant que les enfants reçoivent des informations honnêtes, compatissantes et sans jugement [comment peut-on être honnête si l'on ne juge pas la chose ?*] au sujet de l'AMM, il n'y a aucune raison de penser que le fait d'assister à un suicide médicalement assisté ne peut être inclus comme une partie normale du voyage de fin de vie de leur proche. Si les adultes qui les entourent normalisent l'AMM, les enfants le feront aussi.
Les cas d’adolescentes qui croient être « garçons » montent en flèche en Suède
Par Jonathon Van Maren — Traduit par Campagne Québec-Vie — Image : geralt/Pixabay
28 février 2020 (LifeSiteNews) — Ces chiffres sont tout simplement stupéfiants : selon le Conseil suédois de la santé et de la protection sociale, on a enregistré une hausse de 1 500 % des diagnostics de dysphorie de genre — des filles croyant être garçons — parmi les adolescentes entre 13 et 17 ans. Selon le Guardian, cette augmentation des chiffres reflète un changement de l’opinion publique sur le transgenrisme qui a rendu beaucoup de gens plus ouverts à l’idée de permettre aux jeunes de subir une opération de « réassignation de genre ».
Selon les critiques, cette hausse a été énormément accentuée par le fait qu’en 2018, sous la pression des militants LGBT, le gouvernement suédois a introduit un projet de loi qui éliminerait la nécessité du consentement parental, réduirait l’âge minimum pour les opérations de « changement de sexe » de 18 à 15 ans et, dans certains cas, permettrait à des enfants encore plus jeunes de transiter. En réponse, certains professionnels de la santé — dont un prestigieux psychiatre — ont averti que mener l’opération soi-disant de changement de sexe sur des enfants était, en substance, une expérience aux conséquences inconnues.
La Suède n’est pas le seul pays à avoir connu une augmentation soudaine du nombre d’enfants et d’adolescents — principalement des filles — s’identifiant comme membres de l’autre sexe. En dix ans, le Royaume-Uni a connu une augmentation de 4 000 % du nombre d’enfants souhaitant « changer » de sexe, passant de 97 en 2008 à 2 510 en 2017-2018. Le même phénomène se produit au Canada, aux États-Unis et en Australie. Certains experts ont déjà souligné que le transgenrisme fonctionnait comme une contagion sociale, mais les militants LGBT insistent sur le fait qu’il y a toujours eu des milliers et des milliers d’enfants nés dans le mauvais corps, qui doivent devenir des patients médicaux à vie et subir des traitements hormonaux et des opérations sans fin.
Il y a eu au moins une certaine réaction dans les médias suédois, notamment un documentaire télévisé mettant en lumière un homme qui regrette sa transition et se concentrant sur l’hôpital universitaire Karolinska de Stockholm, qui a été décrié pour avoir « transitionné » des mineurs à la hâte, et qui a même pratiqué des doubles mastectomies sur des filles de 14 ans seulement. En outre, notait le Guardian, des histoires tragiques ont commencé à faire surface.
Au même moment, le magazine Filter a présenté le cas de Jennifer Ring, une femme transsexuelle de 32 ans qui s’est pendue quatre ans après son opération. Un expert en psychose, à qui son père, Avi Ring, a montré son journal médical, a déclaré qu’elle avait montré des signes évidents de psychose au moment où elle a cherché à se faire soigner pour la première fois pour la dysphorie de genre. En effet, la première clinique à laquelle elle s’était adressée avait refusé de la traiter, invoquant des signes de symptômes de schizophrénie et l’absence d’antécédents de dysphorie de genre. Mais l’équipe de Karolinska est allée de l’avant. « Karolinska ne renvoie personne ; pratiquement 100 % des patients obtiennent leur changement de sexe », affirmait Ring.
