Nouvelles demandes d’asile en Pologne de parents qui fuient avec leurs enfants les services sociaux de la Norvège
Par Olivier Bault (Reinformation.tv)
L’ONG juridique Ordo Iuris prépare de nouvelles demandes d’asile en Pologne de Norvégiens qui fuient leur pays pour empêcher les services sociaux de leur enlever leurs enfants. Une deuxième demande d’asile vient d’être déposée par l’ONG polonaise après celle de Silje Garmo, la maman d’une fillette de neuf mois qui a trouvé refuge sur les bords de la Vistule. Silje Garmo a déjà eu trois entretiens à l’Office des étrangers polonais, mais la procédure d’asile pour cette ressortissante de Norvège pourrait durer plusieurs mois.
Les fonctionnaires polonais n’ont en effet pas encore commencé les auditions des témoins cités par la Norvégienne. Ordo Iuris, qui a déjà assisté par le passé de nombreux émigrés polonais victimes des pratiques de l’Office de protection des droits des enfants (Barnevernet) en Norvège, prépare un dossier avec des centaines de cas d’abus commis par ces services sociaux. Pour obtenir l’asile en Pologne – un statut distinct de celui de réfugié – il faut en effet prouver que l’on est menacé dans son pays. L’autre condition, c’est que l’octroi de l’asile soit dans l’intérêt de la Pologne et c’est pourquoi le ministre des Affaires étrangères polonais doit approuver toute décision d’asile. Afin de faire pression sur le gouvernement polonais, une pétition de soutien est en cours en Pologne ; elle a déjà recueilli plus de 12.000 signatures.
Lire la suiteLettre d'opinion : « Cours d'éducation sexuelle : Le pompier pyromane »
Par Stéphane Bürgi, marié, père de quatre jeunes enfants, agent de pastorale et doctorant au Centre d'études du religieux contemporain de l'Université de Sherbrooke
Depuis quelques années, il est question d'éducation sexuelle au Québec. Hypersexualisation, maladies transmissibles sexuellement, grossesses précoces, le tout accompagné de détresses psychologiques : personne ne peut aujourd’hui nier que les jeunes ont un réel besoin d’éducation à la sexualité.
Doit-on pour autant se réjouir de l'arrivée du nouveau cours dans les salles de classe du Québec? En fait, si on y regarde de plus près, on peut sérieusement se demander si le contenu du programme, plutôt que d'offrir une solution, ne fera pas qu'aggraver le problème.
Par exemple, est-il approprié d'enseigner, en classe, le fonctionnement des organes sexuels – incluant la fonction du plaisir – dès les premières années du primaire? Il s'agit pourtant d'un apprentissage prévu dans le programme, où il est écrit qu'un enfant de 6-7 ans doit pouvoir « situer les organes sexuels des filles et des garçons et leurs fonctions (reproduction, plaisir, élimination) »
Lire la suiteMutilations et suicides chez les jeunes «transgenres» ?
Par Clémentine Jallais (Reinformation.tv)
Un rapport instructif de l’organisation écossaise de défense des droits des homosexuels, « Stonewall », révèle que la majeure partie des jeunes dits « transgenres » se font volontairement du mal, un mal allant jusqu’aux mutilations, voire jusqu’au suicide. Un comportement qui dénote un malaise profond, un trouble psychologique intense – et réel, comme le montrent fort bien les chiffres. Mais pour « Stonewall », il ne peut être en aucun cas être la cause de leur « disphorie sexuelle ». Il est, encore et toujours, la conséquence du rejet dont ils font l’objet. Le message est clair : il faut renforcer l’éducation sexuelle dans les écoles sur ce sujet – et sur tous ceux du vaste domaine LGBT…
Le très engagé « Stonewall »
L’étude « School Report Scotland », menée avec l’Université de Cambridge, a pour principal objectif de porter, on l’imagine bien, sur les intimidations et les discriminations que subissent les élèves LGBT (lesbiennes, gays, bisexuels et trans). Mais les chiffres lancés confirment, encore une fois, autre chose.
Lire la suitePlus de 40 familles ont retiré leurs enfants d’une école qui a imposé une leçon transgenre à des enfants de 5 ans
Par Lianne Laurence (LifeSiteNews) — traduit par Campagne Québec-Vie
ROCKLIN, Californie, 22 septembre 2017 — Quarante et une familles ont retiré 73 enfants des prestigieuses écoles à charte Rocklin Academy, dans la région de Sacramento, parce que la direction continue de défendre une leçon de transgendérisme en maternelle, dont plusieurs parents disent qu'elle a traumatisé leurs enfants de 5 ans et dont ils n’étaient pas informés au préalable.
