Une université admet implicitement avoir prélevé des reins sur des bébés à naître dont le cœur battait encore
Par Micaiah Bilger (LifeNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : lenets tan/Adobe Stock
Selon le Center for Medical Progress, l’Université de Pittsburgh a peut-être fourni cette semaine, par inadvertance, de nouvelles preuves que des bébés avortés naissent vivants et sont laissés à mourir afin que leurs organes puissent être utilisés pour la recherche scientifique.
Comme LifeNews.com l’a largement rapporté, Judicial Watch et le Center for Medical Progress ont révélé en début de semaine des preuves que des bébés sont potentiellement nés vivants lors d’avortements et d’autres pratiques inquiétantes dans des documents qu’ils ont obtenus suite à une demande en vertu de la loi sur la liberté d’information auprès du ministère américain de la Santé et des Services sociaux.
Les documents montrent que le gouvernement fédéral a versé à l’Université de Pittsburgh au moins 2,7 millions de dollars de l’argent des contribuables fédéraux au cours des cinq dernières années afin qu’elle devienne une « plaque tournante de tissus » de parties du corps de bébés avortés destinés à la recherche scientifique.
Mercredi, un porte-parole de l’université de Pittsburgh a défendu ses pratiques dans une interview accordée à Fox News. Cependant, le Center for Medical Progress a déclaré que les déclarations de l’université confirment que le cœur des bébés avortés bat toujours alors que leurs reins sont prélevés pour la recherche scientifique.
« Pitt admet maintenant aux médias que les bébés avortés sont encore en vie au moment où leurs reins sont prélevés pour obtenir des subventions [du National Institutes of Health] », a déclaré David Daleiden, fondateur et président du Center for Medical Progress.
Daleiden poursuit : « La demande de subvention de Pitt pour le GUDMAP annonçait au gouvernement fédéral et indiquait que des avortements par induction, où le bébé est expulsé entier de la mère, seraient “utilisés pour obtenir les tissus”. Le sens évident de la demande de subvention GUDMAP, et de la déclaration de l’Université de Pittsburgh l’expliquant, est que Pitt et les prestataires d’avortement de Planned Parenthood, responsables de ces avortements de “recherche”, font en sorte que les bébés, dont certains ont atteint l’âge de la viabilité, soient mis au monde vivants, puis ils les tuent ensuite en leur sectionnant les reins. »
La base de cette interprétation provient d’une déclaration du porte-parole de l’université, David Seldin, à Fox News, concernant le « temps d’ischémie », qui, selon lui, « fait référence au temps qui suit la procédure de collecte des tissus ».
Lire la suiteL’Université de Pittsburgh prélève les reins sur des bébés avortés dont le cœur palpite probablement encore
Par Micaiah Bilger (LifeNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie
Selon le Center for Medical Progress, l’Université de Pittsburgh a peut-être fourni cette semaine, par inadvertance, de nouvelles preuves que des bébés avortés sont mis au monde vivants afin que leurs organes puissent être prélevés pour la recherche scientifique, ce dont ils meurent ensuite.
Comme LifeNews.com l’a largement rapporté, en début de semaine l’organisme Judicial Watch et le Center for Medical Progress ont exposé des preuves de bébés nés potentiellement vivants lors d’avortements et d’autres pratiques inquiétantes ; ces preuves se trouvent dans des documents qu’ils ont obtenus suite à une demande en vertu de la Loi sur la liberté d’information auprès du ministère de la Santé et des Services sociaux des États-Unis.
Les documents montrent que le gouvernement fédéral a versé à l’Université de Pittsburgh au moins 2,7 millions de dollars provenant des impôts fédéraux au cours des cinq dernières années, afin qu’elle devienne un « Centre de tissus », c’est-à-dire d’organes — et autres morceaux — de bébés avortés destinées à la recherche scientifique.
