Alfie Evans est maintenant nourri. La Cour d'appel entendra les parents au sujet d'emmener l'enfant en Italie
Alfie Evans dans les bras de sa mère après avoir été débranché de son aide respiratoire, le 24 avril 2018. — Source : Facebook
Par Diane Montagna — traduit par Campagne Québec-Vie
ROME, 25 avril 2018 (LifeSiteNews) — Les parents d’Alfie Evans vont aujourd’hui contester une décision d’une Haute Cour qui les empêche d’emmener leur fils en Italie pour lui fournir d’autres soins.
Un porte-parole du Christian Legal Centre (le groupe d’avocats représentant la famille) a déclaré que la Cour d’appel avait accepté de tenir une audience cet après-midi à 14 heures pour savoir si les parents Thomas Evans et Kate James peuvent transporter leur fils à l’étranger pour qu’il reçoive un traitement.
Mardi soir, le juge Anthony Hayden a décidé que les parents ne pouvaient pas emmener leur enfant en Italie et a qualifié sa décision de « dernier chapitre dans le cas de ce petit garçon extraordinaire ».
Mais en parlant devant l’hôpital Alder Hey de Liverpool ce matin, Thomas Evans a déclaré que la Cour d’appel les avait contactés hier soir après la décision du juge Hayden. Ils ont parlé avec M. Diamond [l’avocat des parents] et ont dit qu’ils étaient prêts à recevoir leur appel. D’après le britannique The Morning.
Lire la suiteAlfie Evans a été débranché de son respirateur, mais il a survécu
Alfie Evans.
Par Jeanne Smits (reinformation.tv — leblogdejeannesmits) — tout le texte provient de reinformation.tv à part un paragraphe qui provient de leblogdejeannesmits. — NDLR
Débranché à 22 h 17 heure française lundi soir, le petit Alfie Evans a déjà survécu plus de 18 heures sans être ventilé. Son père a dû parlementer 40 minutes avec les médecins de l’hôpital pédiatrique Alder Hey de Liverpool pour obtenir qu’on lui administre de l’eau et de l’oxygène [mais pas l'assistance respiratoire — NDLR] au bout de six heures d’efforts de son fils pour vivre sans aucune assistance. A l’heure d’écrire, la famille Evans était de nouveau devant la justice, devant le même juge Hayden qui a déjà pris des décisions de mort pour Alfie. Mais pendant ce temps, un groupe de médecins britanniques a vivement condamné la manière dont on traite le petit garçon et dont on empêche ses parents de l’emmener en Italie (...)[leblogdejeannesmits]
(...) Le petit Alfie Evans, 23 mois, devait être précipité vers la mort ce lundi 23 avril, fête de la saint Georges qui est le saint patron de l’Angleterre. Mais il a gagné un sursis. Son exécution a été retardée. Son père Tom vient de déclarer dans une vidéo en direct sur Facebook, puis devant la foule de manifestants massée devant son hôpital, qu’Alfie vient de se voir attribuer la nationalité italienne ; l’ambassadeur d’Italie au Royaume-Uni veut entrer en discussions et au besoin aller devant les juridictions britanniques pour obtenir le transfert d’Alfie vers Rome, où la clinique vaticane du Bambino Gesu est prête à l’accueillir pour voir s’il est possible de diagnostiquer son mal, et de le soigner. Les parents d’Alfie, ils l’ont dit et répété, ne veulent pas d’acharnement thérapeutique pour leur fils. Ils veulent qu’il soit accompagné le mieux possible ; qu’il vive entouré d’amour, et qu’il meure, si cela est inévitable, paisiblement, au terme du temps qui lui sera donné et d’une mort naturelle. Dans sa dernière apparition publique en date, Tom Evans a indiqué que l’Italie poursuivra quiconque débranchera son fils. Et il a interpellé la reine Elizabeth : « Quand avez-vous légalisé l’euthanasie ? »
Lire la suiteSi vous ne voulez pas que vos enfants soient endoctrinés, sortez-les des écoles publiques
Par Jonathon Van Maren (LifeSiteNews) — traduit par Campagne Québec-Vie
8 février 2018 (The Bridgehead) — Si la gauche progressiste peut revendiquer une victoire culturelle presque totale, c’est bien dans son infiltration et sa conquête du système éducatif public. Les écoles publiques du monde occidental — en particulier le Canada, les États-Unis et la Grande-Bretagne — servent maintenant de vecteurs d’idéologie postmoderne, et sont remplies de cours de « justice sociale » ainsi que d’éducation sexuelle conçue pour intégrer une grande variété de modes de vie alternatifs. Les dernières nouvelles sur ce front viennent du Royaume-Uni.
D’après Breitbart :
« Annonçant une mise à jour du programme LGBT inclusif, le géant de l’éducation Pearson a lancé un guide pour pousser l’activisme en “justice sociale” dans toutes les parties du programme scolaire.
