Réaction de parents à l’annonce d’une école pour filles voulant inclure des garçons se disant « filles »
Par Jonathon Van Maren — Traduit par Campagne Québec-Vie - Photo : dtiberio/Adobe Stock
(LifeSiteNews) — Le 17 août, nous rapportions l’histoire d’une annonce faite par la prestigieuse école de filles du Tennessee, Harpeth Hall, selon laquelle les garçons biologiques* qui s’identifient comme filles pourraient être admis comme étudiants. La nouvelle fut également couverte par une série de médias conservateurs et l’histoire devint virale nationalement et internationalement — ce qui provoqua une réaction massive. Dans les jours qui suivirent, Harpeth Hall annonça qu’il mettait en pause la « philosophie de la diversité des sexes », et il fut rapporté que le personnel avait organisé des appels de discussion avec des centaines de parents et d’anciens élèves, inquiets de cette politique.
Les discussions sont toujours en cours, car Harpeth Hall se retrouve coincé entre ceux qui insistent sur le fait que les garçons biologiques qui s’identifient comme filles sont des filles et l’indignation de nombreux parents qui envoient leurs filles dans une école exclusivement féminine pour une bonne raison. WSMV 4 a maintenant obtenu des lettres soulignant la division interne « au sein de la communauté de Harpeth Hall », dont une lettre d’opposition à la politique compte plus de 1 000 donateurs, parents et anciens élèves signataires, et une lettre anonyme de suivi appelant à un changement de direction de l’école.
Parmi les signataires de la lettre figurent d’éminents avocats, chefs d’entreprise et médecins de Nashville. La lettre, rédigée en termes forts, se lit comme suit :
Chère Mme Hill et le conseil d’administration de Harpeth Hall,
Nous vous écrivons aujourd’hui au nom d’un nombre important de parents actuels, d’anciens parents et d’anciens élèves. La semaine dernière a été difficile pour tout le monde, de quelque point de vue que ce soit. Une chose sur laquelle nous sommes tous d’accord est que vous, le corps professoral et le conseil d’administration, vous vous souciez profondément de nos filles et de Harpeth Hall en tant qu’institution. Dans cette optique, rien ne peut surpasser l’amour et l’intérêt d’un parent pour sa fille. L’adoption d’une politique qui invite les personnes autres que des femmes à poser leur candidature à Harpeth Hall constitue un changement critique dans la structure de l’école et, par extension, a un impact majeur sur nos filles.
Nous comprenons profondément la nécessité pour chaque enfant d’être soutenu et de trouver le meilleur environnement pour chaque étape de son développement. Nous admirons également tous les parents qui cherchent à trouver le meilleur environnement pour leur enfant unique. Nashville présente de nombreuses options, notamment des écoles réparties dans toutes les dimensions sociales et éducatives — qui acceptent les enfants sans considération de sexe ou genre et aident à leur développement. Mais nous avons choisi Harpeth Hall intentionnellement en raison de l’excellence de son enseignement, de ses nombreuses traditions et, oui, de l’importance qu’il accorde aux filles. Bien que beaucoup considèrent les questions de sexe et genre comme très complexes, il existe également une approche simple pour notre école : Harpeth Hall sélectionne et aide au développement des filles issues d’un large éventail de milieux, mais uniquement des filles, des filles à la naissance qui s’identifient également comme des filles aujourd’hui. Nous sommes convaincus que c’est l’idéal pour nos filles et nos petites-filles, et que cela leur permettra de se développer et de grandir, de concourir et de s’épanouir sans les distractions et les complexités des garçons, nés ou déclarés, dans la salle de classe, sur le terrain et les lieux.
Un nombre important de familles et de donateurs de la communauté de Harpeth Hall, dont ceux qui ont reçu une copie de ce message, estiment que l’administration et le conseil d’administration de Harpeth Hall ont oublié de nous inclure dans le processus d’examen d’un changement aussi important. La réputation de Harpeth Hall est endommagée et nous aimerions tous faire partie du processus de réparation. Nous demandons respectueusement la tenue d’une réunion publique en direct, avec tous les administrateurs de l’école, les membres du comité et les membres du conseil d’administration impliqués dans la création et l’adoption de cette politique. Étant donné les récents dommages causés à l’image de Harpeth Hall au niveau national et international, la question est urgente. Nous vous soumettons les dates et heures suivantes qui se tiendront dans le gymnase principal de Harpeth Hall, sans la présence des médias, des équipes de gestion de crise ou de relations publiques.
