Une Américaine obtient une décision de justice pour faire traiter son père à l’ivermectine : il est sorti guéri de l’hôpital après avoir été intubé un mois
Sun Ng.
Par Jeanne Smits (Le blog de Jeanne Smits)
La fille d’un Hongkongais qui a été hospitalisé pour COVID-19 le 14 octobre à l’hôpital Edward à Naperville, dans l’Illinois (Etats-Unis), vient de publier un communiqué indiquant que son rétablissement n’a été possible que grâce à une décision du juge du comté de DuPage, qui a enjoint à plusieurs reprises à l’hôpital d’autoriser le patient d’être soigné au moyen de l’ivermectine.
Sun Ng, 71 ans, avait été traité, sans succès, au remdesivir, et son état s’était tellement détérioré qu’un médecin avait témoigné devant la justice qu’il n’avait guère que 10 ou 15 % de chances de survie.
Intubé et placé en coma artificiel pendant un mois, Sun Ng était « en fait sur son lit de mort », a reconnu ce médecin.
S’étant renseignée sur les traitements possibles du COVID_19, la fille de Sun Ng, le Dr Man Kwan Ng, a demandé fin octobre que l’on administre de l’ivermectine. Devant le refus de l’hôpital, elle a intenté le 1er novembre une action en justice contre Edward-Elmhurst Health et obtenu une ordonnance en ce sens, que l’hôpital a refusé d’exécuter. Une nouvelle audience le 5 novembre a abouti à un commandement similaire, dans lequel le juge Paul Fullerton notait que les effets indésirables potentiels de l’ivermectine (vertiges, démangeaisons, diarrhée) « étaient tellement minimes que la situation actuelle de M. Ng dépasse de cent fois ce risque ».
Après un nouveau refus de l’hôpital, au motif que le médecin qui devait administrer le traitement n’était pas vacciné et que le médecin-chef de l’établissement n’était pas en mesure de le faire à sa place, il a fallu un nouveau référé pour qu’enfin l’ivermectine soit administrée par le médecin choisi par la famille.
Sun Ng put quitter l’hôpital le 27 novembre, selon un communiqué de presse de Mauck & Baker, LLC, le cabinet d’avocats qui a représenté la famille dans cette affaire. Il respire sans assistance, a commencé à réapprendre à manger seul avant de quitter l’hôpital et peut se déplacer avec un déambulateur.
Le Dr Ng a déclaré dans un communiqué de presse daté du 29 novembre que le rétablissement de son père a « dépassé les attentes » de ses proches, « Dieu soit loué ». Elle ajoutait : « Notre famille remercie tout particulièrement le juge Paul Fullerton. Sans lui, nous n’aurions pas pu ramener mon père à la maison et nous n’aurions pas pu le voir nous sourire à nouveau. Nous remercions aussi très sincèrement le Dr Alan Bain de nous avoir accompagnés et administré l’ivermectine à mon père. »
Joseph Monahan, l’avocat de l’hôpital Edward, avait précédemment soutenu que Ng avait manifesté une amélioration dès avant avoir reçu de l’ivermectine. Selon la presse locale, Monahan a également déclaré que l’hôpital n’était pas en mesure de confirmer le contenu du médicament administré parce que le médecin l’avait obtenu en ligne depuis l’Inde. Bien sûr…
L’hôpital, lui, a refusé tout commentaire.
«Un hôpital canadien a essayé de refuser ma fille non vaccinée ayant des besoins spéciaux — voici ce que j’ai fait»
Par Celeste McGovern — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : VadimGuzhva/Adobe Stock
12 novembre 2021 (LifeSiteNews) — Ma fille avait un rendez-vous en cardiologie à l’hôpital Halifax Infirmary cette semaine. Nous nous sommes présentés aux portes d’entrée et il y avait une file d’attente pour entrer. Je n’avais jamais vu de queue à l’entrée d’un hôpital auparavant. Cela ressemblait à une file d’attente soviétique pour du pain. Il s’est avéré que l’hôpital n’était pas engorgé par les patients du COVID-19 ; le ralentissement était dû à un poste de sécurité à l’intérieur de la porte, où un garde arrêtait tout le monde et demandait à voir leurs preuves de vaccination.