Dans une entrevue accordée à Fox News, un porte-parole de l’université de Pittsburgh a défendu ses pratiques. Toutefois, le Center for Medical Progress a fait observer que les déclarations de l’université confirment que le cœur des bébés avortés bat toujours alors que leurs reins sont prélevés pour la recherche scientifique.
« Pitt [c’est-à-dire l’Université de Pittsburgh] admet maintenant aux médias que les bébés avortés sont encore vivants au moment où leurs reins sont prélevés, afin de bénéficier des subventions [des Instituts nationaux de la santé] », a déclaré David Daleiden, fondateur et président du Center for Medical Progress.
Daleiden poursuit : « Dans sa demande de subvention pour le GUDMAP, Pitt annonçait au gouvernement fédéral que des avortements par induction du travail, où le bébé est expulsé entier de la mère, seraient “utilisés pour obtenir les tissus”. Le sens évident de la demande de subvention GUDMAP, et de la déclaration de l’Université de Pittsburgh l’expliquant, est que Pitt et les prestataires d’avortement de Planned Parenthood responsables de ses avortements “de recherche” font en sorte que des bébés, dont certains ont atteint l’âge de la viabilité, soient mis au monde vivants, et ils les tuent ensuite en leur coupant les reins. »
Lire la suiteLes lignées cellulaires issues de bébés avortés… employées pour les vaccins covid-19 actuels
Par Pierre-Alain Depauw (Médias Presse Infos) — Photo : Freepik
En quoi les vaccins contre la Covid 19 sont-ils liés à l’avortement ?
(Docteur Eva-Maria Hobiger)
Source : Fraternité Saint Pie X, district d’Autriche. Avril 2021.
Aux États-Unis d’Amérique, l’utilisation de cellules fœtales humaines dans le domaine pharmaceutique, mais aussi dans les cosmétiques et autres secteurs industriels est, depuis des décennies, l’objet de débat et de dénonciation publique par les mouvements pro-vie. En revanche dans la zone germanophone, ce sujet est peu connu, même parmi les professionnels de santé, et peu de gens savent dans quelles circonstances sont obtenues les lignées de cellules fœtales nécessaires à la production de vaccins.
Beaucoup pensent que si l’avortement est un mal on peut toutefois, dans le cas où il est déjà survenu, utiliser le fœtus mort pour la recherche. Mais peu de gens savent qu’afin de produire des cellules aptes à des mises en culture, les avortements nécessaires doivent être ciblés et planifiés ; que la grossesse doit déjà avoir atteint une certaine durée ; que l’interruption de cette grossesse se fait souvent par césarienne et que bien souvent le cœur bat encore lorsque l’embryon arrive au laboratoire pour le prélèvement de ses organes. Des informations comme celles-ci ne sont pas relayées par les médias et vous ne pouvez pas les trouver sur Google ; ces faits dérangeants, vous préférez les tenir éloignés du grand public.
Il serait également souhaitable que le débat actuel sur la vaccination contre la Covid-19 nous éclaire sur les raisons de la récupération d’organes fœtaux, en particulier pour le motif que dans TOUS les vaccins actuellement disponibles, des lignées cellulaires fœtales ont été utilisées à un certain moment, dans la recherche, le développement, la production ou l’expérimentation.
Cela a commencé voici 85 ans.
Dès le XXème siècle, dans les années 30, des expériences ont commencé par des mises en culture à partir de tissus fœtaux. À l’époque, le mobile était la recherche d’un vaccin contre la poliomyélite, qui finalement fut mis sur le marché à la fin des années 50. Dans un article médical de 1936, nous lisons : « Une nouvelle approche a été obtenue grâce à l’utilisation d’embryons humains âgés de 3 à 4 mois, obtenus stérilement par césarienne. » [i]
En 1952, nous lisons dans un journal médical au sujet de la production de cultures tissulaires : « Les embryons humains de 2,5 à 5 mois de grossesse ont été admis dans les services gynécologiques des hôpitaux. Ils ont été placés dans un récipient stérile et immédiatement transportés dans le laboratoire de virologie de l’hôpital pour enfants voisin. Les échantillons morts n’ont pas été utilisés, et pour certains des embryons, le cœur battait encore au moment où ils sont arrivés au laboratoire de virologie. » [ii] Et dans un autre travail de la même année, il est écrit : « Tissu embryonnaire humain : ce matériel a été utilisé dans la plupart des expériences. Il a été obtenu dans des conditions stériles par césarienne. Des embryons de 12 à 18 semaines de grossesse ont été utilisés. » [iii]
Lire la suiteFauci a utilisé l’argent des contribuables pour financer des expériences avec des parties de bébés avortés
Anthony Fauci.