Au lieu des réunions en personne demandées, le personnel de Harpeth Hall a organisé des discussions virtuelles. Des groupes LGBT comme la Human Rights Campaign ont déjà exprimé leur déception face à la décision de mettre la politique en pause, et exercent sans aucun doute une pression énorme en coulisses.
Dans l’intervalle, cependant, la situation de Harpeth Hall souligne une fois de plus une leçon importante : lorsque les parents et les citoyens de bonne volonté s’opposent à des politiques radicales que la majorité des Américains ne soutiennent pas, ils peuvent créer un véritable changement. Le travail des journalistes et des militants conservateurs mettant en lumière ces politiques est essentiel.
*Remarquez que puisqu’un homme l’est du fait de sa biologie, de sa génétique même, il ne peut donc pas devenir femme, d’où il est absurde de parler d’« homme biologique » quand on veut mentionner un vrai homme, car en fait d’homme, il n’y a que des hommes biologiques. La même chose est vraie pour les « femmes biologiques ». — A. H.
Une coalition mondiale de parents se forme pour résister à l’endoctrinement sexuel pro-LGBT en classe
Par LifeSiteNews — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : a4gpa/Flickr
22 juillet 2022 — Un mouvement international de parents de différents pays, tels que les États-Unis, l’Irlande, le Canada et des nations d’Amérique du Sud, a pris naissance. Tous ces parents se lèvent contre la sexualisation des enfants par leurs enseignants, leurs districts et leurs commissions scolaires dans un nouvel Engagement des parents qui prendra effet tout au long de l’année scolaire 2022-23.
En formant une coalition unie, les parents se soutiennent mutuellement et édifient un pouvoir populaire pour résister au matériel pornographique promu et distribué par certaines des plus grandes ONG du monde, dont l’Organisation mondiale de la santé.
Comme le montre la pétition déjà signée par plus d’un millier de parents, l’Engagement des parents est fondé sur la résistance dans trois domaines clés :
- La poussée politique en faveur d’une théorie transgenre radicale
- L’objectif de l’OMS de faire passer le plaisir sexuel pour des soins de santé
- La « préparation sexuelle » des enfants dans leurs salles de classe par des enseignants et des adultes en qui ils ont confiance pour qu’ils deviennent sexuellement actifs.
S’adressant exclusivement à LifeSiteNews, un parent américain souhaitant rester anonyme a exposé les raisons qui l’ont poussé à signer l’Engagement des parents :
Le fait que des documents pornographiques sur la masturbation soient présentés comme des soins de santé à des enfants de 4 ans par l’Organisation mondiale de la santé n’est qu’une petite indication de l’agenda prédateur bien ancré contre les valeurs familiales traditionnelles, mais nous, parents, faisons front commun avec le nouvel Engagement des parents.
L’Engagement des parents renvoie également à une leçon vidéo déchirante expliquant la « transition » de Lucy à Liam, produite par l’Irish National Teachers' Organization. On y trouve également la désormais tristement célèbre proposition de l’OMS qui préconise que les enfants de 0 à 4 ans soient informés sur la masturbation et l’« identité de genre ».
L’« identité de genre » pose un risque majeur pour la sécurité des enfants, comme l’a montré une histoire qui a attiré l’attention internationale, dans laquelle un étudiant a violé une étudiante dans les toilettes des filles à l’école.
Lire la suiteUn père du comté de Loudoun, qui a été traîné hors d’une réunion du conseil d’administration de l’école, révèle que sa fille a été « violée » dans les toilettes des filles par un élève en jupe qui a été arrêté pour avoir agressé une DEUXIÈME fille des mois plus tard — mais le personnel n’a rien fait.
