Le gouvernement Trudeau commande des millions de seringues en vue du vaccin COVID-19
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) ― Photo : Freepik
On voit que le gouvernement Trudeau ne démord pas de l’idée d’un vaccin contre le coronavirus, malgré le fait qu’il s’agisse d’un virus qui mute rapidement. Comme si ce n’était pas assez, le Canada avait annoncé il y a quelques semaines le projet de faire tester au Canada un vaccin fabriqué en Chine, cultivé sur une lignée de cellules de bébé avorté.
37 millions de seringues, selon LifeSiteNews :
Le gouvernement canadien a commandé 37 millions de seringues pour l’administration d’un éventuel d’un vaccin contre le COVID-19 à chaque Canadien, annonçait mardi le ministre des Services publics et de l’Approvisionnement, Anita Anand.
« Nous continuons également à travailler pour nous procurer les autres fournitures nécessaires à d’éventuelles vaccinations de masse systématiques », déclarait Anand, rapporte CTV. « Nous nous assurons que lorsqu’un vaccin viable sera découvert, le Canada sera prêt à l’administrer ».
Aucun calendrier n’a été fixé pour la livraison des seringues, qui sont produites par Becton Dickinson Canada. La quantité serait presque suffisante pour toute la population du pays.
« Nous tenons compte du nombre maximum de Canadiens qui pourraient souhaiter être vaccinés », affirmait le Dr Theresa Tam, administratrice en chef de l’Agence de la santé publique du Canada.
Mais 40 % de la population ne veut pas d’un vaccin obligatoire, le gouvernement devrait donc plutôt baisser la quantité de sa commande d’environ autant, si ses intentions sont vraiment de ne piquer que les gens volontaires. Car justement, il est à craindre que l’admirateur de la dictature communiste chinoise, Justin Trudeau, veuille en venir là, laissant dans le vague cette question :
La nouvelle fait craindre que l’éventuel vaccin ne soit obligatoire, d’autant plus que le Premier ministre Justin Trudeau refusa à plusieurs reprises d’exclure cette possibilité. « En ce qui concerne les types de protocoles de vaccination qui seront mis en place, nous avons encore pas mal de temps pour y réfléchir afin de bien faire les choses », déclara-t-il en avril.
Les vaccins ne sont pas obligatoires pour la plupart des gens au Canada, ce qui, selon les experts, est pour le mieux, à la fois en termes de praticabilité (en particulier s’il n’y a pas une quantité suffisante pour chaque citoyen) et de mise en vigueur. Le ministre de l’Éducation du Nouveau-Brunswick, Dominic Cardy, fait pression afin qu’un projet de loi, mettant fin aux exemptions pour raisons philosophiques, religieuses et autres exemptions non médicales à la vaccination des écoliers, soit adopté.
Ceci est assez curieux quand on pense que le Nouveau-Brunswick n’a eu pratiquement aucune mort attribuée au coronavirus.
L’OMS, le sexe et les enfants
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : Piqsels
Je vous avais déjà parlé du document du Bureau central de l’OMS pour l’Europe sur l’« éducation à la sexualité », qui recommandait l’enseignement de la masturbation aux enfants de quatre ans et moins… et autres horreurs de ce genre. Notons aussi que l’Organisation mondiale de la santé (OMS) prône l’avortement dès un âge très tendre, par son approbation de la Déclaration des droits sexuels en 2015, déclaration produite par l’International Planned Parenthood Federation (IPPF).
Je vous propose ici une vidéo de l’historienne française Marion Sigaut, qui analyse en profondeur le contenu sulfureux en la même matière de diverses déclarations de l’OMS et autres organismes internationaux comme l’IPPF, grand fournisseur d’avortements.
Saxe : l’État menace les parents qui ne remplissent pas un formulaire sanitaire quotidien
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) ― Photo : Teddy Rawpixel/Rawpixel
La Saxe, ou État libre de Saxe, va jusqu’à menacer de retirer les enfants aux parents qui ne rempliraient pas un certain formulaire sanitaire quotidien à remettre à l’école de leurs enfants (encore une affaire d’hystérie coronaviresque). La menace de prendre les enfants, inscrite dans une lettre mentionnant le fameux formulaire, serait une « formulation malheureuse » affirme le ministre de l’Éducation de Saxe, selon Correctiv… On peut s’interroger sur ce que le ministère a bien pu vouloir signifier par cette « formulation malheureuse », comment peut-on parler d’enlever les enfants tout en voulant dire autre chose, ce n’est pas la sorte d’idée qui se retrouve par hasard dans un texte, il peut difficilement s’agir d’un quiproquo. Une intention pareille ne m’étonnerait pas venant de l’Allemagne, où l’école maison est interdite depuis les nazis et peut faire précisément l’objet du retrait des enfants. D’après une vidéo de Vlad Tepes :
Une lettre des autorités scolaires saxonnes adressée aux parents répand maintenant une véritable indignation.