Une mère qui a retiré son fils de la 6e année et sa fille de la 3e de l’école Rocklin Academy Gateway, où l’incident a eu lieu, a gardé un décompte des parents qui ont fait de même.
«C’était juste le point de bascule pour la plupart des familles», ce parent a demandé que son nom ne soit pas publié, dit LifeSiteNews.
Certains parents ont retiré leurs enfants «uniquement pour cela», tandis que d’autres avaient «plusieurs raisons, mais oui, cela faisait partie de la raison de tout le monde,» dit-elle.
Lire la suiteFuyant le Barnevernet, les services sociaux de son pays avec son bébé, une Norvégienne demande l’asile en Pologne !
Par Olivier Bault (Reinformation.tv)
Non, il ne s’agit pas d’une maman alcoolique ou violente : la Norvégienne qui demande l’asile en Pologne pour fuir les services sociaux est une maman normale à qui on veut arracher son bébé. Le Barnevernet, c’est-à-dire l’Office de protection des droits des enfants, ce sont les services sociaux d’un Etat qui souffre d’une vraie dérive totalitaire : la Norvège. Fait exceptionnel, 9 plaintes contre ce pays sont aujourd’hui examinées par la Cour européenne des droits de l’homme (CEDH) à propos des pratiques du Barnevernet en violation de l’article 8 de la Convention européenne des droits de l’homme qui a trait au respect de la vie privée et familiale.
De tous les services sociaux européens, le Barnevernet est celui qui a la main la plus lourde et qui arrache les enfants à leur famille pour les raisons les plus futiles et les plus arbitraires. Silje Garmo en sait quelque chose, elle à qui l’État norvégien a déjà pris sa première fille, aujourd’hui âgée de 12 ans, à la suite d’une simple dénonciation. On l’a accusée d’abuser des médicaments contre la douleur, d’avoir « un style de vie chaotique » et de souffrir de surmenage. Lorsqu’elle est tombée enceinte de son deuxième enfant, le Barnevernet s’est donc à nouveau intéressé à Silje Garmo, examinant systématiquement les résultats de ses prises de sang pour y déceler les traces d’une consommation excessive de médicaments. N’ayant rien trouvé, l’institution a malgré tout adressé un ultimatum à la pauvre maman : soit elle acceptait de séjourner dans un centre spécial, soit on lui enlèverait son enfant à la naissance pour le placer dans une famille d’accueil.
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Projet de loi 144 : des craintes pour les parents qui font l’école à la maison
Assemblée nationale du Québec — Photo : Wikimedia Commons
(pouruneécolelibre) — Radio-Canada communique :
« Les parents qui font l’école à la maison ont suivi attentivement cette semaine la commission parlementaire sur le projet de loi 144. Ce projet de loi, qui vise à garantir à tous les enfants de 6 à 16 ans l’accès à l’éducation, encadrera mieux les familles qui ont fait ce choix. »
Admirez l’euphémisme : on pourrait presque croire que l’État va aider les parents. Il s’agit en réalité de contrôler de plus près les parents et de les empêcher, si le gouvernement le décide, de faire les choix éducatifs qu’ils préfèrent. Bref, de serrer encore la vis.
« Le ministre de l’Éducation, Sébastien Proulx, souhaite mettre de l’ordre dans les règles encadrant ce choix éducatif. »
Qui peut être contre l’ordre ? Mais y avait-il désordre ? De quelle manière ? À nouveau, il s’agit d’une présentation méliorative et non objective. Rappelons qu’il n’y a aucune preuve que plus de contrôles tatillons améliorent les résultats des enfants instruits à domicile.
Lire la suite« Plus tôt cette semaine, il a laissé entendre qu’il voulait respecter les droits des parents tout en évitant les abus et les laisser-aller. »
Une nouvelle affaire Charlie Gard? Le cas d’Alfie Evans
Par Jeanne Smits (Reinformation.tv)
La vie du petit Alfie Evans, 14 mois, est entre les mains des médecins, comme on a coutume de le dire. Mais vraiment, pour le coup. Tout à fait comme Charlie Gard – va-t-on vers une nouvelle affaire à retentissement mondial ? – ce bébé hospitalisé à Liverpool en Angleterre est l’otage du corps médical qui refuse son transfert aux Etats-Unis pour un traitement expérimental.
