Les gens savent que ce sont des bébés, réactions et témoignages sur l'avortement
Par Bonnie Finnerty (LifeNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie
Ce sont les bébés. Toujours les bébés. Chaque fois que j’installe une exposition éducative, ce sont les modèles de fœtus qui attirent les gens à notre table comme un papillon à la flamme. Et c’était le cas au Creation Music Festival, un événement musical chrétien auquel participent des dizaines de milliers de personnes chaque année.
Cela se passe toujours ainsi. Les bébés sont repérés de loin. Les gens s’approchent, les touchent, les tiennent, s’émerveillent devant eux. Une conversation s’engage. Des informations sont partagées. Des histoires sont racontées. Beaucoup d’histoires différentes.
Comme celle de cette femme à qui l’on a dit d’avorter il y a vingt-quatre ans, après qu’une échographie ait révélé que son enfant n’avait pas de cerveau. Elle a refusé et a prié pour qu’un test ultérieur donne un résultat différent. Ce fut le cas. Sa fille est née en parfaite santé.
Deux autres femmes m’ont raconté qu’elles étaient devenues enceintes à l’adolescence et que leur famille les avait poussées à avorter. Bien qu’elles se soient senties seules et sans soutien de la part de leurs proches, les deux femmes ont refusé l’avortement, choisissant plutôt l’adoption ouverte. Toutes deux ont une relation magnifique et aimante avec les enfants qui ont grandi dans leur corps. L’une d’elles a même partagé la photo de son fils biologique de six ans qui s’épanouit dans sa famille adoptive.
Pendant quatre jours, j’ai parlé avec des centaines de personnes et écouté des dizaines d’histoires. De nombreux jeunes enfants étaient ravis de tenir nos bébés et de poser pour des photos. Cependant, je n’avais pas prévu que les bébés attireraient des personnes ayant subi un avortement.
Jamais auparavant autant de personnes ne m’avaient révélé qu’elles avaient subi un ou plusieurs avortements. Toutes ont dit que par la suite, pendant des années, elles en ont porté en silence la honte et le chagrin.
Lire la suitePlus de 4000 rapports de fausses couches de femmes vaccinées au covid dans le VAERS
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : Pormezz/Adobe Stock
Tamara Ugolini, journaliste du Rebel News, rapporte la teneur d’un entretien qu’elle a eu avec le Dr Jessica Rose, mathématicienne appliquée, immunologiste, biologiste moléculaire et informatique et biochimiste où cette dernière parle de ses analyses des données du VAERS, notamment les quelque 4000 rapports volontaires de fausses couches chez les femmes vaccinées au covid, un nombre qui serait à multiplier par 31 à cause de la sous-déclaration. Selon le Rebel News :
Dans cet entretien, nous discutons de cette tendance avec le Dr Jessica Rose, mathématicienne appliquée, immunologiste, biologiste moléculaire et informatique et biochimiste. Mme Rose m’a déjà rejoint pour discuter des analyses qu’elle a réalisées et qu’elle continue d’effectuer sur les données du système VAERS (Vaccine Adverse Events Reporting System) des Centers for Disease Control (CDC) des États-Unis.
Mme Rose note que certains rapports d’événements indésirables dans la base de données VAERS sont devenus si nombreux qu’ils sont trop lourds à analyser sur le plan informatique.
Dans la base de données VAERS, selon le décompte de Mme Rose, il y a eu à ce jour 4 474 rapports d’avortements spontanés (c’est-à-dire de fausses couches) soumis après l’injection d’un vaccin covid. Mme Rose suppose qu’il existe un facteur de sous-déclaration de l’ordre de 31, de sorte que la multiplication de ces événements signalés par le facteur de 31 est susceptible de donner une représentation plus fidèle du profil des événements indésirables.
Ces résultats ne sont en fait pas étonnants si l’on considère, comme le souligne le Dr Rose, que les protéines de pointe (spike proteins) ne restent pas dans le lieu d’injection, mais circulent dans tout le corps, pour se concentrer dans les organes tels que le foie, la rate… ou les ovaires.
On peut certainement mettre en lien avec ces faits le nombre important de signalements de troubles menstruels de femmes vaccinées au covid auprès du Réseau français des centres de pharmacovigilance.
La question fondamentale de l’avortement : le fœtus est-il ou non une personne humaine ?
