Un père met en garde les parents après avoir perdu contact avec sa fille à cause de l’idéologie transgenre
Par Warren McArthur — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Sergii Mostovyi/Adobe Stock
21 juillet 2023 (Campaign Life Coalition) — Un père canadien qui a perdu contact avec sa fille adolescente à cause de l’idéologie transgenre met en garde les parents sur le fait que cela pourrait aussi arriver à leurs enfants.
Shannon Boschy, un père inquiet, a écrit un article publié dans True North sur son expérience de lutte contre la transition de genre de son enfant, et sur la façon dont sa fille en est venue à considérer son amour et sa préoccupation pour elle comme une forme de « haine ». Il a remis en question la décision de sa fille de commencer un traitement hormonal substitutif et a perdu le contact.
Parlant de la relation qu’il entretient aujourd’hui avec sa fille, il a déclaré : « Elle se tient de l’autre côté du fossé, croyant que je suis l’ennemi, que je la déteste, que le fait de ne pas la conforter dans ses choix est un abus, et que j’ai échoué en tant que père pour avoir aimé sa nature de petite fille quand elle était enfant ».
Boschy a parlé de l’idéologie et des croyances qu’il attribue à la dégradation de leur relation et à la colère de son enfant envers lui, en disant que « cette idéologie lui dit que je lui ai en quelque sorte imposé mes croyances à propos du genre à mesure qu’elle grandissait, et que mes stéréotypes lui ont fait croire qu’elle était une fille, alors qu’elle était en réalité autre chose ».
Le père accuse la culture et le système scolaire d’être à l’origine de l’animosité entre lui et son enfant. Il dit que le but de cet article est de parler là où d’autres ne le font pas, et peut-être d’avertir les parents de la façon dont les enfants qui souffrent de troubles mentaux sont manipulés par les pouvoirs en place.
Lire la suiteBlaine Higgs fait face à une bataille pour avoir défendu les droits parentaux
Blaine Higgs, premier ministre du Nouveau-Brunswick.
Par David Cooke (Coalition nationale pour la Vie) — Traduit par Campagne Québec-Vie
Le premier ministre Blaine Higgs fait face à une véritable bataille. La clique woke le prend à la gorge. Les médias le critiquent. Même le premier ministre Justin Trudeau s’en est pris à lui, le qualifiant d’« acteur politique d’extrême droite » et l’accusant de cibler les soi-disant « enfants trans ».
Et quel est le crime de M. Higgs, je vous prie ?
Il a osé prendre position pour les parents et les familles en apportant quelques changements modestes à la politique 713, un protocole éducatif qui définit la manière dont les écoles doivent traiter les élèves souffrant d’un trouble du genre.
Telle qu’elle a été rédigée à l’origine, la politique 713 était un cauchemar pour de nombreux élèves et parents, mais un rêve devenu réalité pour les activistes LGBT. Elle a permis aux activistes de prendre les commandes des écoles publiques du Nouveau-Brunswick et de forcer nos enfants à subir un programme abusif de réingénierie sociale.
Dans le cadre de ce programme, les filles ont été forcées de partager leurs toilettes et vestiaires avec des garçons qui prétendaient être des « filles trans ». Les équipes sportives de filles étaient également contraintes d’accepter des athlètes masculins s’ils prétendaient être transgenres. Et s’il y avait des sorties scolaires avec nuitées, les garçons « devraient avoir accès » aux logements réservés aux femmes, s’ils s’identifiaient comme « trans ».
C’était la recette d’un désastre qui privait les garçons et les filles biologiques de leurs droits humains fondamentaux et de la dignité que Dieu leur a donnée. La politique d’identité woke et l’idéologie délirante du genre l’avaient emporté sur la réalité.
Lire la suiteUne majorité de Canadiens est favorable à l’obligation pour les enseignants d’informer les parents de « l’identité de genre » de leur enfant
Blaine Higgs, premier ministre du Nouveau-Brunswick.
Par Clare Marie Merkowsky — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo :
16 juin 2023 (LifeSiteNews) — Un récent sondage a révélé que la plupart des Canadiens sont d’accord avec le premier ministre du Nouveau-Brunswick sur l’importance pour les enseignants de tenir les parents informés de l’identification de genre de leurs enfants et de leur choix de pronoms à l’école.
Selon un sondage national mené par Léger en mai, près de trois Canadiens sur cinq estiment que les écoles doivent informer les parents si leur enfant envisage de « changer » de pronoms de genre ou de « transitionner » à l’école.
« Près de trois Canadiens sur cinq (57 %) sont d’accord que les écoles devraient informer les parents », indique le sondage. « En ce qui concerne le désir de leur enfant de changer de sexe ou de pronoms, moins d’un tiers (18 %) estime que les écoles ne devraient pas être tenues d’en informer les parents ».