Le petit garçon est victime d’une maladie mystérieuse qui l’a laissé dans le coma en décembre dernier, date à laquelle il est entré à l’unité des soins intensifs à Alder Hey Children’s Hospital. Il souffre de convulsions. Ventilé comme Charlie Gard, le bébé est sous le coup d’un arrêt de mort de la part des médecins qui veulent stopper tous les moyens de maintien en vie.
Lire la suiteLa mère de Charlie Gard lance « Et s’il s’était agi de votre enfant ? » après que le juge ait dit que Charlie mourrait à l’hôpital s'il n'y avait pas d'accord
Le petit Charlie Gard
Par le Père Frank Pavone (LifeNews.com) traduit par Campagne Québec-Vie — Capture de vidéo
Londres, la mère de Charlie Gard a quitté, en larmes, la Haute Cour de justice aujourd’hui, après que le juge chargé de l’affaire ait dit que Charlie devrait mourir à l’hôpital, si les parents et le Great Ormond Street Hospital ne parvenaient à un accord sur l’endroit où il sera, quand on lui retirera son respirateur artificiel.
Les parents de Charlie se sont battu [juridiquement] avec l’hôpital sur la question si oui ou non ils pourraient l’emmener à la maison, et si, après qu’il ait été débranché de son respirateur artificiel, il pourrait être entouré de ses amis et de sa famille. Cependant l’hôpital a refusé de le laisser aller à la maison – disant qu’il ne pensait pas que le respirateur artificiel puisse passer par la porte d’entrée de cette maison.
Les parents de Charlie disaient qu’ils avaient trouvé un médecin disposé à s’occuper du garçon de onze mois, de telle sorte qu’ils puissent passer le temps avec lui loin de l’hôpital, pendant ses derniers jours, mais le juge Francis a déclaré que Charlie mourrait à l’hôpital si les deux parties n’arrivaient pas à un accord.
Lire la suiteLe petit Charlie Gard doit mourir, décide la CEDH contre la volonté de ses parents
Connie Yates et Chris Gard, les parents du petit Charlie Gard
Par Jeanne Smits (reinformation.tv)
Le gouvernement des juges s’immisce désormais dans les décisions les plus intimes des familles. La famille du petit Charlie Gard, ce bébé de 10 mois atteint d’une maladie orpheline très grave qui attaque ses muscles et son cerveau, vient de voir rejeter son recours devant la Cour européenne des droits de l’homme contre plusieurs décisions de justice au Royaume-Uni ordonnant l’arrêt de la respiration artificielle dont il bénéficie actuellement et qui le maintient en vie. Les juges de la CEDH ont donné raison au corps médical de l’hôpital pour enfants de Great Ormond Street qui veut le laisser « mourir dans la dignité », et qui a fait entériner décision contraire à la volonté des parents de Charlie.
Ceux-ci ont levé des fonds, grâce à plus de 80.000 donateurs à travers le monde, qui leur permettent de financer eux-mêmes le transport médicalisé de leur fils aux Etats-Unis où une équipe de médecins est prête à lui faire subir un traitement expérimental qu’ils affirment efficace pour le syndrome de déplétion mitochondriale dont il est atteint. Il s’agit une maladie génétique qui s’est révélée peu de mois après sa naissance; il n’y a que 16 cas connus dans le monde.
Lire la suiteLe petit Charlie Gard, interdit d’aller se faire soigner ailleurs, doit être débranché contre la volonté de ses parents
Le petit Charlie Gard, atteint d’une maladie génétique rare.
Par Clémentine Jallais (Réinformationtv)
La décision est tombée hier, 8 juin : les parents du petit Charlie Gard ont perdu leur appel devant la Cour suprême britannique. Ses parents, Chris Gard et Connie Yates, qui souhaitaient emmener aux Etats-Unis leur fils de 10 mois, atteint d’une maladie rare, se sont vus opposer le refus des médecins et des juges. Et leur décision est formelle : l’enfant doit être débranché, ici, à Londres.
Une histoire qui montre, une fois de plus, le pouvoir outrancier que peut s’octroyer la gent médicale, aidée des juges, pour décider ce qui est bon pour les uns et mauvais pour les autres : qui doit vivre et qui doit mourir. Et sans égards aux droits parentaux.
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