— Jack Posobiec (@JackPosobiec) 12 octobre 2021
Les adolescentes en Illinois pourront avorter à l’insu de leurs parents
Par Geneviève De Vriendt (Campagne Québec-Vie) — Photo : AndrewLozovyi/Depositphotos
Déresponsabiliser : voilà l’objectif — involontaire peut-être, mais quand même présent — d’une nouvelle loi en Illinois « autorisant les jeunes filles à se faire avorter à l’insu de leurs parents » comme le rapporte LifeSiteNews.
L’ironie tragique de la situation est que « l’État n’autorise pas les mineures à se faire percer les oreilles sans le consentement parental ». Se faire percer les oreilles aurait donc plus de poids et de gravité que tuer son propre enfant à naître ?
Comment ces adolescentes auront-elles le courage d’affronter une grossesse non prévue seule, sans l’autorité, le support et les conseils de leurs parents, alors qu’elles pourront facilement avorter ? Seront-elles vraiment toutes conscientes que l’acte qu’elles croient faire sans laisser aucune trace porte la conséquence grave d’enlever une vie irremplaçable ?
Le représentant de l’État républicain Tom Morrison a affirmé avec justesse que « Devenir enceinte en tant que mineure est une affaire très sérieuse, tout comme se faire avorter chirurgicalement ou chimiquement en tant que mineure est une affaire très sérieuse... Dans les deux cas, les parents ont le droit de savoir ce qui se passe avec leurs enfants. »
L’État prétend enlever la responsabilité primordiale aux parents de guider, de protéger, de conseiller, de défendre, d’aider, et de veiller sur leurs filles en laissant celles-ci agir dans leur dos.
Mgr Thomas Paprocki, évêque du diocèse de Springfield en Illinois, a qualifié la signature du projet de loi de « moment sombre et honteux dans l’histoire de l’État de l’Illinois... Il est frappant de constater à quel point cette législation fournit couverture, secret et obscurité sur les mauvaises actions ». » Moment sombre et moment tragique autant pour les parents et leurs droits que pour les jeunes filles et leur besoin d’appui parental.
Un lycée accepte le changement de « genre » d’une élève sans que les parents le sachent
Par Geneviève De Vriendt (Campagne Québec-Vie) — Photo : andreaobzerova/Adobe Stock
« Les parents de Lucie ont découvert, stupéfaits, que, depuis septembre dernier, l’ensemble du corps enseignant du lycée appelait leur fille de 15 ans Louis et s’adressait à elle au masculin », rapporte Le Figaro.
Pourquoi avoir adopté ce comportement envers cette élève ?
Selon Valeurs actuelles, « L’élève avait ainsi demandé au personnel éducatif “s’il était possible d’inscrire le prénom Louis sur la liste des élèves étant donné qu’(elle est) un garçon transgenre…” », car, rapporte une source, ses « parents ne le savent pas ».
Ainsi la destruction, du moins grave si pas permanente, d’une fille de 15 ans s’est faite sous le nez de ses propres parents avec l’appui des personnes responsables de son éducation. L’un des rôles primordiaux de l’éducateur n’est-il pas de répande la vérité, d’amener l’élève à regarder la réalité en face, et de lui apprendre à combattre l’erreur ? Mais dans cette histoire, les rôles s’inversent : les éducateurs deviennent les trompeurs.
Le magazine d’actualité de nouvelles précise que selon l’avocat des parents, Henri de Beauregard, « “l’établissement a contribué à enfermer” la jeune fille “dans une situation et à l’éloigner d’eux” en cautionnant l’affirmation “transgenre” de Lucie “dans le dos des parents”, selon les propos rapportés par le quotidien. Une situation qui a engendré un retard dans la “prise en charge psychologique adaptée” de l’adolescente et a “aggravé son mal-être”. »
Tout comme permettre à un enfant de traverser seul une route passante simplement pour faire ses quatre volontés est imprudent et même dangereux, faire croire à une adolescente qu’elle change réellement son « genre » en changeant son nom est gravement désastreux ; c’est l’encourager à poursuivre son erreur.
Le lycée n’a que poussé son élève dans la pente glissante qu’elle dévalait déjà au lieu de la tirer vers le haut, et ce, avant même que les parents n’aient vu leur propre fille chuter.
