Un bébé à naître sauvé grâce à une transfusion sanguine «extraordinaire» in utero
Photo in utero d'un enfant à naître de 26 semaines.
Par La Society for the Protection of Unborn Children — traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Lennart Nilsson
Une intervention médicale remarquable a donné de la joie à une famille et de la vie à leur petit garçon qui était menacé par une maladie rare dès le ventre de sa mère.
Bébé Edward, aussi connu sous le nom de Teddy, souffrait d’anémie. En réponse, le docteur Amarnath Bhide a utilisé une sonde à ultrasons pour insérer une aiguille à travers l’utérus et dans le cordon ombilical, dans lequel celui-ci a administré à Teddy du sang donné.
Teddy a bénéficié de cinq transfusions sanguines avant sa naissance, ce sont quelques-unes des plus précoces interventions in utero à avoir été effectuées.
Michael Robinson, directeur des communications de SPUC Scotland, a qualifié ces interventions d’« extraordinaires ».
Sauver des vies grâce à la chirurgie in utero
Bien que l’intervention qui a sauvé la vie du bébé à naître Teddy soit effectivement « extraordinaire », l’option de l’opération in utero, qui peut sauver et améliorer l’espérance de vie des enfants à naître, devient une perspective beaucoup plus positive.
Actuellement, les opérations in utero permettent de traiter un certain nombre de pathologies fœtales, notamment le spina bifida, les tumeurs fœtales, la paralysie cérébrale, les problèmes cardiaques fœtaux et l’hyperthyroïdie.
Lire la suiteLettre ouverte : En mémoire de la courte vie de l’enfant porté par Chantal Daigle
Lettre ouverte de Solange Viau, d’abord adressée au journal Le Devoir puis à Radio-Canada, que ceux-ci n’ont pas publiée. — Photo : PxHere
C’est avec intérêt et beaucoup de tristesse que j’ai écouté l’émission « Tout le monde en parlait » présentée sur les ondes de Radio-Canada le 16 juillet dernier, et que j’ai lu les textes parus dans le journal Le Devoir qui rappelaient et commentaient les événements entourant l’avortement de Chantal Daigle. Je me demande comment est-ce possible que tant de gens aient manifesté (et manifestent) si peu d’intérêt et de compassion envers l’enfant que portait Chantal Daigle? En particulier, j’ai vraiment trouvé pitoyable le récit de la sage-femme qui avait accompagné Mme Daigle pour son avortement à Boston. Elle parlait avec beaucoup d’enthousiasme tout au long de son témoignage. Une sage-femme n’a-t-elle pas pour mission d’aider les femmes à accoucher de l’enfant qu’elle porte et de prodiguer tous les soins nécessaires afin d’assurer la survie de la mère et de l’enfant ? Comment peut-on manifester tant de joie à avoir participé à la mort douloureuse et violente d’un enfant innocent de 22 semaines dans le ventre de sa propre mère, l’endroit où il devrait pourtant être le plus en sécurité ?
Bien des femmes réclament le choix de faire ce qu’elles veulent avec leurs corps mais les enfants à naître qui n’ont pas choisi d’être là, aimeraient sûrement qu’on leur demande aussi ce qu’ils pensent de ce qu’on veut faire avec leurs corps.
À coup sûr, si toutes les personnes pro-choix impliquées dans cette cause et qui ont milité pour la mort de cet enfant s’étaient retrouvées comme enfant dans le ventre de Mme Daigle, elles seraient toutes devenues instantanément pro-vie. En effet, tout être vivant placé devant une menace pour sa survie va fuir ou se battre. Aucune de ces personnes n’aurait accepté de mourir de manière aussi injuste et violente. Radio-Canada n’aurait jamais présenté la procédure qui a servi à tuer l’enfant de Chantal Daigle car cela aurait été insupportable à regarder. Les enfants avortés subissent une véritable torture avant de mourir et cela sans aucune anesthésie. On est bien loin du « mourir dans la dignité ». On peut aussi se demander si les décisions des juges impliqués dans cette affaire auraient été les mêmes si on leur avait décrit comment cet enfant est mort et si on leur avait montré les images de son petit corps ensanglanté, jeté dans une poubelle comme une ordure. Personne pour pleurer sa dépouille et le souvenir de sa courte vie.
Quand on a reçu le don de la vie, comment peut-on militer pour que d’autres en soient privés ? Ne pas faire aux autres ce que l’on ne voudrait pas que l’on eût pu faire sur nous dans le ventre de notre mère. Voilà ce qui devrait guider les cœurs et les actions des membres de notre société. Il y a plusieurs moyens d’aider les femmes enceintes en difficultés et n’oublions pas qu’il y a une liste d’attente de plus de cinq ans pour adopter un bébé au Québec. « Je veux naître et grandir » voilà ce que désirent tous les enfants dans le ventre de leurs mamans, l’endroit où ils devraient être le plus en sécurité.
