Dr Zelenko : vrai médecin
Le Dr Vladimir Zelenko.
Par Jack Bingham — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Rumble
Le Dr Zelenko était un vrai médecin, il respectait la vie humaine pour son être et non pour ses capacités, parce que crée à l’image de Dieu : « Les principaux concepts de la “vie centrée sur Dieu” comprennent que “nous sommes faits à l’image de Dieu, et c’est la base de la loi naturelle, ce qui signifie que puisque nous sommes faits à l’image de Dieu nos vies sont sacrées, simplement parce qu’elles le sont, et non pour une autre raison” », rapportait de lui LifeSiteNews le 8 décembre 2021. C’est ce que je qualifierais de convictions pro-vie — A.H.
30 juin 2022 (LifeSiteNews) — Le Dr Vladimir Zelenko, pionnier du traitement précoce covid, est décédé d’un cancer à l’âge de 48 ans.
Le Dr Vladimir Zelenko, médecin nommé au prix Nobel et militant des droits médicaux, est décédé à l’âge de 48 ans après un long combat contre le cancer.
Zelenko, qui a exercé la médecine pendant 20 ans, est devenu un nom mondialement connu pendant la prétendue pandémie de covid-19 lorsqu’il a été le premier à mettre au point le protocole de traitement précoce qui a permis de sauver des vies, aujourd’hui appelé « protocole Zelenko ».
Annonçant son décès, America’s Frontline Doctors a écrit tôt le matin du 30 juin :
C’est avec une immense tristesse que nous annonçons le décès de notre fondateur, le Dr Vladimir « Zev » Zelenko. Le Dr Zelenko était médecin, scientifique et militant des droits médicaux qui a touché la vie de millions de personnes. Certaines ont été sauvées grâce à son rôle de médecin, et d’autres encore ont été inspirées par ses paroles. Son « protocole Zelenko » a sauvé des millions de personnes, lui a valu une nomination au prix Nobel et l’admiration d’un président américain et d’autres dirigeants mondiaux de premier plan.
Zelenko, juif orthodoxe né en Union soviétique, a été largement couvert par LifeSiteNews, à la fois pour son protocole Zelenko loué par Donald Trump, qui lui a valu une nomination au prix Nobel, et pour son franc-parler concernant les graves méfaits des injections expérimentales d’ARNm covid.
Dans une vidéo, datée du 21 septembre 2021, le Dr Vladimir Zelenko prenait un grand risque en racontant tout !, le Dr Zelenko témoigna devant un tribunal rabbinique des horreurs causées par les injections expérimentales à modification génétique, et en quoi leur application à des enfants — qui ne courent aucun risque avec le covid — n’est rien d’autre qu’un sacrifice d’enfant.
Dans un entretien accordé à LifeSiteNews en juillet dernier, Zelenko a expliqué ce qui a fait le succès de son protocole à base d’hydroxychloroquine (HCQ) et de zinc pour traiter le covid, tout en évoquant le « groupe de sociopathes » qui a ignoré et censuré son traitement efficace et qui a préféré imposer un « liquide expérimental » (le vaccin à ARNm) à l’ensemble de la population mondiale.
Lire la suiteUn médecin qui a été le pionnier du protocole covid au HCQ exhorte à « la résistance contre la tyrannie gouvernementale »
Le Dr Zelenko.
Extraits de LifeSiteNews traduits par Pierre-Alain Depauw (Medias presse Info)
Le Dr Vladimir Ze’ev Zelenko a été l’un des pionniers du protocole de traitement précoce pour COVID-19 impliquant l’hydroxychloroquine (HCQ) et le sulfate de zinc. Il avait écrit une lettre ouverte au président Donald Trump annonçant son protocole de traitement du coronavirus.
Ce médecin juif orthodoxe partage également fréquemment des réflexions sur la bataille entre le Bien et le Mal. Dans une interview du mois de mars avec le Dr Peter Breggin, Zelenko a expliqué à son hôte que l’histoire elle-même est marquée par une lutte « entre des personnes essayant de vivre une vie consciente ou centrée sur Dieu » et d’autres qui « ont toujours essayé d’être Dieu » et voulu « avoir un contrôle global sur le reste de l’humanité ».
Ce que nous vivons est probablement la plus grande opération psychologique de l’histoire de l’humanité », a-t-il déclaré. Une opération « extrêmement bien orchestrée, brillamment exécutée, [et] exceptionnellement maléfique ».
Atteint d’une forme de cancer particulièrement sévère, le Dr Zelenko estime que son devoir est de parler tant qu’il le peut encore. Il commente la publication du 19 novembre de documents utilisés par la FDA (organe officiel des Etats-Unis) pour autoriser pleinement les injections anti-COVID de Pfizer, malgré leur connaissance de 150 000 effets indésirables graves recensés et de plus de 1 200 décès liés aux « vaccinations » au cours des trois premiers mois suivant son autorisation d’utilisation d’urgence.
