Ce bébé aurait pu mourir avant la naissance, mais son médecin l’a opéré dans le ventre de sa mère
Par Micaiah Bilger (LiveActionNews) – traduit par Campagne Québec-Vie
Il y a moins d’un an, les médecins craignaient le pire pour bébé Harriet, quand il ont découvert du liquide autour de ses poumons.
Encore dans l’utérus à l’époque, Harriet aurait pu mourir. Mais le professeur Stephen Robson décida d’essayer une technique chirurgicale risquée qui a sauver la vie de la petite fille, rapporte le Sunderland Echo.
La mère d’Harriet, Ruth Elder, de Chester-le-Street, Angleterre, a affirmé que les médecins ont d’abord remarqué le problème lorsqu’elle était enceinte depuis 28 semaines de sa fille. Harriet fut alors diagnostiquée d’une hydrops fetalis, soit « une accumulation anormale de liquide autour du cœur, des poumons, et à l’intérieur de l’abdomen de son enfant à naître, » selon l’article.
Dans une tentative visant à sauver la vie de l’enfant à naître, le docteur Robson du Royal Victoria Infirmary de Newscatle proposa d’effectuer une chirurgie fœtale. Il projetait de traverser la paroi de l’utérus, puis la poitrine du bébé pour drainer le liquide entourant ses poumons, indique l"article.
Bien que cela fut risqué et douloureux, Elder affirma qu’elle et son mari savaient qu’ils allaient faire tout leur possible pour sauver la vie d’Harriet.
Lire la suiteLes parents d’Alfie Evans accusent l’hôpital de leur faire du chantage pour mettre fin à la vie de leur fils
Alfie Evans et ses parents.
Il s'agit d'un cas similaire à celui du petit Charlie Gard et risquant de finir de même. Le petit Alfie Evans est atteint d'une maladie neurodégénérative inconnue, qui serait intraitable d'après l'hôpital qui voudrait lui retirer le respirateur artificiel lui permettant de vivre. Ses parents désire pouvoir l'emmener dans un autre hôpital qui continuerait de le soigner et qui lui ferait un diagnostique plus poussé. L'affaire s'est rendue jusqu'à la Cour européenne des droits de l’homme qui a refusé d'examiner le cas — NDLR
Par Calvin Freiburger — traduit par Campagne Québec-Vie
Liverpool, Angleterre, 29 mars 2018 (LifeSiteNews) — Le père d’un garçon de 22 mois, que la Cour européenne laisse mourir, affirme qu’on lui fait du chantage dans le but d’enlever la vie à son fils.
Dans un message publié jeudi sur Facebook, Thomas Evans a déclaré que le personnel de l’England’s Alder Hey Children’s Hospital en Angleterre ne le laisserait pas prendre Alfie Evans dans ses bras jusqu’à ce qu’il accepte qu’on retire le ventilateur à son fils.
« Je viens juste d’amener ma sœur et mon petit frère dans la chambre d’Alfie pour lui donner du temps pour recevoir des câlins, dit Evans, et on m’a dit que ma famille ne pourra pas tenir mon fils tant que je n'aurai pas discuté à propos de retirer le ventilateur avec les consultants et que nous ne serons pas parvenu à un accord. »
Lire la suiteUn petit trisomique a gagné le concours d’une compagnie célèbre. Malheureusement beaucoup d'handicapés comme lui sont avortés
Cette photo ne représente pas le petit Lucas.
Par John Stonestreet et Stan Guthrie (LifeSiteNews) — traduit par Campagne Québec-Vie
20 février 2018 (BreakPoint) — Un magnifique petit garçon ayant la trisomie 21 a été choisi pour être le bébé Gerber de cette année. C’est une excellente nouvelle. Mais il faut se souvenir que son importance ne vient pas du fait qu’il est mignon!
Depuis les années 1920, le Bébé Gerber est devenu un symbole culturel de la représentation enfantine au dessin à la main. En 2010, la compagnie vendant de la nourriture de bébé a commencé un concours annuel pour trouver de vrais bébés Gerber. Cent quarante mille familles ont participé au concours de cette année-là et le gagnant fut Lucas Warren, alors âgé d’un an. Une fois que vous aurez vu son sourire magnifique, vous comprendrez pourquoi.
En plus d’être l’ambassadeur Gerber — ce qui évidemment n’est pas complètement fidèle à la réalité puisqu’il ne peut pas encore parler — le petit Lucas profite d’un autre honneur. Il est le premier enfant ayant la trisomie 21 à être nommé gagnant.