Solange Viau
11 août 2019
Témoignage : Les médecins me mettaient de la pression pour que j’avorte. Ils ne m’écoutaient pas quand je disais « non »
Par une femme anonyme — traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : freepik
Note de l’éditeur: Cette histoire est celle d’une jeune femme qui souhaite rester anonyme. Elle voudrait témoigner de son expérience au sujet des pressions reçues de la part du corps médical visant à la pousser à se faire avorter. Elle espère que son témoignage sera utile à d’autres personnes pour qu’elles se préparent mieux et aient le courage d’affirmer leurs valeurs en cas de choix difficiles à faire.
Le 3 juillet 2019 (LifeSiteNews) — A 25 ans, ma vie était parfaite. Je venais de me marier avec mon amour d’enfance et nous attendions notre premier enfant. Aussitôt après avoir eu confirmation de la grossesse, une suite de tests, d’examens et visites médicales s’en sont suivis, tout ce qu’il y a de plus normal.
Tôt dans la grossesse, on m’a demandé d’accepter de procéder à des tests complémentaires. Je n’avais pas vraiment tout compris et n’ai pas posé plus de questions. J’ai simplement compris que cela serait peu invasif et qu’il était question de détecter des anomalies. Peu avant la vingtième semaine de grossesse, j’ai reçu un appel à 17h30. Les tests indiquaient un risque de trisomie 21 pour mon enfant. J’avais rendez-vous pour le lendemain matin à 8h30 avec un généticien pour en savoir plus.
Mon mari et moi-même nous sommes rendus au rendez-vous où nous avons appris que suite aux tests, notre bébé avait 1 chance sur 200 de naître avec la trisomie 21. Une amniocentèse pourrait nous le confirmer de façon certaine mais nous devions nous décider immédiatement et aller faire l’examen aussitôt à l’étage inférieur. Ce test apportait un risque de 1 pour 100 de fausse couche. Nous n’avions pas de délai de réflexion ni le temps de parler à nos parents et n’avons même pas pensé à appeler notre aumônier.
Nous étions tous les deux prêts pour élever un enfant aux besoins spéciaux mais nous étions aussi jeunes et effrayés. Nous avions peur que notre enfant arrive au monde avec plus de problèmes et aussi peur de s’engager pour 20 semaines de plus sans connaître l’issue exacte de la situation. Nous avons accepté de faire le test, sommes descendus et l’avons fait.
Lire la suiteLe jugement Tremblay c. Daigle qui a ôté tous droits légaux au père et à l’enfant à naître
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : Monam/Pixabay — Mise à jour 30 juillet 2019
Voici maintenant trente ans que le jugement Tremblay contre Daigle, rendu par la Cour suprême du Canada le 8 août 1989, a déclaré que l’enfant à naître et le père de celui-ci n’avaient pas de droit par rapport à sa vie.
L’affaire se déroule sous les funestes auspices du jugement R. c. Morgentaler, rendu le 28 janvier 1988 par la Cour suprême qui dépénalisa alors l’avortement faisant du coup un vide juridique, bien qu’en 1988 le statut de cette pratique fût très laxiste suite à l’adoption de la loi omnibus C-195 du Parti libéral, le 14 mai 1969, qui avait permis l’avortement notamment pour des raisons médicales, ce qui pouvait très bien comprendre celles de « santé » mentale ou économique, laissant se perpétrer impunément 11 152 avortements en 1970.
Les deux protagonistes principaux du jugement de 1989 sont Jean-Guy Tremblay, homme dépeint comme violent et qui « tentait d’empêcher son ex-conjointe » d’avorter, et Chantal Daigle, celle qui voulait se faire avorter. Il y a bien sûr un troisième personnage à qui devrait en fait revenir la place principale, bien que celle-ci revint plutôt à Chantal Daigle dans les médias, l’enfant à naître qui représentait tous ses semblables dont la vie pouvait dépendre de cette cour inique.
L’histoire qui a mené à cette décision insensée du 8 août 1989 a été bruyamment commentée par les médias à l’époque, car d’après Le Devoir :
« L’histoire du couple qui retient l’attention des Québécois pendant l’été 1989 est à l’image des événements qui suivront : rapide et intense. La Presse, Le Devoir et Le Journal de Montréal accordent au total 52 premières pages aux événements rattachés à l’affaire Daigle contre Tremblay entre le 7 juillet et le 17 août », écrit l’historienne Marilyne Caouette dans son mémoire de maîtrise intitulé L’affaire Daigle contre Tremblay : l’avortement comme débat de société à la fin des années 1980.