Par Geneviève De Vriendt (Campagne Québec-Vie)
Vous cherchez la solution pour débattre efficacement avec les pro-avortement ?
Un article de LifeSiteNews donne la réponse : « exigez qu’ils répondent à la question fondamentale. » Tous les slogans hystériques des pro-avortements, tous les appels au « droit des femmes », au « droit de tuer son propre enfant à naître », à la « liberté de choisir » ne pourront jamais répondre à cette question fondamentale.
Le point de départ de toute conversation, de tout débat sur l’avortement devrait être : « Le fœtus est-il ou non une personne humaine ? » Parce que « S’il l’est, il a un droit à toutes les protections dont bénéficient toutes les autres personnes humaines. »
La question trop controversée, et presque taboue de l’avortement est aussi simple que cela. L’humanité de l’enfant à naître est-elle un fait incontestable ?
Comme l’article de Charlie Johnston l’admet, « Se concentrer sur l’humanité fondamentale de l’enfant à naître ne réglera pas le problème avec ceux qui sont investis dans la défense de l’avortement. Il s’agit plutôt d’un plan de bataille qui, s’il est rigoureusement respecté, en fera un reste toujours décroissant et peu recommandable. »
À la lumière du possible renversement de Roe v. Wade, une décision qui affectera non seulement le géant américain mais aussi le Canada, il est nécessaire de lancer cette « question fondamentale » avant de s’emballer dans des slogans non scientifiques et non rationnels des pro-avortement.
En conclusion, l’auteur de LifeSiteNews lance un appel à aller de l’avant et à poursuivre le combat pro-vie : « Le travail des pro-vie ne sera pas terminé tant que notre culture ne reconnaîtra pas pleinement la dignité humaine et le droit irrévocable à la vie de chaque personne, quel que soit son stade de développement. Restez concentré sur cette question, et beaucoup d’entre nous vivront peut-être pour voir le jour où chaque personne innocente sera valorisée et protégée. »
Pour en savoir plus sur l’humanité de l’enfant à naître voir : L’embryon est-il un être humain ?
Message de Mgr Lépine pour la Marche pour la Vie à Ottawa
Mgr Christian Lépine, archevêque de Montréal.
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : DunnMedia/Vimeo
Mgr Christian Lépine, archevêque de Montréal, a annoncé sa participation à la Marche pour la Vie d’Ottawa — comme les années précédentes — dans une récente vidéo : « nous sommes heureux de marcher ensemble pour cette cause de la beauté de l’existence que le Dieu Lui-même nous révèle ».
Il rappelle dans la vidéo que « C’est devant Dieu qu’on redécouvre la beauté de tout être humain… dès le moment de la conception, dès le sein de la mère, de chaque mère ; l’enfant conçu est créé à l’image de Dieu ».
Pour une cause si juste, Mgr Lépine donne sa bénédiction au participant de la marche : « Que le Seigneur vous bénisse en cette Marche pour la Vie, et tous ensemble soyons unis dans un esprit de miséricorde, de conviction, de patience, et de foi et de prière. »
Transcription de la vidéo :
« Je reconnais devant Toi le prodige, l’être étonnant que je suis », dit le Psaume. C’est devant Dieu qu’on redécouvre la beauté de tout être humain. Ma propre beauté, ma propre dignité devant Dieu, mais aussi la beauté et la dignité de l’autre, quelle que soit sa fragilité, quelle que soit sa vie dès le moment de la conception, dès le sein de la mère, de chaque mère ; l’enfant conçu est créé à l’image de Dieu. Et cette beauté, cette grandeur, ce grand mystère de vie nous renvoie à la dignité de tout être humain, nous renvoie à la cause où ça vaut la peine de marcher ensemble pour la vie. Christian Lépine, archevêque de Montréal, au nom de tout le diocèse et avec vous — vous qui marchez pour la vie — nous sommes heureux de marcher ensemble pour cette cause de la beauté de l’existence que le Dieu Lui-même nous révèle. Si nous avons des doutes devant la souffrance, ouvrons la Bible qui nous rappelle la présence de Dieu et l’Amour de Jésus-Christ. Que le Seigneur vous bénisse en cette Marche pour la Vie, et tous ensemble soyons unis dans un esprit de miséricorde, de conviction, de patience, et de foi et de prière.
Un bébé atteint d’un grave spina bifida a été opéré dans l’utérus de sa mère
Helena et sa fille Mila.