Je me suis dit : « C’est une blague ». Quelques jours avant la visite, j’avais reçu un de ces appels de contrôle pré-visite désormais standard, où l’on me pose une liste de questions COVID : Êtes-vous fiévreuse ? Avez-vous voyagé à l’extérieur de la province au cours des 14 derniers jours ? Avez-vous été testée positif au COVID-19 ? Est-ce que quelqu’un de votre entourage a été testé positif au COVID-19 ? J’avais répondu non à toutes. Mais il n’y avait pas eu de question sur notre statut vaccinal.
Quand le gardien de sécurité à la porte a demandé nos papiers, et que j’ai dit que nous n’en avions pas, il a dit que nous n’étions pas autorisées à entrer. « Je ne pense pas que ce soit correct », ai-je objecté. « Elle a un rendez-vous en cardiologie. C’est un service essentiel. Je pense que vous feriez mieux de me laisser parler à quelqu’un. »
Il a donc pris nos noms et nous a conduites à une petite section d’attente dans une zone vitrée avec quelques chaises où était assis un type d’une soixantaine d’années. Il a secoué la tête lorsque nous nous sommes approchés.
─ « C’est insensé », ai-je dit.
─ « Je suppose que vous êtes dans le même bateau que moi », a-t-il dit. « J’ai oublié mes papiers ».
─ « Non. Nous ne sommes pas vaccinées. »
─ « Pourquoi ça ? », a-t-il grommelé.
─ « Eh bien, Kate ici présente a moins de 20 ans. Cela signifie que même si elle attrapait le COVID, son risque d’en mourir est pratiquement nul. Je pense qu’il n’est pas dans son intérêt de recevoir une injection expérimentale avec des effets secondaires. Plus de 17 000 décès ont été signalés avec ces vaccins. Beaucoup d’enfants ont des inflammations cardiaques après ça, aussi. »
Lire la suiteL’émergence de Nowa Huta — ou la nouvelle citée idéologique
Par Douglas Farrow — Traduit par Campagne Québec-Vie
L'émergence de Nowa Huta
Une société mondiale dans laquelle les citoyens ne sont que des points de données biométriques
Douglas Farrow
Nowa Huta ─ la Nouvelle fonderie [en polonais] ─ est une ville qui fut construite de toutes pièces à la périphérie de Cracovie à partir de 1949, en grande partie à des fins de propagande soviétique, mais aussi comme site d’industrie lourde. Ses habitants prolétaires étaient censés faire contrepoids à la bourgeoisie peu coopérative de la ville historique. Bien que l’endroit ne fût pas vraiment favorable pour une fonderie, de l’acier y serait produit. Les objectifs de propagande étaient moins sûrs de réussir. Éventuellement, le syndicat indépendant et autonome « Solidarité » finit par prendre le dessus, et le rideau de fer lui-même tomba.
L’athéisme d’État avait dicté que l’architecture impressionnante de cette ville utopique ne comporterait aucune église. Ce devait être une ville pour un peuple dont les seuls dieux seraient ceux du stalinisme. En 1960, cependant, des citoyens demandèrent l’autorisation de construire une église. Une croix fut érigée sans permis et des messes furent célébrées en plein air, même par un froid glacial. Chaque fois que la croix illégale était enlevée par les autorités, elle était rapidement remise en place. Un permis de construire fut finalement obtenu et en 1967, la construction de l’église Arka Pana [l’Arche du Seigneur] commença. Dix ans plus tard, elle était consacrée par le cardinal Karol Wojtyła, un an avant qu’il ne devienne pape. L’Arche du Seigneur avait résisté au déluge et s’était posée au cœur de Nowa Huta.
Une cinquantaine d’années plus tard. Les communistes chinois, sous la direction d’un homme aussi meurtrier que Staline, sont les nouveaux dirigeants de l’Orient. Le silicium est le nouveau symbole et l’instrument du pouvoir. Un étrange axe se forme entre l’Orient et l’Occident. Le son qui le caractérise n’est pas celui de l’acier percutant rythmiquement l’acier. La Nouvelle route de la soie en produit encore beaucoup, mais devant, derrière et au-dessus de tout cela, on entend le bourdonnement des données qui circulent par vagues dans le monde beaucoup plus silencieux du silicium et des satellites, de la fibre optique et des tours de communication 5 G. Une ville nouvelle et mondiale, une Babel invisible et presque invincible, est en train de s’ériger. Il y a de la place pour les églises. Les églises ont en effet été poussées à l’intérieur de ses murs ou séduites afin qu’elles en franchissent ses portes, elles y deviennent elles aussi invisibles, mais guère invincibles.
