Trump signe un décret pour combattre la censure anticonservatrice des médias sociaux
Donald Trump, président des États-Unis.
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : Steve Jalsevac/LifeSiteNews
Faisant face à l’hostilité des médias (a)sociaux*, et particulièrement en ce qui regarde Twitter, Donald Trump a signé un décret visant à combattre la censure de ces plateformes qui a d’autres buts que les bonnes mœurs et le bannissement de la vraie violence. C’est sous prétexte de mener la guerre aux « fausses nouvelles » que Facebook, Twitter et compagnie mènent en fait l’élagage ou l’étiquetage des informations qui leur déplaisent. Selon LifeSiteNews :
Le président Donald Trump a signé le 28 mai un décret indiquant que le gouvernement fédéral commencerait à interpréter de façon beaucoup plus restrictive les immunités légales dont bénéficient actuellement les sociétés de médias sociaux.
L’article 230 de la Communications Decency Act protège les plateformes comme Twitter et Facebook contre les poursuites au regard du contenu publié sur leur site par les usagers.
Tandis que les agences de presse et autres éditeurs peuvent être poursuivis en justice pour avoir publié des propos diffamatoires, les plateformes de médias sociaux sont actuellement exemptées de telles procédures, car la loi les classe en tant que plateformes plutôt qu’en tant qu’éditeurs.
Le décret de Trump [...] dit que « la portée de cette immunité devrait être clarifiée : l’immunité ne devrait pas s’étendre au-delà de son texte et de son intention, servant ainsi de protection à ceux qui prétendent offrir aux usagers un forum pour le discours libre et ouvert, mais qui en réalité utilisent leur pouvoir sur un moyen de communication vital, étouffant le débat libre et ouvert par la censure de certains points de vue ».
« La croissance des plateformes en ligne ces dernières années soulève d’importantes questions relatives à l’application des idéaux du Premier amendement aux technologies modernes de communication », écrivait Trump. « Aujourd’hui, de nombreux Américains suivent l’actualité, restent en contact avec leurs amis et leur famille, et communiquent leurs points de vue sur l’actualité par le biais des médias sociaux et autres plateformes en ligne. En conséquence, ces plateformes fonctionnent à bien des égards comme la place publique du XXIe siècle ».
Il faut bien comprendre qu’un média asocial qui élague les opinions sur sa plateforme dans le but d’obnubiler certaines réalités, ou opinions sur la réalité, opère en fait un geste d’éditeur qui choisit l’orientation de ses publications : le média asocial choisit les publications qui paraîtront sur son site. C’est pour cette raison que Trump veut changer le statut des plateformes qui tiennent cette ligne de conduite.
En rendant le statut de ces plateformes semblable à celui d’un éditeur, si celles-ci persistent dans leur censure sélective, Trump leur ôterait l’immunité dont elles jouissent par rapport au contenu que les usagers mettent sur leur site, les protégeant notamment des poursuites pour diffamation. Par conséquent, ces sites sur lesquelles des dizaines de milliers de choses sont publiées chaque jour par les usagers, torrent proprement incontrôlable, pourraient devenir l’objet de poursuites pour la publication diffamatoire d’untel ou d’un autre sur leur plateforme, situation proprement intolérable. C’est pourquoi, si Trump parvient à ses fins, ces médias asociaux cesseront sans doute de censurer ce qu’ils appellent des « faussent nouvelles ».
Le représentant républicain de la Floride au Congrès américain, Matt Gaetz, travaille à l’élaboration d’un projet de loi allant dans le sens du décret de Trump.
*Les médias dits « sociaux » sont loin de l’être vu que l’interaction qui s’y opère est virtuelle et ne saurait remplacer la présence physique d’une personne. L’appellation « ami Facebook » est tellement grotesque ! Surtout si vous ne connaissez un individu que par face-bouc, connaissance bien pauvre s’il en est.
La Maison-Blanche confirme que Trump signera un décret sur les médias sociaux aujourd’hui
Par Paul Smeaton ― Traduit par Campagne Québec-Vie
États-Unis, 28 mai 2020 (LifeSiteNews) — Le président américain Donald Trump s’apprête à signer aujourd’hui un décret concernant les sociétés de médias sociaux, après avoir vivement critiqué le parti pris anticonservateur [de Twitter] sur Twitter au cours des dernières 24 heures.
