La joie qu’apporte un enfant, même atteint d’anencéphalie
Michael et son frère atteint d'anencéphalie.
Par Newsroom (LiveActionNews) ― traduit par Campagne Québec-Vie
Students for Life Ireland a récemment diffusé l’histoire de Michael et de son frère John Paul Jr. Michael avait sept ans quand il a appris que sa mère attendait son sixième enfant. Il avait quatre sœurs et était tout excité d’apprendre que sa mère aurait un garçon : « Au court de la grossesse, on a appris que ça allait être un garçon et j’étais tout énervé! A-t-il révélé à Students for Life Ireland. Par contre, ils ont tout de suite vu qu’il avait une maladie, appelée anencéphalie et que ça voulait dire qu’il ne vivrait pas longtemps une fois né. J’étais découragé. Je voulais tellement, tellement avoir un frère. Au moment où j’en recevais un, on allait me l’enlever tout de suite après. »
L’anencéphalie est une maladie qui affecte le bon développement du crâne et du cerveau. Les bébés qui en sont atteints ne vivent généralement que de quelques heures à quelques semaines. La famille avait le cœur brisé, mais ils ont tout fait pour profiter du temps qu’il avait avec bébé John Paul Jr pendant qu’il était encore en sécurité dans le ventre de sa mère. Ils lui parlaient et l’incluaient dans les activités familiales autant qu’ils le pouvaient pour bâtir des souvenirs.
John Paul Jr a vécu pendant 17 minutes après sa naissance et, pour ce temps, il n’aura été qu’entouré d’amour.
« J’ai pu prendre mon petit frère, » dit Michael. « Je n’arrive pas à décrire comment je me sentais, mais tout en moi disait “Oui! Merci!” Même si je suis encore triste à cause de la perte, le moment pendant lequel j’ai tenu mon frère valait tout l’or du monde pour moi. Le fait que sa vie ait été si courte me l’a fait apprécier encore plus. Même s’il n’a vécu que 17 minutes, on a réussi à lui donner une vie remplie d’amour et j’aurais aimé qu’elle ait été plus longue. »
Lire la suiteNé à 23 semaines, un bébé minuscule bat les pronostics
Par Nancy Flanders (LiveActionNews) — traduit par Campagne Québec-Vie
George est né en juillet 2018, son arrivée étant plutôt prévue pour le mois d’octobre. Sa mère était à seulement 23 semaines de grossesse lorsqu’elle a accouché, et le bébé ne pesait qu’une livre et cinq onces. Il n’était pas plus grand qu’une seringue. Malgré les prédictions des médecins disant qu’il allait mourir, il est récemment sorti de l’hôpital.
Selon le site internet Mirror, Hannah Rose et Daniel Bownes, les parents de George, qui est né une semaine avant la limite de l’avortement au Royaume-Uni, se sont fait dire par les médecins qu’il avait une chance sur un million qu’il survive.
« J’étais convaincue qu’il allait mourir alors c’est vraiment un miracle qu’il soit avec nous aujourd’hui », a mentionné Hanna au Mirror. « Chaque jour que nous passons avec lui représente une vraie bénédiction. »
Le monde d’Hanna « s’est effondré » lorsqu’elle eut des contractions à un peu plus de cinq mois de grossesse. Quatre jours passèrent avant de donner naissance à George, à 23 semaines et 6 jours de grossesse. Puisque le bébé n’avait pas encore 24 semaines, les médecins n’allaient pas intervenir pour lui sauver la vie. Hanna avait peur de donner naissance à un bébé mort-né.
Lire la suiteUn couple rejette l’avortement pour leur jumeau anencéphale : «C’est notre bébé»
Gary, Lauren et Albi
Par Nancy Flanders (LiveActionNews) — traduit par Campagne Québec-Vie
Le couple britannique Lauren et Gary étaient excités d’apprendre qu’ils attendaient des jumeaux, qu’ils ont nommés Bobby et Albi. Lauren savait que la vie allait être occupée, mais elle avait hâte. Puis le couple apprit que l’un des garçons souffrait d’anencéphalie, une malformation qui fait en sorte que le sommet du crâne ne se forme pas correctement, et n’allait pas survivre. Le couple, qui a une fille de 18 mois, a raconté leur histoire dans une émission de la BBC intitulée Hospital.