En réponse à ces réactions, le gouvernement suédois a reporté le projet de loi abaissant l’âge minimum pour l’opération de « changement de sexe » et a demandé au Conseil de la santé et de la protection sociale de réexaminer les données à la lumière des récentes critiques. Le rapport du Conseil devrait être publié le 21 mars et, dans l’intervalle, l’Agence d’évaluation des technologies de la santé suédoise a été chargée par le gouvernement d’examiner les raisons pour lesquelles tant d’adolescentes souffrent de dysphorie de genre. Parmi les adolescentes qui ont déclaré souffrir de dysphorie de genre, 15,2 % ont déclaré être autistes, 28,9 % ont déclaré être dépressives, 19,4 % ont déclaré être atteintes de TDAH et 32,4 % ont une forme ou une autre de trouble d’anxiété.
À mettre au crédit du Guardian, il a souligné le fait que les critiques sont maintenant plus fortes et plus nombreuses, citant l’expérience de plusieurs détransitionnistes et les avis d’un certain nombre d’experts invitant à la prudence. Depuis plusieurs années, les pays se sont précipités tête baissée dans cette vaste expérience sociale à l’instigation du mouvement LGBT, ignorant les appels à la retenue, diabolisant comme « transphobe » quiconque tentait de critiquer les « changements de sexe » ou l’hormonothérapie destinés aux mineurs, et déclarant que les féministes et les militants homosexuels qui avaient aussi des préoccupations étaient aussi des fanatiques. Il semble que l’ampleur de cette expérimentation et le nombre croissant de voix offrant une alternative, et contant leur expérience — souvent tragique — du mouvement transgenre, obligent aujourd’hui les gens à s’arrêter et à réfléchir à ce qu’implique ce que nous faisons.
Pour le bien de milliers d’adolescents et d’adolescentes qui ont été emportés par ce phénomène social, je l’espère vraiment.
Twitter suspend le compte du Parti Vox pour avoir accusé ses rivaux socialistes de promouvoir la pédophilie
Par Martin M. Barillas ― Traduit par Campagne Québec-Vie
Madrid, 23 janvier 2020 (LifeSiteNews) ― Twitter a suspendu le compte de Vox, le seul parti pro-vie et pro-famille présentant actuellement des députés au Parlement espagnol.
Faisant craindre en Espagne que les entreprises médiatiques soient de mèche avec le parti socialiste régnant, de plus en plus totalitaire, Twitter neutralisé le compte officiel de Vox, alléguant que le parti avait incité à la haine sur la plateforme. Cette décision a été prise après que le chef du parti Vox, Santiago Abascal, ait tweeté samedi que le gouvernement socialiste « encourage la pédophilie avec des fonds publics ». Le porte-parole de Vox, Manuel Mariscal, a tweeté plus tard que la suspension n'était pour « rien d'autre que de la censure » [censure politique, quoi*].
Samedi, Vox a tweeté un message à l'intention d'Adriana Lastra, sous-secrétaire générale du Parti socialiste, lui disant « Ce que nous ne pouvons pas supporter, c'est que vous veniez chez nous pour nous dire comment nous devrions vivre et comment nous devrions éduquer nos enfants. Et encore moins si vous promouvez la pédophilie avec l'argent de l'État ».
Le tweet de Vox était en réponse à un tweet antérieur de Lastra, qui a écrit :
Ils ne soutiennent pas la collectivité LGTBI, ils ne soutiennent pas le mariage homosexuel, ils ne soutiennent pas l'égalité entre hommes et femmes, ils ne considèrent pas que leurs idées rétrogrades ne sont pas celles de l'ensemble de la société. Ils ne devraient pas appeler cela de la liberté : c'est de la haine.
Mardi, Twitter a informé Vox qu'il « limitait temporairement » le compte du parti, suspendant ainsi certaines fonctions, dont la publication de nouveaux messages. Le géant des médias sociaux a prétendu que le motif de cette suspension résidait en ce que le parti n'avait pas respecté son interdiction de « comportement incitant à la haine ». Twitter interdit également les menaces, les agressions et l'incitation à la violence contre les personnes.
Twitter a demandé à Vox d'effacer le tweet accusant le Parti socialiste de promouvoir la pédophilie afin de récupérer son compte.