Par Rebecca Downs (LifeNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie
Le déversement massif de courriels du Dr Anthony Fauci concernant le coronavirus « potentiellement modifié » et l’obsession de Fauci pour la recherche sur le gain de fonction sont assez suspects. Mais il s’avère que le chef du NIAID est également lié à des expériences d’hybridation homme-animal utilisant des parties de fœtus avortés, qui ont eu lieu à l’Université de Pittsburgh. Le mouvement Students for Life of America et le Center for Medical Progress tirent la sonnette d’alarme.
La semaine dernière, Kristan Hawkins, présidente de SFLA, s’est entretenue avec John Zmirak dans le cadre d’un entretien avec The Stream.
Sur la question des « Rats avec des scalps de bébés à naître », Hawkins a déclaré :
Students for Life demande la démission ou le licenciement de Fauci. Une nouvelle vidéo du Center for Medical Progress (CMP) détaille des recherches dans lesquelles des restes de nourrissons sont prélevés lors d’avortements dans un Planned Parenthood. Cela s’est produit aux frais des contribuables, grâce au financement du bureau NIAID de Fauci aux Instituts nationaux de la santé.
L’interview de The Stream comprenait également des extraits du témoignage de David Daleiden, le fondateur du CMP, du 4 mai, devant un comité de santé de Pennsylvanie (l'emphase provient de l’original) :
Lire la suiteIl est de notoriété publique que d’horribles abus d’enfants avortés ont lieu en Pennsylvanie par le biais des vastes programmes d’expérimentation fœtale de l’Université de Pittsburgh (« Pitt »), financés par les contribuables.
Dans une étude récente, des scientifiques de Pittsburgh décrivent le « scalpage » de bébés avortés de 5 mois et la greffe de leur cuir chevelu sur le dos de rats de laboratoire pour qu’il continue de pousser... dans l’étude, vous pouvez voir les photos de petits cuirs chevelus de bébés qui font pousser de minuscules poils de bébé sur le dos de rats et de souris de laboratoire. Chacun de ces cuirs chevelus... représente un petit bébé de Pennsylvanie qui aurait eu ces petits cheveux sur sa tête s’il n’avait pas été tué par avortement et servi à des expériences sur des rongeurs.
À partir de 2016, Pitt a reçu une subvention de 1,4 M$ du NIH pour devenir une plaque tournante de la distribution de reins et de vessies de fœtus avortés et d’autres organes dans le cadre du programme de cartographie du développement génito-urinaire du NIH. La demande de subvention de Pitt auprès des NIH indique que l’université dispose d’un accès unique à un grand nombre de fœtus avortés de haute qualité et qu’elle peut « accélérer » la livraison de parties de corps de fœtus avortés dans tout le pays.
La pro-avortement Kamalas Harris bientôt à la tête des États-Unis ?
Kamala Harris.
