Pfizer poursuivi à cause du lien entre le contraceptif Depo-Provera et les tumeurs cérébrales
Par Chiara McKenna (Population Research Institute) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : katemangostar/Freepik
11 février 2025 — Depuis des décennies, l’injection contraceptive Depo-Provera est remise en question pour de nombreuses raisons. Par exemple, son lien avec un taux beaucoup plus élevé de maladies transmises sexuellement. Mais récemment, des preuves ont fait surface concernant un effet indésirable encore plus grave : les tumeurs cérébrales.
Depo-Provera est le nom commercial de l’acétate de dépot-médroxyprogestérone (DMPA). Ce produit approuvé par la FDA est un contraceptif injectable administré aux femmes tous les trois mois. Il supprime l’ovulation et épaissit la glaire cervicale afin d’empêcher les spermatozoïdes d’atteindre l’ovule en cas d’ovulation. Cela semble assez simple, mais comme tous les produits pharmaceutiques, il s’accompagne d’effets secondaires.
Sur l’étiquette la plus récente du contraceptif, le fabricant Pfizer met en garde contre les effets indésirables les plus courants, notamment les irrégularités menstruelles, les douleurs ou désagréments abdominaux, la prise de poids, les vertiges, les maux de tête, la nervosité et la baisse de libido. Il y a également un avertissement important concernant la « PERTE DE DENSITÉ MINÉRALE DES OS », suivi de détails sur la gravité de cet effet secondaire. Au total, l’étiquette du produit comporte 27 pages d’effets potentiels.
Lire la suiteUn expert pro-vie combat l’avortement financé par Gates et la tyrannie médicale mondialiste à l’ONU
Austin Ruse.
Par Nick Marmalejo — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : LifeSiteNews/Vimeo
(LifeSiteNews) — Austin Ruse, écrivain et chien de garde de la politique sociale des Nations unies, déclare que les militants pro-vie ont des raisons d’espérer dans la lutte contre le groupe de tyrannie médicale mondialiste.
« Ce qui empêche l’ONU de prononcer un droit international à l’avortement, c’est le fait que l’Assemblée générale n’a jamais accepté d’aller dans ce sens », a déclaré Ruse, fondateur et président du Center for Family and Human Rights, dans une entrevue exclusive avec Jim Hale de LifeSiteNews. « C’est là que le travail de mon organisation et d’autres comme elle entre en jeu, car cela fait maintenant 25 ans que nous aidons les délégations à négocier des documents et que nous veillons à ce que l’avortement ne soit jamais reconnu comme un droit humain international. »
Néanmoins, Ruse affirme qu’il existe une tradition de défiance envers l’Assemblée générale de la part de bureaux et de programmes distincts au sein de l’ONU, tels que l’Organisation mondiale de la santé (OMS), le Fonds international d’urgence pour l’enfance (UNICEF) et le Conseil des droits de l’homme des Nations unies (CDHNU). Ils ont toujours ignoré la volonté de l’Assemblée générale et s’emploient au contraire à promouvoir l’avortement au niveau mondial, en prétendant qu’il existe un droit international à cette pratique dans les documents de l’ONU.
« Il s’agit, bien entendu, d’une fausse affirmation », a expliqué Ruse, commentant le soutien à l’avortement du Conseil des droits de l’homme des Nations unies dans son mémoire d’amicus curiae adressé à la Cour suprême des États-Unis dans l’affaire Dobbs v. Jackson Women’s Health Organization.
« C’est une chose qu’ils ont voulue. C’est ce qu’ils ont essayé depuis la conférence du Caire en 1994, puis Pékin en 95 et de nombreuses autres conférences, mais l’avortement n’est même pas mentionné dans un seul traité sur les droits de l’homme. »
« La santé reproductive n’est mentionnée que dans un seul traité sur les droits de l’homme, à savoir le traité sur les personnes handicapées, et nulle part il n’est demandé que l’avortement devienne un droit de l’homme », a poursuivi Ruse.
« Pourtant, ces “experts” des droits de l’homme prétendent, à tort, devant les tribunaux du monde entier et maintenant ─ y compris devant notre propre tribunal ─ qu’il existe un droit international à l’avortement fondé sur les documents de l’ONU, contraignants ou non. »
Lire la suiteComment ma vie a changé pour toujours suite à l’injection contraceptive « Depo Provera »
Par Abby Johnson de LifeSiteNews - traduit par Campagne Québec-Vie
J’ai épousé Doug en 2005. Je savais qu’il ne voulait pas avoir d’enfant tout de suite, et j’essayais à peu près toutes les méthodes de contraception hormonales existantes. Cependant, je n’avais pas procédé à l’injection de contrôle des naissances « Depo Provera ».
Cela ressemblait à une méthode gratuite plutôt facile à utiliser. Vous n’avez qu’à vous faire vacciner une fois tous les trois mois et la plupart des femmes n’ont même pas de règles entre les injections. Cela semblait pouvoir me convenir. J’ai reçu ma première injection seulement quelques mois avant notre date de mariage.
Une semaine après ma première injection, j’ai commencé à avoir ces débilitants maux de tête. Et je veux dire qu’ils étaient vraiment MAUVAIS. Je pouvais à peine marcher. Cela interférait dans mon travail, mon sommeil, à peu près tout. Après une semaine, j’ai pris rendez-vous avec mon médecin de famille. Je lui ai parlé de mes symptômes et elle m’a simplement ignorée en disant « Eh bien, certaines personnes ont simplement de mauvais maux de tête ».
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