Voici pourquoi la pilule abortive a changé l’avenir du mouvement pro-vie au Canada
Par Marie-Claire Bissonnette ― Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : yanalya/Freepik
3 janvier 2019 (LifeSiteNews) — Mifegymiso est le nom canadien donné à une pilule abortive nommée RU-486 qui a été introduite au Canada en janvier 2017, après l’approbation de Santé Canada en 2015. Pas plus de deux ans se sont écoulés depuis son introduction et le panorama des pratiques et des attitudes relatives à l’avortement au Canada commence déjà à se modifier. Les militants pro-vie éprouveront de la difficulté à suivre le rythme de ces changements qui s’accélèrent. Alors, j’écris ceci comme un avertissement et une exhortation qui s’adressent à toutes les personnes et les organisations pro-vie du Canada lesquelles risquent une plus grande marginalisation et même une perte de crédibilité si elles ne réévaluent pas leurs stratégies à la lumière de cette situation en évolution.
Les pilules abortives offusquent moins notre sensibilité que les avortements chirurgicaux, comme ceux par succion, par dilatation et curetage, par solution saline, et par naissance partielle. Tandis que ces procédures dévoilent leur véritable nature meurtrière dans les corps de bébés sans vie mutilés ou brûlés, Mifegymiso se présente comme une méthode d’avortement propre, appropriée et facile qui consiste à prendre une combinaison de deux pilules. La mère se débarrasse alors de sa grossesse à la maison, dissimulant l’humanité visible de son enfant sous un siège de toilette. La première pilule, mifépristone, empêche la sécrétion de progestérone et affame l’embryon à mort. De 24 à 48 heures plus tard, la deuxième pilule, misoprostol, cause des fortes contractions musculaires dans l’utérus, tout en induisant la relaxation du col de l’utérus et l’expulsion de l’endomètre. Accompagné de beaucoup de sang et d’autres tissus, le bébé est jeté dans la toilette, on lui refuse même la dignité d’être regardé par des yeux humains. Ce que la mère pourrait voir, si jamais elle avait le courage de le faire, c’est le corps minuscule de son bébé enveloppé dans son sac gestationnel, avec des doigts et des orteils visibles qui pourraient être comptés, puisque l’emploi légal non conforme actuel de cette pilule va jusqu’à dix semaines de grossesse.
Cette méthode reste toute aussi hideuse que n’importe quelle autre forme d’avortement bien sûr, mais la brutalité est plus facilement ignorée. De plus, les médias l’encouragent, car ils déforment la vérité et omettent plusieurs faits importants qui concernent le Mifegymiso. Laissant de côté ce qui est évident — que l’avortement demeure le meurtre d’un être humain innocent — la première chose qui devrait être connue par tous, mais que la plupart des femmes ne se font pas dire, c’est qu’après la prise de la première pilule, la mifépristone, il est possible d’inverser les effets et de sauver la vie du bébé si la mère prend de la progestérone. Deuxièmement, le Mifegymiso peut causer des effets secondaires sérieux, incluant nausées, vomissements, crampes, fièvre, étourdissements, hémorragies, pertes de conscience, salpingite, arythmie, bronchospasmes, infections, chocs septiques, infertilité, possibles [futures] grossesses ectopiques, et même la mort à cause d’une infection, d’une grande perte de sang ou d’une grossesse ectopique ultérieure. Troisièmement, les médias déclarent que les coûts des pilules varient entre 300 $ et 550 $. Par contre, ils négligent les coûts de la première évaluation de grossesse, de l’assistance à l’examen médical, de la vérification en cas d’infection, des tests sanguins, des échographies, des nécessaires tests sanguins ultérieurs et, finalement, des rendez-vous de suivi, sans mentionner que la moyenne d’échec de l’avortement médical est de 1 sur 20 et que chaque échec doit être suivi soit par un deuxième avortement médical, soit par un avortement chirurgical (en général, le taux de succès des essais canadiens avec le Mifegymiso se situaient entre 92,9 % et 97,3 %).
Lire la suiteAvortement : les entités de l’ONU font pression sur le Malawi
Par Rebecca Oas (C-Fam) — Photo : Pxfuel
Les législateurs du Malawi sont confrontés à de fortes pressions pour libéraliser les lois sur l’avortement du pays pendant la session parlementaire en cours. Les chefs religieux demandent que le projet de loi sur l’interruption de grossesse [avortement*] soit abandonné. Pendant ce temps, les organisations bénéficiant de sources de financements internationaux, ainsi que les entités des Nations Unies, se coordonnent pour s’assurer que le projet de loi soit adopté.