Vox s'oppose au Parti Socialiste et aux autres partis de gauche en ce qui concerne l'avortement, les droits parentaux et l'éducation publique. En ce qui regarde les droits parentaux, Vox demande que les parents aient le droit d'empêcher que leurs enfants assistent à des cours qui promeuvent le programme du gouvernement en matière d'éducation sexuelle et de LGBTisme. Selon Vox, les parents devraient avoir le droit d'être prévenus à l'avance et de décider si leurs enfants devraient ou non assister à « des conférences, des ateliers ou des activités ayant une signification idéologique ou morale allant à l'encontre de leurs convictions ».
Lire la suiteAbolition ou modification du cours d’éthique et de culture religieuse ?
Par Pour une école libre au Québec
Le gouvernement Legault abolirait le controversé cours d’éthique et de culture religieuse (ECR), dont le titre accorderait une « importance démesurée » aux religions, pour le remplacer dès la rentrée scolaire 2022-2023 par un nouveau programme dont le contenu resterait à définir.
Le ministre de l’Éducation, Jean-François Roberge (ci-dessous), affirme que « la place de la religion » était trop importante dans ce cours, mis en place en 2007 par le gouvernement libéral de Jean Charest.
« On l’abolit pour le remplacer par quelque chose de neuf. Mais comme il va y avoir des éléments du cours actuel qui vont rester, comme l’éthique, la pratique du dialogue, le respect de soi et des autres, la lutte contre les stéréotypes. On appelle ça une réforme en profondeur », a-t-il dit en entrevue avec La Presse.
« Si on veut comprendre la carte géopolitique du monde, la religion est un élément qui permet de comprendre les actions de certains pays », a ajouté l’ancien instituteur.
La question de l’éducation à la sexualité, qui a fait couler beaucoup d’encre ces dernières années, doit également être intégrée dans le nouveau cours. Les questions de sexualité sont toutefois déjà abordées en ECR.
Pour le ministre Roberge, « C’est incontournable de parler de l’athéisme comme étant une des façons d’envisager le monde. Il y a énormément de Québécois qui se disent athées. » C’est possible, mais quel sera donc le but du cours ? De comprendre la carte géopolitique du monde comme lorsque Monsieur justifie l’enseignement des religions ou un cours de philosophie ? En quoi l’athéisme explique-t-il la géopolitique du monde ? Ajoutons qu’il est faux de dire que l’athéisme n’est pas enseigné en ECR, il était simplement réservé, officiellement, aux dernières années du secondaire (voir extrait du programme ci-dessous, p. 45 [543], chapitre 9).
Les élèves apprendront également des notions d’éducation à la démocratie, à l’environnement et au droit du numérique. L’environnement, cœur d’une nouvelle spiritualité universaliste, était déjà abordé dans les manuels ECR dès le primaire (voir analyse de trois manuels et Spiritualité autochtone, écologie et norme universelle moderne).
Consultation d’experts et du public
Les thèmes du nouveau cours que doit élaborer Québec seront soumis les 7, 14 et 21 février prochains à des experts et à des partenaires du milieu de l’éducation dans trois forums qui se dérouleront respectivement à Trois-Rivières, Québec et Montréal. Un rapport final sera ensuite soumis au printemps afin qu’un nouveau cours soit mis à l’essai dans certaines écoles dès la rentrée scolaire 2021-2022, avant de faire officiellement son entrée dans le programme d’études l’année suivante.
Le gouvernement Legault a également mis en ligne jeudi sur le site internet du ministère de l’Éducation une consultation publique qui permet aux citoyens de transmettre leurs opinions.