Le monde du silicium est le monde de la propagande par excellence. Ceux qui contrôlent le récit contrôlent tout, et ici il est tout à fait possible de contrôler le récit, comme nous l’avons appris récemment. Inondez la zone, comme on dit. Les contre-narratifs sont par définition de la « désinformation », et la désinformation peut être éliminée par des interventions algorithmiques ou d’autres formes de censure. Il n’est plus nécessaire de raser les églises ou de refuser les permis de construire. Laissez-les opérer dans le cyberespace, où elles peuvent être surveillées et disciplinées si elles s’éloignent trop de la narration. L’arche peut résider dans la ville, mais c’est la ville qui contrôle ses portes, les ouvrant et les fermant.
Lire la suiteLe terminus du complotisme
Par Jean Tardy (Campagne Québec-Vie) — Photo : BullRun/Adobe Stock
Vingt mois d’alertes
Depuis presque deux ans, je m’évertue à lancer des alertes pour avertir mes concitoyens qu’un putsch planétaire est en cours, que leurs libertés sont gravement menacées et que leurs élites tentent d’imposer des transformations sociales extrêmes qui détruiront la société que nous connaissons. Autrement dit, j’étais un complotiste.
J’ai utilisé tous les moyens à ma disposition. J’ai commencé sur un mode sarcastique en publiant des images humoristiques et un peu choquantes. J’ai ensuite consacré des semaines à analyser des dizaines de documents pour comprendre et expliquer les agendas mondialistes. J’ai donné des entrevues pour décrire ce qui nous menaçait. J’ai écrit des dizaines d’articles produisant des explications, des expressions, des exemples, des images pour faire comprendre la gravité et l’étendue des évènements.
Pourquoi travailler si fort pour informer et alerter ? Parce que j’avais la conviction qu’en faisant comprendre la situation à mes concitoyens, ceux-ci rejetteraient les mesures qu’on leur imposait.
Cet effort a culminé avec ma participation dans l’élection fédérale de septembre 2021. Je me suis inscrit comme candidat du Parti populaire du Canada (PPC) pour donner un choix à mes concitoyens de voter contre l’imposition des passeports sanitaires et pour la liberté de choix.
À la fin, les gens de mon comté ont voté dans les mêmes proportions que ceux du reste du Québec. C’est-à-dire qu’ils ont massivement endossé les partis qui ont participé à la mise en place des mesures de contrôle totalitaire et soutenaient le maintien de ces mesures.
À mon avis, le vote s’est bien déroulé. Il s’agissait d’un scrutin bien géré et d’un décompte correct. De plus, malgré tous les efforts des médias pour contrôler le narratif, l’information pour faire un choix était disponible. En effet, le régime Trudeau avait ouvertement annoncé ses intentions concernant l’imposition des contrôles et l’amplification des restrictions et il bénéficiait, sur ces questions de l’appui explicite des autres partis du parlement.
Lire la suite«Si nous ne nous levons pas maintenant», prévenait DeSantis, les Américains «entièrement vaccinés» se feront imposer des rappels pour conserver leur emploi
Par Ashley Sadler — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Studio Romantic/Adobe Stock
8 novembre 2021 (LifeSiteNews) — Lors d’une conférence de presse jeudi, juste après que l’administration Biden ait publié sa règle qui contraint les grands employeurs privés d’obliger leurs employés à recevoir le vaccin COVID-19 ou de se soumettre à des tests fréquents, le gouverneur républicain de Floride, Ron DeSantis, a annoncé les plans de son État pour lutter contre cette exigence, avertissant que ce mandat radical n’est « que la pointe de l’iceberg ».
« Il y a un an et demi, nous avons commencé avec 15 jours pour ralentir la propagation, et maintenant c’est parti pour se faire piquer ou perdre son emploi », a déclaré DeSantis.
« Les individus devraient pouvoir faire des choix éclairés sur leurs propres soins de santé », a-t-il ajouté. « Ils ne devraient pas être contraints de se faire piquer ».
Soutenant qu’aucun employé ne devrait avoir à choisir entre se faire vacciner et garder son emploi, le gouverneur a suggéré que si les mandats étendus sont autorisés, les personnes « entièrement vaccinées » devront bientôt recevoir des injections supplémentaires pour conserver leur gagne-pain.
« Ce n’est que la partie émergée de l’iceberg », a-t-il averti. « Si nous ne nous levons pas maintenant et ne nous battons pas, cela va devenir plus restrictif et encore plus de pouvoir sera exercé à l’avenir. »
Nous avons commencé avec 15 jours pour ralentir la propagation, maintenant ils vous forcent à vous faire vacciner ou à perdre votre emploi.