« Quand il naîtra, il vivra peut-être une heure, quelques jours. Ils ne peuvent pas me le dire », a déclaré Lauren, âgé de 27 ans, dans l’émission.
Les médecins dirent au couple au cœur brisé qu’ils pouvaient faire avorter Albi. Lauren avait 15 semaines et trois jours. Les médecins précisèrent qu’ils pouvaient injecter de la digoxine dans le cœur d’Albi pour le tuer, puis elle l’aurait accouché avec Bobby, mais mort. Ou elle pouvait les garder jusqu’à la naissance avec un risque d’accouchement prématuré, ainsi que la possibilité qu’Albi meure in utero.
Lire la suiteL’opération extraordinaire d’un enfant à naître, extrait du ventre de sa mère puis réintégré
Bethan Simpson, mère de l'enfant à naître opéré.
Par Doug Mainwaring — traduit par Campagne Québec-Vie
Royaume-Uni, 13 février 2019 (LifeSiteNews) — Au milieu des clameurs des gouverneurs et des corps législatifs qui s’efforcent d’inscrire l’avortement, jusqu’au moment de la naissance, dans les constitutions des États-Unis, un événement en Grande-Bretagne remet aujourd’hui en question la moralité de ces actes [même s’il est déjà évident qu’ils sont plus que contestables].
Quand il a été découvert que la fille à naître de Bethan Simpson était atteinte de spina-bifida, elle et son mari Kieron avaient tout d’abord été avisés de se faire avorter.
Au lieu de cela, ils ont suivi une procédure révolutionnaire au cours de laquelle leur fille a été retirée du ventre de Bethan pour subir une opération corrective avant d'être replacée dans le ventre maternel pour lui permettre de continuer de se développer jusqu’à terme.
Depuis la procédure effectuée en janvier, les analyses révèlent que l’enfant est guérie et continue de se développer.
Après l’opération, la mère heureuse a déclaré dans une publication sur Facebook : « Nous avons été un succès. »
« Sa lésion était petite et elle a bien réagi à l’opération chirurgicale à un degré que vous ne voudriez pas croire », a déclaré une joyeuse Simpson à propos de sa fille qui n’était pas encore née. « Ils l’ont sortie de mon ventre et l’ont fait revenir tout droit pour rester là aussi longtemps qu’elle le pouvait. »
Simpson a ensuite souligné une vérité troublante.
« Malheureusement, en Angleterre, 80 % des bébés se font enlever la vie lorsque leurs parents se font dire que leur bébé est atteint de cette maladie », a déclaré Simpson. « Ce n’est pas une condamnation à mort [le spina-bifida]. Elle a le même potentiel que chacun d’entre nous. »
Lire la suiteCette mère garda son bébé à travers une grossesse à haut risque, il naquit à 24 semaines et tous deux vont bien
LeAnna Haggard et sa fille.
LeAnna Haggard (LifeSiteNews) — traduit par Campagne Québec-Vie
Le 7 février 2019 (Live Action News) — Ma grossesse a commencé comme beaucoup d’autres : deux petites lignes roses, le choc, la joie et un amour submergeant. Mon mari et moi étions si excités. Nous avons remercié Dieu pour ce don ; pour nous avoir donné une autre chance après la perte au premier trimestre de notre premier [enfant]. J’avais une petite vie qui grandissait en moi. J’ai commencé à bien faire les choses. Vitamines et bonne alimentation. Boire beaucoup d’eau.
J’avais quelques problèmes médicaux mineurs que mes médecins ne pouvaient pas définir, alors j’ai demandé un rendez-vous à mon obstétricien le plus tôt possible. À six semaines, nous avons vu un petit battement de cœur. J’ai été choisie pour protéger cette petite âme. À l’âge de sept semaines, j’ai commencé à tomber malade et on m’a diagnostiquée une hyperemesis gravidarum. La maladie était si grave que j’avais plusieurs sacs de liquide IV et de médicaments anti-nausée. Rien ne m’a aidée à me sentir mieux, mais mon bébé était encore en bonne santé et c’est tout ce qui comptait pour moi.