Le correspondant de Reuters Jeff Mason a émis un tweet hier disant que la Maison-Blanche avait confirmé que le décret serait signé aujourd’hui, après que l’attachée de presse Kayleigh McEnany eût informé les journalistes des plans à bord d’Air Force One [l’avion présidentiel].
Peu après cette déclaration, la Maison-Blanche précise maintenant aux journalistes sur AF1 que le décret doit être signé demain (jeudi.) https://t.co/THR2UOPtnW
– Jeff Mason (@jeffmason1) 27 mai 2020
La nouvelle suit une série de tweets de Trump attaquant le parti pris anticonservateur de Twitter, ce média social ayant apposé une étiquette « connaître les faits » à ses récents tweets avertissant de la possibilité d’une fraude électorale par le biais des bulletins de vote par correspondance.
L’année dernière, Twitter a bloqué le compte de LifeSiteNews pour avoir mentionné précisément le sexe masculin de Jonathan Yaniv, un militant canadien qui se présente comme femme.
Au cours des dernières 24 heures, M. Trump a accusé Twitter d’« interférer dans l’élection présidentielle de 2020 » et les plateformes de médias sociaux en général de faire taire les voix conservatrices. Il a averti les géants des médias sociaux que son administration pourrait « les réglementer fortement, ou les obliger à fermer » avant de promettre « un grand coup » plus tard dans la journée.
Lire la suite... Twitter étouffe complètement la liberté de parole et, en tant que président, je ne le permettrai pas !
– Donald J. Trump (@realDonaldTrump) 26 mai 2020[Nous ne pouvons laisser une version plus sophistiquée de cela] ... se reproduire. Tout comme nous ne pouvons laisser les bulletins de vote par correspondance à grande échelle prendre racine dans notre pays. Ce serait une aubaine pour tous de tricher, contrefaire et voler les bulletins de vote. Celui qui tricherait le plus gagnerait. Il en est de même pour les médias sociaux. Nettoyez votre comportement, maintenant !!!!
– Donald J. Trump (@realDonaldTrump) 27 mai 2020
Donald Trump exige l’ouverture des lieux de culte « dès cette fin de semaine » : ils sont « essentiels »
Par Jeanne Smits (Le blog de Jeanne Smits)
« L’Amérique a besoin de davantage de prières, et non de moins ! » C’est par ces mots que Donald Trump a conclu une forte déclaration en faveur de la liberté de culte au cours d’une conférence de presse, ce vendredi 22 mai. Ajoutant tout le poids de son pouvoir exécutif à sa proclamation, il a enjoint aux gouverneurs des Etats d’ouvrir les lieux de culte « dès ce week-end » parce qu’ils sont des lieux « essentiels » pour les très nombreux millions d’Américains croyants.
Comme en France, la plupart des lieux de culte sont fermés au culte public et cela fait des semaines que de nombreux croyants, notamment les catholiques, n’ont pas pu assister à un office religieux.
Voici l’intégralité de la déclaration de Donald Trump :
Aujourd’hui, j’identifie les lieux de culte — les églises, les synagogues, les mosquées* — comme des lieux essentiels qui fournissent des services essentiels. Certains gouverneurs ont considéré les magasins de spiritueux et les cliniques d’avortement comme essentiels, tout en écartant les églises et autres lieux de culte. Ce n’est pas juste. Je corrige donc cette injustice en qualifiant les lieux de culte d’essentiels.
J’appelle les gouverneurs à autoriser immédiatement l’ouverture de nos églises et de nos lieux de culte. S’ils veulent remettre cela en cause, ils vont devoir m’appeler, mais leur appel ne sera pas couronné de succès. Il s’agit de lieux qui assurent la cohésion de notre société et qui préservent l’unité de notre peuple. Notre peuple exige aujourd’hui de pouvoir aller à l’église et à la synagogue, d’aller à leur mosquée — ce sont des millions d’Américains qui considèrent le culte comme une partie essentielle de la vie.
Les ministres, les pasteurs, les rabbins, les imams et les autres chefs religieux veilleront à ce que leurs congrégations soient en sécurité lorsqu’elles se rassemblent pour prier. Je les connais bien. Ils aiment leurs congrégations. Ils aiment les leurs. Ils ne veulent pas que quoi que ce soit de mal leur arrive, ou arrive à quiconque.