Lire la suiteLes médecins insistaient pour que Vanellope fût avortée parce que sont cœur serait hors de sa cage thoracique. Voyez comment elle va maintenant
Vanellope Hope Wilkins.
Par Micaiah Bilger (LifeNews) — Traduit par François Volff
La petite Vanellope Hope Wilkins ne serait pas vivante aujourd'hui si sa mère avait écouté les demandes répétées de ses médecins de se faire avorter.
À seulement neuf semaines de grossesse, Vanellope a été diagnostiquée d'un cœur ectopique, un état où le cœur se développe en dehors de la poitrine, rapporte le Daily Mail . Les médecins ont conseillé à Naomi Findlay, de Nottingham, en Angleterre, d'avorter de sa fille à naître après avoir dit que Vanellope avait des chances de survie « presque nulles ».
Wilkins a refusé, malgré des pressions répétées pour accepter l'avortement, et aujourd'hui, le bébé Vanellope est vivant et s'améliore chaque jour.
« On nous a dit que notre meilleur pari était d'avorter, et tout mon univers est tombé en miettes », a déclaré Dean Wilkins, le père de Vanellope.
Findlay a décrit la pression qu'ils subissaient pour choisir l'avortement.
Lire la suiteLe garçon, à qui il n’était donné que 5% de chance de survie, fête son premier anniversaire
Le petit Liam Stephenson.
Par Nancy Flanders (LiveActionNews) — traduit par Campagne Québec-Vie
Le petit Liam Stephenson vient juste de fêter son premier anniversaire [le mois dernier], un évènement que ses parents pensaient ne jamais vivre à cause de la méningite purulente diagnostiquée à la naissance ; il ne lui fut accordé que 5% de chance de survie.
La méningite purulente peut provoquer l’empoisonnement sanguin, des lésions cérébrales, la perte d’audition et quelque fois la nécessité d’amputer les membres.
L’information au sujet du pronostic défavorable de Liam a été découverte après que sa famille ait demandé des prières sur les réseaux sociaux. Liam avait été admis dans l’unité des soins intensifs néonataux pendant six semaines, et, une IRM que l’on a performée sur lui, a montré une hémorragie et une lésion cérébrale probable. Sa famille avait peur de le perdre.
« Ils ne lui donnèrent que 5% de chance de survie ; et s’il survivait, il ne pourrait pas bien entendre, ni bien parler, ni bien ramper, ou marcher, » a déclaré à Fox 5 sa tante Jana Blankenship d’Atlanta.
Lire la suitePesant 1,6 livre (700 grammes) à sa naissance, Christian est la joie de ses parents
Jordan Cheyenne et son fils Christian.
Par Danny David (LiveActionNews) — traduit par Campagne Québec-Vie
Dans une vidéo à plus de 227 000 vues, la vidéoblogueuse et mannequin Jordan Cheyenne montre l’histoire extraordinaire de son «bébé miracle», Christian, né à 24 semaines.
En découvrant qu’elle était enceinte, Jordan et son ami étaient tous les deux fous de joie. Mais ce bonheur est devenu crainte et émotions négatives alors que des complications s’annonçaient pour la grossesse.
À cinq mois, une échographie révèle que Jordan est en travail avant terme. Dans une situation critique, elle est transportée immédiatement par ambulance vers un hôpital à San Diego où le personnel médical s’emploie à garder le bébé dans son ventre afin d’augmenter ses chances de survie. Les médecins disent qu’il est possible que Christian ne survive pas s’il naît trop tôt, et que s’il survivait, il pourrait avoir de graves problèmes de santé.
Lire la suiteLes parents de ces trois beaux enfants ont rejeté l’avortement qui leur était recommandé… et regardez-les maintenant
Olivier Hinckley
Par Danny David (LiveActionNews) — traduit par Campagne Québec-Vie
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Catherine Harper et son fils Jackson |
En janvier, Live Action News a produit un article, se penchant sur Catherine Harper, une Néo-Zélandaise qui était allée en Australie afin de recevoir une chirurgie pour son fils prématuré, ayant été diagnostiqué avec le spina bifida. Le bébé avait supposément « une forme sévère de spina bifida – myéloméningocèle – de même qu’une malformation de Chiari au cervelet, cette partie du cerveau contrôlant l’équilibre. »
Catherine et son mari, Paul, se firent dire que leur enfant ne marcherait probablement jamais, et pourrait naître avec une tête considérablement grande. Catherine et Paul décidèrent de rejeter les conseils qui les dirigeaient vers l'avortement, optant plutôt pour une chirurgie, leur bébé devenant alors le premier Néo-Zélandais à subir cette chirurgie alors qu’il était encore dans l’utérus.
