Voici comment le darwinisme athée a conduit l’Occident à l’âge sombre de l’eugénisme
Par Jonathon Van Maren — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Wikimedia Commons
6 novembre 2023 (LifeSiteNews) — En août, Tristin Hopper du National Post a publié un essai informatif intitulé The time when Canada’s elite wanted to sterilize "insane" and disabled people [L’époque où l’élite canadienne voulait stériliser les « fous » et les handicapés], un récit qui met en garde contre la tendance à suivre les modes du moment. L’histoire de l’eugénisme, que j’ai décrite en détail dans mon livre de 2016 The Culture War, est un chapitre largement oublié de l’histoire de l’Occident — mais comme l'eugénisme revient sous le couvert de l’avortement et de l’euthanasie, cette histoire mérite une fois de plus un examen plus approfondi.
Même si les humanistes aimeraient protester contre ce fait, c’est l’essor de la théorie évolutionniste de la sélection naturelle, propagée par Charles Darwin et ses acolytes, qui a commencé à éroder la croyance fondamentale selon laquelle toute vie humaine a une valeur intrinsèque. Après tout, si Dieu n’existe pas, personne n’a été créé à son image. Si Dieu n’existe pas, certaines personnes sont, par définition, des accidents évolutionnaires défectueux. S’il n’y a pas de Dieu, il n’y a aucune raison de supposer que tous les êtres humains ont de la valeur et sont égaux. En fait, la théorie même de la sélection naturelle évolutive exclut l’idée d’égalité. Dans la vision darwinienne de la race humaine, l’égalité ne peut être autre chose qu’une faible construction sociale.
Lire la suiteL’inégalité ou la mort
Par l’historien Jean-Claude Dupuis, Ph. D. — Image (montage) : a4gpa/Flickr/Pxhere
Le discours LGBT atteint un tel niveau de bêtise qu’on se demande s’il vaut la peine de le réfuter. Autrefois, le bas peuple se moquait des femmes à barbe dans les foires. Aujourd’hui, nos pseudo-intellectuels les présentent comme des prophètes de l’évolution sociale. Inutile de discuter avec les fanatiques de la rectitude politique. Leur intelligence est morte depuis longtemps.
Notre civilisation n’en est pas arrivée là du jour au lendemain. C’est la conséquence ultime et logique du faux principe d’égalité, proclamé par la Déclaration des droits de l’homme de 1789. « Tous les hommes naissent libres et égaux. » Qui oserait, aujourd’hui, contester ce paradigme de l’idéologie libérale ?
Charles Maurras (1868-1952) le faisait avec une maxime qui peut surprendre à première vue : « L’inégalité ou la mort ». Il ne disait pas l’injustice ou la mort, ce qui serait absurde, mais bien l’inégalité ou la mort. La vraie justice se trouve dans l’ordre naturel. Tout être vivant est construit d’une manière inégale. Chaque organe a un rôle spécifique à jouer, et les fonctions sont hiérarchisées. Le cerveau commande les battements du cœur. On peut y voir une « injustice » et soutenir que le cœur devrait avoir les mêmes « droits » que le cerveau. Mais on doit constater un fait : si le cœur refuse de se subordonner au cerveau, l’organisme meurt. Il faut comprendre la maxime maurrassienne de cette manière : la vie exige l’inégalité.
Lire la suiteL’explosion cambrienne (et celle de la vie sur terre) n’a pas été déclenchée par des météorites
Par Clémentine Jallais (Réinformation.TV) — Photo : geralt/Pixabay
La culture de mort plonge ses racines dans bien des terreaux plus ou moins toxiques, dont celui, qui grouille particulièrement de vermines, de la théorie de l'évolution. C'est pourquoi, j'ai trouvé bon de montrer quelques exemples qui remettent à sa place l'évolution, c'est-à-dire à celle de théorie très probablement fumeuse. — CQV
Cette fameuse explosion cambrienne… ce grand trou de l’histoire de la terre appelé le « Big Bang de la biologie » parce qu’y sont nés brusquement tous les dessins organiques complexes de la vie, donne bien du fil à retordre aux évolutionnistes qui, en manque complet de fossiles intermédiaires qui pourraient justifier d’une continuité quelconque, proposent depuis des décennies nombre d’hypothèses explicatives. La plus avancée était jusque-là celle d’un très grand impact de météorites ou de comètes, qui auraient généreusement apporté à la Terre tous les organismes vivants dont le développement ultérieur aurait conduit à l’émergence de l’humanité : elle se trouve aujourd’hui mise à mal par de nouvelles données venues du sol lunaire qui démentent ce feu d’artifice vital invoqué par les scientifiques.
Il va encore falloir trouver autre chose (que Dieu) pour justifier de la prodigieuse arrivée de la vie sur terre, telle que nous la connaissons actuellement….
« La période du Cambrien est une énorme énigme pour l’évolution » (Stephen Jay Gould)
Pour tenter d’expliquer l’explosion, il y a environ 540 millions d’années, de la plus grande et la plus capitale diversification des espèces animales, végétales et bactériennes, plus connue sous le nom d’» explosion cambrienne », la gent scientifique largement évolutionniste a eu recours à de nombreuses hypothèses.
Lire la suiteIl faut dissiper la confusion darwinienne qui promeut la Culture de mort
Charles Robert Darwin par John Collier, Wikipedia
La Culture de mort proavortement, pro-euthanasie et anti-Christ avance sous couvert de confusion et de mensonges. Or, un des plus gros mensonges est celui de la prétendue opposition entre foi et science.