Lire la suiteUne mère perd son procès contre l’école qui avait soumis ses enfants à un rite amérindien
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie)
C’est arrivé en Colombie-Britannique, comme quoi là-bas ils auraient aussi leur cours d’ÉCR (cours d’éthique et culture religieuse, dispensé au Québec) à eux. Mme Servatius, appuyé par le Justice Centre for Constitutional Freedoms, se pourvoira peut-être en une instance plus haute. Cependant, je doute qu’il y ait de l’espoir dans une telle poursuite, vu que la Cour suprême du Canada a donné tort aux parents qui voulaient retirer leurs enfants du désastreux cours d’ÉCR québécois, prétextant qu’il fallait que ceux-ci démontrassent le côté préjudiciable du cours pour leurs enfants, démettant ainsi les parents de leurs rôles de premiers éducateurs et leur donnant la charge de la preuve. D’après LifeSiteNews :
Le plus haut tribunal de la Colombie-Britannique a statué hier que les écoles pouvaient exiger que les enfants participassent à des rituels religieux ou spirituels — comme les cérémonies de purification de la culture des Premières nations — malgré les objections des parents devant l’aspect explicitement religieux de la « purification » de l’esprit des enfants.
En 2015, une école de Port Alberni exigeait que les enfants participassent à une cérémonie de purification au cours de laquelle de la fumée de sauge brûlée était répandue dans la salle de classe, autour des meubles et dans l’espace occupé par les enfants. Dans une lettre aux parents, l’école a affirmé que ce rituel avait lieu dans le but exprès de purifier les esprits des enfants de toute énergie négative. Plus tard dans l’année scolaire, une prière a été exécutée lors d’une assemblée obligatoire des élèves.
« Nous examinons la décision en vue des prochaines étapes », a déclaré Jay Cameron, avocat de Candice Servatius et gestionnaire des litiges au Justice Centre for Constitutional Freedoms au sujet de la décision de la Cour suprême de la Colombie-Britannique rendue le 8 janvier 2020 [...]
Ce casier, qui a duré toute une semaine, contre le District scolaire 70 a été entendu en novembre 2019 à Nanaimo, en Colombie-Britannique. Le Justice Centre a représenté la mère, Candice Servatius, dont les deux enfants ont été soumis à un rituel religieux ou spirituel à l’école élémentaire John Howitt à son insu et sans son consentement.
Surdiagnostics de dysphorie de genre chez des enfants : 35 psychologues démissionnent
Par Pour une école libre au Québec
Après l’alerte lancée par certains d’entre eux quant aux surdiagnostics d’enfants pour dysphorie de genre, 35 psychologues ont démissionné en 3 ans du London’s Gender Identity Development Service (GIDS) au sein du Tavistock and Portman NHS Foundation Trust en Angleterre.
« Les lanceurs d’alerte ont affirmé que trop d’enfants étaient placés sous médicaments pour bloquer leur puberté » [un seul ce serait déjà trop*], alors qu’ils n’auraient pas dû être diagnostiqués [de dysphorie]. D’anciens employés ont également avoué avoir été incapables d’évaluer correctement leurs patients, « de peur d’être étiquetés transphobes ». L’un des psychologues ayant démissionné témoigne : il craint avoir été « aux premières loges d’un scandale médical ».
Les chiffres montrent que le nombre d’enfants traités au sein du GIDS est passé de 77 à 2590 en dix ans. Les enfants sont âgés de moins de 18 ans, et même pour quelques-uns d’entre eux de 3 ans. Près de la moitié des patients suivis au GIDS reçoivent un traitement afin de bloquer leur développement hormonal et stopper leur puberté. Ce traitement, interférant avec leur production hormonale naturelle, peut causer des sautes d’humeur. S’il est arrêté, la puberté peut reprendre. L’étape ultérieure est la prescription d’une thérapie hormonale, « normalement non donnée avant 16 ans, car elle est irréversible et peut rendre les patients infertiles ». La chirurgie n’intervient qu’à partir de 18 ans.
Thomasin, après avoir passé la majorité de son adolescence identifiée comme un garçon, a choisi de redevenir une fille à l’âge de 19 ans après avoir été diagnostiquée à 17 ans par le Tavistock. Elle témoigne : « J’étais nourrie de cette idée que tu pouvais changer de sexe », et se dit heureuse de n’avoir jamais franchi d’étape irréversible pour devenir un garçon.