À l’heure actuelle, le Malawi n’autorise l’avortement que pour sauver la vie de la mère [l’avortement n’est jamais « nécessaire » (dans le sens machiavélique) pour la vie de la mère*]. Le projet de loi permettrait des avortements « sûrs » et « légaux » en cas d’anomalies fœtales, de viol ou d’inceste, et si la grossesse est censée menacer la santé physique ou mentale de la mère. La Fraternité chrétienne de médecine et de médecine dentaire du Malawi a souligné que des exceptions similaires en matière de santé ont « conduit d’autres pays à pratiquer réellement l’avortement à la demande ». Il est également à noter que si l’exception pour viol et inceste a une limite de gestation de 16 semaines, il n’y a pas de telle restriction sur l’exception liée à la santé.
Un projet de loi similaire fut présenté en 2017, un an après qu’une Commission spéciale du droit eut publié un rapport appelant à des modifications des lois nationales sur l’avortement. La Commission du droit a cité l’organisation internationale pro-avortement Ipas, basée aux États-Unis, comme assurant le financement du projet.
L’un des partisans les plus ardents du projet de loi proposé est Emma Kaliya, présidente de la Coalition pour la prévention des avortements à risque (COPUA). Le COPUA a été créé en 2010 avec le soutien d’Ipas, après qu’Ipas, avec le ministère de la Santé du Malawi et l’Organisation mondiale de la santé (OMS), eut mené une évaluation stratégique nationale sur l’avortement.
Un autre groupe de soutien clé du projet de loi est le Center for Solutions Journalism, également basé au Malawi, qui reçoit un financement d’Ipas, du COPUA et d’Amplify Change, une organisation qui promeut l’avortement et d’autres projets de « santé et droits sexuels et reproductifs » dans les pays en voie de développement, financée par le Danemark, les Pays-Bas, la Suède, le Royaume-Uni et d’autres fondations basées dans les pays occidentaux.
Lire la suiteIkea renomme la fête de Noël en Festival de l’hiver
Par Francesca de Villasmundo (Medias-Presse.info) — Photo : mastrminda/Pixabay — Mise à jour, 6 décembre 2019 : Si IKEA utilise encore le mot Noël, c'est pour renvoyer à la collection « Vinterfest » ou Winterfest (Fête de l'hiver). Il y a donc une volonté de remplacer, du moins partiellement, Noël.
On trouve tout chez Ikea dit la pub sauf… les boules du sapin de Noël, les guirlandes et autres lampions qui marquent le temps festif de la naissance du Christ.
Fini Noël chez Ikea, pour ne pas offenser les nouveaux arrivants dans les pays scandinaves, place à la Fête de l’hiver. Dorénavant, novlangue de soumission oblige, ce sera donc boules de la Fête de l’hiver, guirlandes et sapin de la fête de l’hiver, etc. Pour rester « neutres » ! Et tous ces objets de décoration du temps de Noël se trouveront au rayon Winterfest. [Les Soviétiques, eux, dans leur plan d’éradication du christianisme avaient remplacé saint Nicolas par « Did Moroz », ou Grand-père Froid…]
Le chef du Parti populaire danois, Peter Skaarup, a critiqué cette décision sur Facebook :
Alors que la grande majorité des Danois attendent avec impatience de célébrer le traditionnel Noël danois, IKEA a commencé à préparer ses décorations pour un festival de l’hiver. J’aime beaucoup la Suède et les Suédois, mais ce politiquement correct devient un peu accablant.
Ikea prétend que ce changement est dans un but uniquement commercial. Le géant suédois nous permettra d’en douter…
Le grand remplacement passe aussi par cette disparition des traditions religieuses occidentales.
Un Britannique porteur de trisomie 21 fête ses 77 ans
Par Lianne Laurence — traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : gillnisha/Pixabay
Nottingham, Royaume-Uni, 29 août, 2019 (LifeSiteNews) — On ne s’attendait pas à que Georgie Wildgust vive au-delà de l’âge de 10 ans, mais l’homme de Nottingham a fêté son 77e anniversaire le 24 août dernier, en bonne santé et accompagné par sa famille et ses amis.
Nottingham, la ville de Robin des Bois. — Photo : Max Pixel
Né avec la trisomie 21, Wildgust est un jardinier à la retraite, décrit comme « très indépendant » par sa nièce, Nikki, Wright, qui lui rend visite chaque semaine à Watcombe Circus, une maison de soins pour personnes handicapées à Carrington où il habite avec 11 autres résidents, selon le Nottingham Post.