Les Nations Unies demandent que l’enseignement à domicile soit davantage réglementé
Par Jack Bingham — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Africa Studio/Adobe Stock
19 avril 2022 (LifeSiteNews) — Alors que le débat sur l’implication des parents dans l’éducation se poursuit, un nouveau rapport de l’ONU suggère de réglementer davantage ceux qui choisissent de scolariser leurs enfants à domicile.
Dans le dernier « Rapport mondial de suivi sur l’éducation » des Nations Unies pour « 2021/2 » intitulé « Les acteurs non étatiques dans l’éducation : qui choisit ? qui perd ? », l’organisation mondiale suggère qu’un système de réglementation plus strict doit être mis en œuvre pour assurer l’uniformité de ce qui est enseigné aux enfants, indépendamment de l’endroit ou de la personne qui les éduque.
Selon le rapport de l’ONU, la présence d’« acteurs non étatiques » dans l’éducation, qui fait principalement référence aux éducateurs du secteur de l’enseignement privé mais mentionne également les parents impliqués dans l’enseignement à domicile, favorise l’« inégalité » et les « privilèges », et la solution consiste donc pour les gouvernements à consolider « toute » l’éducation dans un « système unique ».
L’ONU affirme que l’augmentation du taux d’enseignement à domicile est le résultat de la « mobilisation d’un mouvement conservateur mondial ». Le rapport poursuit en critiquant l’éducation à domicile pour son rôle supposé dans « l’exacerbation des déséquilibres entre les sexes » et l’impact négatif sur les taux d’emploi des « mères mais pas des pères », une tendance observée lorsque les taux de « homeschooling » ont grimpé en flèche pendant l’ère COVID.
En réponse à ces arguments, Michael Donnelly, avocat principal de la Home School Legal Defense Association, a écrit dans une analyse approfondie du rapport qu’« il y a quelque chose de profondément défectueux dans le fait qu’un organisme international considère la “participation au marché du travail” comme la condition sine qua non de l’épanouissement humain, en particulier lorsque le sujet est en fait l’éducation des enfants ».
Lire la suiteDeSantis signe une loi qui permettra aux parents de savoir ce qui est enseigné dans les écoles de Floride
Par Matt Lamb — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Africa Studio/Adobe Stock
29 mars 2022, Tallahasse, Floride (LifeSiteNews) — Le gouverneur de Floride, Ron DeSantis, a signé vendredi une loi qui garantit que les parents peuvent voir quel matériel est utilisé dans la classe de leurs enfants.
Les conseils scolaires doivent tenir des réunions ouvertes où le public peut commenter le matériel pédagogique.
Le projet de loi HB 1467 exige que les districts scolaires « permettent l’accès à tout le matériel [pédagogique]... au moins 20 jours civils avant que le conseil scolaire du district ne prenne une mesure officielle sur ce matériel », selon un résumé de la législation.
Elle exige également que le ministère de l’Éducation de l’État « publie et mette à jour une liste du matériel [pédagogique] qui a été supprimé ou abandonné par les conseils scolaires de district à la suite d’une objection et diffuse la liste aux districts scolaires pour qu’ils en tiennent compte dans leur sélection de matériel pédagogique ».
Les bibliothèques scolaires doivent également veiller à ce que des documents adaptés à l’âge et non pornographiques soient disponibles et s’assurer que les parents puissent savoir ce qui est disponible pour leurs enfants. « Chaque école primaire publique est tenue par le projet de loi de publier sur son site Web la liste de tous les livres et documents conservés dans la bibliothèque de l’école ou requis et utilisés dans le cadre d’une salle de classe », indique le résumé de la législation fourni par le Sénat de Floride.
« Les livres obligatoires doivent être exempts de pornographie et de matériel nuisible interdit aux mineurs, adaptés aux besoins des élèves et appropriés au niveau scolaire et au groupe d’âge », indique le résumé.
Lire la suitePatrick Brown et Jean Charest se lancent dans la course à la chefferie 2022 du PCC
Jean Charest, ex-premier ministre libéral du Québec.