Sources : The Daily Telegraph, Laura Donnelly (12/12/2019)
*Commentaire d’Augustin Hamilton.
Les médecins disaient que Delilah ne survivrait pas : elle est née bien vivante
Delilah.
Par Victoria Clarizio (LiveActionNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie :
Lorsque la fille de Tara et Brian, Delilah, est née le 20 novembre 2019, ils s’attendaient à n’avoir que peu de temps avec leur fille nouveau-née. Au lieu de cela, ils ont pu ramener leur bébé miracle à la maison pour l’Action de grâce.
Delilah se fit diagnostiquer, lors d’un examen prénatal, de dysplasie squelettique et de nanisme. Ses parents se firent dire qu’elle ne survivrait pas très longtemps après sa naissance, si elle survivait à la grossesse. De nombreux parents se trouvant dans cette situation sont incités à avorter ou se font donner l’impression que la situation est désespérée.
Tara et Brian firent appel au Sufficient Grace Ministries, dont la mission est d’offrir « un soutien en soins palliatifs périnataux aux familles recevant un diagnostic d’espérance de vie limitée pendant la grossesse et du soutien pour ceux qui vivent la perte d’un bébé au cours d’une grossesse ». Ce ministère réconforte les parents endeuillés et les aide à passer le mieux le temps qu’ils peuvent avoir avec leur enfant. Les parents sont accompagnés avant, pendant et après la naissance. L’un des services gratuits offerts par SGM est la photographie, de sorte que Tara et Brian ont pu faire une séance photo avant la naissance de Delilah. Les accompagnants en périnatalité de SGM ont également soutenu les parents fatigués le jour de la naissance de Delilah.
Tout était là pour aider le couple dans les imprévus, y compris une césarienne.
À la surprise générale, Delilah est née sonore et active. Tara avait fait une couverture et des habits pour sa fille, qu’elle habilla et enveloppa soigneusement. Delilah a rencontré ses frères et sœurs et une photographe de SGM était là pour capturer chaque instant. Ils voulaient savourer ce qu’ils pensaient être leurs seules heures avec elle.
Sufficient Grace Ministries a partagé une partie de l’histoire de la naissance de Delilah sur Facebook, avec la permission de ses parents :
Delilah a passé son premier jour et les suivants, défiant les probabilités. Elle a été allaitée [...] a pleuré à grands cris, poussés par des poumons vigoureux. Ses parents sont maintenant à la maison avec elle et traversent la vie avec ce miracle écrasant et inattendu de l’Action de grâce.
Nous nous réjouissons avec eux de la vie miraculeuse et précieuse de la belle Delilah ! Nous sommes témoins de toutes sortes de miracles de ce côté-ci du ciel... et nous célébrons chaque vie, aussi brève soit-elle. Mais, parfois, c’est un vrai don inattendu de temps avec nos tout-petits que nous recevons. Parfois, les bébés défient les probabilités, malgré un mauvais diagnostic. Joignez-vous à nous pour prier pour la santé de Delilah et pour que ses parents aient paix et sagesse, alors qu’ils font face à de nombreux rendez-vous chez le médecin pendant que tout le monde découvre la meilleure façon de prendre soin de leur petite fille miracle. Si vous dites une prière, s’il vous plaît laissez savoir que vous priez et du pays duquel vous le faite afin que la famille de Delilah puisse être encouragée de ce que Bébé Delilah soit couverte de prières du monde entier !
Delilah a survécu contre toutes attentes. On a découvert qu’elle souffrait d’ostéogenèse imparfaite de type 3, ce qui entraîne une disposition aux fractures. Malgré cela, elle est plus forte que prévu depuis sa naissance. Elle a pu être allaitée et est rentrée chez elle dans les deux semaines qui ont suivi sa naissance. La survie miraculeuse de Delilah a donné à ses parents force et espoir alors qu’ils vont de l’avant pour disposer des soins dont elle aura besoin.