« Il est si heureux en tout temps. Il est incroyable. À sa naissance, sa mère s’est fait dire qu’il ne vivrait pas au-delà de l’âge de 10, mais regardez-le maintenant ! » s’exclama Wright.
« Sa mère lui a toujours dit qu’il était capable de faire n’importe quoi et c’est pour ça qu’il a toujours été très indépendant. Il n’aime pas qu’on lui dise quoi faire, mais je pense que c’est pour ça qu’il a atteint 77 ans » confia-t-elle au Nottingham Post.
Wright attribue également la longévité de son oncle à sa « vie sociale active » au centre, où il a déménagé en 1993 après la mort de sa mère.
Wildgust aime danser et chanter le karaoké, et « avait l’habitude de suivre des cours de théâtre chaque semaine, ce qu’il aimait. Il le fait moins maintenant, mais il reste occupé, » dit-elle.
« Je pense que le fait d’être occupé et de socialiser l’a vraiment aidé. Le personnel est fantastique ; c’est comme une famille ici. »
L’assistant en soins infirmiers, Javine Lacey a déclaré au Nottingham Post que Wildgust passe des heures à dessiner et à colorier.
« Il adore ça. Il n’écoute que BBC1 à la télé. Il saurait tout de suite s’il n’est pas sur la bonne chaîne » expliqua-t-elle.
« Il est un miracle. Il a connu des problèmes médicaux cette année et il a été mis en soins de fin de vie, mais il a rebondi », a ajouté Lacey.
« À son retour de l’hôpital, il a juste dit “ça va bien, chère ?” comme si rien ne s’était passé. »
Lire la suiteUne nouvelle étude établit le lien entre l'avortement et le suicide
Par The Elliot Institute ― traduit par Campagne Québec-Vie ― Photo : StockSnap/Pixabay
Une analyse de 2019 des décès par suicide en Italie a révélé que dans l'année suivant une grossesse, les femmes ayant subi un avortement étaient 2,3 fois plus susceptibles de se suicider que les femmes ayant donné naissance.
Il ne s'agit là que de la dernière d'une série d'études reliant l'avortement à des taux plus élevés de suicide et à un risque élevé de décès en général.
Des études à grande échelle sur les taux de mortalité maternelle aux États-Unis, en Finlande et au Danemark ont révélé des taux de mortalité plus élevés chez les femmes qui ont avorté que chez celles qui ont accouché, y compris des taux de suicide plus élevés.
L'étude américaine a examiné les dossiers du ministère des Soin de santé américain portant sur plus de 173 000 californiennes à faible revenu qui sont passées par un avortement ou un accouchement. En établissant un lien entre ces dossiers et les certificats de décès, les chercheurs ont constaté que les femmes qui avaient subi des avortements, financés par l'État, étaient 2,6 fois plus susceptibles de se suicider que les femmes qui avaient donné naissance à leur bébé. Par contre, il a été démontré que l'accouchement réduit le risque de suicide chez les femmes comparativement à la population en général.
L'avortement n'est pas bénéfique pour la santé mentale des femmes
Les défenseurs de l'avortement ont souvent soutenu que l'avortement était nécessaire pour protéger la santé mentale des femmes, voire bénéfique.
Mais une étude publiée dans le British Journal of Psychiatry a révélé que 10 % des problèmes de santé mentale chez les femmes, dont 35 % des comportements suicidaires, peuvent être attribuables à l'avortement. Ces conclusions sont fondées sur les résultats combinés de toutes les études publiées entre 1995 et 2009 qui répondaient à des critères d'inclusion stricts. L'analyse qui en a résulté a porté sur 877 181 femmes de six pays.
Les femmes qui ont avorté étaient à 81 % plus susceptibles d'avoir des problèmes de santé mentale que tous les autres groupes témoins, et 55 % plus susceptibles d'avoir des problèmes que les femmes qui ont accouché suite à une grossesse non planifiée ou non désirée.
Lire la suiteLe Danemark refuse son aide à la Tanzanie sous prétexte d’homophobie
Par Réinformation.TV
Si l’on ne souscrit pas aux oukases du Nouvel Ordre Mondial, on n’a pas le droit de bénéficier de la manne internationale.
La ministre danoise du Développement international, Ulla Tørnæs, a déclaré devant le Parlement cette semaine que le gouvernement retiendrait 65 millions de couronnes (presque dix millions de dollars [US ou environ 13 millions de dollars canadiens]) qui devaient être versées au pays d’Afrique de l’Est cette année.