Les gouverneurs doivent faire ce qu’il faut et permettre l’ouverture de ces lieux de culte essentiels, très importants dès maintenant, dès ce week-end. S’ils ne le font pas, je passerai outre aux gouverneurs. En Amérique, nous avons besoin de davantage de prières, et non de moins.
Il y a des jours, décidément, où l’on se sent consolé par certains chefs d’Etat, certaines juridictions. Sont-ils imparfaits ? Oui, comme tout un chacun. Mais il y a tout lieu de se réjouir lorsqu’ils usent de leur autorité pour le bien, que ce soit le Conseil d’Etat en France ou, de manière encore plus spectaculaire, le président des Etats-Unis en personne.
Voici la vidéo de la déclaration de Donald Trump, telle que mise en ligne par LifeSiteNews.
*Évidemment cette déclaration a une saveur relativiste puisque toutes les religions sont mises dans le même panier. ― A. H.
Les mondialistes se servent-ils de la crise du coronavirus pour détruire et recréer l’ordre mondial ?
Par Steve Jalsevac ― Traduit par Campagne Québec-Vie ― Image : Tumisu/Pixabay
Ce qui est à voir, c’est si le coronavirus est en soi un véritable élément de crise, et si ce n’est pas ce qu’on en fait qui est catastrophique. ― A. H.
17 avril 2020 (LifeSiteNews) — En février 2017, une vidéo de Remnant TV sur le discours d’investiture du président Trump, intitulée Here’s why they hate him (Voici pourquoi ils le détestent), m’a grandement inspiré. J’y fis suite en écrivant The surprising real reason for the hate against Donald Trump, l’un de nos articles les plus regardés en 2017. Je vous suggère de le lire pour mieux comprendre la signification de la nouvelle vidéo, Covid-19 : Globalism’s perfect storm (Covid-19 : véritable tempête des mondialistes), présentée ci-dessous, et mes profondes inquiétudes concernant un programme mondial très vaste dont la route croise certainement celle de la pandémie du virus de Wuhan. (Note : je l’appelle le « virus de Wuhan » parce que la norme générale est d’utiliser le nom du lieu d’où provient un virus pandémique dans l’attribution d’un nom à celui-ci, bien que l’OMS corrompue, en réaction aux pressions de la Chine communiste, ait insisté pour que nous utilisions tous le terme inoffensif de « covid-19 »).
Depuis ses débuts, LifeSite s’est attaché à présenter aux lecteurs une vue d’ensemble exceptionnelle des liens entre les nombreuses questions qui menacent la vie et la famille. Dans cet article et la vidéo qui l’accompagne, vous trouverez des informations et des réflexions cruciales sur les changements extraordinaires qui se produisent actuellement.
Le thème de l’article de 2017 portait sur la haine dont Donald Trump est l’objet, haït avant tout parce qu’il était considéré comme une grande menace pour les plans des mondialistes visant à instaurer leur Nouvel ordre mondial (NOM), anti-Dieu, antifamille et antivie, devant être mis en œuvre sous le Président Clinton. L’article était plus pertinent que je ne l’eusse pu imaginer.
Depuis, les mondialistes ont employé tout ce qui était possible, avec l’entière coopération de leurs vicieux alliés des médias principaux de fausses nouvelles, afin de persuader le public que Trump est un homme malfaisant, incompétent et corrompu qui doit être destitué de la présidence américaine. Il faut que cela advienne pour la continuation des plans destinés à changer définitivement les États-Unis, à détruire le système capitaliste et le remplacer par une nouvelle économie contrôlée par les mondialistes, et à changer essentiellement le monde.
Vous ne me croyez pas ? Regardez la vidéo.
Le coronavirus, un cadeau pour les mondialistes
Le virus de Wuhan semble être un bienfait incroyable et suspectement opportun pour les mondialistes, leur permettant de faire avancer leur programme d’une façon plus rapide qu’à ce que nous eussions pu nous attendre. Certains sont même allés jusqu’à sembler ne pas vouloir d’une solution rapide au virus, se moquant et essayant d’arrêter des traitements prometteurs qui sauvent déjà la vie de nombreux patients contaminés.