Par Right to Life UK (LifeNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie
Un bébé a subi une intervention chirurgicale « révolutionnaire » avant sa naissance, dans l’utérus, pour le soigner de son spina-bifida. À seulement 23 semaines de gestation, le bébé Mila — abréviation de Milagro, ou miracle, en espagnol — a subi une opération complexe réalisée par une équipe de 25 chirurgiens pour réparer sa moelle épinière exposée et refermer le trou dans son dos.
Sa mère, Helena, a appris que son enfant était atteinte de spina bifida lors de l’examen médical effectué à 20 semaines.
« Il y avait une très grosse lésion dans son dos et la moitié de sa colonne vertébrale était exposée. Ils ont dit qu’il était probable qu’elle soit paralysée, incontinente et ait besoin d’une dérivation pour drainer le liquide de son cerveau plus tard », dit-elle.
« J’étais hors de moi quand ils m’ont dit toutes les conséquences possibles de cette maladie et je n’ai pas pu m’arrêter de pleurer ».
« Ils m’ont dit que la probabilité qu’elle marche ou bouge ses jambes était très, très faible — c’était absolument dévastateur ».
Cependant, quelques jours après, Helena a appris qu’elle et sa fille pouvaient bénéficier d’une intervention chirurgicale pendant que sa fille était encore dans l’utérus. À 23 semaines, elle a été envoyée dans un hôpital spécialisé en Belgique, qui travaille en partenariat avec le NHS, où elle a été opérée.
« Je suis tellement reconnaissante »
Le spina bifida touche environ 1 500 bébés chaque année. Souvent, une partie de la moelle épinière est exposée et ne peut se développer correctement. Cela peut entraîner une paralysie, des problèmes d’intestin, de la vessie et des reins. Mais si les chirurgiens peuvent opérer entre la 22e et la 26e semaine de grossesse, au lieu de le faire après la naissance, cela signifie un bien meilleur résultat pour le bébé.
Lire la suiteUn médecin de première ligne affirme que les décès fœtaux provoqués par les vaccins par rapport au nombre d'injections vaccinales ont augmenté de près de 2 000 % depuis le lancement des vaccins covid
Par Emily Mangiaracina — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : WavebreakMediaMicro/Adobe Stock
Mise à jour, 8 avril 2022 : Le titre précédent de cet article était « Un médecin de première ligne affirme que les décès fœtaux ont augmenté de près de 2 000 % depuis le lancement des vaccins covid » et a été changé pour celui actuel pour apporter quelques précisions. Des rajouts ont été faits dans le texte et mis entre crochets. — A.H.
2 avril 2022 (LifeSiteNews) — L’un des médecins d’America’s Frontline Doctors (AFLDS) avertit les femmes enceintes que le lancement du vaccin COVID a coïncidé avec une augmentation de près de 2 000 % des décès fœtaux [provoqués par les vaccins et enregistrés dans le Vaccine Adverse Event Reporting System (VAERS)], par rapport au taux enregistré lors des vaccinations précédentes.
Dans un segment de « Frontline Flash » intitulé « Huge Preborn Death Spike » publié lundi, le Dr Peterson Pierre a présenté des statistiques montrant que le taux de décès fœtal [provoqués par les vaccins] par vaccin administré aux États-Unis a, en fait, massivement augmenté depuis la mise à disposition des vaccins COVID.
Pierre a fait remarquer que, selon le CDC, depuis la mise en place des vaccins COVID, 550 millions de vaccins ont été administrés et 3 725 morts fœtales [provoquées par les vaccins] ont été enregistrées. Cela signifie, a-t-il souligné, que pour 147 651 injections, il y a eu un décès fœtal.
Il a comparé ces chiffres aux statistiques de la période comprise entre 2006 et 2019. Pendant cette période, il y aurait eu « 4 milliards de piqûres administrées » et « 1 369 morts fœtales [provoquées par les vaccins], ce qui équivaut à » une mort fœtale pour environ 3 millions de piqûres.
« Si vous faites le calcul, vous vous rendez compte que depuis que les vaccins COVID sont disponibles, il y a eu une augmentation de 1 925 % des décès fœtaux » [provoqués par les vaccins], a-t-il poursuivi.
Pierre a ensuite exhorté les futures mères à tenir compte de ces chiffres, pour le bien de leurs enfants.