Le sondage a révélé que les Canadiens âgés de plus de 55 ans et ceux qui ont des enfants à la maison étaient les plus susceptibles de se prononcer en faveur de l’obligation pour les écoles d’informer les parents si leur enfant choisit de « changer de sexe ».
D’autre part, les 18 % qui pensent que les parents ne devraient pas être informés sont pour la plupart âgés de moins de 55 ans et de sexe féminin.
De même, 47 % des personnes interrogées estiment que les écoles devraient être tenues de « mettre à la disposition des parents, à l’avance, des documents sur les sujets liés au sexe et à la race. Moins d’un tiers (31 %) estime que les écoles ne devraient pas être tenues de le faire ».
Ce soutien à l’information des parents survient après que le premier ministre du Nouveau-Brunswick, Blaine Higgs, ait été critiqué par les militants LGBT pour avoir révisé la politique de la province en matière d’identité sexuelle qui permettait aux écoles de cacher aux parents le statut « transgenre » de leurs élèves.
Lire la suiteOttawa : manifestation contre l’endoctrinement LGBT
Par Anthony Murdoch — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Twitter
12 juin 2023, Ottawa (LifeSiteNews) — Lors du rassemblement pro-famille du 9 juin dernier à Ottawa pour protester contre la promotion de l’idéologie du genre dans les écoles, une vidéo enregistrée lors de l’événement, montrant des enfants musulmans piétinant des « drapeaux de la fierté » avec le soutien total de leurs mères, est devenue virale et a été vue des dizaines de millions de fois.
La vidéo montre pas moins de six enfants piétinant une guirlande de petits « drapeaux de la fierté ». La mère de l’un d’entre eux les encourage en disant « oui, oui, oui, bien, bien ».
La mère dit ensuite à la personne qui enregistre la vidéo : « Laissez nos enfants tranquilles ».
La vidéo virale des enfants musulmans piétinant le « drapeau de la fierté », publiée sur Twitter par le journaliste indépendant « The Pleb », a été visionnée près de 30 millions de fois à ce jour.
Young muslim kids STOMP the pride flag as their mothers cheer them on pic.twitter.com/hCLospOmzJ
— The Pleb 🇨🇦 Reporter (@truckdriverpleb) June 9, 2023
La manifestation de vendredi à Ottawa s’est déroulée sous la forme d’un rassemblement intitulé « L’éducation plutôt que l’endoctrinement » et a été organisée par le lycéen Josh Alexander et l’activiste pro-famille Chris Elston.
Le 31 mai, dans un courriel adressé à l’ensemble du personnel, le conseil des écoles publiques d’Ottawa a mis en avant une nouvelle politique qui entrera en vigueur en septembre et qui stipule que toutes les classes, même la maternelle, doivent utiliser les pronoms « they/them » lorsqu’elles se réfèrent aux élèves.
Le courriel précise également que les identités LGBT seront « intégrées » dans « l’environnement d’apprentissage global, de la maternelle à la terminale » et que cette nouvelle politique n’est pas « ouverte au débat ou à la participation sélective ».
Lire la suiteTrudeau ne veut pas que les écoles informent les parents au sujet de la « transition sociale » de leurs enfants
Nettoyage des traces de pneus sur le passage-piéton de Waterloo en Ontario.
Par Jonathon Van Maren — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Twitter
10 juin 2023 (LifeSiteNews) — Les militants LGBT ont conquis toutes les institutions canadiennes — mais selon le gouvernement, le mouvement est confronté à une « marée montante de haine » — une expression utilisée à la fois par le premier ministre Justin Trudeau et d’autres membres de son gouvernement. La quasi-totalité des événements organisés par le mouvement LGBT est financée par les différents niveaux de gouvernement, y compris les événements de la « Fierté », et le gouvernement fédéral accorde « jusqu’à 1,5 million de dollars aux organisations de la Fierté à travers le pays pour renforcer les mesures de sécurité lors des défilés et d’autres événements ».
D’où vient cette « marée montante de haine » ? Vous ne l’entendrez pas dans les sources traditionnelles, mais les principales manifestations qui ont eu lieu récemment au Canada ont été menées par des immigrés musulmans, y compris un affrontement majeur entre des militants LGBT et des parents au cours duquel des enfants ont piétiné des drapeaux de la Fierté à Ottawa. Le reste de la réaction est en grande partie une escroquerie facilitée par un mouvement qui a besoin de se présenter comme victime pour continuer à faire avancer son programme.