La lettre concerne un formulaire de confirmation sanitaire que les parents doivent remplir chaque jour pour l’école de leurs enfants.
Le pire dans toute l’affaire n’est pas de remplir le formulaire, mais de ce que les parents soient menacés, s’ils oublient de le remplir ou s’ils ne veulent tout simplement pas le faire.
L’État de Saxe menace les parents avec une sévérité absolue s’ils ne se plient pas à ses exigences. L’école est obligée d’appeler les services de l’ordre public qui pourrait venir, et même, prendre les enfants à leur garde.
Oui, vous avez bien lu. Ils menacent vraiment d’enlever les enfants à leurs parents si ceux-ci ne remplissent pas ce stupide formulaire et ne le remettent pas à leurs enfants.
C’est maintenant que vous pouvez dire que le gouvernement est en train de devenir complètement fou.
Nous sommes constamment surveillés : avec qui nous allons dîner, où, quand. Maintenant, le gouvernement menace de prendre les enfants en sa garde. C’est complètement absurde. Au fait, il faut mentionner que les enfants ne représentent pas un groupe à risque. Mais le gouvernement agit comme s’il y avait un grand danger, dans le dessein de pouvoir brandir une excuse contre les parents qui verraient toutes ces mesures d’un œil critique, pour ensuite utiliser ce prétexte afin de les effrayer.
Mais comme il est dit dans la lettre : « Nous faisons cela pour la santé et l’éducation de nos enfants. » Ah oui, vraiment.
La « thérapie de conversion » destinée aux mineurs interdite en Allemagne
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) ― Photo : jcomp/Freepik
Le Parlement allemand a interdit ce qu’il appelle la « thérapie de conversion » destinée aux mineurs, ou toute tentative visant à les aider à rejeter une attirance pour les personnes de même sexe, que l’aide provienne de leurs parents ou de professionnels de la santé. Et les activistes LGBT veulent déjà étendre aux adultes cette loi qui devrait entrer en vigueur vers le milieu de l’année, selon International Family News :
Une nouvelle loi adoptée par le Bundestag allemand a interdit les conseils aux mineurs (de moins de 18 ans) ayant des sentiments non désirés d’attraction pour les personnes de même sexe, qualifiant toutes ces tentatives de « thérapie de conversion ».
[…] Elle limite les choix des jeunes eux-mêmes en matière de conseil et soumet également les parents à des sanctions. Tout parent qui aide un enfant à chercher à atténuer les attraits sexuels non désirés serait considéré comme manquant à son « devoir d’élever un enfant ».
Précisons que les détracteurs de ladite « thérapie de conversion » l’interdisent bien sûr sous prétexte qu’elle serait préjudiciable à ceux qui en seraient l’objet.
Parents, psychologues et psychothérapeutes condamnés :
Les lobbyistes ont travaillé dur pour élargir le terme « thérapie de conversion », considéré juridiquement pour être aussi large que possible. Même une éducation appropriée pourrait être considérée comme punissable — des psychologues ou psychothérapeutes confessionnels qui pourraient mettre en garde contre les qualités morales et les dangers des actes homosexuels, par exemple, seraient punis.
[…] cette loi cible les droits parentaux même pour les parents qui prennent bien soin de leurs enfants. Cela donne aux parents peu de recours pour combattre la propagande enseignée dans les écoles, à la demande des lobbyistes, à propos de l’inhibition sexuelle et de l’incitation à céder à toute envie sexuelle, même si les parents ont des croyances religieuses profondément ancrées qui exigent une éthique sexuelle différente.
Ils veulent déjà élargir la loi :
[…] Mais la LSVD (Association des lesbiennes et des gays d’Allemagne) a déjà annoncé qu’elle allait travailler à étendre la loi. Ils veulent que les « thérapies de conversion » soient déclarées illégales sans exception, à tout âge ; et ils sont soutenus par le Parti vert. Ulle Schauws — porte-parole de la « politique queer » — a déjà exprimé sa demande d’élargir la loi.
Visiblement, la sorte de « liberté » que ces gens autrefois revendiquaient ne peut selon eux s’appliquer aux autres, ils veulent tout simplement renverser la société et la morale.