« Maintenant, futures mamans, peu importe ce que dit la FDA ou le CDC. Même ce que dit votre médecin n’a pas d’importance », a-t-il poursuivi. « Parce qu’en dépit de ces données, la recommandation de se faire vacciner [COVID] n’a pas changé. »
« Vous devez faire attention à vos propres enfants. Vous êtes leur protectrice. Vous devez bien réfléchir. Cette décision vous appartient, et à personne d’autre. »
Lire la suiteUne mère a refusé d’avorter son bébé atteint de spina-bifida — « Pas une option, je l’aime déjà »
(De gauche à droite) Michelle, Michael et Lacey Grace Bower.
Par SPUC (LifeNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie
Une mère qui a courageusement défié le conseil de son médecin d’avorter sa petite fille célèbre son petit miracle.
Michelle Bower et son mari, Michael, ont été incités à avorter après avoir reçu un diagnostic de spina bifida pour leur enfant à naître. Heureusement pour la petite Lacey Grace, ses parents se sont accrochés à sa vie et ont refusé de céder au défaitisme du personnel médical.
Mme Bower, originaire de l’Indiana, aux États-Unis, a déclaré : « Nous avons rencontré le médecin juste après l’échographie et avons entendu pour la première fois les mots “anomalie du tube neural”, “tête en forme de citron” et “spina bifida” pour décrire notre fille. »
« Nous étions complètement désemparés. Les larmes n’ont pas cessé de couler pendant quelques jours. »
Le spina bifida signifie que le canal rachidien du bébé ne se ferme pas complètement lors de son développement, ce qui entraîne de graves lésions des nerfs de la moitié inférieure du corps, pouvant conduire à un handicap.
« J’ai pleuré toutes les larmes de mon corps »
Mme Bower a été orientée vers un médecin spécialiste qui lui a dit que l’état de Lacey Grace était grave, et lui a fortement conseillé d’avorter.
« J’ai pleuré à chaudes larmes à cette évocation. À travers mes larmes, j’ai dit : “Ce n’est pas une option, je l’aime déjà !” »
Lire la suiteLe fleuve Saint-Laurent aurait plus de droits que l’enfant à naître...
Par Geneviève De Vriendt (Campagne Québec-Vie) — Photo : Thierry Guimbert/Adobe Stock
L’Observatoire international des droits de la nature a annoncé jeudi dernier l’adhésion d’une treizième municipalité du Québec, la Ville de L'Île-Perrot, à l’Alliance Saint-Laurent, une alliance qui a pour mission la reconnaissance de la personnalité juridique et des droits du Fleuve Saint-Laurent.
Par son action concrète, l’Observatoire international des droits de la Nature « cherche à conseiller juridiquement et à présenter des projets de loi, des politiques publiques et des interventions amicales lors de procédures judiciaires… pour la défense des droits de la Nature. »
Au printemps 2021, un projet de loi « visant à reconnaître le fleuve Saint-Laurent en tant qu’entité juridique et sujet de droit » a été publié par OIDN.
Légalement, l’enfant à naître n’a pas une personnalité juridique tandis qu’on essaie d’en attribuer au fleuve Saint-Laurent. Le fleuve aurait des droits alors que l’enfant à naître n’acquiert juridiquement ses droits qu’à la naissance.
Non seulement une injustice envers les êtres humains, et un raisonnement illogique et absurde pénètrent cette conception des droits, mais aussi une volonté de révolutionner l’ordre naturel. L’homme ne domine plus la nature, mais se laisse dominer par elle, et lui accorde des « droits » qu’il n’accorde même pas à ses propres enfants.
Même la Convention Internationale des Droits de l’Arbre considère « que l’arbre est un être vivant qui ne peut être réduit à un simple objet ou à sa seule utilité économique » alors que notre système médical, juridique, et gouvernemental considère que l’enfant à naître peut être réduit à un simple objet jetable sous prétexte d’utilité économique.
L’Arbre, le Fleuve, la Nature reçoivent des statuts juridiques, des droits, et des conventions internationales à leur nom, mais l’enfant à naître ne reçoit même pas la reconnaissance de sa propre dignité. À quand la prochaine Convention Internationale des Droits des Enfants à Naître ?