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : Martin Sauvageau/Flickr
Deux candidats ont rejoint ceux déjà en lices pour la course à la chefferie du Parti conservateur du Canada Patrick Brown et Jean Charest concourront avec la pro-vie Leslyn Lewis et le pro-avortement Pierre Poilievre.
Si la réputation de Jean Charest n’est sans doute plus à faire, nous en parlerons quand même plus loin, Patrick Brown n’est sûrement pas aussi connu des pro-vie que ce premier.
Lire la suitePatrick Brown a été notamment chef du Parti progressiste-conservateur de l’Ontario de mai 2015 à 25 janvier 2018. Pour atteindre ce poste il a fait montre de sentiments susceptibles de plaire aux conservateurs sociaux… avant de tourner veste une fois élu. Selon Jack Fonseca de Campaign Life Coalition (CLC) :
Brown peut être caractérisé comme un politicien mutant. Lorsqu’il fait appel aux électeurs conservateurs dans les courses à la direction, il se présente comme un conservateur bleu profond et donne l’impression qu’il soutient des politiques conservatrices sur le plan social et fiscal. (En ce moment, il se présente comme un champion de la liberté religieuse.)
Mais une fois au pouvoir, et lorsqu’il perçoit qu’il n’a plus besoin de cet électorat, Brown se métamorphose en libéral rouge flamboyant et commence à copier toutes les politiques gauchistes de Justin Trudeau et des libéraux provinciaux.
Un exemple concret est le revirement honteux de Brown sur le programme d’éducation sexuelle radical du gouvernement libéral de Kathleen Wynne pour les enfants dès l’âge de six ans.
M. Brown a remporté la direction du Parti conservateur de l’Ontario en 2015 en grande partie en vendant des cartes de membres à des parents auxquels il a promis d’abroger le programme d’éducation sexuelle détesté. Il a même pris la parole lors d’une grande manifestation des droits des parents contre le programme d’études à Queen’s Park. Peu après sa victoire, cependant, il s’est prononcé en faveur du programme libéral d’éducation sexuelle pour enfants et, telle une vipère, s’est retourné contre les parents qui l’avaient élu, les traitant d’« homophobes ».
Au cours de cette course à la direction du PC, M. Brown s’est également présenté comme étant « solidement pro-vie » et « pro-mariage traditionnel », soulignant son bilan parfait de votes pro-vie en tant que député fédéral.
Mais après avoir remporté la course à la direction, il a brusquement abandonné ces positions, déclarant son soutien au « mariage » homosexuel, défilant dans une parade de la fierté gaie, et exprimant son engagement indéfectible envers l’avortement, qu’il a appelé par euphémisme « le droit des femmes de choisir ».
[...]
Brown est complètement pro-avortement et anti-famille. Il reçoit définitivement une cote feu rouge, et nous demanderons instamment aux partisans de Campaign Life Coalition de ne pas le classer sur leurs bulletins de vote.
Le nouveau film pour enfants Buzz l'Éclair de Pixar comprendra une scène de baiser entre personnages de même sexe
Par Jack Bingham — Traduit par Campagne Québec-Vie
21 mars 2022 (LifeSiteNews) — En phase avec l’agenda LGBTQ, le nouveau film pour enfants de Pixar de la série Toy Story, Buzz l'Éclair (Lightyear), devrait comporter une scène de baiser « homosexuel ».
Selon Variety, Buzz l'Éclair devrait rétablir une scène de baiser entre deux personnages féminins de même sexe qui avait été initialement supprimée du film par les dirigeants de Disney. La décision de « rétablir » la scène aurait été prise après que les employés se soient indignés que le PDG de Disney, Bob Chapek, n’ait pas pris une position plus ferme contre le projet de loi de Floride sur les droits parentaux en matière d’éducation.
Dans une déclaration que Variety attribue aux « employés LGBTQIA+ de Pixar et à leurs alliés », les travailleurs pro-LGBT affirment qu’en plus d’être indignés par la conduite de Chapek concernant le projet de loi de Floride, ils ont également été constamment frustrés par les dirigeants de Disney en général, alléguant qu’ils ont coupé « presque chaque moment d’affection ouvertement gay » des films de Pixar.