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) ― Photo : Gage Skidmore/Flickr
Le fait est que la vice-présidente des États-Unis, Kamala Harris, activiste forcenée de l’avortement, remplit des fonctions présidentielles dans les tous débuts de l’administration Biden, elle passe des appels auprès de chefs d’État étrangers pour traiter avec eux. Le fait est qu’il est inhabituel que le vice-président des États-Unis se chargeât d’une telle tâche, surtout au début d’une nouvelle administration. Une réponse toute simple, Joe Biden est de moins en moins apte à remplir ses fonctions et Kamala Harris est tout simplement en train de le remplacer dans la pratique… avant sans doute de s’y substituer en invoquant quelque chose comme le 25e Amendement. Selon LifeSiteNews :
Lire la suiteCela n’a pas pris beaucoup de temps. Elle n’est même pas seulement depuis quatre semaines dans l’administration Biden, et Kamala est déjà en train d’assumer l’une des fonctions clés du président : traiter avec les dirigeants étrangers.
Hier, la Maison-Blanche a publié un document intitulé « Lecture de l’appel de la vice-présidente Kamala Harris avec le président français Emmanuel Macron ». La « lecture » précise :
[...]
Harris s’est également entretenu récemment avec le Premier ministre canadien Justin Trudeau sur le covid, le changement climatique et la diversité [...]
Il est étrange qu’un vice-président passe des appels, habituellement réservés au chef d’État, à des alliés clés des États-Unis et à d’autres personnes quelques semaines à peine après le début d’une nouvelle administration. Pouvez-vous imaginer Dick Cheney faisant de tels appels au cours des premières semaines de l’administration George Bush, ou Joe Biden lui-même réalisant des appels présidentiels pour son homologue Barack Obama au début de 2009 ?
Si cela s’était produit, les médias auraient rapidement commencé à remettre en question les capacités du président en question face à la tâche.
Dans le cas de Joe Biden, cependant, ses capacités — telles qu’elles sont — ne sont pas vraiment remises en question. Il est évident depuis le début de sa campagne présidentielle qu’il était en déclin cognitif et que, s’il était élu, il aurait besoin d’un « premier ministre » de facto pour l’aider à s’acquitter des tâches quotidiennes de sa fonction.
Joe Biden choisit Kamala Harris, alliée de Planned Parenthood, comme second
Kamala Harris.
Par Calvin Freiburger ― Traduit par Campagne Québec-Vie ― Photo : LiveActionNews
11 août 2020 (LifeSiteNews) — L’ancien vice-président Joe Biden a nommé la sénatrice californienne Kamala Harris comme partenaire sur la liste présidentielle démocrate, renouvelant ainsi son allégeance aux éléments les plus farouchement pro-avortement de son parti.
Biden en a fait l’annonce mardi après-midi, qualifiant Harris de « combattante sans peur pour le petit gars, et l’un des meilleurs fonctionnaires du pays » :
À l’époque où Kamala était procureure généralé, elle travaillait en étroite collaboration avec Beau. Je les ai vus s’attaquer aux grandes banques, secourir les travailleurs et protéger les femmes et les enfants contre les abus. J’étais fier à l’époque, et je suis fier aujourd’hui de l’avoir comme partenaire dans cette campagne.
— Joe Biden (@JoeBiden) 11 août 2020
« Par “petit gars”, vous ne voulez évidemment pas dire le bébé à naître », rétorque Kristan Hawkins, président de Students for Life of America (SFLA).
En tant que femme noire [enfin, pas tant que ça*], Harris satisfait les demandes des activistes de gauche en termes de représentation des femmes et des minorités, tandis que la campagne [de Biden] compte peut-être sur son passé de procureure pour faire appel aux électeurs qui penchent à gauche sur les questions politiques mais ne sont pas d’accord avec la vague anti-police promue par Black Lives Matter. Mais sur l’avortement, les questions LGBT et la liberté religieuse, Harris est en phase avec l’extrême gauche.
