Jordan Peterson met en garde contre les LGBT « radicaux » qui tentent de « détruire » le catholicisme
Le Dr Jordan Peterson.
Par Clare Marie Merkowsky — Traduit par Campagne Québec-Vie
18 septembre 2023, Toronto (LifeSiteNews) — Le psychologue et auteur canadien Jordan Peterson a averti que les activistes LGBT radicaux travaillent à « détruire » le catholicisme.
Dans des remarques faites en exclusivité à LifeSiteNews, Peterson a accusé le système scolaire « catholique » au Canada d’embrasser l’agenda LGBT et critiqué les catholiques qui succombent aux exigences de la clique LGBT.
« Le programme radical du LGBTETC ne pourrait pas être plus contraire à la doctrine catholique s’il avait été spécifiquement conçu dans ce but », a déclaré Peterson à LifeSiteNews.
Bien que Peterson ne soit pas catholique lui-même, il reconnaît la valeur du catholicisme et de la tradition, appelant les catholiques à se battre pour préserver leur foi. Il est également connu pour son amour et son intérêt pour les Écritures.
« Les radicaux du mouvement de l’alphabet tentent de faire au catholicisme, au sens le plus étroit, et au christianisme, au sens le plus large, ce qu’ils font à toutes les traditions : les détruire », a-t-il déclaré.
« Pour ce faire, ils ont recours à la culpabilité, à la manipulation et à la menace, ainsi qu’à des allégations constantes de victimisation et d’oppression », a ajouté M. Peterson.
« Les catholiques trop endormis ou trop naïfs pour s’en rendre compte ou incités à coopérer par des appels à la compassion sont les “idiots utiles” qui participent à leur propre perte », a-t-il averti.
Lire la suiteVoici pourquoi seuls Derek Sloan et Leslyn Lewis peuvent défaire Trudeau
Derek Sloan, Leslyn Lewis et Justin Trudeau.
Adaptation d’une lettre de Jeff Gunnarson, président de Campaign Life Coalition
Si vous êtes membre du Parti conservateur du Canada (PCC), ou si vous avez des amis qui le sont, vous devriez lire ceci.
Dans la course à la direction du Parti conservateur du Canada il faut avoir à l’esprit des points stratégiques cruciaux en matière de vote :
- élire un chef moral,
- faire avancer au mieux la cause pro-vie, pro-famille sur le long terme, et,
- battre Justin Trudeau aux prochaines élections.
C’est pourquoi nous vous présentons les deux seuls candidats pro-vie en tant que 1er et 2nd choix pour l’élection du chef. Nos explications sur les raisons pour lesquelles seuls Derek Sloan et Leslyn Lewis peuvent battre Trudeau suivent ci-dessous.
Meilleurs choix pour le bulletin de vote
Votez pour ces candidats pro-vie et pro-famille sans réserve en les mettant comme choix n° 1 et n° 2, dans l’ordre que vous préférez.
La classification de chacun de ces candidats est basée sur le nombre et la qualité des politiques socialement conservatrices proposées par eux, ainsi que sur le degré d’engagement de chacun sur les questions relatives à la vie et à la famille. Sloan a une avance dans ces critères, ce qui explique la note plus élevée (A+) qui lui est attribuée, mais Lewis qui a un A est également un bon choix.
Aucun autre candidat ne devrait être pris en compte pour figurer sur le bulletin de vote.
À ne pas supporter
Les autres candidats sont non supportables en raison de leur soutien à l’avortement, qui est un facteur d’exclusion.
Veuillez ne mettre aucunement leurs noms sur le bulletin de vote.
Chaque année, plus de 100 000 enfants sont tués avant leur naissance, et ni MacKay ni O’Toole ne sont prêts à les protéger. En mettant un de ces hommes en troisième ou en quatrième position, on enverrait le message à tous les politiciens canadiens qu’ils peuvent soutenir le meurtre de bébés in utero, tout en comptant sur les votes des pro-vie.
En outre, cela serait stratégiquement contre-productif à long terme pour notre cause, dans les années à venir. En refusant stratégiquement de soutenir les politiciens qui promeuvent et encouragent l’avortement, ou qui refusent d’agir pour mettre fin au massacre des enfants avant leur naissance, nous favoriserons les dirigeants plus courageux de l’avenir.