Voyez ci-dessous la vidéo du Remnant qui illustre ce que j’essaie de transmettre dans cet article. Il s’agit d’une vidéo percutante et directe dans le style de Remnant TV. Elle compile des séquences de vidéos étonnantes et d’autres preuves qui devraient vous amener à vous poser au moins de nombreuses questions sérieuses. Si vous ne regardez pas la vidéo, vous serez bien plus démunis pour essayer de comprendre, comme le dit Michael, « la folie imprudente et irresponsable » sous-tendant le but réel des efforts extrêmes de restriction, qui ont causé une frayeur et une dévastation économique massives, et le but réel du déferlement d’attaques médiatiques dirigées contre le président Trump.
Lire la suiteForte opposition aux vaccins développés sur des lignées cellulaires de bébés avortés
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) ― Photo : Karolina/Kaboompic/Rawpixel
Certains semblent vouloir profiter de la situation actuelle pour rouvrir les vannes du financement fédéral pour la recherche sur les tissus de fœtus avortés, demandant au gouvernement américain de lever son interdiction de l’usage de ces tissus, notamment pour la fabrication d’un vaccin contre le coronavirus. Une forte opposition s’est levée devant ces projets insidieux, comptant de nombreux pro-vie important comme l'archevêque de Tyler au Texas, Mgr Strickland, qui écrit sur Twitter :
J’implore tous ceux qui croient en la sainteté de la vie des enfants à naître d’élever leur voix et d’exiger que les chercheurs qui travaillent sur un vaccin contre le Covid-19 ne puissent pas utiliser les dépouilles d’enfants avortés pour développer des lignées cellulaires. Nous ne pouvons pas répéter ce péché diabolique. S’il vous plaît, protégez la vie !
Selon LifeSiteNews, en réaction à la demande de 15 procureurs généraux d’États américaine de lever l’interdiction sur les recherches effectuées sur les tissus fœtaux issus d’avortement, plus de 130 représentants du Congrès conjurent le président Trump de rester ferme :
Plus de 130 membres du Congrès exhortent le Président Donald Trump, lui disant, il faut « maintenir votre politique actuelle sur la recherche sur les tissus fœtaux et à réorienter les fonds vers des solutions éthiques et efficaces pour combattre le COVID-19 ».
Lever l’interdiction :
Lire la suite15 procureurs généraux d’État avaient écrit au président Trump le 26 mars dernier, déclarant que l’utilisation de tissus de fœtus avortés pourrait contribuer à « accélérer le développement de vaccins pour combattre COVID-19 », ainsi qu’à « l’étude de son impact sur les femmes enceintes et les enfants ».
« Nous vous demandons de mettre fin à votre interdiction des tissus fœtaux afin de permettre à nos meilleurs scientifiques de résoudre cette crise sanitaire mondiale », ont conclu les procureurs généraux.
Trump cesse de financer l’Organisation mondiale de la santé pour manque de fiabilité sur le coronavirus
Donald Trump, président des États-Unis.
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) ― Photo : Gage Skidmore/Flickr
Trump s’est finalement décidé à couper le financement de l’Organisation mondiale de la santé (OMS), ce qui fera à son tableau de chasse le deuxième organisme proavortement de l’ONU, avec le FNUAP, auquel il aura retiré le soutien pécuniaire des États-Unis. Selon LifeSiteNews :
Le président Donald Trump a annoncé le 14 avril au soir qu’il chargeait son administration de mettre fin au financement de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) « pendant qu’une enquête est menée pour évaluer le rôle de l’Organisation mondiale de la santé dans la grave erreur de gestion, et la dissimulation, de la propagation du coronavirus ».
« Les contribuables américains versent entre 400 et 500 millions de dollars par an à l’OMS. En revanche, la Chine lui apporte grosso modo 40 millions de dollars », souligna Trump. « En tant que principal bailleur de fonds de l’organisation, les États-Unis ont le devoir d’insister sur sa pleine transparence. L’une des décisions les plus dangereuses et les plus coûteuses de l’OMS a été celle, désastreuse, de s’opposer aux restrictions de voyage entre la Chine et les autres nations ».