Lorsqu’elle était procureure générale de Californie, Harris joua un rôle clé dans la défense de Planned Parenthood dans l’affaire de la vente de parties de bébés avortés (commerce qui enfreint plusieurs lois fédérales, rapporte une vidéo d’infiltration auprès du personnel de l’industrie de l’avortement). La plupart des images de la vidéo dénonçant ce trafic ont été prises en Californie, mais déjà Harris avait annoncé qu’elle mènerait une enquête sur les journalistes du Center for Medical Progress (CMP) plutôt que sur Planned Parenthood, et fit une descente au domicile du directeur du CMP, David Daleiden, tout en acceptant par ailleurs les dons du géant de l’avortement pour sa course au Sénat.
De nombreuses organisations pro-vie exigèrent de Harris qu’elle démissionnât en raison du visible conflit d’intérêts, et les avocats de Daleiden citèrent des courriels fuités montrant que le bureau de Harris coordonnait avec Planned Parenthood des projets de loi visant à criminaliser les investigations sous couverture comme celles du CMP.
Lire la suiteL’État sexuel profond
Par Jennifer Roback Morse (Ruth Institute — d’abord publié dans l’American Mind) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Image (montage d'A. H.) : AdobeStock
La Révolution sexuelle ne visait pas la liberté, mais le contrôle.
L’Amérique n’est plus gouvernée par la constitution telle qu’elle était comprise par nos fondateurs. Au contraire, nous sommes gouvernés par un ensemble d’agences administratives non élues et qui ne rendent compte de rien. Les lecteurs de ce site sont possiblement familiers avec le concept d’État administratif (Administrative State) et d’État profond (Deep State).
L’État profond va au-delà de la bureaucratie, incluant d’autres structures sociales non gouvernementales qui la supportent, la favorisent et la protègent de diverses façons. Les médias, le monde académique, l’industrie du divertissement, les entreprises, les organismes de bienfaisance et même les sportifs professionnels ont créé une structure uniforme limitant le comportement et la façon de penser des gens. L’État profond est une présence omniprésente, persuasive, puissante et largement cachée.
Dans cet article, je m’appuie sur ces concepts et propose l’ajout du concept de l’État sexuel. Ce régime sexuel dans lequel nous vivons partage les principales caractéristiques de l’État profond et compte sur l’État administratif et le supporte. Cette affirmation a d’immenses répercussions personnelles et politiques.
L’État sexuel
Malgré les apparences, la Révolution sexuelle n’encourage aucunement la liberté individuelle. Bien au contraire, les élites culturelles ont réquisitionné le pouvoir de l’État afin de mettre en œuvre leur vision utopique sociale et sexuelle. La Révolution sexuelle sert les intérêts de cette classe dirigeante au pouvoir. La Révolution sexuelle ne résulte pas d’une montée de « changements culturels » spontanés ou de l’inexorable « marche de l’histoire ».
Pour bien illustrer ce point, il faut considérer cette Révolution sexuelle comme étant la question du jour : inventer et sécuriser les droits de cette soi-disant personne transgenre. Les garçons s’identifiant comme filles devraient avoir le droit de participer aux compétitions athlétiques féminines, les bibliothèques publiques doivent accueillir les travestis pour lire des histoires aux enfants, les hommes s’identifiant comme femmes doivent être admit dans les maisons d’hébergement pour femmes victimes de violence et doivent pouvoir être incarcérées dans les prisons de femmes. Aucune personne sérieuse ne peut soutenir que les gens ordinaires demandent naturellement ces politiques, toutes plus bizarres les unes que les autres.
Bien que certains sont de Vrais Adeptes et soient motivés par leurs engagements idéologiques abstraits, pour la plupart, ce sont des élites qui instillent ces idées dans le public, en vue de leurs intérêts idéologiques, financiers et personnels, afin de satisfaire leurs désirs de pouvoir brut.
Par exemple, les compagnies pharmaceutiques trouvent un intérêt financier dans l’idéologie transgenre. Les individus qui tentent de vivre comme membre du sexe opposé auront besoin de soins médicaux tels que des médicaments dispendieux et des substituts d’hormones toute leur vie.