Lire la suiteÉglises fermées et avortoirs ouverts au Québec et en Ontario
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) ― Photo par David Iliff, license : CC BY-SA 3.0 — Wikimedia Commons
Quand les gouvernements d’Ontario et du Québec ont ordonné simultanément (le 24 mars) l’arrêt des services non essentiels, les avortoirs, ou une bonne partie d’entre eux, sont restés ouverts, comme quoi ils considèrent que l’avortement est un service essentiel, quelle qu’en soit la raison, et qu’il ne saurait souffrir aucun empêchement, dût-il être effectué sans vergogne durant un temps de pandémie coronaviresque (encore faut-il voir si c’est aussi sérieux qu’on le dit, si les moyens employés pour arrêter cette « pandémie » sont adéquats et non excessifs, et surtout si ce sont les bons, d’autres pays se passant merveilleusement bien du confinement général, par exemple), alors que ce n’est surtout pas un « soin essentiel ». Ainsi, du matériel médical est gaspillé, les avortoirs et leurs clientes brisent la règle du confinement, risquant ainsi un peu plus de propager le sinistre virus (si tel est le risque). Mais il semble que l’avortement fasse partie de l’antireligion de certains, ils le placent au-dessus de tout.
D’un autre côté, les églises catholiques, bien qu’au Québec elles eussent été fermées avant que le gouvernement n’eût décrété l’arrêt des services non essentiels, doivent forcément rester fermées, ne faisant pas partie de la liste des services « essentiels ». Voici la marque d’un gouvernement matérialiste et athée, laïciste jusqu’au bout des ongles. La messe et les sacrements, ces secours essentiels, ne sont pas considérés comme étant primordiaux. À Ottawa, la fermeture des églises a été spécifiquement ordonnée par les autorités.
L’accès à l’avortement maintenu, selon LifeSiteNews :
Lire la suite« L’accès à l’avortement est maintenu pour toute femme qui en fait la demande. Il n’a pas été prévu d’interrompre ces services », a déclaré Robert Maranda, porte-parole de Santé Québec, dans un courriel à LifeSiteNews.
De même, l’Ontario inclut les « institutions de santé indépendantes » dans sa liste des 74 services essentiels, ce qui inclut les centres d’avortement, le ministère de la Santé n’a cependant pas répondu aux questions de LifeSiteNews pour le confirmer.
La coalition pour le droit à l’avortement au Canada affirme également que les centres d’avortement restent ouverts pendant la pandémie, et ce fait se vérifie sur plusieurs sites internet d’établissements en avortement de l’Ontario.
Andrew Scheer ne participera pas aux «Gay Prides»
Andrew Scheer, chef du Parti conservateur du Canada.
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : Andrew Scheer/Flickr
Andrew Scheer, chef du Parti conservateur du Canada, n’a pas fait connaître ses intentions par rapport à la participation à une quelconque « parade de la Fierté », véritable procession de la décadence, ou diverses sortes de débauches sont représentées, en lieux et places des anciennes confréries, qui naguère participaient aux processions d’autrefois, saines et sensées.
Le porte-parole du parti a cependant confirmé la rumeur selon laquelle, Andrew Scheer ne participerait à aucune « parade de la Fierté », bien qu’il affirme que le parti défende les intérêts des groupes LGBTQ(+).
Sans doute cela n’est-il pas dans le goût de M. Scheer qui ne doit faire partie d’aucun contingent compris dans le sigle LGBTQ(+), tout comme il est « personnellement » contre l’avortement. Extrait du National Post :
Alors que son parti continue d’être en tête dans les sondages à l’approche des élections fédérales de cet automne, le chef conservateur Andrew Scheer n’a pas l’intention de participer aux défilés de la Fierté cette année.
Le Parti conservateur a confirmé les plans de Scheer cette semaine, même si le Premier ministre de l’Ontario, Doug Ford, fait face aux critiques de certains milieux pour avoir annoncé qu’il ne participera pas au défilé de Toronto plus tard dans le mois, donnant pour raison l’interdiction que la Pride Toronto faite aux policiers en uniforme. Mais le Parti conservateur fédéral affirme qu’il y a « beaucoup de façons » de lutter pour les droits de la communauté LGBTQ, et Scheer le fait.
« Les conservateurs du Canada ont une fière tradition de lutte pour les droits et la protection de tous les Canadiens, y compris ceux de la communauté LGBTQ, au pays et à l’étranger. Il existe de nombreuses façons d’appuyer ces collectivités, et il est essentiel que les droits de tous les Canadiens soient protégés, sans égard à la race, au sexe ou à la préférence sexuelle », a déclaré Daniel Schow, porte-parole de Scheer.
Promesse non tenue : L’éducation sexuelle ontarienne continuera d’enseigner aux enfants « l’identité sexuelle »
Doug Ford, Premier ministre d'Ontario.
Par Calvin Freiburger — traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : HiMY SYeD/Flickr
Toronto, le 15 mars 2019 (LifeSiteNews) — La ministre de l’Éducation de l’Ontario, Lisa Thompson, a annoncé vendredi que le gouvernement instaurera un programme d’éducation sexuelle qui exposera les enfants aux questions de l’« identité sexuelle » et du « consentement » ; les pro-famille ont considéré cette annonce comme constituant « une promesse rompue ».