« Ils étaient très opposés à ce que nous avons fait. Heureusement, je n’ai pas été convaincu et j’ai suspendu les voyages en provenance de Chine », ce qui a permis de sauver des milliers de vies américaines, déclara Trump. « L’OMS a placé le politiquement correct au-dessus des mesures d’importance vitale en s’attaquant aux restrictions de voyage. »
Trump affirma que si d’autres nations avaient « suspendu de la même manière les voyages en provenance de Chine, d’innombrables autres vies auraient été sauvées ». Regardez plutôt le reste du monde. Regardez certaines parties d’Europe. D’autres nations et régions qui ont suivi les directives de l’OMS et ont gardé leurs frontières ouvertes à la Chine ont aggravé la pandémie dans le monde entier. De nombreux pays avaient déclaré : « nous allons écouter l’OMS ». Ils ont des problèmes tels qu’ils ne peuvent y croire.
[…]
M. Trump reprocha à l’OMS d’avoir manqué à son « devoir fondamental » de « travailler avec les pays pour faire en sorte que des informations précises sur la santé internationale soient communiquées diligemment. Et si ce n’est pas le cas de dire au monde de façon indépendante la vérité sur ce qui se passe ».
L’OMS « doit être tenue responsable », a-t-il insisté. « Il est temps, après toutes ces décennies. L’OMS n’a pas examiné des informations crédibles provenant de sources de Wuhan qui entraient en conflit direct avec les rapports officiels du gouvernement chinois ».
L’un des porte-parole de l’OMS avait récemment déclaré que l’avortement devrait être considéré « essentiel » durant cette absurde pandémie. Un de ses confrères a suggéré des mesures pour le moins communistes (on voit où l’OMS pige ses idées), proposant de retirer les personnes qui pourraient être atteintes de coronavirus de leur famille afin de les confiner… d’après LifeSiteNews :
Le 22 mars, Mike Ryan, directeur général du programme d’urgence de l’OMS, a suggéré aux autorités de trouver les personnes susceptibles d’être porteuses du coronavirus dans les foyers et de les « retirer ».
M. Ryan a déclaré qu’en réponse à la pandémie de COVID-19, les fonctionnaires pourraient devoir entrer dans les maisons et en retirer les membres de la famille. La contagion a été « retirée des rues et repoussée dans les familles ».
« Maintenant, nous devons aller voir les familles pour trouver les personnes qui pourraient être malades et les retirer et les isoler de manière sûre et digne », a déclaré M. Ryan le 22 mars, une « menace » que Tucker Carlson, hôte de la FOX, a trouvée de mauvais augure.
Trump songe à cesser de financer la pro-avortement OMS
Donald Trump, président des États-Unis, le 7 avril 2020.
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — capture d'écran vidéo
Le président des États-Unis Donald Trump a déclaré lors de l’un de ses points de presse sur la situation du coronavirus aux États-Unis, le 7 avril, qu’il songeait à cesser de financer l’Organisation mondiale de la santé (OMS) en raison de la minimisation que cet organisme faisait des dangers du coronavirus alors qu’il sévissait en Chine, au début de ce que l’OMS a depuis elle-même appelé une « pandémie ». Donald Trump reproche à l’OMS de couvrir la responsabilité de la Chine dans la gestion et la propagation du virus.
Notons par ailleurs que l’OMS, entité de l’ONU, estime, par la voix de l’un de ses porte-parole, que l’avortement devrait être considéré comme « essentiel » durant cette « pandémie », d’où un certain manque de logique dans le classement des priorités (comme si tuer un enfant à naître pouvait seulement être prioritaire !).
Si les États-Unis coupaient les vivres à l’OMS, cela représenterait 22 % de son budget en moins. Selon LifeSiteNew :
Trump a indiqué qu’il était ouvert à l’idée de cesser de financer l’Organisation mondiale de la santé, une entité pro-avortement des Nations unies ayant des liens suspects avec la Chine communiste.
« Ils semblent toujours se fourvoyer du côté de la Chine et nous la finançons, donc je veux me pencher sur la question », a-t-il déclaré.
Un journaliste lui a demandé si « c’est vraiment le moment de geler le financement de l’OMS pendant une pandémie ».
« Non, peut-être pas, je ne dis pas que je vais le faire, mais nous allons l’examiner », a répondu Trump. « Nous allons enquêter, nous allons examiner la question... mais nous allons envisager de mettre fin au financement parce que vous savez quoi, ils se sont trompés et si vous regardez en arrière, même avec plusieurs années de recul, ils sont très... tout semble être très biaisé envers la Chine — ce n’est pas correct ».
