Doug Ford annulera le cours de sexualité des libéraux
Douglas Robert Ford Junior (Doug Ford), premier ministre d’Ontario.
Par Le Peuple — Voici la ou les sources de cet article : CBC News et The Toronto Star — Source de la photo : CC Search/Auteur : Stan Behal (Toronto Sun)
On reprochait notamment à ce cours d’enseigner aux enfants des concepts plus proches de l’idéologie que de la réalité [très loin de la réalité — CQV].
Mercredi, la ministre de l’Éducation de l’Ontario, Lisa Thompson, a confirmé que le gouvernement progressiste-conservateur de Doug Ford allait remplacer l’actuel cours d’éducation à la sexualité, implanté par les libéraux de Kathleen Wynne en 2015, par une mouture plus ancienne datant de 1998. En campagne électorale, le premier ministre de l’Ontario, Doug Ford, avait promis d’abolir ce cours qui a énormément polarisé les électeurs ontariens.
On lui reprochait notamment d’être trop explicite avec de jeunes enfants, mais aussi d’enseigner des concepts plus proches de l’idéologie que de la réalité. Ainsi, dès la fin de leur primaire, on enseignait aux enfants le concept d’« identité de genre », selon lequel une personne peut être un homme ou une femme comme elle peut s’identifier autrement que comme homme ou comme femme, et ce, sur la simple base de sa déclaration, sans égard pour sa réalité biologique.
Lire la suiteL’élection de Doug Ford : un regain d’espoir ?
Douglas Robert Ford Junior (Doug Ford), Premier ministre d'Ontario.
Par Paul-André Deschesnes
Le nouveau premier ministre de l’Ontario, Doug Ford, a annoncé officiellement après son élection en juin 2018 trois bonnes nouvelles qui avaient semé la controverse en campagne électorale.
- Le nouveau cours d’éducation sexuelle en vigueur depuis quelques années dans toutes les écoles primaires et secondaires de cette province du Canada sera aboli.
- Le gouvernement conservateur de l’Ontario ne subventionnera plus le gros défilé de la fierté gaie de Toronto.
- Doug Ford ne participera pas, contrairement à la tradition, aux défilés et aux activités de la communauté LGBTQR2 de Toronto. [et il n'y a pas participer.]
Le gouvernement conservateur de l’Ontario, qui vient d’être élu fortement majoritaire, est un « méchant » gouvernement de droite. La gauche ontarienne hurle à tue-tête. Les communautés issues de l’immigration, les migrants clandestins, les réfugiés de tout acabit et les musulmans sont sous le choc. Le gouvernement fédéral gauchiste, moderniste, socialiste, incompétent et irresponsable de Justin Trudeau tremble de frayeur ; en effet, il y aura une élection fédérale au Canada en octobre 2019 et, actuellement, les derniers sondages prédisent une victoire du Parti conservateur du Canada.
Est-ce possible qu’une importante partie de la population commence à se rendre compte que les politiques de nos gouvernements de gauche qui se sont succédé depuis deux ou trois décennies en Occident sont un désastre à tous les points de vue : économique, social, moral, judiciaire, sans oublier le chaos en santé et en éducation.
En terminant, il faut rappeler que tous ces gouvernements très populaires de gauche qui nous ont fait de nombreux cadeaux empoisonnés (avortement, euthanasie, légalisation des drogues et de la prostitution, cours de perversion sexuelle dans nos écoles publiques, abolition des frontières, diabolisation de notre histoire et de notre passé, etc.) sont de plus en plus contestés en Occident, au Canada et même au Québec.
Avant de heurter le mur, le bon peuple semble se réveiller. La province de l’Ontario, la plus populeuse du Canada, a compris. Espérons que ce ne soit pas un feu de paille. Les idéologies athées et les philosophies de gauche, dites postmodernes, indiscutables, incontournables et inchangeables agonisent.
On a semé le vent. On a récolté la tempête. On commence peut-être à se réveiller collectivement.
Doug Ford : nous abrogerons le nouveau programme d’éducation à la sexualité
Douglas Robert Ford Junior (Doug Ford), premier ministre d'Ontario.
La position de [Doug] Ford sur le programme d’éducation à la sexualité imposé par le Parti libéral de l’Ontario (PLO) a contribué à le propulser à la tête du PC. Il sera sous la pression de cette base pour respecter sa promesse électorale de revenir au programme d’éducation sexuelle de la fin des années 1990 « jusqu’à ce que nous puissions mettre en œuvre un nouveau qui soit adapté aux besoins des parents. »
Interrogé sur le programme d’études vendredi, Ford n’a pas défini de calendrier.
« Je peux vous dire une chose : nous l’abrogeons », a déclaré Ford. « Et je vais vous dire une autre chose : nous tenons nos promesses, ce que nous disons que nous allons le faire, nous allons le faire, nous n’allons pas tourner casaque. »
Source : Yahoo
Doug Ford à la tête d’un gouvernement majoritaire en Ontario
Doug Ford, premier ministre d’Ontario.
Par Le Peuple — Sources de l’article : La Presse, CBC, Facebook n˚1/Source de la photo : Bruce Reeve, Flickr, CC BY-SA 2.0
Les conservateurs ont obtenu environ 40,5 % du vote ; les néo-démocrates, 33,7 % ; et les libéraux, 19,5 %.
En Ontario, le Parti libéral de Kathleen Wynne a mordu la poussière alors que le Parti progressiste-conservateur de Doug Ford a été élu. Le nouveau premier ministre de la province sera même à la tête d’un gouvernement majoritaire. Les conservateurs ont obtenu environ 40,5 % du vote ; les néo-démocrates, 33,7 %, et les libéraux, 19,5 %.
Mme Wynne a annoncé sa démission comme chef du Parti libéral. « J’ai demandé au président du parti de lancer le processus pour nommer un chef intérimaire. [...] Il y a une nouvelle génération et je passe le flambeau à cette génération », a-t-elle déclaré à ses partisans.
Mme Wynne était devenue hautement impopulaire auprès des Ontariens, entre autres à cause de sa mauvaise performance sur le plan économique, de scandales liés à la compagnie d’hydro-électricité de la province et de sa décision d’introduire un cours de sexualité dès l’école primaire. En outre, elle a été critiquée pour sa campagne tribaliste où elle a notamment porté le hijab pour séduire les musulmans et appelé les jeunes à voter afin de contrer le vote des personnes âgées et « blanches ».
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