La Floride se battra. pic.twitter.com/0ykfRAAcDI
— Ron DeSantis (@GovRonDeSantis) 8 novembre 2021
Alors que l’efficacité des vaccins COVID-19 sur le marché s’est effondrée, tombant bien en dessous des taux d’efficacité initialement rapportés, les Centres de contrôle et de prévention des maladies (CDC) ont déjà signalé qu’ils pourraient ajuster la définition de « complètement vacciné » pour inclure au moins une troisième injection.
Lire la suiteDes catholiques australiens ont formé une procession du Rosaire lors d’un grand rassemblement pour la liberté
Procession du Rosaire organisée par des catholique lors d'une manifestation à Melbourne contre la dictature sanitaire.
Par Kathy Clubb (LifeSiteNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Justin Beirouti
19 novembre 2021 (The Remnant) — Après une semaine agitée à Melbourne, les catholiques ont de nouveau participé en force à une procession publique du Rosaire, se joignant à un énorme rassemblement pour la liberté où plus de 50 000 personnes ont manifesté contre la vaccination obligatoire et la tyrannie du COVID.
Pour la troisième semaine consécutive, un groupe de catholiques de tout le Grand Melbourne a défilé de la cathédrale St-Patrick au Parlement, en priant le chapelet et en chantant des hymnes. Le groupe, qui ne comptait au départ que 60 membres, a décuplé en nombre au cours de la deuxième semaine, tandis que plus de 700 personnes ont participé au rassemblement de samedi dernier.
La procession était précédée par une statue de Notre-Dame de Fatima, qui a été transportée au milieu de la foule laïque. Agnostiques, athées et païens ont d’abord été surpris, puis ont applaudi, apparemment réconfortés par la vue d’une image de leur Mère céleste.
Le groupe catholique avait reçu des médailles de saint Benoît exorcisées, et certains les ont remises à des manifestants qui les ont reçues avec reconnaissance et attention. L’image de la Vierge a été reprise par plusieurs médias grand public ; l’un d’entre eux a parlé de « la Madone » et a diffusé des enregistrements audio des catholiques en train de prier et chanter.
La présence de catholiques aux rassemblements pour la liberté de Melbourne met en lumière la grave bataille spirituelle qui fait rage dans l’État fédéré australien de Victoria. Les catholiques attendent d’ailleurs qu’un de leurs évêques s’exprime contre une proposition de loi qui pourrait conduire à l’incarcération de ceux qui refusent les vaccins COVID. Le projet de loi sur les Pouvoirs en cas de pandémie permettrait au premier ministre Daniel Andrews, un catholique, de contourner le processus parlementaire, ce qui lui donnerait un pouvoir illimité sur ses citoyens au nom de la « santé ».
Lire la suiteEntrevue du pro-vie Alexander Tschugguel sur la situation de l’Autriche sous dictature sanitaire
Alexander Tschugguel.
Par Jeanne Smits (Le blog de Jeanne Smits)
Alors que l’Autriche apprenait vendredi que toute sa population serait confinée à partir de lundi et que le gouvernement veut mettre en place la vaccination forcée contre le COVID d’ici au 1er février, j’ai demandé à Alexander Tschugguel de répondre à quelques questions sur cette dictature qui s’installe dans son pays.
Alexander Tschugguel est ce jeune converti au catholicisme, militant pro-vie et pro-famille, qui avait jeté dans le Tibre quelques statuettes de la Pachamama exposées dans une église romaine de la Via della Conciliazione à l’occasion du Synode sur l’Amazonie.
Il m’a fait part de sa volonté farouche de « résister, résister, résister » à cette « vaccination » qu’il rejette pour des raisons de conscience, de prudence médicale et de devoir moral et politique de combattre le Nouvel Ordre Mondial de la surveillance dont elle est un outil privilégié à travers la mise en place du « passeport sanitaire ».
Dès ce samedi après-midi, des dizaines voire des centaines de milliers d’Autrichiens ont rejoint à Vienne, comme lui, une manifestation géante contre le passe sanitaire, le confinement et la vaccination forcée. La grande presse n’a compté que 38 000 manifestants — pour un cortège qui a mis deux heures à passer au point où il a été filmé en live (à vérifier ici). Immense succès, pour ce pays de quelque 9 millions d’habitants !