« Le gouvernement des États-Unis a agressé la population américaine avec ses politiques meurtrières, la preuve étant que la FDA était au courant des effets secondaires bien avant de déployer ce vaccin auprès du public américain », a déclaré Zelenko. Des propos qui valent pour tous les gouvernements occidentaux.
Lire la suiteLettre ouverte aux évêques catholiques au sujet de leur appui aux mesures « sanitaires » et particulièrement aux vaccins
Par Mark Mallett (markmallett.com) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : fizkes/AdobeStock
Lettre ouverte aux évêques catholiques
Les fidèles du Christ sont libres de faire connaître leurs besoins,
surtout leurs besoins spirituels, et leurs souhaits aux Pasteurs de
l’Église.
Ils ont le droit, en effet parfois le devoir,
en fonction de leurs connaissances, de leurs compétences et de leur
position,
de manifester aux pasteurs sacrés leurs vues sur les questions
qui concernent le bien de l’Église.
et de les faire connaître aux autres fidèles
mais ce faisant, ils doivent toujours respecter l’intégrité de la foi et de la
morale,
montrer le respect dû à leurs pasteurs,
et prendre en compte à la fois
le bien commun et la dignité des individus.
— Code de droit canonique, 212
CHERS évêques catholiques,
Après un an et demi de vie dans un climat de « pandémie », je suis contraint par les données scientifiques indéniables et les témoignages d’individus, de scientifiques et de médecins de supplier la hiérarchie de l’Église catholique de remettre en question son appui massif aux « mesures de santé publique » qui, en fait, mettent gravement en danger la santé publique. Alors que la société est divisée entre les « vaccinés » et les « non-vaccinés » — ces derniers souffrant de tout, de l’exclusion de la société à la perte de revenus et de moyens de subsistance — il est choquant de voir certains bergers de l’Église catholique encourager ce nouvel apartheid médical.
Il y a sept prémisses que l’Église a apparemment acceptées comme des faits scientifiques mais qui ne sont, en fait, au mieux, que de la pseudoscience. Je vais aborder chacune d’entre elles ci-dessous. Bien que je sois actuellement un évangélisateur laïc au sein de l’Église, mon parcours professionnel est celui d’un ancien journaliste de télévision avec CTV Edmonton au Canada. En tant que tel, je suis revenu à mes racines journalistiques ces derniers temps dans l’espoir de percer la censure intense et la culture de l’annulation qui ont privé les fidèles et le monde en général d’informations critiques qui représentent une question de vie ou de mort — une question en effet de « bien commun ». Le romancier américain Upton Sinclair a dit un jour : « Il est insensé d’être convaincu sans preuve, mais il est tout aussi insensé de refuser d’être convaincu par des preuves réelles. »
Avant d’aborder ces sept prémisses, il y a un thème sous-jacent qui a été accepté par la société dans son ensemble et qui a causé d’énormes dégâts. Et c’est l’idée tout à fait nouvelle qu’une personne en parfaite santé est en quelque sorte une menace virale. Le Dr Peter McCullough, MD, MPH, FACC, FAHA, est probablement le plus grand expert au monde aujourd’hui sur la réponse à la pandémie et le médecin le plus cité de la National Library of Medicine. Il a déclaré récemment :
Lire la suite« Le virus ne se propage pas de manière asymptomatique. Seuls les malades le donnent à d’autres ». — 20 septembre 2021, entretien, Gab tv, 6:32
La tyrannie des vaccins covid n’est pas catholique : analyse des arguments de la moralité des vaccins
Par le P. Christopher Paul — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : marchsirawit/AdobeStock
24 août 2021 (LifeSiteNews) — Alors que les mandats de vaccination se profilent et entrent même en vigueur à travers notre nation et le monde, la question morale de la licéité des vaccins COVID actuellement sur le marché devient de plus en plus pressante. De plus en plus souvent, les apologistes de la licéité s’appuient sur un document publié par la Congrégation pour la doctrine de la foi (CDF), Note sur la moralité de certains vaccins anti-Covid-19, ainsi que sur certaines déclarations du Saint-Père.
Les arguments pour ou contre l’utilisation de vaccins compromis sur le plan éthique s’appuient nécessairement sur les principes de coopération matérielle, qui fournissent en général les bases de certaines des questions morales les plus difficiles et les plus incertaines rencontrées par les théologiens et les éthiciens. Les questions de coopération matérielle nécessitent inévitablement l’identification et la mise en balance de divers principes moraux avec des circonstances concrètes, et n’admettent donc généralement que des solutions probables et contingentes. Les solutions n’auront de force que si leurs suppositions de faits concrets représentent des conditions réelles et si leurs conclusions mettent précisément ces faits en balance avec les principes moraux en jeu. En ce qui concerne les vaccins compromis sur le plan éthique, il est impératif que des jugements précis soient portés sur la nature du mal qui exige une coopération matérielle, ainsi que sur le besoin proportionné et grave qui l’excuse. La première et le second sont difficiles à mesurer, et les individus les mesurent souvent différemment en toute bonne foi.