Canada : libéré de l’injonction au silence, un père dénonce ces juges qui placent l’idéologie LGBT entre lui et sa fille
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) ― Photo : Freepik
Le père de Colombie-Britannique qui avait lutté pour empêcher la « transition » de sa fille devant les tribunaux, qui lui donnèrent tort et lui imposèrent même une injonction au silence, est maintenant capable de s’exprimer légalement, l’injonction n’ayant pas été renouvelée pour cause de confinement (la bonne blague ! ― s’il y avait de quoi rire…), selon MassResistance :
Depuis plus de deux ans, des membres du personnel scolaire, des psychologues et des militants LGBT en Colombie-Britannique amenèrent la fille de Rob à croire que la raison de sa lutte contre la dépression, et autres problèmes, est qu’elle est vraiment un garçon. Ils encouragèrent et affermirent maintes fois sa nouvelle identité « masculine ». Ils travaillèrent avec des médecins pro-LGBT qui lui donnèrent des bloqueurs de puberté et des hormones masculines afin de la « changer » en garçon.
Rob n’en apprit rien avant qu’un an fût écoulé depuis le début de toute l’affaire. Il intenta une action en justice contre le district scolaire, le personnel, les médecins et d’autres personnes. On attribua un avocat militant LGBT à sa fille pour soutenir ses illusions et s’opposer à son propre père. Les tribunaux se sont prononcés contre lui et lui ont dit qu’il devait accepter cette folie transgenre, lui ordonnant même d’employer des pronoms masculins pour désigner sa fille.
Les tribunaux imposèrent également une injonction au silence à Rob. Il ne pouvait pas parler à la presse ou au public de ce que vivait sa fille, ni même discuter de la question avec sa fille. Il y a quelques mois, l’injonction au silence a été remaniée, lui permettant d’en parler avec sa fille et même de tenter de la dissuader, mais il ne pouvait toujours pas en parler à la presse. Le 15 avril, l’injonction au silence expira. Comme les tribunaux sont fermés en raison du virus COVID-19, l’ordonnance ne put être renouvelée.
Avant même la fin de l’injonction, ce courageux père tenta de s’exprimer publiquement, encourant donc la probable peine de 30 à 45 jours d’emprisonnement (RH c’est Rob Hoogland, le père, et MR, MassResistance, le journal à qui il a accordé une entrevue) :
Lire la suiteRH : Peu après la publication de l’entrevue passée avec MassResistance j’ai été au tribunal pendant quatre jours, devant le juge Tammen. À un moment donné, j’ai utilisé un pronom féminin en référence à ma fille, et il m’a réprimandé en disant « Comment osez-vous ! » En fait, il s’est levé et m’a crié dessus dans la salle d’audience pour avoir parlé de la sorte. Il me dit : « Pourquoi avez-vous fait cela ? » Et j’ai répondu : « Je l’ai fait parce que je suis le seul à agir dans l’intérêt de ma fille. » Il n’a vraiment pas aimé que je dise ça. C’est l’état épouvantable du système judiciaire actuel du Canada.
Un article du Harvard Magazine veut l’interdiction de l’école à la maison
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie)
Dans la vague de confinement qui a marqué la réaction de beaucoup de gouvernements dans le monde, des dizaines de millions d’élèves fréquentant l’école publique ou privée se sont retrouvés « étudiants à la maison » (homeschoolers), seule possibilité de continuer leurs études.
Cette situation en elle-même n’a rien de grave, beaucoup de ces enfants étant avec leurs parents également confinés et qui du coup devraient sans doute avoir le temps de s’occuper d’eux, et même pourraient être bénéfiques autant pour les parents que pour les élèves. Précisons que le fait que de très nombreux parents puissent faire l’école à la maison avec leurs enfants me réjouirait très certainement si tant d’autres choses n’étaient interdites, comme la messe, ou en péril.
Mais cette situation à l’air d’émouvoir étrangement certaines personnes, dont un professeur en droit public de Harvard, Mme Elisabeth Bartholet ! La raison qu’elle donne de son émoi, dans un article du Harvard Magazine, est que cela empêche les enfants d’avoir accès à une « éducation significative », ou que ces derniers encourraient plus de danger à rester à domicile sans grand contact avec l’extérieur, puisqu’il serait moins facile de contrôler ce qui s’y passe. De plus, mais c’est révéler le fond de sa pensée, elle s’inquiète de ce que 90 % des maisons-écoles ordinaires « sont animées par des croyances chrétiennes conservatrices et cherchent à soustraire leurs enfants à la culture commune », rapporte International Family News (IFN). Mme Bartholet en appelle à une sorte d’« interdiction par défaut » de l’école à domicile.