“Creating an LGBT-Inclusive Curriculum” (Créer un programme d’études LGBT inclusif) a été produit par le groupe d’activistes LGBT Stonewall et promu par la maison Pearson, qui possède le conseil d’examen Edexcel et publie des milliers de manuels scolaires en tant qu’une des plus grandes entreprises d’éducation du Royaume-Uni.
Lire la suiteAlfie Evans, menacé de mort comme Vincent Lambert, prisonnier d’un hôpital
Alfie Evans.
Par Jeanne Smits (reinformation.tv)
Il y a moins de différences qu’il n’y paraît entre Vincent Lambert, la quarantaine, menacé de mort parce qu’un médecin a jugé que continuer de le nourrir reviendrait à de l’obstination thérapeutique, et le petit Alfie Evans, deux ans, prisonnier de l’hôpital britannique d’Alder Hey à Liverpool. Voici un an et demi, le petit garçon était frappé de convulsions après avoir montré des signes de retard de développement. Il est hospitalisé depuis lors : aujourd’hui Alfie respire et vit donc à l’aide d’un ventilateur, mais ne bénéficie pas de recherche pour diagnostiquer son étrange maladie. Les autorités hospitalières ont décidé qu’il était dans son intérêt d’être « débranché », ce qui entraînerait rapidement sa mort.
Au cours de son hospitalisation, Alfie a déjà pu se passer de la ventilation artificielle qui avait été rendue nécessaire par une infection pulmonaire. Une nouvelle infection a obligé à le remettre sous assistance respiratoire.
Lire la suiteQuébec — Éducation à la sexualité (uniformisée) — revue de presse commentée
Après avoir été abolie il y a plus de 15 ans en tant que matière autonome obligatoire, l’éducation à la sexualité sera de retour dans toutes les écoles du Québec et à tous les niveaux du préscolaire, primaire et secondaire, dès l’automne prochain.
Québec veut imposer (« offrir » dans la novlangue du ministère) un programme formaté et uniformisé d’éducation à la sexualité. Rappelons cependant que les écoles donnent déjà des cours de ce type, mais pas en tant que matière autonome au programme : son contenu et la pédagogie adoptée peuvent être très variables d’une école à l’autre.
Revue de presse commentée sur l’imposition de ce nouveau programme gouvernemental.
L’opposition à Québec a dénoncé mercredi les retards « inadmissibles » et le « cafouillage » du ministère de l’Éducation dans la préparation du programme d’éducation à la sexualité.
Lire la suiteMauvaise nouvelle : en Norvège, un enfant de 12 ans séparé de force de ses parents et pourchassé par la police pour cause de « mauvaise socialisation »
Terese et Leif Kristiansen et leur fils Kai.
Par Jeanne Smits (Reinformation.tv)
Une nouvelle affaire de prise de force d’un enfant en Norvège pour le séparer de ses parents provoque la colère du milieu de la scolarisation à domicile. Cette fois, il s’agit d’un couple canado-norvégien installé dans la petite ville d’As : Terese et Leif Kristiansen, qui ont pris la décision d’instruire leur fils Kai, 12 ans, à la maison parce qu’il était victime de harcèlement à l’école. Sans crier gare, mandatés par le « Barnevernet » — l’agence d’Etat chargé de la « protection des enfants » — des travailleurs sont venus flanqués de policiers pour embarquer le jeune garçon. Celui-ci a été coursé dans la neige, essayant désespérément d’échapper aux hommes des forces de l’ordre, jusqu’à ce que ceux-ci parviennent à le plaquer au sol et à l’emmener vers une destination inconnue, sous les yeux paniqués de sa mère. Chassé par la police comme un criminel.
Terese Kristiansen a filmé et commenté toute la scène tout en criant au secours pour essayer d’empêcher la police de se saisir de son fils. La vidéo a été placée sur Internet.
Lire la suiteL'école québécoise : fabriquer un nouveau peuple
Joseph Facal a consacré une récente chronique à l’endoctrinement de masse de la jeunesse québécoise dans le cadre du cours ECR. [Il en a consacré une seconde depuis lors.]
À la suite du témoignage d’un élève qui lui a fait parvenir des extraits troublants de son manuel scolaire, Joseph Facal en est venu à l’essentiel : l’école québécoise est mise au service de la propagande multiculturaliste.
École
Elle fait la promotion de l’idéologie des accommodements raisonnables et caricature ceux qui s’y opposent comme des intolérants infréquentables. Grosse surprise !
Lire la suiteTrès mauvaise nouvelle : des parents perdent la garde légale de leur fille parce qu’ils s’opposent à sa « transition » pour devenir un garçon
Par Jeanne Smits (Reinformation.tv)
Une famille dont le nom n’a pas été divulgué se trouve frappée, dans l’Ohio aux Etats-Unis, par une décision de justice qui doit tout à l’idéologie du genre. S’étant opposé à la « transition » de leur fille qui s’identifie comme garçon, un couple de parents s’est vu priver de la garde légale de cette enfant mineure afin qu’elle puisse devant la justice obtenir l’accès aux traitements et hormones sans leur consentement.