Coronavirus et mondialisme : l’analyse de Valérie Bugault
Par Pierre-Alain Depauw (Medias-Presse.info) ― Photo : Freepik
Le site Strategika publie un entretien avec Valérie Bugault :
1°) Strategika – On lit beaucoup d’éléments contradictoires selon les différentes sources d’information disponibles ou selon les avis des professionnels de la santé. Quelle est la réalité effective de cette pandémie selon vous ?
VB : Comme le dit très bien notre ami Lucien Cerise, il faut distinguer entre la réalité sensible dans le monde réel et la narration des faits qui est diffusée.
Voici, textuellement, ce qu’il dit :
« En France, et plus largement en Occident, la crise sanitaire du coronavirus présente un cas pratique d’ingénierie sociale et de gouvernance par le chaos. Nous retrouvons la même structure qu’avec la “menace terroriste” : un mélange de réel et de fiction, combinés à deux stratagèmes bien connus qui sont 1) le pompier pyromane et 2) le triangle de Karpman. Sur le mélange réel/fiction, souligné dans son dernier livre par le professeur Raoult — qui se fait le disciple occasionnel de Jean Baudrillard : les partisans du “tout réel” ont tort, les partisans du “tout fiction” ont tort. Exemple : ce n’est pas parce que la “version officielle” de la crise coronavirus est fausse qu’il n’y a pas d’épidémie ; de même, ce n’est pas parce que la “version officielle” des attentats terroristes est fausse que les attentats n’ont pas lieu. Des événements ont lieu, et c’est la narration explicative qui est fausse, pas les événements en eux-mêmes. L’analyse de la crise actuelle révèle aussi l’application des techniques du pompier pyromane et du triangle de Karpman, c’est-à-dire le jeu de rôles bourreau/victime/sauveur. Le pouvoir laisse la situation de crise s’installer, voire l’aide à s’installer, volontairement ou involontairement. Dans le réel, le pouvoir occupe donc la place du pyromane, donc du bourreau. Puis, une fois que la crise est installée et en cours, le pouvoir se présente comme le sauveur, qui va donc nous sauver de la crise qu’il a lui-même installé furtivement, tel un pompier qui éteindrait l’incendie après l’avoir lui-même allumé discrètement. »
Nous sommes face à une sorte de dissonance cognitive globale parce que les phénomènes auxquels nous sommes confrontés reçoivent une ou plusieurs explications officielles partielles (dans le meilleur des cas), contradictoires et/ou erronées qui ne permettent pas un accès intellectuel à l’ensemble du phénomène. En réalité, la méthodologie suivie dans la couverture de cette crise du coronavirus est similaire à celle qui nous est imposée d’une façon générale pour orienter les processus intellectuels : un séquençage (puisque le mot est désormais à la mode) ou un émiettement des connaissances, une sorte de fordisme appliqué à toute l’échelle des connaissances. A cela s’ajoute un autre phénomène d’émiettement et d’isolement des populations : les milieux médicaux fréquentent peu ou pas d’autres milieux, chacun restant dans son pré carré par l’organisation même de la société. Ainsi, les constats et la vie que mènent les uns sont quasi hermétiques aux constats et à la vie que mènent les autres, leurs seuls points de contact étant leur façon (directe ou indirecte) de consommer.
[…] Dans l’ordre nous avons : l’apparition peu préparée d’un virus en Chine, pays qui connaît historiquement cette typologie de virus. Ensuite, une série de nouvelles alarmistes en forme d’hécatombe. Ensuite, bien sûr, le virus se répand sur la surface du globe pendant que l’on apprend que la Banque mondiale (que je ne présente plus) avait prévu, dès 2017, des « bonds spécifiques aux pandémies ». Ensuite une litanie de pays touchés et d’innombrables populations confinées pour, prétendument, lutter contre la propagation dudit virus. Pendant que les « morts » se multiplient et que les services hospitaliers étouffent littéralement sous cette affluence de gens à détecter ou à traiter.
Lire la suiteNancy Pelosi voulait inclure le financement de l’avortement dans une loi sur le coronavirus !