« Je suis très préoccupée par les développements négatifs en Tanzanie, plus récemment par les déclarations homophobes absolument inacceptables de la part d’un commissaire », a déclaré Tørnæs. « Le respect des droits de l’homme est l’une des priorités les plus importantes des partenariats du Danemark avec l’étranger. Cela inclut le droit de ne pas faire l’objet de discrimination sur la base de l’orientation sexuelle ».
Paul Makonda, gouverneur de Dar-es-Salaam, la plus grande ville de Tanzanie, a récemment appelé les résidents à dénoncer les homosexuels et les lesbiennes aux autorités (une peine de prison allant jusqu’à 30 ans peut en effet être infligée pour avoir eu une relation homosexuelle). Aux critiques internationales, il a répondu : « Je préfère mettre en colère les pays [critiques] que Dieu »
Le danger de suicide est plus élevé chez les femmes qui prennent la pilule
Billet de blogue d'Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : Wheeler Cowperthwaite/Flickr
Encore un danger de la pilule contraceptive. Extrait de 20 minutes :
Les femmes qui prennent la pilule courent un risque plus élevé de devenir dépressives et, par conséquent, de s'ôter la vie. C'est le résultat d'une étude danoise [...] Forte de ses constatations, l'Agence européenne des médicaments demande que la notice d'emballage de ce moyen de contraception hormonal soit adaptée afin de mettre en garde contre les risques de dépression et de suicide.
[...]
Quelques informations sur l'étude
L'étude a été réalisée en 2017 par des gynécologues de la clinique universitaire de Copenhague. Les données de près de 500 000 femmes ont été prises en compte. Parmi elles, 69 999 ont tenté de se suicider et 71 se sont suicidées. L'étude a également révélée que le taux de suicide ou de tentative de suicide était presque deux fois plus élevé auprès des femmes qui prennent la pilule.
Le Danemark veut promouvoir ses origines chrétiennes
Par (Le Peuple) — Voici la ou les sources de cet article : Russia Today
En parallèle, le gouvernement a demandé au diffuseur public d'insister un peu moins sur la diversité et le multiculturalisme.
En Europe, de plus en plus de gouvernements remettent en question les politiques de diversité et d'intégration qui ont cours dans leur pays, au moment où le continent européen est aux prises avec un afflux de plus en plus important de réfugiés africains.
Cette fois, c'est le Danemark qui prend le taureau par les cornes. Le gouvernement danois vient en effet de demander au réseau public de radiodiffusion et de télédiffusion du pays, la Danish Broadcasting Corporation (DR), de mettre l'accent sur les racines chrétiennes du pays, en lieu et place du multiculturalisme et de la diversité.
Cette nouvelle politique provoque un véritable revirement de situation dans la mesure où le diffuseur devait auparavant « travailler à promouvoir l'intégration dans la société danoise ». La démarche a été mise de l'avant par le Parti populaire danois (DF) qui a fait campagne ces derniers temps pour mettre en évidence la culture danoise dans l'accord sur la politique des médias encadrant le diffuseur public.
C'est l'islam qui représente la plus importante religion minoritaire du Danemark. En date du 1er octobre 2017, quelque 306 000 musulmans (environ 5,3 % de la population) vivaient dans ce pays.
On imagine ce qu'une telle initiative entraînerait comme réaction au Québec, dans un État où les termes diversité, inclusion et « vivre-ensemble » font maintenant partie du décor politique.
Une nouvelle étude montre que toutes les formes de contraception hormonale entraînent un risque plus élevé de cancer du sein
Par Jeanne Smits (Reinformation.tv)
C’est un journal de gauche britannique qui l’affirme : qu’il s’agisse de la pilule ou d’autres formes de contraception hormonale, celles-ci sont associées à risque plus élevé de cancer du sein, un risque qui perdure cinq ans après l’arrêt de leur utilisation. The Guardian insiste pour dire que ce risque accru est « peu important », mais enfin il est là, et bien là, malgré l’insistance des propagandistes de la contraception pour dire que c’est un mythe. Risque « peu important » peut-être, mais tout de même de 20 % supérieur à celui présenté par des femmes non utilisatrices ».
« Cela reste très modeste pour celles qui ne sont pas déjà dans une catégorie à haut risque », affirme le journal. Sans doute – mais c’est certainement une augmentation de risque élevée au sein de la population féminine la plus exposée à cette maladie tueuse.
La contraception hormonale liée à un risque accru de cancer du sein
Selon The Guardian, « l’existence de ce risque accru est connue depuis quelque temps, mais on espérait que les formes plus récentes de contraception hormonale – comme celles qui ne dégagent que des progestérones – offriraient davantage de sécurité. » La nouvelle étude publiée par le New England Journal of Medicine démontre qu’il n’en est rien.
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