Voici donc mon entretien avec Alexander Tschugguel, traduit de l’anglais par mes soins. — J.S.
*
Les nouvelles d’Autriche ne sont pas bonnes : vous êtes actuellement un citoyen de seconde zone. Pouvez-vous nous en parler ?
Avant toute chose, le fait d’être un citoyen de seconde zone représente une sensation et une expérience inédites pour moi et mes semblables, mais je pense que l’on peut aussi vivre des choses très agréables, car j’ai découvert que je n’étais vraiment pas seul. Tout mon cercle d’amis, beaucoup de gens de ma famille, mes meilleurs amis, leurs familles, etc. sont tous de notre côté — y compris ceux qui sont vaccinés. Comme il s’agit d’une terreur scandaleuse que l’on nous impose, beaucoup de gens ont compris que c’est mal.
Quelles sont les règles qui ont été mises en place ? Depuis une semaine, nous sommes des citoyens de seconde classe parce qu’on a instauré un confinement pour les seules personnes non vaccinées. Depuis deux semaines déjà, nous sommes en quelque sorte des citoyens de seconde zone, puisque déjà nous n’étions pas autorisés à entrer dans les restaurants si nous n’étions pas vaccinés. Et maintenant, le gouvernement a publié les nouvelles règles disant qu’il y aura un confinement pour tout le monde, à partir de lundi, suivi par l’introduction de l’obligation de se faire vacciner au plus tard le dernier jour de janvier. Donc à partir du 1er février, il y aura un vaccin obligatoire en Autriche si nous ne faisons rien contre cela. Nous pouvons encore le faire : nous devons élever la voix, nous devons nous battre aussi énergiquement que possible et c’est la raison pour laquelle je rejoins une énorme manifestation organisée par un grand nombre d’organisations différentes ce samedi à Vienne à midi.
Lire la suiteUn évêque canadien impose le vaccin covid aux prêtres et aux employés diocésains, et menace ceux qui résistent
Mgr Ronald Fabbro, évêque de London.
Par Kennedy Hall — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Diocese of London/YouTube
London, Ontario, 10 novembre 2021 (LifeSiteNews) — Un évêque canadien veut imposer à tout son clergé, ses employés et ses bénévoles de recevoir le vaccin COVID sous peine d’être licenciés.
L’évêque de London, en Ontario, Mgr Ronald Fabbro a rendu obligatoire l’injection du vaccin COVID contaminé par l’avortement, publiant des déclarations sur la gravité du COVID-19 et sur le vaccin contaminé par l’avortement dans une politique officielle de vaccination, datée du 18 octobre 2021.
« Le non-respect de cette politique pourrait entraîner une action disciplinaire (être placé en congé sans solde), pouvant aller jusqu’au licenciement pour motif valable », a-t-il écrit.
« Les membres du clergé qui refusent la vaccination seront démis de leurs fonctions actuelles. Si possible, ils seront réaffectés par l’évêque, à sa discrétion, à des rôles qui ne comportent pas de contact avec le public, et leur allocation pourra être ajustée en conséquence. »
Mgr Fabbro n’a fourni aucune preuve scientifique pour étayer ses affirmations et son document ne cite aucun enseignement biblique ni de l’Église catholique.
L’ordinaire du diocèse de Londres a déclaré : « Le COVID-19 est une menace claire et actuelle pour la société. Il n’est pas imaginaire comme certains le suggèrent, ni une maladie réservée aux personnes âgées, ni une maladie insignifiante comme le rhume. »
Cependant, Mgr Fabbro n’a pas donné d’exemple de personnes qui ont suggéré que le COVID est « imaginaire », et il a omis de mentionner qu’au Canada, la grande majorité des maladies graves associées au COVID sont survenues chez des personnes âgées. De plus, les experts en santé publique ont suggéré que le COVID rejoindra bientôt d’autres maladies respiratoires endémiques comme le rhume et la grippe.
Lire la suiteUn travailleur de la santé décrit un manque de personnel « cauchemardesque » dû au licenciement de non-vaccinés
Par Anthony Murdoch — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Mongkolchon/Adobe Stock
10 octobre 2021 (LifeSiteNews) — Le licenciement de travailleurs de la santé non vaccinés dans la province canadienne de la Colombie-Britannique (C.-B.) a aggravé une crise de pénurie de personnel hospitalier déjà existante, et un travailleur l’a décrit comme un scénario de « cauchemar ».