Les apologistes des vaccins occultent de plus en plus la nature contingente des arguments concernant la coopération matérielle et ─ tragiquement ─ présentent les déclarations de la CDF comme faisant autorité, et comme contraignantes pour la conscience catholique, alors qu’en fait la CDF elle-même ne le fait pas. « La raison pratique, écrit le dicastère, rend évident que la vaccination n’est pas, en règle générale, une obligation morale et que, par conséquent, elle doit être volontaire. » Elle admet que certains catholiques refuseront la vaccination « pour des raisons de conscience » et, loin d’identifier une telle conscience comme erronée, donne des instructions pratiques pour des moyens alternatifs de garantir le bien commun.
Les raisonnements en faveur des vaccins ont tendance à tenir pour acquises plusieurs suppositions qui sont manifestement fausses, ou du moins douteuses et controversées ; en outre, certaines d’entre elles sont des jugements médicaux ou sociopolitiques, et dépassent donc le cadre de la compétence ecclésiastique. Ces suppositions et ma réponse à celles-ci suivent.
Lire la suiteEntrevue avec le Dr Zelenko médecin à l’origine du traitement par HCQ et zinc contre le COVID-19 aux États-Unis
Entrevue de Claire Chrétien (à gauche) de LifeSiteNews avec le Dr Vladimir Zelenko (à droite).
Par David McLoane — Traduit par Campagne Québec-Vie
Correction importante : Cet article indiquait à l’origine, à tort, que le Dr Zelenko recommandait « corcidin, vitamine C, vitamine D et zinc » comme protocole de traitement du COVID. Nous corrigeons : le premier élément est en fait la quercétine et NON la corcidine. Nous nous excusons pour l’erreur résultant de la transcription de l’audio.
De plus : Dans l’entrevue vidéo, le Dr Zelenko mentionne que Michael Yeadon a déclaré que la plupart des personnes vaccinées avec les vaccins Covid-19 mourront dans les 2 ans suivant la vaccination. C’est plutôt le professeur Dolores Cahill qui a fait cette déclaration, à propos de laquelle le Dr Yeadon a été enregistré déclarant qu’il « n’irait pas aussi loin ».
9 juillet 2021 (LifeSiteNews) — Le Dr Vladimir Zelenko, ce médecin de Monsey, dans l’état de New York, qui a été le premier à utiliser l’hydroxychloroquine (HCQ) et le zinc comme traitement du COVID-19, a accordé une longue entrevue à LifeSiteNews pour expliquer pourquoi ce protocole a donné de si bons résultats. S’adressant à Claire Chrétien de LifeSite, Zelenko a parlé des vaccins contre le coronavirus et du « groupe de sociopathes » qui veut administrer ces injections au monde entier, ainsi que de la censure généralisée des informations sur le traitement du virus.
Dr Zelenko est médecin de famille depuis deux décennies dans le nord de l’État de New York. Le COVID-19 a balayé cette région lors de l’apparition de l’épidémie de coronavirus en mars 2020. À l’époque, les patients les plus gravement atteints du coronavirus de Wuhan étaient mis sous respirateur, mais « 80 à 90 % des personnes sous respirateur mouraient, ce n’était donc pas un très bon protocole de traitement », a noté Dr Zelenko.
Sur les 3 000 patients positifs au COVID dont il s’occupait, Dr Zelenko en a identifié 1 000 comme étant « à haut risque », mais son intervention médicale à base d’HCQ et de zinc a « réduit [leur] taux de mortalité de 7,5 % à moins de 0,5 % ».
« Cela représente une réduction de 84 % des hospitalisations et des décès. »
« Sur les 600 000 Américains décédés, nous aurions pu en empêcher 510 000 d’aller à l’hôpital et de mourir. »
Pourtant, ce protocole n’a pas été largement adopté par la communauté médicale. De nombreux Américains qui ont attrapé le coronavirus ont constaté que leurs médecins ne voulaient pas leur prescrire d’hydroxychloroquine ou que les pharmaciens ne voulaient pas en exécuter les ordonnances.
« L’HCQ a été adoptée par des médecins de renommée mondiale qui sont honnêtes et capables de raisonnement déductif et qui ne sont pas endoctrinés », a déclaré Zelenko à LifeSite, mais « malheureusement, 90 % des médecins de ce pays sont incapables d’une pensée indépendante ».
« Le résultat net est qu’ils suivent aveuglément les recommandations de leurs employeurs ou des agences gouvernementales sans faire appel au bon sens. Ils ne font que suivre les ordres, comme le faisaient les nazis. »
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