Se faire vacciner pour pouvoir aller à la messe ?
Par la Revue En Route — Photo : stokkete/AdobeStock
Les aspects religieux et moraux de cette réponse ont été vérifiés et approuvés par l’abbé J.-Réal Bleau, docteur en théologie.
Se faire vacciner pour pouvoir aller à la messe ?
Question : Jusqu’à maintenant, j’ai refusé le vaccin anti-Covid. Mais on parle de plus en plus de l’obligation d’être vacciné pour pouvoir accéder aux églises, à la Messe, aux sacrements. Dans ce cas, ne serait-il pas permis de me faire vacciner, même si je sais que ce vaccin est mauvais ? Si j’en meurs ou que j’ai des séquelles graves, ne serait-ce pas considéré par Dieu comme un martyre, puisque je me serai fait vacciner pour pouvoir continuer à pratiquer ma religion ?
Réponse : La situation semble ne nous laisser le choix qu’entre deux maux : nous faire vacciner sachant que cela est immoral, ou ne plus avoir accès aux sacrements.
Cependant, pour qu’il y ait péché, il faut que la volonté participe au geste. Donc, à moins que l’on ne me force physiquement à recevoir la piqûre, si j’accepte de me faire vacciner j’engage ma volonté.
Par contre, si on me prive injustement de l’accès aux sacrements parce que je refuse de poser un geste qui va contre ma conscience (me faire vacciner), sachant très bien que s’il n’en dépendait que de moi j’irais à la Messe, me confesser… : dans ce cas, il n’y a pas de péché de ma part puisque cette situation se produit contre ma volonté. Dieu le sait et Il n’est pas offensé du fait que je ne reçoive pas les sacrements ni ne participe à la Sainte Messe.
Dans ce cas, Il passe par d’autres voies pour m’octroyer ses grâces.
Il faut distinguer entre martyre et suicide ! Le martyre est agréable à Dieu, pas le suicide. Ici, c’est la privation injuste des sacrements qui constitue le martyre des fidèles et non pas le fait d’accepter un « vaccin » immoral et nocif.
Il faut garder à l’esprit que l’on ne peut pas honorer Dieu — le Bien suprême — en commettant le mal.
Dans l’Ancien Testament, et chez les Aztèques, des gens immolaient leurs propres enfants aux idoles, pour obtenir leurs faveurs. Plus tard, les cathares ont prétendu plaire à Dieu en pratiquant le suicide par la faim… Lors de la Révolution française, des prêtres ont prêté un serment schismatique pour pouvoir continuer leur ministère… L’histoire regorge de déviations similaires.
« Il n’est pas permis
de faire le mal
pour qu’il en résulte
un bien. »
(CEC n°1756)
Justin Trudeau, le dictateur pro-mort du Canada
Par Peter Borromeo (peterborromeo.com) — Traduit et publié par Campagne Québec-Vie avec permission
Pour se préparer à prendre le contrôle absolu du peuple, les marxistes en Chine et en Russie, et les nazis en Allemagne ont créé des divisions parmi les citoyens, désignant des groupes distinctement identifiables à considérer comme des ennemis. Une fois les préjugés inculqués, les citoyens maltraitaient et attaquaient les groupes ciblés. Le gouvernement donnait son approbation tacite par son silence ou en encourageant la violence. C’était le cas pour les Juifs en Allemagne. Les nazis présentaient les Juifs comme la cause de tous les problèmes du pays. Ce préjugé instillé à l’égard des Juifs a conduit à des attaques violentes et à la persécution de ceux-ci par leurs concitoyens. En fin de compte, ce sont les nazis qui ont déclenché le génocide des Juifs, tandis que la population générale, pleine de préjugés, est restée les bras croisés pendant que l’holocauste se déroulait.
Lorsque les régimes communistes ont pris le contrôle de certains pays, ils ont mis la main sur les médias afin de maîtriser et de subvertir la population. Ils ont également reconnu que l’Église catholique est une religion universelle (mondiale) qui enseigne que toute vie humaine est sacrée pour Dieu et que la famille nucléaire est fondamentale pour établir une société juste. L’Église condamne formellement le communisme comme un mal et, par conséquent, les communistes interdisent la pratique de la foi catholique. En introduisant le divorce sans faute et en légalisant la contraception, l’avortement et l’euthanasie, les communistes tentent de détruire l’Église et la famille nucléaire. Cependant, ils savent qu’être humain, c’est être religieux et ils ne peuvent donc pas se contenter de laisser un vide, mais ils veulent plutôt introduire une nouvelle religion où les gens vénéreront l’État.