Lire la suiteÉnorme succès : Journée nationale de protestation contre le drapeau de la « fierté »
Par Jack Fonseca (Coalition nationale pour la Vie) — Traduit par Campagne Québec-Vie
« Mais là où la faute a abondé, la grâce a surabondé. » — Romains 5:20
Comme vous le savez, le système éducatif canadien est devenu un cloaque de propagande sexuelle et d’idéologie destructrice de l’âme et du corps.
Pire encore, une majorité de conseillers scolaires élus dans la plupart des districts soutiennent le programme de perversion sexuelle de la prochaine génération.
Mais alors que la situation n’a jamais été aussi sombre, Dieu apporte un rayon de lumière et d’espoir. Laissez-moi vous raconter une histoire...
À la fin du mois de mai, une mère catholique du sud-ouest de l’Ontario a téléphoné à Campaign Life Coalition et nous a demandé si nous pourrions recruter quelques parents dans sa région pour participer avec sa famille à ce qu’elle décrivait comme « une marche de protestation » le 1er juin, pour protester contre la levée du drapeau de la « fierté » LGBT.
Cette « maman ours » en avait assez de la propagande LGBT qui visait ses jeunes enfants à l’école. Elle voulait protéger ses « oursons » du drapeau sexualisé de la « Fierté », symbole du pouvoir politique des LGBT, qui serait bientôt à nouveau suspendu au-dessus de la tête de ses enfants dans leur école primaire catholique.
Nous avons tellement aimé son idée que nous lui avons dit : « Oubliez votre unique ville. CNV va reprendre votre idée à son compte et l’étendre à l’ensemble du Canada ! Essayons de protéger tous les enfants ! »
C’est ainsi qu’est née la toute première Journée nationale de protestation contre le drapeau de la fierté.
Nous avons préparé une simple affiche et une page internet pour promouvoir le geste de protestation, et nous avons commencé à passer le mot aux familles des écoles publiques et catholiques.
Elle a eu lieu le jeudi 1er juin, date à laquelle la plupart des écoles hissent le drapeau de la « fierté » gay pour donner le coup d’envoi d’un mois complet d’endoctrinement LGBT en classe visant à séparer les enfants des croyances religieuses de leur famille et à en faire des adeptes enthousiastes de la dernière révolution sexuelle : la fluidité des genres.
Lire la suiteL’ONU veut imposer l’éducation sexuelle obligatoire pour tous les enfants, et aussi leur droit de refuser l’éducation religieuse
Par reinformation.tv — Photo : Africa Studio/Adobe Stock
Le comité des droits de l’enfant de l’ONU a enjoint vendredi dernier au Royaume-Uni d’intégrer à tous les niveaux des cours d’éducation sexuelle « adaptés à l’âge », y compris « sur la diversité sexuelle », sans laisser « la possibilité pour les écoles religieuses ou les parents de se soustraire par choix à une telle éducation ». L’ONU impose donc sa version arc-en-ciel de l’éducation sexuelle à tous les établissements, parents et enfants, sans faire droit à l’objection de conscience. En même temps, le comité des droits de l’enfant invite enseignants et responsables à « s’assurer des droits de tous les enfants, y compris au-dessous de 16 ans, de se retirer des classes de religion sans le consentement des parents ». Voilà qui est triplement clair : sous couleur de « droits de l’enfant » l’ONU entend soustraire les enfants à l’autorité parentale, les soumettre à sa vision de l’homme, les inciter à s’éloigner de Dieu. Rien d’absolument nouveau, mais un discours et une action assumés contre la religion chrétienne et pour l’instauration d’un totalitarisme « laïc » et « humaniste ».
Les parents canadiens sont invités à ne pas envoyer leurs enfants à l’école le 1er juin 2023 pour protester contre le « mois de la fierté »
Par Clare Marie Merkowsky — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Melanie Van Alphen/Twitter
27 mai 2023 (LifeSiteNews) — Le principal groupe pro-vie et pro-famille du Canada exhorte les parents canadiens à garder leurs enfants à la maison le 1er juin pour protester contre la promotion du « Mois de la Fierté » dans le système d’éducation publique.
Le 25 mai, l’organisation pro-vie et pro-famille Coalition nationale pour la Vie (CNV) a annoncé la première journée nationale annuelle de Refus du drapeau de la fierté, qui aura lieu le 1er juin, alors que les écoles arboreront le « drapeau de la fierté » pour marquer le début du « mois de la fierté » homosexuelle.
« Le groupe de pression LGBT cause de réels dommages aux enfants, notamment par la pandémie de confusion sexuelle qu’il a créée en utilisant le système scolaire pour endoctriner l’idéologie du genre », a déclaré Jack Fonseca, directeur des opérations politiques de CNV, à LifeSiteNews.