Deux cours du Québec avaient tranché en faveur du père et de l’enfant à naître, avant que l’affaire ne se rendît jusqu’à la Cour suprême du Canada, d’après un second article du journal Le Devoir :
Après qu’une injonction interdisant à la femme de 21 ans de mettre fin à sa grossesse fut confirmée le 17 juillet 1989 par la Cour supérieure du Québec puis maintenue par la Cour d’appel du Québec, la cause grimpa en un temps record à la Cour suprême du Canada.
Je ferais remarquer au passage l’importance de l’emploi des expressions et des mots ici ; par exemple, un avortement est plutôt l’acte de tuer un enfant à naître que celui de « mettre fin à sa grossesse ».
Lire la suiteLa nouvelle stratégie des enfants à naître dans l’État de New York, où l’on n’exécute pas les tueurs
Fable par The Babylone Bee — traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : JESHOOTS-com/Pixabay
New York — Selon un nouveau reportage, les enfants à naître de l’État de New York ont adopté une nouvelle stratégie pour rester en vie malgré les nouvelles lois barbares de l’État sur l’avortement : s’identifier comme criminels reconnus afin de ne pas être éligibles à la peine capitale en vertu de la Constitution de l’État.
Depuis que la peine capitale a été interdite dans l’État, mais que l’avortement y est légal quand et comme vous le voulez, les bébés à naître ont rapidement formulé la stratégie de survie consistant à s’identifier comme meurtriers, violeurs et fous génocidaires.
« Je m’identifie maintenant comme tueur en série inculpé de cinq chefs d’accusation de meurtre », a déclaré un bébé à naître de six mois dont la mère envisageait l’avortement. « Par conséquent, en vertu de la loi de l’État, je ne peux être exécuté. Désolé, maman. »
« J’imagine qu’il va falloir que tu aimes être maman ou quelque chose comme ça », a-t-il ajouté, haussant les épaules.
Les dirigeants de l’État ont été pris au dépourvu par cette stratégie et ne savent s’ils doivent restreindre l’avortement ou annuler l’interdiction de la peine capitale. « Nous sommes définitivement dans le pétrin », a déclaré le gouverneur Andrew Cuomo. « Nous devons respecter l’identité choisie de ces bébés en tant que tueurs en série, et nous ne pouvons évidemment pas faire une injection mortelle sur un tueur en série. »
« Ce serait tout simplement inhumain », a-t-il ajouté en hochant la tête.
Les néerlandaises peuvent maintenant enregistrer leurs bébés avortés en tant que personnes
Par Jonathon van Maren ― traduit par Campagne Québec-Vie ― Photo : Lynn Greyling/PublicDomainPictures
26 avril 2019 (LifeSiteNews) ― En février 2019, la loi néerlandaise a officiellement changé d'une manière qui s'avère beaucoup plus importante que ce qui avait été prévu initialement. En réponse à une pétition signée par 82 000 personnes, le gouvernement permet maintenant aux gens d'enregistrer leur enfant mort-né comme personne légale dans la Base de données des dossiers personnels, ce qui n'était pas permis auparavant. La pression en faveur de ce changement avait été menée par des mères qui souhaitaient que leurs enfants décédés avant la naissance soient reconnus comme personnes de valeur.
Ce à quoi le gouvernement ne s'attendait pas, c'est qu'une jeune femme qui regrettait profondément d'avoir avorté, soit donc venue faire enregistrer son enfant avorté comme personne légale, ce qu'elle a pu faire puisque les mères peuvent maintenant demander une reconnaissance pour les enfants qui sont morts avant la naissance. Le petit enfant de Yara, qui est mort à quatorze semaines dans une clinique d'avortement d'Amsterdam, était évidemment admissible. Tout parent peut déclarer un enfant décédé avant la naissance, quelle que soit la période de temps, et l'enfant décédé est alors ajouté à la « liste des personnes » néerlandaises à côté des informations concernant le(s) parent(s). Cela signifie que le nom de l'enfant apparaît également sur le site internet officiel du gouvernement, ainsi que sur le registre de population pour les personnes.
La mère en deuil était représentée par Don Ceder, un jeune avocat néerlandais d'origine ghanéenne qui figurait sur la prestigieuse liste "30 under 30" de Forbes et qui est également conseiller municipal du Parti union chrétienne à Amsterdam. Yara s'est adressée à M. Ceder lorsqu'elle a appris que la loi avait changé, estimant que si elle pouvait enregistrer son bébé en tant que personne légale, cet acte symbolique et puissant serait un pas en avant important dans son processus de deuil. Après avoir examiné la loi, M. Ceder a découvert qu'il n'y avait aucune raison qu'un enfant avorté ne puisse pas être enregistré. Le nouveau règlement ne précise pas la cause du décès ou le nombre de temps que la grossesse doit avoir durer comme facteurs selon lesquels l’enfant peut être enregistré, bien qu'on puisse dire sans risque de se tromper que la contradiction cognitive avec laquelle nous traitons la vie prénatale dans l'utérus a probablement provoqué un choc total dans ce scénario particulier.