Le contrôle des médias grand public est essentiel pour exercer le contrôle souhaité par les marxistes sur la population. La Société Radio-Canada (SRC), qui a un passé de partialité anti-chrétienne, est financée par les contribuables à hauteur d’un milliard de dollars par an. Selon le journaliste Derek Fildebrandt, Trudeau a progressivement influencé le contenu de divers médias et magazines par un long processus de réglementation, d’octroi de licences et de subventions. Écrivant dans le journal Western Standard le 10 octobre 2020, il a révélé comment l’infiltration marxiste a permis à Trudeau de mener à bien son plan visant à placer l’ensemble des médias canadiens sous la supervision du gouvernement.
« Dans son budget 2019, le gouvernement Trudeau a déployé près de 600 millions de dollars de subventions pour les médias sélectionnés qui obtiennent l’approbation du gouvernement fédéral. Désormais, l’écrasante majorité des médias canadiens est achetée et payée par le gouvernement fédéral. En particulier, par le Parti libéral, qui a accordé de généreuses subventions des contribuables aux médias qui se conforment à ses diktats. »
La « presse libre », qui est essentielle à la protection de la démocratie canadienne, a été achetée par Trudeau et, comme telle, n’existe plus.
Ayant réussi sur ce front, Trudeau a présenté au Parlement un projet de loi qui donnerait à son gouvernement le contrôle du contenu des médias sociaux. Il n’a pas été en mesure de mener à bien cette facette de son plan avant que le Sénat n’aille en vacances d’été. Si des élections sont déclenchées entre-temps [ce qui est le cas*], le projet de loi mourra, mais s’il est réélu, il peut et veut réessayer. Les libéraux ont déjà rédigé une proposition de ce qu’ils aimeraient voir figurer dans cette nouvelle législation. La majeure partie de cette proposition est remplie de sujets tels que les discours haineux et l’incitation à la violence, qui sont déjà couverts par la législation existante. La répétition de ces questions a pour but de dépeindre les opposants au projet comme étant en faveur de ces crimes, tout en dissimulant ce qu’ils cherchent réellement à accomplir. C’est-à-dire censurer ce qu’ils considèrent comme un discours nuisible dirigé contre eux-mêmes. En cas de succès, critiquer Trudeau et d’autres politiciens sur les médias sociaux pourrait devenir une infraction.
Lire la suiteUn médecin canadien démis de ses fonctions après avoir dénoncé les effets secondaires du vaccin covid sur ses patients
Par Anthony Murdoch — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Freepik
Lytton, Colombie-Britannique, 26 mai 2021 (LifeSiteNews) — Un médecin de famille canadien affirme avoir été puni par son autorité sanitaire locale parce qu’il a fait part de ses inquiétudes concernant les effets secondaires qu’il a observés chez certaines personnes ayant reçu le vaccin Moderna contre le COVID-19 au sein de sa communauté.
« Je ne suis plus autorisé à travailler aux urgences », a déclaré le Dr Charles Hoffe, de Colombie-Britannique, selon un rapport de True North News.
Le Dr Hoffe a ajouté que sa suspension des services d’urgence est survenue à la fin du mois d’avril, après que l’autorité sanitaire locale ait « suspendu » ses privilèges cliniques « pour le crime d’avoir provoqué une “hésitation vaccinale”, pour avoir parlé de mes patients souffrant d’effets secondaires graves après un vaccin. »
Dans une lettre datée du 5 avril, Hoffe avait écrit à Bonnie Henry, responsable de la santé de la province de Colombie-Britannique, qu’il était « assez alarmé par le taux élevé d’effets secondaires graves de ce nouveau traitement », en référence aux injections de Moderna COVID-19 administrées à 900 personnes, pour la plupart indigènes, à Lytton, en Colombie-Britannique.
M. Hoffe a déclaré avoir observé le décès d’un patient, de « nombreuses » réactions allergiques, ainsi que trois personnes présentant des déficits neurologiques « invalidants » complétés par des douleurs chroniques, qui ont persisté « pendant plus de 10 semaines après leur premier vaccin ».
« En résumé, dans notre petite communauté de Lytton, en Colombie-Britannique, nous avons une personne décédée et trois personnes qui semblent devoir être handicapées de façon permanente, après avoir reçu leur première dose du vaccin Moderna. L’âge des personnes touchées varie de 38 à 82 ans », a écrit M. Hoffe.
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