Selon un article du The Epoch Times, un employé nommé Jay, qui travaille à l’hôpital Eagle Ridge de Port Moody, a déclaré que l’hôpital manquait déjà de personnel, même avant le COVID.
Jay a déclaré que le gouvernement et les médias ne cessent de dire que « les patients non vaccinés taxent le système », alors qu’en réalité, cela est dû à un manque de travailleurs.
« Je ne cesse de dire aux gens que c’est une crise de personnel », a déclaré Jay, selon The Epoch Times, ajoutant : « Ce qu’ils ne disent pas vraiment aux gens, c’est qu’il y a déjà une crise de personnel ».
« Et cela est exacerbé par le fait que les gens sont stressés et épuisés », a-t-il ajouté.
À Menno Place, un établissement de soins de longue durée à Abbotsford, la directrice générale Karen Biggs a déclaré que la nuit, ils en perdent le sommeil et que toute la situation de la dotation en personnel est un vrai « cauchemar ».
Mme Biggs a déclaré, comme l’a rapporté The Epoch Times, qu’elle a perdu un total de 19 employés occasionnels en raison des mandats de vaccin COVID. Elle a ajouté qu’il était difficile de trouver des travailleurs dans un bassin d’employés déjà restreint.
Lire la suiteMgr Carlo Maria Viganò : la vraie liberté est la faculté d’agir dans les limites du Bien
Mgr Carlo Maria Viganò.
Par Fabien Laurent (Médias Presse Info)
Message de l’archevêque Carlo Maria Viganò
Ancien Nonce Apostolique aux États-Unis d’Amérique
Pour la manifestation contre les mesures pandémiques
dans la confédération Hevétique
Berne, le 12 novembre 2021
Chers amis,
Beaucoup d’entre vous n’auraient jamais pensé que la Suisse finirait par suivre l’Italie et d’autres nations en s’adaptant docilement aux diktats de l’élite, y compris en matière d’urgence pandémique. Votre Confédération, en effet, est déjà très en avance sur les autres pays sur la voie de la mondialisation et l’empreinte du Nouvel Ordre Mondial est très marquée dans la vie des grandes villes suisses. Et tout comme la Suède a été épargnée par les lockdown et les masques, on aurait pu penser qu’en Suisse aussi, les mesures destinées prétendument à contenir la contagion n’auraient pas adopté le modèle désastreux dont l’Italie est un triste exemple. D’autre part, le Forum Économique Mondial étant basé à Davos, certains d’entre vous auraient pu espérer que Klaus Schwab vous aurait épargné d’expérimenter vous aussi ce qui attend l’ensemble de l’humanité, si seulement nous laissons se réaliser son délirant Great Reset [1], partagé par l’ONU sous le nom d’Agenda 2030 [2]. Pourtant, si vous pensez à ce qui vous a été montré le 1er juin 2016 avec l’ouverture du tunnel du Saint Gothard, vous devriez avoir une idée des principes qui inspirent ce Nouvel Ordre.
Vous êtes ici aujourd’hui pour protester contre le renforcement des mesures sanitaires et de contrôle, adoptées par le gouvernement fédéral suisse sous le prétexte de la soi-disant pandémie. Ce qui est prévu pour la Suisse, comme vous le savez, a également été adopté en tout ou en partie dans d’autres pays, dont l’Italie et la France. La discrimination à l’encontre des personnes non vaccinées est déjà une réalité dans de nombreux pays, tout comme le suivi des citoyens au moyen de passeports vaccinal, la suspension du salaire pour ceux qui ne se soumettent pas aux contrôles et la possibilité pour les Autorités publiques de légiférer en dérogation aux lois ordinaires et à la Constitution elle-même.
Mais laissez-moi vous poser quelques questions.
Protestez-vous parce que vos libertés constitutionnelles sont restreintes, ou parce que vous vous rendez compte que ces premières mesures de contrôle ne sont que la première étape d’une annulation progressive de votre liberté individuelle, absorbée par un État-Médecin qui décide de vous soigner à votre place, un État-Patron qui décide si et quand vous pouvez sortir de chez vous, travailler, aller au restaurant, voyager ?
Manifestez-vous contre le passeport vert tout en acceptant le récit de la pandémie et des vaccins, ou avez-vous réalisé que cette farce colossale est basée sur un virus produit en laboratoire et répandu pour créer une urgence pandémique qui donnerait un prétexte pour mettre l’humanité entière sous contrôle ?
Lire la suite