Lire la suiteLe jury déclare coupables Daleiden et les autres pro-vie qui dénoncèrent le trafic d’organes de bébés avortés de Planned Parenthood
David Daleiden à l’extérieur de la Cour supérieure de San Francisco, le 11 février 2019.
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : Pete Baklinski/LifeSiteNews.com
Planned Parenthood doit avoir plein de juges dans sa poche… Extrait de LifeSiteNews :
David Daleiden et les enquêteurs sous couvert du Center for Medical Progress ont été reconnus coupables de multiples crimes et doivent verser des millions de dollars en dommages-intérêts à Planned Parenthood pour le travail qu’ils ont accompli en dénonçant le prélèvement d’organes sur des bébés avortés.
Le jury composé de neuf hommes et d’une femme a rendu son verdict vendredi après-midi après avoir délibéré moins de deux jours, même si ce procès civil historique a duré six semaines.
Le montant total accordé à Planned Parenthood s’élève à plus de 2 millions de dollars, selon la Thomas More Society, ce qui comprend les dommages-intérêts punitifs et compensatoires ainsi que les honoraires des avocats. Une journaliste locale de San Francisco, Helen Chistophi, a twitté depuis le palais de justice que les dommages-intérêts punitifs s’élevaient à 870 000 $.
Les avocats de la défense pro-vie ont déjà déclaré qu’ils interjetteraient appel, affirmant aux journalistes à l’extérieur de la salle d’audience que le « processus était injuste ».
« Ce procès est une vengeance contre David Daleiden qui dénonce le sale commerce de Planned Parenthood d’achats et de ventes de pièces et d’organes fœtaux », a déclaré Peter Breen, avocat principal de la défense et membre de la Thomas More Society. « Nous avons l’intention de défendre David en appel. Son enquête sur les activités criminelles du plus grand fournisseur d’avortements des États-Unis a employé des techniques journalistiques d’investigation courantes, régulièrement utilisées par les médias à travers le pays. »
« Les découvertes de David avaient révélé des pratiques si odieuses que le Congrès des États-Unis avait ordonné des enquêtes criminelles contre Planned parenthood, et que de nombreux États et élus ont décidé de lui retirer tout financement », a poursuivi Breen. « Plutôt que de faire face à ses actes odieux, Planned Parenthood a choisi de persécuter la personne qui l’a dénoncé. Je suis persuadé que lorsque cette affaire sera terminée, la justice l’emportera, et David sera justifié. »
[...]
« Alors que les meilleurs témoins Planned Parenthood ont passé six semaines à témoigner sous serment que les vidéos filmées sous couvert étaient véridiques et que Planned Parenthood vendait des organes fœtaux, sur la base d’un quid pro quo, un juge partial ayant des liens étroits avec Planned Parenthood a passé six semaines à influencer le jury avec des décisions prédéterminées et en rejetant la preuve vidéo,... » a ajouté le groupe.
Tuer un « fœtus » après un avortement manqué n’est pas un infanticide, semble insinuer un sous-procureur de Californie
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) ― Photo : Activedia/Pixabay
Les défenseurs de l’avortement deviennent de plus en plus démesurés dans leurs propos. C’est un sous-procureur de Californie qui, dans le cadre de la poursuite de Planned Parenthood contre ceux qui ont dévoilé son trafic d’organes de bébés avortés, a avancé que selon la loi le fœtus n’est pas une personne, pourtant, il était question d’infanticide, de bébés tués après avoir été mis au monde (violemment), pour ce sous-procureur apparemment ce sont encore des fœtus. Extrait de LifeSiteNews :
Pour les partisans de l'avortement, la naissance a été « le point de repère déterminant », a-t-il [Tom Brejcha de la Thomas More Society] déclaré à LifeSiteNews. « Un moment, le fœtus n'est rien, l'instant d'après, c'est une personne aux yeux de la loi, ayant droit à une protection en bonne et due forme et constitutionnelle. Pourtant, ils estompent cette ligne ici. »
David Daleiden et la journaliste Sandra Merritt, responsables du projet Center for Medical Progress, sont accusés de 14 chefs d'accusation pour avoir enregistré des conversations confidentielles sans consentement, à propos des vidéos sous couverture que le CMP a publiées en 2015 pour exposer le trafic d’organes de bébé avorté opéré par Planned Parenthood.