« Les écoles sont le jouet personnel des militants LGBT depuis un certain temps maintenant, et nous en voyons le résultat : une contagion sociale de jeunes enfants et d’adolescents qui demandent des bloqueurs de puberté, des hormones de sexe opposé, et même l’amputation de parties saines de leur corps », a-t-il averti.
« Nous devons commencer à contester pacifiquement leur pouvoir et à affirmer nos propres droits parentaux sur l’éducation morale de nos enfants », a recommandé M. Fonseca.
« Nous ne pouvons pas laisser les groupes de pression gays et transgenres continuer à dominer nos enfants, à oblitérer nos droits parentaux et à semer la confusion dans l’esprit de nos enfants, ce qui leur causera des dommages durables », a-t-il insisté.
Pour ceux qui souhaitent participer à la lutte contre l’agenda LGBT mais qui n’ont pas d’enfants scolarisés dans les écoles où le drapeau de la fierté sera hissé, CNV a prévu quelques « prières » au conseil scolaire de Toronto et aux bureaux de divers évêques catholiques à Hamilton, Toronto et Ottawa. Pour plus d’informations sur les horaires et les lieux, cliquez ici.
Lire la suiteTrois tactiques majeures du mouvement pro-avortement
Par John Smeaton (Voice of the Family) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : puhimec/Adobe Stock
Deux des principales tactiques des groupes de pression pro-avortement dans la dernière partie du vingtième siècle ont été la promotion de politiques visant à détruire l’innocence des enfants par le biais de l’éducation sexuelle et relationnelle (ESR) et le retrait des parents en tant que premiers éducateurs de leurs enfants. Ces deux tactiques sont intimement liées à une troisième, à savoir l’établissement d’alliances avec l’Église catholique afin d’atteindre ces objectifs.
L’ESR inclut la fourniture de contraception et d’avortement aux enfants sans le consentement des parents. Par ce biais, les groupes de pression pro-avortement cherchent à rendre permanente la révolution de l’avortement, en ancrant la culture de l’avortement dans l’âme des générations futures.
Dès 1945, C.P. Blacker, secrétaire de la Société eugénique de Grande-Bretagne (1931-1952), préconisait l’éducation sexuelle à l’école, la planification familiale imposée, l’avortement, la stérilisation et le divorce facilité, comme l’indique Ann Farmer dans son ouvrage érudit intitulé By Their Fruits (Par leurs fruits). [1] Son objectif était de décourager la parentalité chez les personnes « socialement irresponsables ou eugéniquement indésirables ».
En 1967, le Parlement britannique a adopté la loi sur la planification familiale, qui a rendu la contraception facilement accessible par le biais du service national de santé, et la loi sur l’avortement, qui a rapidement conduit à l’avortement virtuel sur demande. En 1967 également, les Brook Advisory Centres du Royaume-Uni ont enfreint la loi en donnant des conseils en matière de contraception à des mineures.
En 1974, la note d’orientation du ministère britannique de la Santé et des services sociaux a indiqué aux médecins qu’ils pouvaient fournir des contraceptifs aux jeunes filles, « quel que soit leur âge » sans que leurs parents en aient connaissance ni y consentent.
Lire la suiteAnnulation de la fête des Mères et de la fête des Pères
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : Adobe Stock
Ici et là, notamment dans les écoles au Québec, on parle de ne pas fêter la fête des Mères ou celle des Pères, au nom de l’« inclusion » — vous aurez compris qu’il s’agit d’exclure le particulier afin d’accueillir le vague... C’est un symptôme évident de perte du sens naturel de la vie. Ce n’est pas tant l’annulation de ces fêtes en particulier qui est préoccupante — ces fêtes laïques somme toute récentes me laissent froid, tout comme les jours de telle ou telle catégorie de personnes —, mais l’attaque qui est menée contre la paternité et la maternité à travers l’annulation de ces fêtes.
Exemple récent d'exclusion inclusive…
La négation des parties constituantes de la famille est grave, après tout, c’est de l’union d’un homme et d’une femme que naissent les enfants, les auteurs de leurs jours devenant par le fait même père et mère.
La famille — un père, une mère et leurs enfants — est la base de la société, tant historiquement pour sa fondation qu’actuellement pour son maintien. La société, l’État sont l’extension de la famille, ou du moins devraient l’être...
L’importance de la famille réside notamment dans le principe de subsidiarité. Parce qu’elle peut engendrer ses enfants sans avoir besoin de l’aide l’État, elle est la source de l’État qui ne peut engendrer d’enfants propres à lui (sauf à recourir à quelque système collectif cauchemardesque que certains voudraient sans doute voir mis en place — ce n’est pas une idée nouvelle, Platon élucubrait déjà là-dessus dans sa Citée idéale).
Lire la suite