Lire la suiteQuand dans une université on compare les enfants à naître avec des cancers…
Bibliothèque Geisel de l'Université de Californie San Diego.
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) ― Photo : Wikimedia Commons
À l’Université de Californie San Diego a été donnée une présentation sur les fœtus (humains) qui les comparait à des cancers… Pour en être arriver à une telle considération, il faut être rendu bien bas dans le monde de la pensée. Charlie Kirk rapporte sur son Compte Twitter :
À la @UCSanDiego ils enseignent aux étudiants qu’un bébé dans le ventre de sa mère est comme un cancer tuant le corps.
C’est l’ordure qui est enseignée à nos étudiants dans les universités.
Au Canada, l’accès à la pilule abortive est facilité
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : Wheeler Cowperthwaite/Flickr
Au Canada, jusqu’à récemment, la prescription de la pilule abortive RU-486 (limité à 7 semaines de grossesse auparavant et maintenant à 9 semaines, pour le malheur des femmes et de leur enfant à naître) requérait une échographie pour dater l’âge de l’enfant à naître si celui-ci était inconnu, et pour repérer les grossesses extra-utérines auquel cas la prescription est interdite. Mais le gouvernement canadien, désireux de rendre ce pesticide antihumain plus accessible, largue ce qui lui reste de prudence face à ce produit dangereux. Un plus grand nombre d’enfants à naître mourra par ce moyen, et un plus grand nombre de femmes aussi… Car, d'après Gènéthique :
Cependant, afin de faciliter l’accès à cette pilule, en particulier dans les régions où les délais pour une échographie sont plus longs, le ministère de la santé canadien vient de revenir sur cette obligation dans un communiqué. Les prescripteurs devront se fier à leur seul diagnostic pour déterminer l’âge gestationnel et exclure une grossesse extra-utérine.
Une jeune mère dans le coma donne vie à son enfant, quelques heures avant sa mort
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : Pixnio
Catarina Sequeira, la jeune mère, avait 26 ans quand elle devenue enceinte de son premier enfant et hélas le dernier. En décembre dernier, elle eut une grave crise d’asthme. Extraits de Sudinfo :
Son état s’est très rapidement dégradé et les médecins n’ont eu d’autres choix que de la placer dans un coma artificiel pour tenter de la soigner. En vain. L’état de Catarina s’est détérioré et le lendemain de Noël, la jeune femme a été déclarée en état de mort cérébrale alors qu’elle était enceinte de dix-neuf semaines à cette époque.
Encore la notion mortifère de « mort cérébrale », rien de plus ridicule. Car comme l’indique cette appellation, on se base sur le cerveau pour définir si la personne est morte, or une personne morte ne donnerait pas la vie… D’après l’article de Sudinfo, ce serait grâce à la loi du Portugal sur le don d’organe que les médecins auraient gardé Catarina Sequeira… en vie ! Car donner la vie serait dans ce cas considérer comme donner un organe, et comme au Portugal tout le monde est considéré comme donneur à moins d’avis contraire.
Vous pourrez remarquer que le prélèvement d’organe se fait sur des personnes dites en état de « mort cérébrale », donc se faisant on les tue. Ensuite, il n’est pas nécessaire d’une loi sur le « don d’organe » pour que les médecins aient pu faire ce qu’ils ont fait. Du moins auront-ils sauvé l'enfant. L’article continue :
Alors, lorsque les fonctions respiratoires de Catarina se détériorent jeudi [18 mars] dernier, ils ont décidé de donner naissance avec un peu d’avance au petit garçon par césarienne. Prématuré, le bébé, qui porte le nom de Salvador, pèse 1,7 kg mais se porte bien. Il doit toutefois encore rester hospitalisé pour au moins trois semaines. « C’est un bébé miracle », a déclaré son père dans les médias portugais.
Catarina Sequeira a été débranchée quelques heures après la naissance.
Dès l’état fœtal, les cerveaux des filles et des garçons sont différents
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie)
Et pour le professeur Moriah Thomason, principal auteur de l’étude rapportant les faits et chercheur à l’Université de New York, cette découverte lui suffit pour voir que les garçons et des filles naissent dissemblables (bien qu’à mon avis il n’y ait pas besoin d’aller si loin pour le découvrir). Extrait de Gènéthique :
Le professeur Thomason affirme que la principale différence réside dans la connectivité entre les zones distantes dans le cerveau : les cerveaux des filles fabriqueraient des réseaux « de plus longue portée », quand les cerveaux masculins seraient « plus sensibles aux influences environnementales ». L’étude américaine, publiée dans la revue Developmental Cognitive Neuroscience, conclut que « les différences cérébrales entre les sexes commencent dès l’utérus ».