À neuf semaines, j’ai fait mes analyses sanguines prénatales de routine. J’étais encore malade, somnolant tout le temps, et il m’était difficile de me déplacer sans être essoufflée ou étourdie. Mon bébé allait bien et c’était tout ce qui comptait pour moi. Quelques heures après mon rendez-vous de neuf semaines, mon obstétricien m’a appelée. Ils n’ont pas pu me soigner. Mon nombre de globules sanguins était trop bas pour porter un bébé. Ils m’ont suggéré de voir un autre médecin.
À 10 semaines, j’ai rencontré un médecin spécialisé dans les maladies du sang. De lui, j’ai eu d’autres mauvaises nouvelles : on m’a diagnostiqué une maladie rare de la moëlle osseuse appelée anémie aplasique. Ma moëlle osseuse ne produisait pas assez de globules sanguins pour me permettre de survivre, encore moins le bébé.
Lire la suiteCette courageuse mère atteinte d’un cancer a choisi la vie plutôt que l’avortement
Brianna Rawlings.
Par Cassy Fiano-Chesser (LiveActionNews) — traduit par Campagne Québec-Vie
Brianna Rawlings, âgée 19 ans, était ravie d’être mère lorsqu’elle apprit qu’elle avait la leucémie. La courageuse mère a choisi de se battre pour sa vie et celle de son fils, risquant sa propre vie pour lui. Malheureusement, elle est décédée le mois dernier, quelques jours seulement après son anniversaire et quelques mois après la mort de son petit garçon. Pourtant, Rawlings ne semblait pas avoir de regrets, qualifiant les jours qu’elle a passés avec son fils de meilleurs moments de sa vie.
Rawlings, qui venait d’Australie, avait une forme agressive de leucémie et avait le choix de se faire avorter pour pouvoir commencer immédiatement une chimiothérapie. Rawlings, cependant, a refusé, bien qu’elle sût que les médecins avaient dit que cela réduirait ses chances de survie de moitié, a-t-elle mentionné au Daily Mail. « Ma décision ne concernait que Kyden et Kyden seulement, c’était mon fils et mon petit miracle », a-t-elle dit. « J’étais très heureuse et excitée d’être mère, tout ce que j’ai toujours voulu, c’est avoir une famille. J’avais aussi peur de ce que le monde me réservait. »
Mme Rawlings a expliqué que les médecins lui ont diagnostiqué une leucémie après qu’elle ait commencé à souffrir de douleurs horribles. « Tous les tests ont finalement révélé une infection quelque part dans mon corps », a-t-elle déclaré au Daily Mail. « Les médecins ne m’ont pas autorisée à partir avant d’avoir trouvé la cause de la douleur et de la maladie. Ils ont vérifié mon cœur et tous les autres organes, mais comme ils n’ont rien trouvé, ils ont suggéré une biopsie de la moelle osseuse. » C’est alors qu’ils ont découvert qu’elle souffrait d’une leucémie agressive à cellules NK, une forme très rare de leucémie qui est habituellement traitée par chimiothérapie. « Après qu’on me l’ait expliqué, j’ai été très surprise et en colère, car je ne m’attendais pas à ce que ce soit aussi grave », a-t-elle dit. « Je pensais que c’était juste les nausées matinales. » Mais Rawlings demeurait déterminée à donner à son fils la meilleure chance qu’elle pouvait afin qu’il puisse survivre.
Lire la suiteUn bébé atteint de spina-bifida et opéré avant sa naissance peut maintenant marcher
Roman Dinkel, dont les chances de marcher ont été grandement augmentées grâce à une opération prénatale, fait quelques-uns de ses premiers pas. Devant lui se trouve le chien de la famille, Maggie.
Par Dorothy Cummings McLean — traduit par Campagne Québec-Vie
Kansas City, 5 octobre 2018 (LifeSiteNews) — Des médecins ont dit à une mère enceinte que son fils avait le spina-bifida et pourrait ne jamais marcher. Mais, grâce à l’amour de ses parents et à une opération prénatale, le charmant bambin, Roman Dinkel est devenu, avec ses premiers pas, une célébrité sur internet.