La défense appuyant la légitimité de sa démarche (l’enregistrement de conversations confidentielles) sur l'article 633.5 du Code pénal qui autorise une exception quand l’enregistreur pense qu’il enquête sur un crime violent contre une personne. Mais pour défoncer l’argument de la défense, le sous-procureur général fait une déclaration hallucinante. Extrait de LifeSiteNews :
Mais le demandeur a semblé soutenir que tuer un « fœtus « né vivant pendant un avortement n'est pas un infanticide.
« L'accusé Daleiden a déclaré dans son témoignage que l'infanticide ou l'homicide, qu'il s'agisse d'un acte personnel ou d'un ordre donné à une autre personne de le faire, est un crime de violence qui relève de l'article 633.5 du Code pénal », déclare le mémoire présenté par le sous-procureur général Johnette Jauron.
« Cependant, par définition officielle, un fœtus n'est pas une "personne" et ne relève pas de l'exception prévue à l'article 633.5 du Code pénal. »
Le mémoire cite People c. Dennis (1998), qui fait observer « qu'un fœtus n'est pas un "être humain" ou une "personne" au sens de la loi sur le meurtre — ou de toute autre disposition du Code criminel comme celles sur l'homicide, l'homicide involontaire coupable ou dans l'article 633.5 - sauf disposition contraire expresse du législateur ».
Surprenante victoire de David Daleiden contre Planned Parenthood
David Daleiden, fondateur du Center for Medical Progress.
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) ― Photo : American Life League
David Daleiden, est un journaliste du Center for Medical Progress (CMP), impliqué dans les enquêtes menées par cet organisme dans le trafic d’organes d’enfants avortés dont l’organisme Planned Parenthood est l’un des bénéficiaires.
Le juge William Orrick III, dans son jugement provisoire auquel celui définitif devrait être semblable, a fait baisser les réclamations de Planned Parenthood de vingt millions de dollars à moins de cent mille. Remarquez que malgré le fait que ce juge ait été un donateur de Planned Parenthood, il a déchargé les journalistes poursuivis d’une bonne partie des accusations lancées contre eux. Extrait de LifeSiteNews :
... un juge fédéral de San Francisco a indiqué son intention de réduire de façon décisive la poursuite de Planned Parenthood contre le Center for Medical Progress, pour la prise de vidéos cachées documentant la vente opérée par Planned Parenthood de parties de corps de fœtus avorté.
Dans sa décision provisoire, demandant aux parties adverses de la traiter comme si elle était essentiellement définitive, le juge William Orrick III a rejeté l'accusation calomniatrice de Planned Parenthood à l'encontre des journaliste du CMP, dont David Daleiden, d'avoir tenté de provoquer des « menaces » et de la « violence » en publiant leurs vidéos discrètement filmées.
Le juge Orrick a écrit qu'il était « enclin à exclure de l'affaire tous les dommages-intérêts qui découlent des réactions de tiers à la diffusion des enregistrements vidéo en tant que dommages-intérêts inadmissibles et interdits par le premier amendement en l'absence d'une action en diffamation. » Le juge Orrick n'a laissé en place que des « dommages-intérêts pour enquêtes intrusives » dans l'espace de Planned Parenthood et pour l'« amélioration des mesures de sécurité d'accès pour les conférences et les installations », ainsi que des dommages-intérêts nominaux et légaux.
David Daleiden, fondateur de CMP, n’hésite pas a désigner la partie adverse avec des mots sans détour : « Planned Parenthood est un syndicat du crime, parrainé par le gouvernement, qui vend des pièces de corps de bébé comme les gadgets d'une chaîne de montage. »