Billet de blogue d’augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : US Department of Labor/Wikimedia Commons
Nancy Pelosi, présidente de la Chambre des représentants des États-Unis, voulait inclure le financement de l’avortement dans un projet de loi qui visait le coronavirus ! La version finale n’en parle pas, et a été votée par la Chambre. Selon LifeNews :
Autre victoire de l’administration Trump et des Américains pro-vie, la présidente pro-avortement de la Chambre des représentants Nancy Pelosi a cédé, acceptant un accord avec l’administration Trump pour promulguer une version propre du projet de loi sur la relance économique et le coronavirus […]
Comme l’a rapporté LifeNews, la présidente de la Chambre des représentants, Nancy Pelosi, est tellement obnubilée par la promotion de l’avortement et par son financement aux frais des Américains, qu’elle a été prise en train d’essayer d’ajouter le financement fédéral de l’avortement au projet de loi visant à combattre le coronavirus et à stimuler l’économie du pays dans le cadre de la lutte contre l’épidémie de COVD-19.
Pelosi a été fortement critiquée par les défenseurs de la vie, par des législateurs pro-vie comme le sénateur Ben Sasse et par le président Trump lui-même.
« Pelosi voulait faire passer en douce un milliard de dollars de financement pour les programmes d’avortement par le biais du plan de soutien face au coronavirus. Ne me dites pas que les démocrates ne politisent pas cette situation », déclara Ian Cheong, rédacteur en chef de la rubrique Human Rights.
Pas plus tard que jeudi, le président Trump déclara qu’il ne pouvait pas soutenir le projet de loi sans la clause de l’amendement Hyde.
Un journaliste demanda à M. Trump à la Maison-Blanche s’il soutenait le projet de loi.
« Non, parce qu’il y a des choses là-dedans qui n’ont rien à voir avec les choses dont nous parlons », a déclaré M. Trump aux journalistes [...]
« Ce n’est pas une bonne voie pour eux pour obtenir certains des avantages qu’ils n’ont pas pu obtenir au cours des 25 dernières années », déclara le président aux démocrates de la Chambre.
Mais après une journée de négociations, la Maison-Blanche et Pelosi se sont mis d’accord sur une version finale du projet de loi qui n’inclura pas l’avortement.
Vatican : Le mondialiste Sachs désigne Trump comme «dangereux» pour le «grand consensus» mondial
Mgr Marcelo Sorondo (à gauche), Jeffrey Sachs (à droite).
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : capture d'écran vidéo
Au Vatican, lors d’une conférence de l’Académie pontificale des sciences sociales, dirigée par son chancelier Mgr Marcelo Sorondo, le mondialiste grand contrôleur des populations (promoteur de la contraception, avortement et « éducation sexuelle ») Jeffrey Sachs a donné un petit discours dans lequel il a montré les États-Unis comme un danger, notamment sous la direction de Donald Trump son président, pour le mondialisme et ses objectifs de développement durable. Donald Trump a déjà largement taillé dans le financement des États-Unis à l'étranger de l'avortement. Selon LifeSiteNews :
Sachs était l'orateur principal de la conférence du 5 février sur les « Nouvelles formes de solidarité : Vers l'inclusion fraternelle, l'intégration et l'innovation » à l'Académie pontificale des sciences sociales.
Le correspondant du National Catholic Register à Rome, Edward Pentin, a rapporté les propos de Sachs desquels il a pris une vidéo.
L'évêque argentin Marcelo Sanchez Sorondo, Chancelier des Académies pontificales des sciences et des sciences sociales, souriait et hochait de la tête avec approbation pendant les dix minutes du discours de Sachs. Mgr Sorondo a déjà préconisé que les catholiques n'aient pas plus d'un ou deux enfants, et l'Académie pontificale des sciences, qu'il dirige, est passée sous le feu roulant des critiquée ces dernières années pour avoir accueilli des orateurs pro-avortement et pour le contrôle de la population, en lien avec les Nations unies.
Ainsi, Sachs l'orateur, peu à sa place dans une conférence d’une Académie pontificale (ce n'est pas la première fois qu'il vient), critiquait-il Trump qui se met en travers des beaux projets de M. Sachs et de ses semblables :
Lire la suiteLe thème récurrent du discours de Sachs était que Trump et les États-Unis sont une menace pour le « multilatéralisme », c'est-à-dire la poursuite d'objectifs communs par diverses nations.
[...]
Sachs a commencé son discours en disant que « le multilatéralisme n'est pas menacé, en soi, dans la plus grande partie du monde. Il est menacé à cause des États-Unis, et je tiens à le dire clairement parce que ce n'est pas un jeu ».