La frustration des travailleurs à l’égard de Chapek en particulier vient de ce qu’ils considèrent comme une condamnation insuffisante du projet de loi sur l’éducation de Floride, qui vise à protéger les jeunes écoliers contre l’enseignement d’une idéologie sexuelle radicale. Jusqu’à présent, Chapek s’est non seulement opposé publiquement au projet de loi, mais il a même promis 5 millions de dollars à la Human Rights Campaign et à d’autres groupes des « droits » LGBT.
Le projet de loi lui-même, qui a été surnommé le projet de loi « Don't Say Gay » par les critiques pro-LGBT, n’interdit pas réellement l’utilisation du mot « gay », mais cherche plutôt à protéger les enfants de troisième année ou moins contre l’enseignement d’idées radicales concernant l’« identité » de genre et l’« orientation » sexuelle.
Lire la suiteVidéo à propos du projet de loi 15 au Québec supprimant la primauté parentale
Alain Rioux.
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : Les Papas en action pour l'équité/YouTube
Je vous invite à regarder cette vidéo de l’association Les Papas en action pour l’équité qui met en garde contre les dangers du Projet de loi n° 15, Loi modifiant la Loi sur la protection de la jeunesse et d’autres dispositions législatives du Ministre délégué à la Santé et aux Services sociaux Lionel Carmant (CAQ). Le projet de loi 15, explique Alain Rioux de l’association Les Papas en action pour l’équité dans cette vidéo détaillée, supprimerait le principe de primauté parentale de la loi québécoise pour ériger à la place en principe de loi fondamentale la primauté de l’intérêt de l’enfant. Or, si l’intérêt de l’enfant est certes primordial, sans être le seul principe primordial à prendre en compte, c’est un sujet sur lequel bien des personnes à tout le moins raisonnables peuvent différer, et au Québec, c’est la DPJ qui décide de l’intérêt supérieur de l’enfant… Il faut comprendre que la DPJ, qui a déjà des pratiques douteuses, se verrait dotée d’un surcroît de pouvoir sur les familles ordinaires.
Le projet de loi 15 risque être adopté d’ici la fin de la session parlementaire, le 10 juin 2022.
Je préciserais pour ma part que la primauté parentale est l’un des principes les plus évidents tant il est lié à la nature de la famille.
Une commission scolaire « catholique » au Canada lance un sondage « LGBT »
Par Geneviève De Vriendt (Campagne Québec-Vie) — Photo (modifiée) : Freepik
Une commission scolaire catholique en Ontario a émis un sondage pour tous ses élèves de la 4e année jusqu’à la 12e année. Sous la bannière de l’inclusivité, le sondage optionnel revêt ouvertement les folies de la théorie du genre.
Une des questions posées aux élèves porte sur les « adultes avec lesquels ils vivent », à laquelle ils peuvent répondre « deux mères » ou « deux pères ».
Selon LifeSiteNews, « Les enfants sont également invités à répondre à “comment décrivez-vous votre sexe ?” » Les choix de réponses indiquent « garçon », « fille », ou l’option de s’identifier d’« une autre manière ».
« De plus, les élèves sont informés qu’ils peuvent sélectionner “plus d’une case”, ce qui leur permet d’indiquer plusieurs combinaisons de genres, y compris garçon et fille simultanément. » « L’enquête fournit un champ dans lequel les étudiants peuvent élaborer une description personnalisée de leur identité de genre. »
Les écoles, et surtout les écoles catholiques, ne doivent-elles pas garantir une éducation saine et véritable pour les enfants qui les fréquentent ?
Si les personnes responsables de leur apprentissage de la réalité présentent aux étudiants le « choix » de nier cette réalité, et d’inventer leur propre sexe, comment peuvent-ils alors prétendre transmettre la vérité ?
L’erreur est ouvertement enseignée, et la vérité volontairement cachée.
LifeSiteNews rapporte aussi que, « Le conseil scolaire a déclaré que seul le personnel du département des services de recherche et de données du district “aura accès aux réponses anonymes de votre enfant à l’enquête”, qui autrement seront cachées aux parents, aux enseignants et aux directeurs. »
Le droit des parents est atténué pour laisser place à l’emprise d’un système de mensonges.