Une vidéo mettant en scène Roman faisant ses premiers pas, avec l’aide de béquilles minuscules, a eu un succès fou, et a été visionnée des millions de fois. En septembre, l’émission de télé Good Morning America montre le petit avec sa mère Whitney, son père Adam, ainsi que Maggie, le chiot de la famille. La vidéo montre Roman appelant joyeusement Maggie en lui disant : « Regarde Maggie, je marche ! »
Des milliers de personnes ont posté des messages sur la page Facebook de la famille Dinkel et en dessous de leur vidéo YouTube pour leur dire combien Roman les a inspirés et les a rendus joyeux.
Lire la suiteL’hôpital Sick Kids de Toronto envisage d’euthanasier des enfants avec ou sans le consentement de leurs parents
Par Alex Schadenberg
Directeur général — Euthanasia Prevention Coalition
Un rapport récent de l’hôpital Sick Kids (traduction littérale : « hôpital pour enfants malades ») de Toronto indique qu’ils sont non seulement prêts à pratiquer l’euthanasie des enfants, mais que leur politique stipule qu’un enfant devrait pouvoir mourir par euthanasie sans le consentement ou la connaissance des parents.
Selon un article de Sharon Kirkey pour Sun Media, l’hôpital Sick Kids de Toronto a publié sa politique sur l’euthanasie et l’assistance au suicide dans un article paru récemment dans le Journal of Medical Ethics. Selon Kirkey :
Le groupe de travail de Sick Kids a déclaré que l’hôpital comptait des médecins disposés à effectuer l’euthanasie chez les jeunes de 18 ans et plus en phase terminale qui remplissaient les critères énoncés dans la loi fédérale, et qu’il serait contraire à son éthique de soins de devoir transférer ces jeunes dans un autre hôpital pour adultes qui leur était inconnu. Mais c’était la suggestion que l’euthanasie pourrait un jour avoir lieu sans la participation des parents qui a provoqué une nouvelle controverse dans le débat sur l’aide à la mort.
Pour qui l’hôpital Sick Kids croit-il que l’euthanasie peut être efficace et sans danger ?
Lire la suiteContraception hormonale chez la femme enceinte, danger de leucémie pour l’enfant
Par Jean-Pierre Dickès (Medias-Presse.info)
Voilà une étude qui vient d’être publiée par la revue médicale internationale The Lancet Oncology qui va faire du bruit dans le landernau médical et plus encore si les médias politiquement corrects veulent faire un effort de vérité ; eux qui depuis toujours ont affirmé que la pilule était sans danger. On sait que c’est faux. Difficile de faire son mea culpa.
La contraception hormonale a pour but de bloquer l’ovulation. Ce peut être des contraceptifs oraux, des injections retard, des patchs, des implants ou des anneaux vaginaux.
Des chercheurs danois ont suivi médicalement 1.185.157 enfants nés entre 1996 et 2014. Ils ont fait un classement des enfants selon qu’ils sont nés de femmes n’ayant pas eu de contraception, de femmes qui l’ont utilisée trois mois et aussi un mois avant la grossesse (y compris celles qui l’ont utilisée sans savoir qu’elles étaient enceintes).
Lire la suiteDes parents refusent d’avorter un bébé « miracle » ; maintenant, c’est un garçon en santé de six ans
L’enfant sur la photo n’est pas Kaito Kryvenchuck.
Par Mark Hodges — traduit par Campagne Québec-Vie
Toronto, Canada, 3 janvier 2018 (LifeSiteNews) — Les experts médicaux insistaient pour dire que l’avortement était la seule option pour Kaito Kryvenchuk, qui était horriblement déformé.
Une échographie à 17 semaines avait révélé qu’il avait une énorme tumeur, plus grosse que sa tête, attachée à son cou et à sa mâchoire, jusqu’à son oreille. Il semblait vraiment avoir deux têtes.
Non seulement la tumeur bénigne menaçait la vie de Kaito à cause de sa taille, mais les incapacités qui en résulteraient étaient imprédictibles. La masse était si grosse que le garçon n’aurait pas été capable de respirer. Seulement un bébé sur 50 000 avec une tumeur semblable survit.
Les obstétriciens disaient que les hôpitaux canadiens ne pratiquent simplement pas de tels accouchements. Les médecins avaient dit aux parents de Kaito, Charles et Tamami, que la meilleure chose à faire, la plus compatissante, était de l’avorter et d’essayer à nouveau d’avoir un enfant viable.
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