Dans un premier temps, les services locaux de protection de l’enfance ont obtenu le droit de la représenter devant la justice, droit qui incombe normalement à son père et à sa mère. L’adolescente, 17 ans, est désormais juridiquement entre les mains des Hamilton County Job and Family Services, afin que le tribunal tire les conséquences de sa « dysphorie de genre ». En attendant, elle vit chez ses grands-parents maternels.
Pour l’idéologie genre les parents n’ont aucun droit de refuser la « transition » de leurs enfants
La jeune fille a commencé à souffrir de dépression et d’anxiété en 2016, date à laquelle elle a été hospitalisée. Les médecins devaient tout de suite proposer la solution miracle : la dysphorie de genre se soigne avec des hormones. Ils prétendaient lui administrer de la testostérone et autres substances permettant à la patiente de devenir un « mâle ». En apparence seulement, cela va sans dire : il s’agit de favoriser l’apparition des caractères sexuels secondaires qui donnent une allure masculine, mais l’ADN reste le même.
Lire la suiteBlasphémer l’amour
Montréal.
Par Paul-André Deschesnes
Chers lecteurs, trouvez-vous mon titre trop provocateur ? Pourtant, c’est la triste réalité !
En janvier 2018, tous les médias du Québec nous ont invités à nous rendre à la grande salle de la place Bonaventure de Montréal, afin d’admirer le « Salon de l’amour et de la séduction », un événement « jouissif et instructif », un incontournable rendez-vous dans notre Métropole hyper décadente qui s’est tenu les 19, 20 et 21 janvier 2018.
Annuellement, tous les commerçants du sexe se ruent en très grand nombre pour annoncer leur « bonne nouvelle », pour exposer leur cochonnerie et pour faire des affaires d’or devant la foule en délire qui en redemande toujours plus.
Cette année, on nous a annoncé que l’on peut satisfaire tous les groupes d’âge (bientôt les enfants, pourquoi pas ?) en quête de jouissances sexuelles tous azimuts. Il paraît que les aînés sont maintenant présents en très grand nombre à ce salon de l’ordure, car ils s’autoproclament très actifs et très performants sur le plan sexuel.
Lire la suiteRencontre avec Silje Garmo, la Norvégienne qui a demandé l’asile en Pologne avec sa fille pour fuir le Barnevernet
Silje Garmo et sa fille Eira en Pologne, mardi 16 janvier
Par Olivier Bault (Reinformation.tv)
Fuyant les persécutions du très mal nommé Office de protection des droits des enfants (Barnevernet) de sinistre réputation, la Norvégienne Silje Garmo a demandé l’asile en Pologne. Réinformation TV est allée à sa rencontre dans la maison des environs de Varsovie où elle a trouvé refuge avec sa fille Eira, qui aura un an le 24 janvier. Le contact avec Mme Garmo a été rendu possible par l’organisation d’avocats et juristes polonais d'Ordo Iuris qui assiste la Norvégienne dans sa demande. Pour maître Jerzy Kwaśniewski, le président d’Ordo Iuris, les atteintes aux droits fondamentaux de cette mère norvégienne sont très bien documentés, de même que les abus commis par le Barnevernet et les autorités norvégiennes dans de nombreuses autres affaires d’enfants enlevés à leurs parents sur la base de décisions arbitraires (8 affaires de ce type concernant la Norvège sont en ce moment devant la CEDH). C’est ainsi que pour la première fois depuis la fin de la Deuxième guerre mondiale, la Norvège si prompte à donner des leçons de droits de l’homme aux autres pourrait bientôt voir un de ses citoyens obtenir l’asile dans un autre pays européen.
Pourquoi avoir demandé l’asile en Pologne et pas ailleurs ?
Pourquoi avoir choisi la Pologne ? – « C’est la question que me posent la plupart des journalistes », répond Silje (« Cécile » en français) en souriant. « La première raison, c’est que j’avais de très bons amis polonais, en Norvège, mais aussi ici, en Pologne. » Rien d’étonnant à cela, la diaspora polonaise compte environ cent mille membres en Norvège et c’est pour cela que l’ONG polonaise Ordo Iuris a déjà eu maille à partir avec le Barnevernet. Mais une autre raison, explique encore Silje, c’est son expérience espagnole. En 2015, le Barnevernet avait réussi à obtenir, sur la base d’un ordre administratif, la coopération de la police espagnole pour rapatrier de force sa fille Frøya dont Silje avait pourtant légalement la garde mais à laquelle le Barnevernet s’intéressait déjà.
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