Enfants à naître trisomiques : nous devons les laisser vivre
Par Geneviève De Vriendt (Campagne Québec-Vie) — Photo : denys kyvaiev/Adobe Stock
On nous martèle constamment la tête avec les protocoles de l’inclusion et de la non-discrimination, et pourtant on réduit parfois les citoyens vulnérables de notre société, tels que les trisomiques, à une gêne qu’on peut facilement supprimer. Pourquoi les trisomiques ne mériteraient-ils pas la vie ?
Comme l’a affirmé le premier ministre de l’Alberta, Jason Kenney dans une déclaration lors de la journée mondiale de la trisomie 21, « Malheureusement, nous voyons de plus en plus de preuves de discrimination génétique contre les enfants à naître atteints du syndrome de Down. Certains ont même fait appel à “l’élimination” du syndrome de Down par cette discrimination. Nous devons tous travailler plus dur pour créer une société où toutes les vies humaines sont accueillies dans l’amour, pour mener une vie épanouie et digne. »
Non seulement les trisomiques font l’objet de cette « discrimination », mais aussi tous les enfants à naître, supprimés parce qu’ils sont une gêne et qu’ils n’ont pas une voix pour se défendre. Combien plus la société se préoccupe-t-elle de la survie et de la protection des bébés tortues, ou des systèmes forestiers, alors que la vie des êtres humains les plus vulnérables n’est même pas défendue ?
Jérôme Lejeune, le médecin qui a découvert l’essence de la trisomie 21 a constaté avec justesse, « On entend dire : “les maladies génétiques coûtent cher. Si l’on excluait très tôt ces sujets, on ferait des économies énormes.” … Mais ce prix, nous pouvons l’évaluer : C’est exactement celui qu’une société doit payer pour rester pleinement humaine. »
Le droit à la vie des enfants à naître et des trisomiques doit leur être restitué, tout simplement parce que leur vie n’a pas de prix.
Les trois composantes d'une société solide
Photo : Adobe Stock
Je vous écris pour vous annoncer le début de notre campagne de financement pour le temps du carême.
En ce temps où les chrétiens sont appelés à faire des sacrifices à l’image du Christ qui a jeûné 40 jours dans le désert, nous lançons cette campagne avec l’espoir que vous nous aiderez à continuer le bon combat pour la foi, la famille et la vie, en faisant un don spécial.
Je veux vous expliquer, très brièvement, ces trois composantes de notre œuvre : la foi, la famille et la vie.
D’abord, la vie : Campagne Québec-Vie a été fondée en 1989 pour combattre l’avortement et travailler pour la protection de la vie des enfants à naître et des personnes vulnérables visées par l’euthanasie. C’était suite à la décision « Morgentaler » de la Cour suprême qui invalida d’un coup toutes les lois encadrant l’avortement au Canada, laissant dans notre pays un vide juridique permettant l’avortement jusqu’à l’accouchement. Campagne Québec-Vie sera toujours fidèle à cette vérité non négociable : l’enfant à naître est un être humain à part entière dont la vie doit être protégée par la loi, et ce, dès la conception.
Ensuite, la famille : L’enfant n’apparaît par lui-même, il provient d’un père et d’une mère. Or, c’est en grande partie le non-respect du mariage, de l’acte sexuel, et des responsabilités du père et de la mère envers leur couple et tout enfant qui pourrait survenir, qui rend pensable l’avortement. L’avortement demeurera une plaie dans la société jusqu’au moment où sera répandue une solide connaissance de la saine sexualité, de la famille et du mariage.
Finalement, la foi : une culture qui protège la famille et la vie ne se développe pas dans le vide. Les anciennes cultures païennes sacrifiaient leurs enfants sur les autels de leurs dieux tout comme notre culture néo-païenne les sacrifie sur les autels des dieux « choix », « liberté », « jouissance », et « autonomie ». Ce sont les chrétiens qui récupéraient les bébés jetés aux ordures dans la Rome antique, et c’est le christianisme qui a détourné les Aztèques de leurs sacrifices humains. La formule est simple : Le Christ nous aide à surmonter les tentations qui mènent au péché et à la mort, alors il est logique qu’une société qui veut appuyer la vie dans tous ses sens soit chrétienne.
Les deux dernières années furent fort éprouvantes, à plusieurs niveaux. Mais une vérité demeure : si notre société veut vivre, et vivre pleinement, elle doit retourner au Christ. Merci de nous aider à communiquer ce message de vie, à temps et à contre temps!
Pour la Vie,
Georges Buscemi