Une mère inquiète expose la tyrannie homosexuelle et transgenre de l’école de sa fille de 13 ans
Par Jonathon Van Maren — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : freepik
25 avril 2019 (LifeSiteNews) — Plus tôt cette semaine, le Daily Mail a publié l’article d’une mère qui raconte ce qui se passe dans les écoles du Royaume-Uni. Suzanne Glover, qui est un pseudonyme pris pour raisons de sécurité en raison du niveau de harcèlement auquel sont confrontées les mères qui osent s’élever contre la tendance transgenre, a noté à quel point les choses ont changé depuis son époque. Les conversations avec sa fille de 13 ans, Bella (pseudonyme également), ne concernent plus les sports scolaires, les études et la vie sociale. Maintenant, mentionne Glover, ce qu’elle raconte de l’école implique généralement « des histoires étourdissantes de fluidité des genres et de politique sexuelle » :
Il y a la saga en cours de l’amie de Bella, Jessica, qui a révélé son homosexualité l’an dernier après avoir commencé à sortir avec Alexandra. Cependant, Alexandra est transsexuelle et vit dorénavant sous le nom d’Alex — pour laquelle on doit utiliser le pronom « il » — bien qu’Alex[andra] soit une élève d’une école pour filles.
Il y a eu d’énormes drames lorsqu’une autre camarade de classe, Rebecca, a avoué à Laura, qui est dans son cours de mathématiques, qu’elle était sexuellement attirée par elle. Laura, qui avait l’habitude de se présenter comme un garçon, l’a rejetée avec colère, disant qu’elle avait sauté aux mauvaises conclusions, laissant Rebecca en larmes. Cependant, Laura a par la suite décidé qu’elle était homosexuelle, et les deux filles forment désormais un couple.
Petit rappel : Bella n’a que treize ans. Glover mentionne clairement que si sa fille se révélait homosexuelle, elle serait d’accord [ce qui n’est pas bon]. D’autre part, écrit-elle, le nombre d’enfants qui revendiquent maintenant le statut de minorité sexuelle et l’âge de ces enfants la préoccupent profondément, ainsi que de nombreux autres parents :
Au cours de la dernière année, Bella et ses amis ont estimé qu’environ 12 % — une sur huit — de son groupe d’âge se s’est déjà déclarée gais, bisexuelle ou transgenre. D’autres parents à qui j’ai parlé dans des écoles sélectives pour filles similaires, près de chez nous, citent des pourcentages similaires.
Et ce n’est pas uniquement dans les écoles non mixtes. Selon les chiffres du conseil publiés en novembre dernier, Dorothy Stringer, une école secondaire de Brighton, a révélé que 40 enfants ne s’identifiaient pas au sexe avec lequel ils étaient nés, et 36 autres sur 1600 enfants ont déclaré qu’ils étaient de genre fluide… Selon les derniers chiffres du recensement gouvernemental sur l’identité sexuelle, qui sont recueillis anonymement, 1,6 % des femmes adultes au Royaume-Uni se disent lesbiennes, gaies ou bisexuelles. Bien que cela ne fasse pas l’objet d’un suivi, on estime que le nombre de personnes transgenres se situe entre 0,2 % et 1 %.