Or, rien n’a plus renforcé cette fausse impression d’opposition que la tristement célèbre théorie de l’évolution de Darwin. Louée faussement par certains athées comme étant la découverte révolutionnaire qu’il leur fallait pour finalement enfoncer le dernier clou dans le cercueil du christianisme et de sa morale, elle a plongée maints chrétiens dans la confusion et a largement contribué à une apostasie de la foi et de la morale, apostasie qui dure toujours aujourd’hui.
Souhaitant dissiper autant que possible la confusion produite par cette théorie, Campagne Québec-Vie vous invite à participer à un groupe d’étude sur la théorie de l’évolution et la question de sa compatibilité avec la foi et la morale chrétiennes. Ce groupe d’étude sera animé par moi-même ainsi que M. Jan Stohl.
Nos rencontres, qui auront lieu de 19 h à 21 h 45 au 3330 rue Rivier à Montréal (bureaux de Campagne Québec-Vie) débuteront le mardi 2 octobre, et se tiendront aux 2 semaines (nous prévoyons environ 6 rencontres, donc jusqu’au 11 décembre). Nous avons planifié les trois premières rencontres, mais les 3 autres dépendront en une certaine mesure de la rétroaction des participants, qui pourront aussi proposer des auteurs ou œuvres à étudier.
Ce groupe d’étude se veut un forum de débat, mais à l’intérieur d’un cadre clair : celui du magistère clairement défini de l’Église catholique sur la question des origines et de la nature de l’être humain.
Voici un aperçu des 3 premières sessions :
1) Première session — 2 octobre 2018 à 19 h — Georges Buscemi : Notions fondamentales. Distinction entre les sciences : théologiques, philosophiques et expérimentales. Refus du scientisme. Ce que l’Église nous enseigne sur les origines. Lecture recommandée : Section 5.15 - 5,16 du cours d’apologétique de l’abbé Gouy, Cours "La dernière superstition », pp. 17-134. L’encyclique Humani Generis de Pie XII et Le Darwinisme (Thonnard).
2) Deuxième session — 16 octobre à 19 h — Georges Buscemi : L’évolutionnisme thomiste est-il possible ? (Liste de lecture à suivre)
3) Troisème session — 30 octobre à 19 h — Jan Stohl : Contre l’évolutionnisme : l’œuvre de Wolfgang Smith. (Liste de lecture à suivre)
Les sessions 4, 5 et 6 se tiendront, respectivement, le 13 novembre, le 27 novembre et le 11 décembre.
Si vous voulez participer, vous n’avez qu’à nous écrire (info - arobase - cqv.qc.ca). N’hésitez pas à inviter vos ami(e)s. Il n’y aura pas de coût pour la participation; un petit don sera néanmoins le bienvenu pour payer le coût des collations. Aussi, faites vite pour vous inscrire, nous n’avons que 20 places, maximum. Au plaisir de vous (re) voir !
Vôtre pour la Vie,
Georges Buscemi, Président
P.S. La vigile des 40 jours pour la vie débute demain à Montréal et dans des centaines de villes à travers le monde. Merci d’y participer !
Le darwinisme : la source de la culture de mort?
Par Kathleen Gilbert — traduit par Campagne Québec-Vie — Pxfuel
Washington, 17 février 2012 (LifeSiteNews) — Qu’est-ce que la fondatrice de Planned Parenthood, Margaret Sanger, le « père de la révolution sexuelle » Alfred Kinsey, Lénine et Hitler ont en commun ?
Tous ces pionniers, de ce que certains appellent la culture de mort, basaient leurs croyances et leurs actions dans le darwinisme — un fait peu connu qui, selon un éminent conservateur, ne devrait pas être ignoré.
Hugh Owen du Centre Kolbe pour l’étude de la création (Kolbe Center for the Study of Creation) dit à un auditoire sur la colline du Capitole avant la Marche [… il y a 6 ans] que les conséquences philosophiques du darwinisme ont « complètement détruit plusieurs parties de notre société ».
Lire la suiteEvolution, vraiment ? Une étude génétique d’envergure révélerait que 90 % des espèces animales sont apparues en même temps
Par reinformation.tv
Pour les tenants de la théorie de l’évolution, c’est un mauvais coup ou, à tout le moins, une énigme. L’étude de l’ADN mitochondrial dans le cadre d’une recherche génétique de grande envergure vient de révéler que 90 % des animaux, ou plus exactement 9 espèces animales sur 10 sont apparus sur Terre à peu près en même temps que l’homme, il y a 100 000 ou 200 000 ans. L’un des principaux auteurs, David Thaler, généticien à l’université de Bâle, reconnaît que la conclusion de sa recherche est « très surprenante ». « Je l’ai combattue autant que je l’ai pu », avoue-t-il. Pourquoi ? Parce qu’elle ne « colle » pas avec les faux dogmes obligatoires de ce qui demeure une théorie.
Avec son collègue Mark Stoeckle de la Rockefeller Université, il a exprimé son étonnement devant plusieurs faits constatés à travers ses analyses de cinq millions de « codes-barres » d’ADN mitochondrial de 100 000 espèces actuellement présentes dans différentes régions du globe terrestre. D’une part, ils ont constaté que les variations « neutres » — les petites variations d’ADN qui se succèdent au fil des générations — sont beaucoup moins fréquentes que « prévu » par les évolutionnistes. Et ce quel que soit le nombre d’individus que comptent aujourd’hui lesdites espèces.
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