« Notre plan modernisera les salles de classe, protégera l’avenir de notre système d’éducation et veillera à ce que les élèves d’Ontario acquièrent les compétences dont ils ont besoin pour réussir leur vie, leur famille et leur entreprise ici même en Ontario », a déclaré M. Thompson lors d’une conférence de presse à Toronto, selon le National Post.
La loi fait passer de 22 à 28 le nombre maximal d’élèves par classe dans les écoles secondaires, interdit les téléphones cellulaires en classe et comprend un nouveau programme de mathématiques. Mais ses éléments les plus controversés sont ses dispositions prévues pour l’enseignement du « consentement » en 2e et 3e année et de l’« identité sexuelle » en 8e année. Des leçons sur l’abstinence, le cannabis et l’image corporelle seront également enseignées.
Pour répondre aux préoccupations des parents, la province a déclaré que les parents seraient en mesure de retirer leurs enfants des leçons d’éducation sexuelle, mais que le programme d’études complet ne sera pas disponible pour examen avant sa publication prévue en mai. Il est prévu qu’il entre en vigueur en septembre.
Lire la suiteDoug Ford ébranle les rangs des syndicats étudiants
Par Pascal Bergeron (Le Peuple) — Voici la ou les sources de cet article : Le Soleil et The Nectarine / Voici la source de la photo : Andrew Scheer/Flickr
Selon le Premier ministre de l’Ontario, les groupes d’étudiants pratiquent des « absurdités marxistes insensées ».
Doug Ford, Premier ministre ontarien, n’a pas froid aux yeux quand vient le temps de s’attaquer à la gauche radicale. Alors qu’il rappelait que son gouvernement avait modifié certaines obligations en matière de frais de scolarité, M. Ford n’a pas hésité à déclarer que les syndicats étudiants pratiquent des « absurdités marxistes insensées ». C’est dans un courriel destiné à recueillir des dons pour le Parti progressiste-conservateur qu’il a fait ce commentaire.
Dans sa missive intitulée « À quel point le système d’éducation était-il brisé ? », le Premier ministre ontarien a déploré que les étudiants eussent été contraints « de se syndiquer et de payer pour ces syndicats ». Ce faisant, il estime qu’il est tout à fait légitime de laisser le choix aux principaux intéressés d’effectuer des contributions à ces groupes étudiants plutôt que de les forcer à payer une cotisation.
Sans surprise, cette sortie a fait réagir des groupes d’étudiants et des politiciens de l’opposition, lesquels ont accusé M. Ford de réformer le système d’éducation pour des raisons politiques.
Le gouvernement de l’Ontario a entre autres diminué les frais de scolarité de 10 % tout en annulant un programme donnant accès à une « éducation gratuite » aux personnes disposant de peu de moyens.
Une manifestation le 20 février pour demander au premier ministre d'Ontario d'abroger le programme d'éducation sexuelle
Doug Ford.
Billet de blogue d'Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : Bruce Reeve/Flickr/Wikimedia Commons
Quand le gouvernement Ford retirera-t-il le programme d'éducation sexuelle instauré par le gouvernement libéral de Kathleen Wynne ? c'est ce que se demandent avec inquiétude les parents d'Ontario. Extrait de LifeSiteNews :
Une coalition populaire ontarienne de défense des droits parentaux appelle ses partisans à se rassembler au Queen's Park le 20 février pour exiger que le premier ministre Doug Ford tienne sa promesse d'abroger le programme d'éducation sexuelle.
Canadian Family Alliance (CFA) [Alliance de la famille canadienne], un groupe de coordination représentant 200 000 Ontariens, organise ce rassemblement de deux heures en milieu de semaine, à l'heure du dîner, alors que les plans d'abrogation de M. Ford pour l'éducation sexuelle font toujours l'objet d'attaques continues.
L'été dernier, Ford avait promis, lors de la campagne électorale, qu'un gouvernement progressiste-conservateur abrogerait le programme d'éducation sexuelle radical que le gouvernement libéral de Kathleen Wynne a mis en place en 2015, malgré une opposition sans précédent des parents.
La CFA a été fondée pour combattre cette éducation sexuelle qui détruit l'innocence des enfants [...]
Mais au cours des huit mois qui se sont écoulés depuis la victoire écrasante de Ford en juin, « pratiquement rien n'a été abrogé », affirme Tanya Granic Allen, présidente de Parents As First Educators (PAFE) [Parents premiers éducateurs], un groupe membre de la CFA.
Les parents doivent exiger à M. Ford et son gouvernement « faîtes ce que vous avez promis ». Vous avez dit que vous alliez l'abroger. Abrogez-le », a-t-elle déclaré à LifeSiteNews.
De plus, les parents ne savent peut-être pas que le programme d'abrogation de M. Ford « est attaqué par les forces pour la sexualisation des enfants, aussi bien dans son parti qu'en dehors », a déclaré Jack Fonseca, directeur des opérations politiques de Campaign Life Coalition, un autre groupe membre de la FCA.