C’est-à-dire ? Considère-t-elle les chrétiens comme particulièrement dangereux ? En quoi est-il mal de soustraire ses enfants de ce qu’elle appelle la « culture commune », surtout quand celle-ci est pourrie jusqu’à l’os ? De plus, en quoi la « culture commune », ou ce qu’est devenue la culture, l’est-elle, si ce n’est parce qu’elle a été imposée à des populations entières par le biais de l’éducation publique, des médias, et des loisirs publics comme le cinéma, tout cela assené de haut ? Mais si l’un des principaux dangers viendrait de ce qu’ordinairement les écoles maison sont majoritairement chrétiennes, je ne vois pas dans quel « danger » particulier plongent les centaines de milliers de familles puisqu’elles ne sont pas forcément chrétiennes (malheureusement).
Mme Bartholet donne pour pays modèles ceux où l’éducation à domicile est contrôlée, comme en France, ou carrément interdite, comme en Allemagne… depuis les nazis. Ah oui ! Justement, l’Allemagne s’est illustrée par des retraits injustifiables d’enfants, comme dans le cas de la famille Wunderlich pour le seul « délit » d’école à la maison. Plusieurs des pays cités ont des services sociaux qui commettent bavures sur bévues, des plus tragiques.
Lire la suiteDes parents disent que l’école de leur fille lui a «lavé le cerveau», lui faisant croire qu’elle est un garçon
Par Paul Smeaton ― Traduit par Campagne Québec-Vie
Surrey, Royaume-Uni, le 17 mars 2020 (LifeSiteNews) ― Selon un article publié le 15 mars dans Daily Mail, des parents du Royaume-Uni accusent un professeur d’endoctriner secrètement leur fille de 13 ans, lui faisant croire qu’elle est un garçon.
Selon l’article, Ashleigh et Ged Barnett furent véritablement abasourdis lorsque leur « belle adolescente » leur confia son sentiment de vouloir être un garçon et de couper ses cheveux très courts. Ils ont ensuite découvert qu’elle suivait des séances privées hebdomadaires avec un professeur adjoint qui était chargé du groupe LGBT de l’école.
La Hoe Valley School de Woking, dans le Surrey, aurait apparemment appelé la jeune adolescente d’un nom masculin et l’encourageait à se changer dans un cubicule du vestiaire des garçons.
« Notre jeune fille était encouragée à croire qu’elle était un garçon dans un corps de fille, » dit Mme Barnett.
« Le professeur adjoint l’aurait aussi encouragé à regarder un compte d’activistes transgenres sur YouTube, qui montrent leurs cicatrices de mastectomies et qui expliquent combien leur opération s’était bien passée », ajoute la mère.
Les parents disent que les sessions LGBT se sont faites sans qu’ils fussent au courant de ce qui se passait.
« L’école n’a pas jugé bon de nous le dire, » raconte Mme Barnett. « Nous sommes ses parents et la responsabilité de prendre soin de notre enfant nous a été retirée. Leur façon de voir les choses consiste à nous dire que c’est le choix de l’enfant et que la situation n’a aucunement rapport avec nous. »
Lire la suiteTrudeau après le pouvoir
Justin Trudeau, Premier ministre du Canada.
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) ― Photo (rognée) : Presidencia de la República Mexicana, Attribution 2.0 Générique (CC BY 2.0), Wikimedia Commons
Le député fédéral Derek Sloan, candidat pro-vie dans la course à la direction du Parti conservateur du Canada, écrivait dans un courriel adressé aux membres du parti :
Lire la suiteJ’étais à Ottawa hier [24 mars] pour faire mon devoir de député.
Nous avons vu Justin Trudeau essayer de tirer parti de cette crise sanitaire et économique nationale sans précédent [celle sanitaire c’est moins sûr*] pour s’emparer de pouvoirs considérables pour son gouvernement.
Cette prise de pouvoir anticonstitutionnelle, qui aurait donné à son gouvernement minoritaire une capacité illimitée de taxation et de dépenses pour les 18 prochains mois, a heureusement été contrecarrée par l’opposition.
Néanmoins, cet épisode illustre une fois de plus que Trudeau convoite la domination absolue sur nous tous, et que lui et son équipe considèrent les garanties de la démocratie parlementaire comme de simples pierres d’achoppement gênantes sur la route du pouvoir.
Rien de tout cela ne devrait nous surprendre. Trudeau est un homme qui, en 2013, a célèbrement manifesté son admiration pour la « dictature de base » de la Chine, très sérieusement.