Depuis ce temps, les rapports indiquent que la chirurgie fut un succès. D’après MercatorNet, « Le premier scan [de Catherine] à Auckland épata les docteurs puisqu’il montrait que la formation de Chiari s’était inversée. La fermeture de l’ouverture sur la colonne vertébrale du bébé avait également empêché que les dommages des nerfs spinaux ne continuent, et les docteurs furent impressionnés par la netteté de la réparation, puisque cela avait été effectué à l’intérieur de l’utérus. »
Lire la suiteUne nouvelle affaire Charlie Gard? Le cas d’Alfie Evans
Le petit Alfie Evens (photos de gauche et de droite, en haut, Charlie Gard et sa famille)
Par Jeanne Smits (Reinformation.tv)
La vie du petit Alfie Evans, 14 mois, est entre les mains des médecins, comme on a coutume de le dire. Mais vraiment, pour le coup. Tout à fait comme Charlie Gard – va-t-on vers une nouvelle affaire à retentissement mondial ? – ce bébé hospitalisé à Liverpool en Angleterre est l’otage du corps médical qui refuse son transfert aux Etats-Unis pour un traitement expérimental.
Le petit garçon est victime d’une maladie mystérieuse qui l’a laissé dans le coma en décembre dernier, date à laquelle il est entré à l’unité des soins intensifs à Alder Hey Children’s Hospital. Il souffre de convulsions. Ventilé comme Charlie Gard, le bébé est sous le coup d’un arrêt de mort de la part des médecins qui veulent stopper tous les moyens de maintien en vie.
Lire la suiteLes médecins insistaient que leur fils allait mourir, mais il est maintenant un garçon en bonne santé
La famille Morris
Par Nancy Flanders (Live Action News ) traduit par Campagne Québec-Vie
Jett Morris est vivant aujourd’hui grâce au dévouement de ses parents. Paul et Mhairi Morris ont refusé d’avorter leur fils malgré les pressions intenses du personnel médical. Mhairi avait perdu ses eaux prématurément, après seulement 20 semaines de grossesse, ce qui a poussé les médecins à lui dire, ainsi qu’à son mari, de mettre fin à cette grossesse, affirmant que leur fils ne survivrait pas. On donna 5 minutes aux parents pour digérer la nouvelle et accepter l’avortement. Les médecins se sont même préparés pour prendre Mhairi au bloc opératoire pour commencer la procédure d’avortement.
« Ils ne le voyaient pas comme un enfant et le nommaient “fœtus non viable”. C’était très froid et j’étais anéantie » confia Mhairi au journal britannique The Mirror. « J’étais dans l’unité de début de grossesse de l’hôpital, et aucun pédiatre n’était venu me voir pour me parler d’autres options. Mais je venais, depuis peu, d’avoir mon échographie de 20 semaines, et tout était parfait. J’ai même appris que c’était un garçon. C’était très difficile d’accepter l’avortement. Le médecin avait dit : “Vous devez arrêter la grossesse car il n’y a rien d’autre qu’on puisse faire.” »
Quand un médecin revint quelques minutes plus tard, les parents répondirent qu’ils n’avorteraient pas leur enfant. Mhairi Morris raconta au journal The Mirror comment le docteur leva les yeux au plafond et comment il regarda sa montre, comme s'ils perdaient leur temps.
Lire la suiteOn avait prédit qu'elle mourrait, maintenant bébé Chrysta vit à la maison
Chrysta Hunt entourée de sa famille
Par Nancy Flanders (LiveActionNews) traduit par Campagne Québec-Vie
Après un mois à l’hôpital, une petite fille que les médecins ne pensaient voir survivre, en est sortie récemment et vit à la maison avec sa famille.
Maintenant âgée de cinq mois, Chrysta Hunt a été hospitalisée avec des symptômes de crise cardiaque et était prise de nombreuses convulsions. Après avoir eu son cœur arrêté pendant vingt minutes, les médecins étaient capables de le relancer et de la mettre sous respiration artificielle. Bien que son diagnostic se soit amélioré, de la survie peu probable à une survie avec des dommages au cerveau, les docteurs n’étaient pas sûrs si Chrysta ouvrirait les yeux à nouveau et ne savaient toujours pas la cause officielle de ses difficultés médicales. On lui a retiré l’assistance respiratoire le 10 juin 2017, puis deux semaines plus tard elle a pu retourner à la maison.
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