Liberté d’expression bonifiée dans les collèges de l’Ontario
Par Eric Pilon (Le Peuple) — Voici la ou les sources de cet article : The Nectarine et The Globe and Mail/Voici la source de la photo (rognée) : maura24/Pixabay
Ces nouvelles balises permettront aux personnes ayant des vues chrétiennes de s’exprimer, les collèges et universités étant obligés de ne pas laisser que les seuls tenants des diverses théories mal fagotés, comme la théorie du genre, de discourir, ou de faire respecter les personnes avançant des idées contraire à celle de la meute hurlante. Je ne sais pas si les balises sont des meilleurs, mais en attendant cela vaut mieux que la censure exclusive de la vérité. — CQV
Les collèges ont établi une nouvelle politique qui doit permettre une plus grande diversité d’opinion sur les campus.
Les collèges de l’Ontario n’ont pas mis de temps à fixer de nouvelles balises sur la liberté d’expression. En août dernier, le Premier ministre de la province, Doug Ford, avait donné jusqu’au 1er janvier 2019 aux établissements d’études supérieures de la province « pour élaborer, mettre en œuvre et appliquer une politique en matière de liberté d’expression répondant à une norme minimale prévue par le gouvernement et fondée sur les meilleures pratiques du monde entier ».
Les établissements sont donc retournés à la planche à dessin et les collèges ont été les premiers à annoncer qu’ils avaient mis au point une nouvelle politique définissant la liberté d’expression comme « le droit de parler, d’écrire, d’écouter, de contester et d’apprendre ».
Cette politique, qui sera rendue publique lundi prochain, s’appliquera aux 24 collèges de la province. Elle stipule qu’il doit être possible sur les campus d’explorer des idées « controversées », même si elles entrent en conflit avec les points de vue des membres de la communauté. Elle précise, toutefois, que tout discours qui enfreint la loi et le Code des droits de la personne de l’Ontario ne sera pas autorisé.
Le gouvernement Ford avait laissé entendre, en août, que les établissements qui manqueraient à l’obligation de se conformer aux nouvelles mesures sur la liberté d’expression seraient sujets à des sanctions financières par le biais d’une réduction des subventions. Il reste maintenant aux universités à annoncer leurs nouvelles couleurs. Il y a fort à parier que le gouvernement fera face à un peu plus de résistance de ce côté.
Le Premier ministre d’Ontario ignorera le vote de son parti sur l’idéologie transgenre
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : HiMY SYeD/Flickr
Doug Ford révélerait-il son vrai visage, retournerait-il sa veste ? toujours est-il que ce qui l’avait fait élire était l’espoir des parents ontariens qu’il retirerait le cours d’éducation sexuelle qui contenait des éléments LGBT. Les règles du parti de M. Ford ne lui donne aucun pouvoir pour ignorer une résolution (interne) votée par les délégués, aussi s’expose-t-il à une poursuite judiciaire. Extrait de LifeSiteNews :
Le Premier ministre d’Ontario, Doug Ford, affirme que le matériel sur l’« identité du genre » ne sera pas retiré du programme d’éducation sexuelle de la province, même si son propre parti vient de voter en ce sens.
Lors de leur congrès à Toronto la fin de semaine dernière, les délégués du Parti progressiste-conservateur de l’Ontario ont adopté une résolution dépeignant la théorie de l’identité du genre comme une « idéologie très controversée, non scientifique et libérale ».
La résolution demandait au gouvernement du Parti conservateur d’Ontario de « retirer l’enseignement et la promotion de la “théorie de l’identité du genre” des écoles et du curriculum d’Ontario ».
Mais par après, lors d’une conférence de presse avec des journalistes, le Premier ministre d’Ontario a rejeté la résolution de son propre parti.
« C’est non contraignant. Ça venait de la base. Je n’irai pas de l’avant avec ça. Alors, c’est fait, » dévoila Ford.
Le gouvernement d'Ontario consultera les parents au sujet de l'éducation de leurs enfants
Blog d'Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie)
Si seulement le gouvernement du Québec pouvait être aussi respectueux du rôle qu'ont les parents dans l'éducation de leurs enfants... Toujours est-il que le site du gouvernement d'Ontario nous apprend :
Lire la suite«Une charte des droits des parents sera élaborée par le ministère de l’Éducation et mise en œuvre par l’Ordre des enseignantes et des enseignants de l’Ontario.
[...]
« Nous avons promis de mettre en place un système éducatif qui accordera la priorité aux droits des parents tout en opérant un retour à l'essentiel pour ce qui est de l'enseignement des matières fondamentales comme les mathématiques, a déclaré le premier ministre. Aujourd'hui, nous sommes heureux de vous dire : choses promises, choses dues.»