Trudeau nous montre qui il est en tout temps. Pour vous convaincre des desseins despotiques de Trudeau, regardez les actes récents de son gouvernement en la matière du projet de loi C-8.
Qu’est-ce que le projet de loi C-8 ? Le 9 mars, alors que nous commencions tous à peine à saisir la gravité de la menace du COVID-19 et de l’effet sinistre qu’il aurait sur nos vies [comme les réactions disproportionnées*], les libéraux ont déposé le projet de loi C-8, qui vise à criminaliser ce qu’ils définissent comme « thérapie de conversion ».
Derek Sloan, candidat à la direction du Parti conservateur: «les familles forment la base de notre société»
Derek Sloan, député conservateur de Hastings — Lennox et Addington, en Ontario, à la Chambre des communes et candidat à la course à la chefferie du Parti conservateur du Canada.
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) ― Photo :
Qu’est-ce qui devrait être au centre de nos objectifs et de nos préoccupations, ou du moins parmi les plus importantes ? La famille. La famille, fondement et modèle de l’État, productrice et école de la société, base des relations, éducatrice de la charité.
Derek Sloan, député conservateur ontarien à la Chambre des communes et candidat dans la course à la chefferie du Parti conservateur du Canada, fonde sa campagne de course sur la protection de la vie et de la famille. Dans un courriel envoyé aux membres du Parti conservateur, il exprime sont soutien et sa louange à l’institution de la famille dans le contexte d’une société face au coronavirus :
Lire la suiteLes frontières se ferment. Le virus COVID-19 se propage. Les gens sont effrayés.
Nous avons lu des rapports suggérant que les personnes âgées sont particulièrement vulnérables.
Certains parents ayant de jeunes enfants signalent qu'ils ont des difficultés à trouver des couches et du lait maternisé, voire du papier toilette, dans les magasins.
Si certains d'entre nous ont la chance de pouvoir travailler à domicile tout en étant payés, pour beaucoup d'autres, ce n'est pas une possibilité. Certaines personnes ont un emploi qui les expose à un risque d'infection, tandis que d'autres ont été renvoyées chez elles sans espoir de toucher un salaire.
C'est dans des périodes d'incertitude comme celle-ci que, pour ceux qui ont la fortune d'avoir une famille, nous sommes reconnaissants du don de la famille.
Lorsque tout le reste disparaît, ou est ôté, la famille reste.
C'est notre force et elle nous renforce.
Les familles forment la base de notre société.
Il n'y a pas de principe plus important du conservatisme que la protection de la famille, en particulier contre ceux qui l'attaquent en matière de droits parentaux au nom d'idées sociales erronées.
Le père qui voulait empêcher la «transition» de sa fille pourrait être poursuivi, ayant enfreint l’ordonnance lui interdisant de parler aux médias
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Suite de l’affaire de ce père de Colombie-Britannique qui a combattu pour que sa fille ne « transitionne » pas en « garçon », selon LifeSiteNews :
Le père canadien qui s'est rendu devant les tribunaux l'année dernière pour essayer d'empêcher les médecins de « transitionner » sa fille de 14 ans perturbée en « garçon » pourrait être inculpé d'outrage au tribunal pour avoir enfreint une ordonnance lui interdisant de parler aux médias.
La journaliste chrétienne Laura Lynn Tyler Thompson de Vancouver pourrait également être inculpée d'outrage au tribunal pour avoir diffusé une vidéo de son entretien avec le père le mois dernier.
Une ordonnance du tribunal interdit la publication de toute information qui pourrait permettre d'identifier l'une des parties de l'affaire, y compris le père, qui est désigné dans les documents du tribunal par le terme « CD ».
Mais alors même que le juge de la Cour suprême de la Colombie-Britannique Michael Tammen a saisi mardi le procureur général de la province afin qu'il envisage de poursuivre les deux personnes, un autre journaliste s'est lancé dans la mêlée.
La jeune fille n’a pas demandé que ses avocats poursuivent son père pour ses infractions à l’ordonnance :
Ce qui est remarquable dans les procédures judiciaires des 9 et 10 mars, c'est que les avocats de la fille, dont fait partie l'activiste « queer » Barbara Findlay, ont admis qu'ils n'agissaient pas à la demande de leur cliente, qui a maintenant 15 ans et ne veut probablement pas poursuivre son père, a déclaré Thompson à LifeSiteNews.
Les avocats ont alors demandé que le juge renvoie l'affaire au procureur général pour qu'il envisage de poursuivre Thompson et le père pour outrage au tribunal.