Cela dit, écrit Glover, il y a un « grand écart » entre ces statistiques et ce qui se passe à l’école, en particulier chez les filles. En fait, sa fille n’a pratiquement pas reçu d’information dans ses classes sur la façon « d’avoir une relation hétérosexuelle » [c’est-à-dire ?] alors qu’elle avait déjà reçu « un séminaire sur le genre et les préférences sexuelles animé par cinq des élèves transsexuels, non binaires (ne s’identifiant ni comme homme ni comme femme) et gais de sixième année ». Il s’agissait de présentations sur les définitions d’un large éventail de mots, allant de « transgenre » à « asexué ». Le fait d’être normal, cependant, est présenté comme une autre option parmi tant d’autres, malgré les statistiques officielles indiquant que seule une infime fraction de la population s’identifie comme LGBTQ :
Un mot dont Bella ne connaissait pas encore le sens était « cisgenre ». Ce mot, de plus en plus entendu, est défini comme « les personnes dont l’identité de genre correspond au sexe qui leur a été attribué à la naissance ». En d’autres termes, on a dit à Bella qu’elle avait maintenant une étiquette pour être née fille et qu’elle voulait le rester. Déconcertée, elle m’a dit après l’école : « Je suis une fille. J’aime être une fille. Jusqu’à présent, je n’avais pas pensé que j’avais besoin de le justifier. »
Lire la suiteUn professeur dit à sa classe que « les filles ne sont pas réelles, et les garçons ne sont pas réels »
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : PxHere
Le Justice Centre for Constitutional Freedoms (JCCF) a déposé une requête auprès du Tribunal des droits de l’homme d’Ontario, pour le compte d’une petite fille et de sa mère, à l’encontre de la Commission scolaire du district d’Ottawa-Carleton. Le professeur de la petite fille (nommée NB dans l’article du JCCF) avait, entre autres, dit à sa classe « les filles ne sont pas réelles, et les garçons ne sont pas réels », ce qui a fortement troublé la petite fille, selon le JCCF :
Cette affaire a beaucoup retenu l’attention des médias, notamment dans les chroniques de Barbara Kay (ici et ici) et de Jordan Peterson, professeur de psychologie à l’Université de Toronto.
Au début de l’année 2018, le NB était une élève de 6 ans dans une classe de première année confiée à l’enseignant « JB ». Celui-ci montra à la classe une vidéo YouTube intitulée « He, She, and They?!? — Gender : Queer Kid Stuff #2" (Lui, elle et eux ?!? — genre : enfant queer matériel n° 2). La vidéo contenait un certain nombre de déclarations sur l’identité de genre et affirmait que « certaines personnes ne sont pas des garçons ou des filles » et que ceux qui ne se sentent pas comme une « elle » ou un « il » pourrait ne pas avoir de genre. Afin de déterminer qui est une fille ou un garçon — ou aucun des deux, débitait la vidéo, tout ce que vous avez à faire est de demander à quelqu’un son pronom.
Lors d’une autre occasion, JB dessina une échelle des genres au tableau et demanda à chaque élève de déterminer où ils se situaient sur cette échelle. NB indiqua qu’elle se trouvait à l’extrémité la plus éloignée de l’échelle marquée « fille ». JB ensuite déclara à la classe : « les filles ne sont pas réelles, et les garçons ne sont pas réels ». C’était extrêmement perturbant pour NB.
NB rentra chez elle et raconta tout à ses parents, demandant à plusieurs reprises pourquoi son identité de fille n’était « pas réelle ». Elle confia qu’elle n’était pas sûre de vouloir être maman quand elle serait grande, et demanda si elle pouvait « aller chez le docteur » à ce sujet. NB exprima également le sentiment qu’elle « devait faire quelque chose » à propos du fait qu’elle était une fille. Ceci suivait une leçon de JB sur les concepts de l’échelle du genre et des changements de sexe.
Ni l’école ni JB n’ont obtenu le consentement des parents pour enseigner à cette jeune enfant que sa perception de soi en tant que fille était une fiction. La conduite de JB a miné le concept fondamental de l’identité de leur fille et a également contredit la réalité biologique, déclare la requête.
Malgré l’inquiétude exprimée par la famille, les responsables de l’école ont refusé de prendre des mesures pour corriger l’impact de ces leçons sur NB. En fin de compte, la famille a choisi de la transférer dans une autre école, ce qui a rendu NB heureuse de ne plus avoir d’enseignant qui disait que « les filles ne sont pas réelles ». Même après son déménagement dans la nouvelle école, NB a continué d’être bouleversée par son expérience dans la classe de JB et s’est débattue avec le concept que sa propre identité n’était pas quelque chose de réel. « Cette table est réelle, et cet éventail est réel, et même si l’éventail est en carton, il est toujours réel », disait-elle à sa mère, qui était suffisamment inquiète pour demander conseil à un psychologue sur la façon d’aider sa fille, selon la requête.